jeudi 12 septembre 2019

Mes premières fessées - chapitre 6

Je n’ai pas fermé l’œil de la nuit. Parce qu’un volcan en éruption avait élu domicile dans mon postérieur, oui, bien sûr… Mais aussi, et surtout, parce que j’étais ravagé par la honte. Quel humiliant spectacle j’avais offert, bien malgré moi, à Clotilde. J’en ai revu, une à une, toutes les étapes. Je me les suis passées et repassées. En boucle. Et j’en ai pleuré. De rage impuissante. Cette fessée allait être désormais en permanence entre nous. Elle ne pourrait pas, chaque fois que nous nous verrions, ne pas y penser. Et je ne pourrais pas, de mon côté, ne pas y penser. C’est au quotidien qu’il m’allait falloir la revivre encore et encore dans ses yeux. Redoutable épreuve.
Et puis… Et puis elle avait des amies, Clotilde, des camarades, auxquelles elle allait nécessairement être tentée de se confier. Sous le sceau du secret. Lesquelles camarades n’auraient rien de plus pressé que d’aller raconter à leur tour, à droite et à gauche, avec des mines gourmandes, ce qui m’était arrivé. Ça allait faire boule de neige, se répandre comme une traînée de poudre. Mon imagination s’est emballée et, au petit matin, j’étais convaincu qu’en trois jours, cinq au grand maximum, toute la fac en ferait des gorges chaudes. Impossible pour moi de m’aventurer dans un couloir sans qu’on se retourne sur mon passage, qu’on chuchote ou qu’on ricane derrière mon dos. La traversée du campus serait pour moi un véritable calvaire. J’allais être poursuivi par des « Ouille ! Ouille ! Ouille ! » appuyés. On allait hurler « Pan pan cucul » sur mon passage. J’allais vivre un véritable enfer. Non. Il fallait absolument que j’obtienne de Clotilde qu’elle me garde le secret le plus absolu. C’était ma seule chance.

Et, le lendemain matin, du plus loin que je l’ai aperçue, je me suis précipité à sa rencontre.
– On pourra se voir à midi ?
– Bien sûr qu’on pourra ! Bien sûr !
Seulement, quand je me suis retrouvé assis face à elle, les choses m’ont tout à coup paru beaucoup moins simples. Et un peu vaines. Si je le lui demandais, forcément qu’elle allait me promettre de ne rien dire à personne, mais qu’est-ce qui l’empêcherait de le faire malgré tout, si bon lui semblait ? J’allais donner un coup d’épée dans l’eau. Et faire montre d’une inquiétude qui allait lui donner barre sur moi. Alors mieux valait sans doute…
– Tu voulais me parler ?
– Oui. Enfin non. Si ! C’est-à-dire…
– C’est à propos d’hier soir, hein !
– Voilà, mais ça n’a pas vraiment d’importance finalement !
– J’étais loin de m’attendre à un truc pareil, j’avoue. Et… je peux te dire franchement ce que je pense ?
Évidemment qu’elle pouvait ! Évidemment !
– J’ai complètement halluciné. Parce que te laisser faire, comme ça, par cette bonne femme ! Qui n’est rien pour toi. Qui t’héberge juste. Sans te défendre. Sans même protester. C’est quoi, le plan ? T’es maso, c’est ça ?
– Non. Non. Pas du tout.
– C’est quoi alors ?
– C’est compliqué.
– Ben, explique !
Et il a bien fallu que je lui raconte. Les vacances chez madame Dubreuil. Cette nuit-là. Les pièces de monnaie. Le choix devant lequel on nous avait placés, Philibert et moi.
– C’était la fessée ou cette madame Lançon déposait plainte contre nous. Voilà.
– Ah, je comprends mieux. Et peut-être qu’à ta place, moi aussi j’aurais préféré ça. Quoique… j’en sais rien en fait. Non. Peut-être pas quand même.
Elle a froncé les sourcils.
– Et maintenant cette madame Dubreuil, elle te force à venir habiter chez elle. Sinon, c’est les flics. C’est ça, hein ?
C’était ça, oui.
– Et elle te traite comme un gamin de douze ans. Et t’as pas le choix : t’es obligé de te laisser faire. Faut reconnaître : tu t’es fichu dans de sacrés beaux draps, toi !
Elle s’est levée.
– Faut qu’on aille en cours. C’est l’heure.

