Et puis… Et puis elle avait des amies, Clotilde, des camarades, auxquelles elle allait nécessairement être tentée de se confier. Sous le sceau du secret. Lesquelles camarades n’auraient rien de plus pressé que d’aller raconter à leur tour, à droite et à gauche, avec des mines gourmandes, ce qui m’était arrivé. Ça allait faire boule de neige, se répandre comme une traînée de poudre. Mon imagination s’est emballée et, au petit matin, j’étais convaincu qu’en trois jours, cinq au grand maximum, toute la fac en ferait des gorges chaudes. Impossible pour moi de m’aventurer dans un couloir sans qu’on se retourne sur mon passage, qu’on chuchote ou qu’on ricane derrière mon dos. La traversée du campus serait pour moi un véritable calvaire. J’allais être poursuivi par des « Ouille ! Ouille ! Ouille ! » appuyés. On allait hurler « Pan pan cucul » sur mon passage. J’allais vivre un véritable enfer. Non. Il fallait absolument que j’obtienne de Clotilde qu’elle me garde le secret le plus absolu. C’était ma seule chance.
Et, le lendemain matin, du plus loin que je l’ai aperçue, je me suis précipité à sa rencontre.
– On pourra se voir à
midi ?
– Bien sûr qu’on pourra !
Bien sûr !
Seulement, quand je me suis retrouvé
assis face à elle, les choses m’ont tout à coup paru beaucoup moins simples. Et
un peu vaines. Si je le lui demandais, forcément qu’elle allait me promettre de
ne rien dire à personne, mais qu’est-ce qui l’empêcherait de le faire malgré
tout, si bon lui semblait ? J’allais donner un coup d’épée dans l’eau. Et
faire montre d’une inquiétude qui allait lui donner barre sur moi. Alors mieux
valait sans doute…
– Tu voulais me parler ?
– Oui. Enfin non. Si !
C’est-à-dire…
– C’est à propos d’hier soir,
hein !
– Voilà, mais ça n’a pas
vraiment d’importance finalement !
– J’étais loin de m’attendre à
un truc pareil, j’avoue. Et… je peux te dire franchement ce que je pense ?
Évidemment qu’elle pouvait !
Évidemment !
– J’ai complètement halluciné.
Parce que te laisser faire, comme ça, par cette bonne femme ! Qui n’est
rien pour toi. Qui t’héberge juste. Sans te défendre. Sans même protester.
C’est quoi, le plan ? T’es maso, c’est ça ?
– Non. Non. Pas du tout.
– C’est quoi alors ?
– C’est compliqué.
– Ben, explique !
Et il a bien fallu que je lui
raconte. Les vacances chez madame Dubreuil. Cette nuit-là. Les pièces de
monnaie. Le choix devant lequel on nous avait placés, Philibert et moi.
– C’était la fessée ou cette
madame Lançon déposait plainte contre nous. Voilà.
– Ah, je comprends mieux. Et
peut-être qu’à ta place, moi aussi j’aurais préféré ça. Quoique… j’en sais rien
en fait. Non. Peut-être pas quand même.
Elle a froncé les sourcils.
– Et maintenant cette madame
Dubreuil, elle te force à venir habiter chez elle. Sinon, c’est les flics.
C’est ça, hein ?
C’était ça, oui.
– Et elle te traite comme un
gamin de douze ans. Et t’as pas le choix : t’es obligé de te laisser
faire. Faut reconnaître : tu t’es fichu dans de sacrés beaux draps,
toi !
Elle s’est levée.
– Faut qu’on aille en cours.
C’est l’heure.
Quand je suis rentré, Amélie était
installée devant mon ordinateur. Dans ma chambre.
– Qu’est-ce tu fous là ?
– Je voulais regarder un truc.
– T’as le tien d’ordi.
– Oui, mais je voulais regarder
un truc sur le tien. J’ai bien le droit. Oh, mais fais pas cette gueule. Je
vais pas te le bouffer, ton machin.
