Alojz F.
et Alexei S. sont collègues et amis chez VAR ENTRETIEN, une société de travaux en
tous genres. Alojz F. est paysagiste tandis qu’Alexei S. réalise des travaux d’intérieur.
Pendant
leur temps libre et leurs vacances, les trois enfants d’Alojz F. aident leur
père, pour se faire de l’argent de poche et dans la mesure il y a beaucoup de
travail, les trois enfants ne manquent pas d’activités.
Restées à
la propriété, Adélaïde de M. et Tiphanie et sa fille de seize ans, gèrent les
travaux. Tiphanie, adolescente capricieuse et autoritaire, aime affirmer son
statut de fille d’une famille de la noblesse vis-à-vis des intervenants.
Lorsque Jan, Zdenka et Lenka viennent, Tiphanie n’hésite pas à les houspiller,
souvent pour des peccadilles ou à utiliser Zdenka et Lenka comme
« boniches », en les obligeant à la servir ou à attendre qu’elle ait
fini son bain dans la piscine pour lui tendre sa sortie de bain et lui apporter
un rafraichissement ou autre chose lorsqu’elle est sur son transat.
Un matin,
Adélaïde de M. convoque Alojz F. et Alexei S., car une tablette, appartenant à
sa fille, a disparu. Vexés et offusqués par l’accusation, Alojz F. et Alexei S.
se défendent en disant qu’ils sont honnêtes et qu’ils ne se seraient jamais
permis de voler chez un client. Alojz F. et Alexei S. sont assez interloqués
par ces accusations. Ils espèrent que la tablette sera retrouvée et que
l’incident soit oublié, car ce serait un sérieux problème pour leur réputation
que d’être suspectés de vol, car c’est justement à la confiance que les deux
ouvriers ont bâtis leur bonne réputation. Le bouche à oreille pourraient ternir
leur notoriété. Alojz F. en parle au repas du soir, car l’incident le
contrarie.
Plus
tard, en soirée, une dispute éclate entre Jan, Zdenka et Lenka. Leur mère, Angelika
F. entre dans la chambre pour connaitre la raison de ce raffut, mais aussitôt,
les chamailleries cessent. Angelika F. pense en avoir fini avec ces altercations
dans la fratrie, mais les heurs reprennent dès qu’Angelika F. est revenue dans
le salon. Furieuse, Angelika F. remonte et leur intime l’ordre de
s’expliquer ! Tous les trois sont têtes basses et se taisent. Angelika F.
n’ayant que des jeunes butés, repart.
A table,
lors du diner, seuls les parents parlent, car les trois enfants sont muets, la
tête dans leur assiette et les tentatives de discussions ne mènent nulle part.
La soirée
se passe dans le silence et cet état de fait inquiète Alojz F. et Angelika F. qui
ne savent pas l’origine de la dispute. Ils supposent bien un rapport avec
l’affaire de leur père, car avant cela, ils ne se chamaillaient jamais, mais
là, c’est un tout autre comportement.
Dans la
nuit, Angelika F. entend sa fille cadette pleurer et s’en inquiétant, se rend
dans sa chambre pour connaître la raison de ses pleurs. Lenka se confit, car la
culpabilité du vol est trop lourd à porter pour elle et elle est rongée par les
remords. Lenka avoue à sa mère que c’est Jan, Zdenka et elle ont volé la
tablette. Ils pensaient la revendre pour se faire de l’argent. Mais pour se dédouaner,
elle dit que les parents de Tiphanie sont riches et qu’une tablette pourra être
rachetée assez rapidement. Tiphanie est une personne arrogante et c’est un
juste retour des choses.
Jugeant
la situation très grave, Angelika F. prévient son mari, qui est éberlué
d’autant de légèreté de la part de ses enfants. Ils auraient dû tout lui
raconté de suite, car maintenant, il risque au mieux sa réputation et au pire sa
place chez VAR ENTRETIEN. Alojz F. convoque ses trois enfants et il les couvre
de reproches. Alojz F. est très fâché contre ses trois enfants qui le déçoivent
beaucoup.
La
priorité est de rendre la tablette, pour que cette affaire n’aille pas trop
loin. Alojz F. ira la rendre dès le lendemain et ses trois enfants iront
présenter des excuses. Ensuite viendra les punitions qui seront à la hauteur de
la faute commise et Alojz F. promet que les trois jeunes s’en souviendront
longtemps. Pour le moment, tout le monde est renvoyé dans sa chambre et Alojz
F. exige le calme. Les trois enfants sont, d’une part, soulagés d’avoir avoué,
mais d’autre part, se trouvent anxieux en ce qui concerne la punition à venir.