Quand je suis rentré, Amélie était installée devant mon ordinateur. Dans ma chambre.
– Qu’est-ce tu fous là ?
– Je voulais regarder un truc.
– T’as le tien d’ordi.
– Oui, mais je voulais regarder un truc sur le tien. J’ai bien le droit. Oh, mais fais pas cette gueule. Je vais pas te le bouffer, ton machin.
Elle a refermé le capot.
– En douce que t’as pris cher hier soir.
Je n’ai pas répondu. Je me suis mis à farfouiller, sourcils froncés, dans un tiroir comme si j’y cherchais vraiment quelque chose.
– Tu devrais t’inscrire dans une chorale, n’empêche : t’as sacrément du coffre. Et faire du sport : t’as un joli jeu de jambes.
Elle a éclaté de rire.
– Non. Sérieusement, c’était très bien. Vraiment très bien. T’es rôdé maintenant. Tu donnes ta pleine mesure. Du grand art. J’ai beaucoup aimé, moi. Ah, si, si ! Je suis pas la seule, d’ailleurs. Parce que ta copine, là, je peux te dire qu’elle aussi, elle a énormément apprécié. Et je parle en connaissance de cause : je l’avais juste en face de moi. Elle te regardait tout ça avec des yeux, mais des yeux ! Ah, je suis bien tranquille qu’elle en a trempé sa petite culotte. Et qu’aussitôt rentrée chez elle, elle s’est fait du bien en y repensant. Si elle a réussi à attendre jusque-là. Ce qu’est pas gagné. C’est qui cette fille, d’ailleurs ?
– Une copine de fac.
– Oui, ben ça, j’avais compris, merci. C’est une copine comment ?
– Comme ça. Sans plus.
– Oui, ben tu peux t’attendre à ce qu’elle te colle aux basques maintenant. À ce qu’elle tente de faire ami-amie de plus près avec toi. Histoire d’avoir ses entrées dans la maison. Et de se trouver là, aux premières loges, quand tu t’en prendras d’autres.
Elle m’a menacé du doigt.
– Laisse pas les choses aller trop loin non plus, hein ! T’as pas le droit. Je te garde sous le coude. Au cas où j’aurais envie avec toi. Ce qui m’étonnerait d’ailleurs. Mais bon, on sait jamais.

Philibert s’est relevé sans bruit dans la nuit. Habillé.
– Qu’est-ce tu fabriques ?
– Chut ! Moins fort. Je sors.
– Tu sors !
– J’ai pas le droit après ce qui s’est passé, oui, je sais. C’est bien pour ça que je le fais en douce.
– Et tu vas où ? Pas voir ces types au moins !
– Non ! Enfin si, dans un sens. Je vais chez Jérôme. J’ai un rancard avec sa sœur. Et c’est pas simple. Parce que leur mère, elle peut pas me sentir. Et, du coup, Clarisse, elle a interdiction formelle de me fréquenter.
– Elle a quel âge ?
– Dix-neuf, mais bon… Elle a eu des soucis, elle aussi. Elle fait pas ce qu’elle veut.
– Et vous vous voyez où ?
– On peut pas traîner ensemble en ville. Ce serait trop dangereux. Alors chez elle, dans le garage. Qu’est légèrement à l’écart. C’est bien un peu risqué, mais pas trop quand même. On n’a pas le choix n’importe comment. Bon, j’y vais. À tout à l’heure.
– Et si elle t’entend descendre, ta mère ?
– Elle peut pas. Elle est trop loin, sa chambre. Et puis tu penses bien que je vais faire hyper attention.

Amélie a allumé la lumière dans la chambre.
– Allez, debout !
J’ai sursauté, me suis redressé dans le lit.
– Hein ? Quoi ? Qu’est-ce qu’il y a ? Quelle heure il est ?
– Trois heures du matin. Et faut que tu viennes.
– Où ça ?
– En bas.