Elle a refermé le capot.
– En douce que t’as pris cher
hier soir.
Je n’ai pas répondu. Je me suis mis
à farfouiller, sourcils froncés, dans un tiroir comme si j’y cherchais vraiment
quelque chose.
– Tu devrais t’inscrire dans
une chorale, n’empêche : t’as sacrément du coffre. Et faire du
sport : t’as un joli jeu de jambes.
Elle a éclaté de rire.
– Non. Sérieusement, c’était
très bien. Vraiment très bien. T’es rôdé maintenant. Tu donnes ta pleine
mesure. Du grand art. J’ai beaucoup aimé, moi. Ah, si, si ! Je suis pas la
seule, d’ailleurs. Parce que ta copine, là, je peux te dire qu’elle aussi, elle
a énormément apprécié. Et je parle en connaissance de cause : je l’avais
juste en face de moi. Elle te regardait tout ça avec des yeux, mais des
yeux ! Ah, je suis bien tranquille qu’elle en a trempé sa petite culotte.
Et qu’aussitôt rentrée chez elle, elle s’est fait du bien en y repensant. Si
elle a réussi à attendre jusque-là. Ce qu’est pas gagné. C’est qui cette fille,
d’ailleurs ?
– Une copine de fac.
– Oui, ben ça, j’avais compris,
merci. C’est une copine comment ?
– Comme ça. Sans plus.
– Oui, ben tu peux t’attendre à
ce qu’elle te colle aux basques maintenant. À ce qu’elle tente de faire
ami-amie de plus près avec toi. Histoire d’avoir ses entrées dans la maison. Et
de se trouver là, aux premières loges, quand tu t’en prendras d’autres.
Elle m’a menacé du doigt.
– Laisse pas les choses aller
trop loin non plus, hein ! T’as pas le droit. Je te garde sous le coude.
Au cas où j’aurais envie avec toi. Ce qui m’étonnerait d’ailleurs. Mais bon, on
sait jamais.
Philibert s’est relevé sans bruit
dans la nuit. Habillé.
– Qu’est-ce tu fabriques ?
– Chut ! Moins fort. Je
sors.
– Tu sors !
– J’ai pas le droit après ce
qui s’est passé, oui, je sais. C’est bien pour ça que je le fais en douce.
– Et tu vas où ? Pas voir
ces types au moins !
– Non ! Enfin si, dans un
sens. Je vais chez Jérôme. J’ai un rancard avec sa sœur. Et c’est pas simple.
Parce que leur mère, elle peut pas me sentir. Et, du coup, Clarisse, elle a
interdiction formelle de me fréquenter.
– Elle a quel âge ?
– Dix-neuf, mais bon… Elle a eu
des soucis, elle aussi. Elle fait pas ce qu’elle veut.
– Et vous vous voyez où ?
– On peut pas traîner ensemble
en ville. Ce serait trop dangereux. Alors chez elle, dans le garage. Qu’est
légèrement à l’écart. C’est bien un peu risqué, mais pas trop quand même. On
n’a pas le choix n’importe comment. Bon, j’y vais. À tout à l’heure.
– Et si elle t’entend
descendre, ta mère ?
– Elle peut pas. Elle est trop
loin, sa chambre. Et puis tu penses bien que je vais faire hyper attention.
Amélie a allumé la lumière dans la
chambre.
– Allez, debout !
J’ai sursauté, me suis redressé dans
le lit.
– Hein ? Quoi ?
Qu’est-ce qu’il y a ? Quelle heure il est ?
– Trois heures du matin. Et
faut que tu viennes.
– Où ça ?
– En bas.
En bas. Où il y avait madame
Dubreuil. Et une autre femme. Et puis Philibert avec une fille. Tous les deux
tête basse, près de la fenêtre, l’air penaud.
– Et, évidemment, toi, t’étais
au courant de rien.
J’ai pris un air ahuri.
– Au courant de quoi ?
– Il t’avait rien dit,
Philibert ?