Le
lendemain matin, Alojz F. va rendre la tablette à Tiphanie. Pour ce faire, il
est accompagné de sa femme et ses trois enfants, qui n’en mènent pas large, car
ils vont devoir avouer leur faute et se prendre une sévère réprimande de la
part de Tiphanie et de sa mère, à n’en pas douter !
En
entrant dans la demeure, Jan, Zdenka et Lenka, tête basse restitue la tablette
à Tiphanie en demandant humblement pardon. Ils tentent d’expliquer leur geste,
mais de façon tellement embrouillée que ça n’amadoue personne, au contraire,
Tiphanie est en rage.
De la
part de sa famille, Alojz F. représente ses excuses pour le vol odieux et dit à
Adélaïde de M. qu’il la laisse juge pour la punition à appliquer. Tiphanie est
plus prompt que sa mère et d’une voix assurée et agressive, elle dit à tout le
monde qu’ils ne méritent qu’une sévère fessée, entièrement nus, devant tout le
monde. Adélaïde de M. trouve que l’idée de sa fille est excellente. Jan, Zdenka
et Lenka, effarés par l’annonce de Tiphanie en deviennent tout rouges, car la
punition sera plus sévère qu’ils ne pensaient. Tiphanie trouve que devant eux
seuls ne suffira pas. Elle demande à sa mère d’inviter Alexei S., Irina S. et
leurs trois filles, car au fond, Alexei S. avait aussi été suspecté et il
serait bon de laver sa réputation. Alojz F. accepte la punition et leurs trois
enfants la recevront, ici même, devant Adélaïde de M., Tiphanie et leurs amis. Adélaïde
de M. ajoute que lorsqu’Alojz F. viendra travailler à la demeure avec ses trois
enfants, ceux-ci ne soient pas payés et qu’ils soient nus pour effectuer les
travaux dans le jardin. De cette façon, leur punition et leur humiliation
durera plus longtemps et ainsi, Adélaïde de M. ne déposera pas de plainte pour
vol, ni à la gendarmerie, ni auprès du patron de VAR ENTRETIEN.
Jan,
Zdenka et Lenka protestent car ils vont être humiliés et souffrir et trouvent
ça beaucoup trop sévère à leur gout. Alojz F. leur ordonne de se taire sur le
champ, car leur acte est inqualifiable, ils ont couvert de honte la famille et que
la punition est amplement justifiée. Même Angelika F., qui est d’habitude très
modérée, est favorable à cette correction. Elle trouve que ça leur apprendra à
vivre et à respecter les clients chez qui ils travaillent.
Pour la
fin de semaine, Adélaïde de M. téléphone à Alexei S. pour l’inviter, avec sa
famille, aux corrections des enfants d’Alojz F. Celui-ci, assez vexé, est
obligé d’expliquer à son ami les faits reprochés à ses enfants. Alexei S. est
peiné pour eux, mais le vol est grave, surtout chez un client important. S’ils
venaient à perdre le marché pour un acte de vol, leur patron serait très en
colère, car il y a beaucoup de choses à faire et ce serait une perte de chiffre
d’affaire pour VAR ENTRETIEN. Alexei S. dit qu’avec cette punition, ses trois
enfants s’en sortent bien, car en plus, une plainte aurait pu être déposée à la
gendarmerie, ce qui aurait accentué leurs ennuis. Cette simple correction
corporelle est un moindre mal pour eux et très sincèrement ça les obligera à
murir.
Le jour
de la correction, Alojz F. et Angelika F. amènent leurs enfants au manoir.
C’est Tiphanie, toute excitée, d’un air suffisant et méprisant, qui vient
ouvrir et leur souhaite la bienvenue, en disant que c’est elle qui s’occupera
des corrections, sa mère l’y a autorisée car c’est de sa tablette dont il
s’agit. Les trois enfants rougissent, car ils vont se faire fesser par une
adolescente de deux ans de moins que la plus jeune des filles de la famille.
Adélaïde
de M., la maitresse de maison arrive en souriant car elle voit la mine
déconfite des trois enfants. Ne saluant que Alojz F. et Angelika F., elle
demande à ses hôtes d’entrer et de se diriger vers le jardin, là où se
dérouleront les fessées. Sur la terrasse, Adélaïde de M. dit aux enfants de se
mettre nus et d’aller se mettre à genoux dans l’herbe, les mains sur la tête,
en attendant leurs amis, qui devraient arriver dans une heure.