En bas. Où il y avait madame Dubreuil. Et une autre femme. Et puis Philibert avec une fille. Tous les deux tête basse, près de la fenêtre, l’air penaud.
– Et, évidemment, toi, t’étais au courant de rien.
J’ai pris un air ahuri.
– Au courant de quoi ?
– Il t’avait rien dit, Philibert ?
– Mais à quel sujet ?
– Vous dormez dans la même chambre. Il découche. Et toi, tu veux me faire croire qu’il t’avait pas mis dans la confidence ?
– Mais non ! Je vous assure.
– Et que tu t’es pas rendu compte non plus que son lit était vide. Qu’il était parti.
– Quand je dors…
– Mouais… Pour cette fois, je vais te laisser le bénéfice du doute. Mais les deux autres, là, par contre…
Elle s’est tournée vers eux.
– On vous avait interdit de vous voir. On vous l’avait pas interdit ?
Philibert a murmuré.
– Si, mais…
– Mais quoi ?
– Non, rien.
– J’aime mieux ça.
La fille a relevé la tête.
– On faisait rien de mal.
Sa mère a bondi.
– Rien de mal ! Non, mais alors là, c’est la meilleure ! Rien de mal ! Alors que je vous ai trouvés en train de…
– Oh, mais on n’est plus au Moyen-Âge !
Madame Dubreuil s’est agacée.
– Bon, allez ! Trêve de discussions stériles. Vous savez ce qui vous attend tous les deux.
Mon cœur s’est mis à battre à tout rompre.
Tous les deux ! Elle avait dit « tous les deux ». Ce qui signifiait que la fille, elle aussi… Elle était en pantalon. Un pantalon qui enveloppait au plus près deux fesses rebondies. Que j’allais voir à nu. Qui allaient rougir et se crisper sous la claquée.
J’ai dégluti.
– Bon ! Philibert ! On commence par toi. Tu connais la musique.
Il connaissait, oui !
Et il s’est déshabillé. Lentement. Posément. Jusqu’au bout. Sans regarder personne. Sous les yeux de sa copine qui se tordait nerveusement les mains, qui dansait d’un pied sur l’autre et de sa mère vers laquelle madame Dubreuil s’est tournée dès qu’il a été nu.
– Vous voulez vous charger de le punir ?
Elle ne s’est pas fait prier.
– Volontiers, oui.
Et elle est allée prendre place sur le canapé.
– Approche, toi !
Il a obéi, à petits pas, les deux mains ramenées en coquille devant lui.
– Plus près ! Encore ! Allez !
Elle les lui a saisies, fermement ramenées sur les côtés.
– Non, mais regardez-moi ce grand dégoûtant !
Il arborait une indiscutable érection, orgueilleusement dressée.
– Tu n’as pas honte ?
Il est venu précipitamment s’allonger, de lui-même, sans répondre, en travers des genoux de la mère de sa copine pour la dissimuler.
– Oh, t’es si pressé que ça ?
Elle a ri et lui a négligemment posé une main sur les fesses.
– Oui, ben pas moi . J’ai tout mon temps. Alors on va commencer par discuter un peu. T’as envie ? Oui ? Alors dis-moi : c’est une véritable manie chez toi de t’introduire frauduleusement chez les gens, non ?
Elle a lâché une première claque, à toute volée, qui l’a fait sursauter, lui a arraché un petit cri de surprise.
– Quand je pose une question, j’aime qu’on me réponde.
– Mais non, mais…
– Et c’est qu’il discute en plus ! Je vais t’en faire passer l’envie, moi, mon garçon ! Je vais t’en faire passer l’envie… De ça et du reste.
Et elle a tapé. Avec force. En s’efforçant de couvrir méthodiquement toute la surface. Bien au large. Amélie regardait rosir le derrière de son frère avec un petit sourire satisfait. Bras croisés, madame Dubreuil assistait, impassible, à la correction de son fils. Quant à Clarisse, elle grimaçait en voyant les doigts de sa mère s’imprimer de plus en plus profondément sur la croupe de son petit ami. Sans doute songeait-elle, avec appréhension, qu’elle n’allait pas tarder à être soumise, elle aussi, au même régime. Et publiquement.
Sa mère a marqué un court temps d’arrêt pour contempler son œuvre.
– Là ! Et maintenant qu’on a bien préparé le terrain…
Elle l’a un peu déplacé, bien calé contre son ventre.
– Les choses sérieuses peuvent commencer.
Et une grêle de coups. Un déluge. Ça tombait. Ça tombait sans discontinuer. En rafale. À pleine puissance. À pleines fesses. Philibert a gémi. S’est contorsionné. S’est soulevé du derrière. A battu des jambes. Ses couilles ont ballotté entre elles. Sur le visage d’Amélie, le sourire s’est épanoui. Clarisse, elle, s’était couvert le visage de ses mains, l’air horrifié.
Ça a continué. Longtemps. Le derrière de Philibert était cramoisi. Il a crié. Il a hurlé. Il a supplié. Elle a poursuivi, imperturbable, jusqu’à ce qu’elle estime la punition suffisante.
– Là ! Tu vas laisser ma fille tranquille maintenant ?
– Oh, oui ! Oui…
Il lui a promis tout ce qu’elle a voulu. De ne plus approcher de Clarisse. De ne plus jamais remettre les pieds chez elle. De ne plus quitter sa chambre la nuit. De… Tout ce qu’elle voulait. Tout.
Elle l’a laissé se relever.
– Va te rhabiller !
Ce qu’il a fait avec mille précautions. Et tout un tas de grimaces. J’ai compati. Je savais trop bien, par expérience, combien le contact du tissu sur la peau, après une fessée, était douloureux.