– Mais à quel sujet ?
– Vous dormez dans la même
chambre. Il découche. Et toi, tu veux me faire croire qu’il t’avait pas mis
dans la confidence ?
– Mais non ! Je vous
assure.
– Et que tu t’es pas rendu
compte non plus que son lit était vide. Qu’il était parti.
– Quand je dors…
– Mouais… Pour cette fois, je
vais te laisser le bénéfice du doute. Mais les deux autres, là, par contre…
Elle s’est tournée vers eux.
– On vous avait interdit de
vous voir. On vous l’avait pas interdit ?
Philibert a murmuré.
– Si, mais…
– Mais quoi ?
– Non, rien.
– J’aime mieux ça.
La fille a relevé la tête.
– On faisait rien de mal.
Sa mère a bondi.
– Rien de mal ! Non, mais
alors là, c’est la meilleure ! Rien de mal ! Alors que je vous ai
trouvés en train de…
– Oh, mais on n’est plus au
Moyen-Âge !
Madame Dubreuil s’est agacée.
– Bon, allez ! Trêve de
discussions stériles. Vous savez ce qui vous attend tous les deux.
Mon cœur s’est mis à battre à tout rompre.
Tous les deux ! Elle avait dit
« tous les deux ». Ce qui signifiait que la fille, elle aussi… Elle
était en pantalon. Un pantalon qui enveloppait au plus près deux fesses
rebondies. Que j’allais voir à nu. Qui allaient rougir et se crisper sous la claquée.
J’ai dégluti.
– Bon ! Philibert !
On commence par toi. Tu connais la musique.
Il connaissait, oui !
Et il s’est déshabillé. Lentement.
Posément. Jusqu’au bout. Sans regarder personne. Sous les yeux de sa copine qui
se tordait nerveusement les mains, qui dansait d’un pied sur l’autre et de sa
mère vers laquelle madame Dubreuil s’est tournée dès qu’il a été nu.
– Vous voulez vous charger de
le punir ?
Elle ne s’est pas fait prier.
– Volontiers, oui.
Et elle est allée prendre place sur
le canapé.
– Approche, toi !
Il a obéi, à petits pas, les deux
mains ramenées en coquille devant lui.
– Plus près !
Encore ! Allez !
Elle les lui a saisies, fermement
ramenées sur les côtés.
– Non, mais regardez-moi ce
grand dégoûtant !
Il arborait une indiscutable érection,
orgueilleusement dressée.
– Tu n’as pas honte ?
Il est venu précipitamment
s’allonger, de lui-même, sans répondre, en travers des genoux de la mère de sa
copine pour la dissimuler.
– Oh, t’es si pressé que
ça ?
Elle a ri et lui a négligemment posé
une main sur les fesses.
– Oui, ben pas moi . J’ai
tout mon temps. Alors on va commencer par discuter un peu. T’as envie ?
Oui ? Alors dis-moi : c’est une véritable manie chez toi de
t’introduire frauduleusement chez les gens, non ?
Elle a lâché une première claque, à
toute volée, qui l’a fait sursauter, lui a arraché un petit cri de surprise.
– Quand je pose une question,
j’aime qu’on me réponde.
– Mais non, mais…
– Et c’est qu’il discute en
plus ! Je vais t’en faire passer l’envie, moi, mon garçon ! Je vais
t’en faire passer l’envie… De ça et du reste.
Et elle a tapé. Avec force. En
s’efforçant de couvrir méthodiquement toute la surface. Bien au large. Amélie
regardait rosir le derrière de son frère avec un petit sourire satisfait. Bras
croisés, madame Dubreuil assistait, impassible, à la correction de son fils.
Quant à Clarisse, elle grimaçait en voyant les doigts de sa mère s’imprimer de
plus en plus profondément sur la croupe de son petit ami. Sans doute
songeait-elle, avec appréhension, qu’elle n’allait pas tarder à être soumise,
elle aussi, au même régime. Et publiquement.