Jan et
ses deux sœurs en pleurs, retirent doucement leurs vêtements en tentant de
demander pardon et de se racheter des faits qui leur sont reprochés. Les deux
enfants cherchent de l’aide auprès de leur mère, mais n’en trouvent pas.
Celle-ci détourne les yeux des regards implorants de ses enfants.
Lorsque
les deux filles sont en sous-vêtements, elles demandent la permission d’y
rester, car elles portent un string, leurs fesses sont bien découvertes et
elles jugent qu’elles n’ont pas besoin d’en retirer davantage. Tiphanie leur
dit qu’il n’en est pas question et qu’elles doivent être entièrement nues. Les
larmes aux yeux, elles retirent leur soutien-gorge et le string, découvrant
leur intimité. Les premières larmes coulent.
Rouge de
honte et en bredouillant, Lenka dit à Adélaïde de M. qu’elle a sa période et
qu’il serait souhaitable qu’elle reste en string. Sans faire preuve de
solidarité féminine, Adélaïde de M. impose la nudité même dans son état. Son
dernier espoir s’envole et lorsque Lenka retire son string, tous découvrent son
cordon pendre entre ses cuisses, ce qui fait rire Tiphanie. Lenka trouve très indécent
le fait que Tiphanie rie de son état, car elle est elle-même confrontée au même
phénomène, mais elle n’ose pas lui faire de reproches, dans la mesure où c’est
elle qui va la fesser.
Tiphanie
vient en inspection et fait quelques commentaires sur les seins, les tétons
dressés et les pubis épilés des filles puis sur le beau et long membre de Jan.
Elle ajoute qu’il fera un bon « reproducteur », ce qui fait rougir davantage
Jan d’être comparé à un « étalon ».
Les trois
jeunes adultes, la tête basse, n’osent regarder Tiphanie qui leur présente la
longue sangle avec laquelle ils seront fessés. Les filles redoublent de sanglots,
car le cuir est assez épais et elles se doutent qu’il va leur en cuire. Tiphanie
leur impose d’être à genoux, les mains sur la tête. Jan, Zdenka et Lenka, le
visage empourpré, nus, appréhendent les fouettées.
Une bonne
heure plus tard, un coup de sonnette retentit. Les trois jeunes adultes
entendent les voix d’Alexei S., d’Irina S., d’Ekaterina, d’Olga et de
Iourievna. Après s’être mis à l’aise, les nouveaux venus se rendent en terrasse
et découvrent les trois enfants d’Alojz F. et d’Angelika F., nus comme des
vers, à genoux en position de repentance, mains sur la tête, sur la terrasse.
En voyant
leurs amis humiliés à ce point devant leurs hôtes, Ekaterina, Olga et Iourievna
les plaignent de tout leur cœur, car elles savent qu’ô combien c’est
rabaissant. Le temps que les invités s’installent, Tiphanie, triomphante,
annonce qu’elle va sévèrement corriger les trois punis, pour le vol de sa
tablette.
Tiphanie
va chercher Lenka, redoublant de larmes, la suppliant et, de force, lui attache
les poignets sur le pilier de pierre des escaliers du perron. De ce fait, elle
est totalement offerte à la lanière. Tiphanie applique de grandes cinglées sur
les fesses et les cuisses de Lenka qui crie en trépignant des pieds, en se contorsionnant
et en tirant sur ces liens. Les traces se transforment assez vite en
boursouflures rouges. La chair de la jeune femme lui cuit. Sous les contorsions
de Lenka, les fouettées deviennent de moins en moins précises si bien que
quelques cinglées lui marquent le bas du dos, les flancs et les hanches la
faisant se cabrer, le visage grimaçant de douleur et le corps en sueur.
Soixante
fouettées lui ont enflammé le bas du corps. En sanglot et gémissante, Lenka est
détachée par sa mère qui la prend dans ses bras, car elle voit sa fille cadette
dans tous ses états. Lenka, encore toute secouée par sa sévère fessée, lui dit
qu’elle veut uriner. Dans l’herbe, Lenka, encore toute secouée par ce qu’elle
vient de recevoir, tombe à quatre pattes et se laisse aller, ne voyant même pas
que ses amis ont une vue directe et très impudique sur sa fente entrouverte d’où
coule un flot d’urine. Tiphanie la raille en lui disant qu’elle pourrait se
montrer plus pudique pour uriner. Lorsque Lenka a fini, Angelika F. prend le
jet d’eau et l’arrose copieusement pour rincer sa sueur et son entrejambe
maculé d’urine. L’eau fraiche sur le bas de son corps l’apaise quelques
instants. Aidée à se relever par sa mère, Lenka, trempée de la tête aux pied et
sanglotant par les brûlures intenses, est remise à genoux à côté de son frère,
les mains se massant le bas du corps.