– À ton tour !
Au tour de Clarisse.
Qui allait être fessée devant nous. Je jubilais. J’allais être, au moins partiellement, vengé de toutes les humiliations que j’avais subies devant des filles ces derniers temps.
– Échange de bons procédés…
Et c’est Madame Dubreuil qui s’est chargée d’exécuter la sentence. Qui est allée s’installer sur le canapé. Qui a fait signe à Clarisse d’approcher.
– Non ! S’il vous plaît ! S’il vous plaît ! Pas une fessée… Je vous en supplie. Pas une fessée !
Sa mère est intervenue.
– Comme tu voudras ! Mais alors tu sais ce qui t’attend…
Ce qui a eu un effet immédiat. Elle s’est docilement dirigée vers le canapé.
Madame Dubreuil lui a passé un bras autour de la taille pour l’amener à elle, l’a solidement maintenue. Avec la main de l’autre bras elle lui a déboutonné son jean. Elle en a fait glisser la fermeture Éclair. Au-dessous, la culotte était blanche.
Elle s’est tournée vers nous.
– Retournez dans votre chambre, les garçons ! Vous n’avez rien à faire ici. Ce n’est pas un spectacle pour vous.
J’ai intérieurement poussé un énorme cri de déception. Oh, non ! Non ! Elle allait pas faire ça ! Elle pouvait pas faire ça ! Mais j’ai obéi. On a obéi. Le moyen de faire autrement ?
– Et restez pas à écouter derrière la porte, hein ! Parce que je le saurai.
Amélie nous a regardé partir, hilare.

En haut, Philibert s’est déshabillé en gémissant tout ce qu’il savait.
– Oh, que ça fait mal ! Putain que ça fait mal !
Et il s’est jeté sur son lit où il s’est mis à pleurer comme un gamin.
– Chut ! Attends ! Écoute !
– Non, c’est pas la peine. On peut pas entendre ce qui se passe en bas. Je le sais ! Depuis le temps que j’habite ici.
Il a reniflé, s’est mouché.
– Devant elle ! Non, mais tu te rends compte ? Devant elle, elle m’a fait ça ! Quelle garce !
Il a soupiré.
– J’ai été pitoyable, non ?
J’ai haussé les épaules.
– Dans ce genre de situation, on l’est toujours forcément un peu.
– Ou beaucoup.
– Qu’est-ce qui s’est passé, là-bas, au juste ?
– Oh, le truc idiot ! Vraiment idiot ! Jusque-là, elle avait pas été spécialement expansive, Clarisse ! Mais alors ce soir ! Complètement déchaînée. Un vrai tsunami. Et elle a de la voix quand elle s’y met. Il y a rien eu à faire. J’ai eu beau essayer d’enrayer. Avec ma main. Et puis avec l’oreiller à la fin. C’était trop tard. Elle avait entendu, l’autre. Elle a débarqué comme une furie. La suite, tu la connais…


Pour les distraits qui auraient loupé le début

Tout a commencé comme ça : chapitre 1
Et la semaine dernière, le chapitre 5
Et tous les autres chapitres sur la page "les auteurs invités"

Et la suite ?