Sa mère a marqué un court temps
d’arrêt pour contempler son œuvre.
– Là ! Et maintenant qu’on
a bien préparé le terrain…
Elle l’a un peu déplacé, bien calé
contre son ventre.
– Les choses sérieuses peuvent
commencer.
Et une grêle de coups. Un déluge. Ça
tombait. Ça tombait sans discontinuer. En rafale. À pleine puissance. À pleines
fesses. Philibert a gémi. S’est contorsionné. S’est soulevé du derrière. A
battu des jambes. Ses couilles ont ballotté entre elles. Sur le visage
d’Amélie, le sourire s’est épanoui. Clarisse, elle, s’était couvert le visage
de ses mains, l’air horrifié.
Ça a continué. Longtemps. Le
derrière de Philibert était cramoisi. Il a crié. Il a hurlé. Il a supplié. Elle
a poursuivi, imperturbable, jusqu’à ce qu’elle estime la punition suffisante.
– Là ! Tu vas laisser ma
fille tranquille maintenant ?
– Oh, oui ! Oui…
Il lui a promis tout ce qu’elle a
voulu. De ne plus approcher de Clarisse. De ne plus jamais remettre les pieds
chez elle. De ne plus quitter sa chambre la nuit. De… Tout ce qu’elle voulait.
Tout.
Elle l’a laissé se relever.
– Va te rhabiller !
Ce qu’il a fait avec mille
précautions. Et tout un tas de grimaces. J’ai compati. Je savais trop bien, par
expérience, combien le contact du tissu sur la peau, après une fessée, était
douloureux.
– À ton tour !
Au tour de Clarisse.
Qui allait être fessée devant nous.
Je jubilais. J’allais être, au moins partiellement, vengé de toutes les
humiliations que j’avais subies devant des filles ces derniers temps.
– Échange de bons procédés…
Et c’est Madame Dubreuil qui s’est
chargée d’exécuter la sentence. Qui est allée s’installer sur le canapé. Qui a
fait signe à Clarisse d’approcher.
– Non ! S’il vous
plaît ! S’il vous plaît ! Pas une fessée… Je vous en supplie. Pas une
fessée !
Sa mère est intervenue.
– Comme tu voudras ! Mais
alors tu sais ce qui t’attend…
Ce qui a eu un effet immédiat. Elle
s’est docilement dirigée vers le canapé.
Madame Dubreuil lui a passé un bras
autour de la taille pour l’amener à elle, l’a solidement maintenue. Avec la
main de l’autre bras elle lui a déboutonné son jean. Elle en a fait glisser la
fermeture Éclair. Au-dessous, la culotte était blanche.
Elle s’est tournée vers nous.
– Retournez dans votre chambre,
les garçons ! Vous n’avez rien à faire ici. Ce n’est pas un spectacle pour
vous.
J’ai intérieurement poussé un énorme
cri de déception. Oh, non ! Non ! Elle allait pas faire ça !
Elle pouvait pas faire ça ! Mais j’ai obéi. On a obéi. Le moyen de faire
autrement ?
– Et restez pas à écouter
derrière la porte, hein ! Parce que je le saurai.
Amélie nous a regardé partir,
hilare.
En haut, Philibert s’est déshabillé
en gémissant tout ce qu’il savait.
– Oh, que ça fait mal !
Putain que ça fait mal !
Et il s’est jeté sur son lit où il
s’est mis à pleurer comme un gamin.
– Chut ! Attends !
Écoute !
– Non, c’est pas la peine. On
peut pas entendre ce qui se passe en bas. Je le sais ! Depuis le temps que
j’habite ici.
Il a reniflé, s’est mouché.
– Devant elle ! Non, mais
tu te rends compte ? Devant elle, elle m’a fait ça ! Quelle
garce !
Il a soupiré.
– J’ai été pitoyable,
non ?
J’ai haussé les épaules.
– Dans ce genre de situation,
on l’est toujours forcément un peu.
– Ou beaucoup.