Zdenka,
moins facile à manœuvrer que sa sœur cadette et effrayée par ce qu’elle vient
de voir sur sa sœur, elle refuse de subir le même traitement surtout en public.
Même en
se mettant en colère, Tiphanie ne parvient pas à faire lever Zdenka, qui s’arque
boute pour ne pas arriver jusqu’au pilier. Tiphanie la menace de lui fouetter
le dos si elle ne se lève pas. Bornée et défiante, Zdenka tient tête à Tiphanie,
sûre qu’elle ne mettra pas en application ses menaces. Zdenka se dit que si
elle refuse de se lever, elle échappera à la fessée.
Tiphanie
lève la ceinture et la fait claquer sur le dos de Zdenka qui rugit en se
secouant et en hurlant. Tiphanie réitère son ordre et Zdenka refuse toujours,
une seconde fouettée claque entre les omoplates fait hurler Zdenka une seconde
fis. Elle se masse le dos car la douleur est vive. Elle se retourne et fait face
à Tiphanie en se disant que c’est certain, elle n’osera pas lui cingler le
torse. Les mains toujours se massant le dos, elle continue de refuser de se
lever. Zdenka, n’écoute pas les ordres de Tiphanie, qui s’énerve et finit par décocher
deux fouettées sur ses seins, une première fois sur un sein et une seconde fois
sur l’autre, lui rougissant les deux globes mammaires, à la grande stupéfaction
des spectateurs. Les mains se massant les seins et le dos, en criant, Zdenka n’a
d’autres choix que de se soumettre et venir au pilier où Tiphanie l’attache
solidement puis celle-ci lui dit qu’elle va se faire un plaisir de lui faire davantage
payer son entêtement.
Assez
remontée, Tiphanie corrige magistralement Zdenka, la faisant hurler de bout en
bout et n’hésitant pas à lui fouetter le bas du dos et les parties sensibles de
l’anatomie féminine, tels les flancs et les hanches, car Zdenka doit apprendre
à devenir docile. Zdenka, rugissant et hurlant, a l’impression que sa peau est
sur un brasier. Elle tire comme une damnée sur ses liens pour tenter de se
libérer mais rien n’y fait. Elle subit les soixante-dix cinglées de sa
correction, c’est-à-dire, dix de plus que sa sœur. Zdenka fléchit sur ses
jambes, car les cinglées l’éprouvent. Les spectateurs peuvent voir que le bas
de son corps est nettement marqué, rouge et boursoufflé.
Lorsque sa
mère la détache, Zdenka, soumise et toute tremblante, demande pardon entre deux
sanglots, consciente qu’elle a mérité l’augmentation de sa punition et dans ses
bras, Angelika F. l’emmène sur l’herbe pour la rincer. L’eau fraiche lui apaise
les brulures du dos, des seins et du bas de son corps. Contrairement à sa sœur,
la cyprine a coulé, dû à la sévérité de la punition. L’intense chaleur des
cinglées et ses soubresauts ont fait frotté son pubis contre le pilier,
frottement qui s’est répercuté sur son clitoris, la faisant copieusement mouiller.
Zdenka est ramenée auprès de sa sœur, à genoux,
devant les invités. Uniquement concentrées sur les brulures dues à leur fessée,
les deux sœurs ne pensent même plus à se cacher les parties intimes.
Le
dernier à passer est Jan qui tente de se montrer fier et seul, vient au pilier.
Tiphanie le complimente sur son courage et lui dit qu’il ne va pas moins payer
que ses sœurs. Cette promesse le fait être en érection, l’imminence de la
fessée lui procure des émotions et réactions non contrôlées. Lorsqu’il est
attaché, dans un souci d’ultime humiliation, Tiphanie lui retrousse le prépuce
pour lui mettre le gland à l’air, lui disant qu’aucune partie de son corps de
doit être cachée, ce qui renforce la rougeur du visage du puni qui se promet de
ne pas montrer sa douleur lors de sa fessée et de ne pas procurer le plaisir de
Tiphanie.
Tiphanie
fait ce qu’elle peut pour cingler les fesses et les cuisses de Jan et le faire
hurler, tout comme ses deux sœurs, mais à part des grimaces et quelques
gémissements, tressaillements et contorsions, Tiphanie n’obtient pas les cris
et hurlements souhaités. Jan reste stoïque. Tiphanie n’aura pas réussi à
soumettre Jan. Bien que le bas du corps de Jan soit bien marqué et rouge, il
n’aura pas hurlé, ni imploré le pardon de Tiphanie, qui termine essoufflée au
contraire de Jan qui est juste moite.