C'est le chapitre 7

Les commentaires sont les bienvenus

François Fabien doit-il continuer dans cette direction ? Doit-il écrire un prochain épisode ?

10 commentaires:

  1. Bonjour,
    Il n'y a pas d'heure pour la fessée... trois heure du matin et ça tombe! Belle description, aussi cuisante que claquante qui permet de se faire une image précise de la fessée d'enfer administrée au malheureux héros de l'histoire. Les dialogues sont vivants et donnent autant de rythme au récits que les vigoureuses claquées à la correction.
    Superbe fessée en public, Amélie est ravie, le lecteur aussi!
    Vous reprendrez bien une autre tournée ...
    Cordialement
    Ramina

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Bonjour,
      Et ce n'est pas fini. Ça va encore grêler de-ci de-là. Pour le plus grand plaisir de ces demoiselles qui en redemandent. Et pour celui sans doute plus secret, plus larvé, de madame Dubreuil enchantée de pouvoir asseoir de plus en plus son pouvoir sur ce grand jeune homme qui lui est tombé entre les griffes.
      Merci de votre lecture et e votre commentaire.
      Amicalement.
      François

      Supprimer
  2. Bonjour ,
    Toujours les mêmes fessés en public , j’espère que les filles vont y passer aussi ,surtout Amélie devant les gars ... !!!
    Au plaisir de vous lire

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Bonjour…
      Qu'elles aient lieu en public ces fessées, c'est ce qui en fait tout le sel, non? Tout le monde a envie que les filles y passent… Les garçons, le lecteur et même l'auteur. Mais y passeront-elles vraiment? Souhaitons-le!
      Amicalement.
      François

      Supprimer
    2. Bonjour Anonyme et François,
      En effet, le fait qu'il y ait un public rend la correction plus humiliante et marque forcément plus l'esprit du fautif, ce qui intrinsèquement est le but d'une punition !
      Amitiés.
      Elena

      Supprimer
    3. Bonjour Elena, Anonyme et bonjour tout le monde.
      En effet, et madame Dubreuil l'a parfaitement compris, une fessée infligée publiquement a des vertus dissuasives beaucoup plus importantes qu'une fessée à huis clos. Surtout lorsqu'elle a lieu devant des personnes qui y assistent pour la première fois.
      Amicalement.
      François

      Supprimer
  3. Bonsoir François,
    En effet, je suis d'accord avec Anonyme. J'espère que les filles vont y passer un jour, devant les garçons... Il n'y a pas de raison pour les épargner. Elles m'ont l'air sacrément délurées !
    Amitiés.
    Elena.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Bonjour, Elena,
      Elles le mériteraient à coup sûr, mais, retorses comme elles sont, elles sont bien fichues de trouver un moyen d'y échapper. Je ne sais pas. J'attends, tout comme vous, de voir comment les choses vont tourner.
      Amicalement.
      François

      Supprimer
    2. Que ces messieurs avec leur air supérieur soient remis à leur place n'est pas pour me déplaire... non plus.
      Amitiés.
      Elena

      Supprimer
    3. Il faut reconnaître que c'est un excellent moyen pour les ramener à un peu plus d'humilité.
      Amitiés.
      François

      Supprimer

Un commentaire, une réaction, une proposition ? C'est ici. Une fois validé, le commentaire sera visible par tous les lecteurs du blog.
Si vous le souhaitez et pour des raisons de confidentialité, nous pouvons échanger par courriel. Seuls Huguette et moi verrons le message. Il vous suffit de cliquer dans le champ "pour nous contacter" en haut à droite de cette page.