– Qu’est-ce qui s’est passé,
là-bas, au juste ?
– Oh, le truc idiot !
Vraiment idiot ! Jusque-là, elle avait pas été spécialement expansive,
Clarisse ! Mais alors ce soir ! Complètement déchaînée. Un vrai
tsunami. Et elle a de la voix quand elle s’y met. Il y a rien eu à faire. J’ai
eu beau essayer d’enrayer. Avec ma main. Et puis avec l’oreiller à la fin.
C’était trop tard. Elle avait entendu, l’autre. Elle a débarqué comme une
furie. La suite, tu la connais…
Pour les distraits qui auraient loupé le début
Tout a commencé comme ça : chapitre 1
Et la semaine dernière, le chapitre 5
Et tous les autres chapitres sur la page "les auteurs invités"
Et tous les autres chapitres sur la page "les auteurs invités"
Et la suite ?
C'est le chapitre 7
Les commentaires sont les bienvenus
François Fabien doit-il continuer dans cette direction ? Doit-il écrire un prochain épisode ?
Bonjour,
RépondreSupprimerIl n'y a pas d'heure pour la fessée... trois heure du matin et ça tombe! Belle description, aussi cuisante que claquante qui permet de se faire une image précise de la fessée d'enfer administrée au malheureux héros de l'histoire. Les dialogues sont vivants et donnent autant de rythme au récits que les vigoureuses claquées à la correction.
Superbe fessée en public, Amélie est ravie, le lecteur aussi!
Vous reprendrez bien une autre tournée ...
Cordialement
Ramina
Bonjour,
SupprimerEt ce n'est pas fini. Ça va encore grêler de-ci de-là. Pour le plus grand plaisir de ces demoiselles qui en redemandent. Et pour celui sans doute plus secret, plus larvé, de madame Dubreuil enchantée de pouvoir asseoir de plus en plus son pouvoir sur ce grand jeune homme qui lui est tombé entre les griffes.
Merci de votre lecture et e votre commentaire.
Amicalement.
François
Bonjour ,
RépondreSupprimerToujours les mêmes fessés en public , j’espère que les filles vont y passer aussi ,surtout Amélie devant les gars ... !!!
Au plaisir de vous lire
Bonjour…
SupprimerQu'elles aient lieu en public ces fessées, c'est ce qui en fait tout le sel, non? Tout le monde a envie que les filles y passent… Les garçons, le lecteur et même l'auteur. Mais y passeront-elles vraiment? Souhaitons-le!
Amicalement.
François
Bonjour Anonyme et François,
SupprimerEn effet, le fait qu'il y ait un public rend la correction plus humiliante et marque forcément plus l'esprit du fautif, ce qui intrinsèquement est le but d'une punition !
Amitiés.
Elena
Bonjour Elena, Anonyme et bonjour tout le monde.
SupprimerEn effet, et madame Dubreuil l'a parfaitement compris, une fessée infligée publiquement a des vertus dissuasives beaucoup plus importantes qu'une fessée à huis clos. Surtout lorsqu'elle a lieu devant des personnes qui y assistent pour la première fois.
Amicalement.
François
Bonsoir François,
RépondreSupprimerEn effet, je suis d'accord avec Anonyme. J'espère que les filles vont y passer un jour, devant les garçons... Il n'y a pas de raison pour les épargner. Elles m'ont l'air sacrément délurées !
Amitiés.
Elena.
Bonjour, Elena,
SupprimerElles le mériteraient à coup sûr, mais, retorses comme elles sont, elles sont bien fichues de trouver un moyen d'y échapper. Je ne sais pas. J'attends, tout comme vous, de voir comment les choses vont tourner.
Amicalement.
François
Que ces messieurs avec leur air supérieur soient remis à leur place n'est pas pour me déplaire... non plus.
SupprimerAmitiés.
Elena
Il faut reconnaître que c'est un excellent moyen pour les ramener à un peu plus d'humilité.
SupprimerAmitiés.
François