Tiphanie
laisse la mère de Jan le détacher et le rincer d’eau fraiche pour tenter
d’apaiser le feu de la fessée.
Adélaïde
de M. et Tiphanie prennent congés de leurs invités. Elles disent que l’incident
est clos, il n’y aura pas de suites judiciaires.
Jan, Zdenka
et Lenka peuvent se lever et partir avec leurs parents, sous le regard amusé de
Tiphanie, qui ne se gêne pas pour commenter l’état des fesses des punis. Elle
leur dit qu’ils penseront à elle durant quelques jours.
Avec
seulement un tee-shirt sur eux, Jan, Zdenka et Lenka partent, la tête basse. Zdenka
et Lenka ont encore le visage humide des larmes versées. Tiphanie les
accompagne lors de leur montée dans la voiture, où Zdenka et Lenka crient de
douleur en s’asseyant. Seul Jan grimace pour ne pas crier devant Tiphanie, mais
celle-ci se rend bien compte que son arrière train est cuisant, ce qui la
ravit.
Sur le
trajet du retour à la maison, les trois punis passent leur temps à se dandiner
d’une fesse sur l’autre pour soulager la douleur temporairement. Deux ou trois
fois durant le trajet, les enfants demandent à descendre de voiture pour soulager
leurs fesses et leurs cuisses au contact douloureux des sièges. Se garant dans
un endroit un peu isolé, les trois enfants descendent et Angelika F. leur verse
de l’eau fraîche pour les apaiser. Leur remontée dans la voiture est de nouveau
pénible et les gémissements, cris et sanglots reprennent. Même Jan ne peut se
retenir de gémir et de crier, dans la mesure où Tiphanie n’est plus là pour le
voir.
L’arrivée
à la maison est un soulagement, car les trois enfants vont pouvoir s’allonger à
plat ventre sur leur lit avec des linges mouillés sur les rougeurs cuisantes et
se reposer. Mais l’humiliation restera bien ancrée dans l’esprit des trois
punis. Ils pensent déjà au moment où ils vont devoir revenir travailler à la
propriété et se dénuder devant cette « chipie », car ils s’y sont
engagés et devront tenir parole.
Le
weekend suivant, Alojz F. emmène ses trois enfants chez Adélaïde de M. pour
quelques taillages de haies et de parterres fleuries. Tiphanie, ravie vient à
leur rencontre et souhaite le « bonjour aux trois voleurs ».
Impatiente, elle ordonne aux trois enfants de se dénuder le plus rapidement
possible pour qu’elle admire leurs fesses et se rendre compte si elles sont
encore rouges ou pas. Lorsque les ex-punis sont complètement nus, elle inspecte
les fesses de chacun et constate avec déception que leur chair est revenue à
leur naturel. Tiphanie les envoie travailler avec leur père au jardin, après
avoir soigneusement mis le gland de Jan à l’air. Jan est tout rouge de se refaire
tripoter par une adolescente plus jeune que lui. Elle lui dit qu’il devra
apprendre à être docile.
Un peu
plus tard dans la matinée, Tiphanie joue les inspecteurs de travaux. Elle
regarde si le travail demandé est correctement effectué. Alojz F. lui dit qu’il
veille sur ses enfants et regardent ce qu’ils font, elle ne sera pas déçue.
Tiphanie
constate que le gland de Jan est couvert. Lorsque Tiphanie le lui fait
constater, Jan répond que ça le gênait, qu’il n’est pas habitué à avoir le
prépuce retroussé et ça l’irrite. Tiphanie lui ordonne de faire ce qu’elle ordonne.
Jan est contraint d’obéir et il exhibe à nouveau son gland à la vue de Tiphanie.
Celle-ci sort sa ceinture et lui dit qu’elle n’a pas l’habitude qu’on lui
désobéisse et pour ça elle va lui donner quelques coups de ceinture pour
l’aider à obéir.
Passant
derrière Jan, Tiphanie lui cingle les fesses de toutes ses forces, le
claquement sec n’arrache qu’un gémissement à Jan, qui serre les dents. Tiphanie
insiste en visant ses cuisses, qui réussit à faire bondir et faire se retourner
Jan. Se massant la partie cinglée, Jan peine à se remettre en position. Tiphanie
en profite pour lui cingler l’intérieur des cuisses et cette fois, Jan, n’en
pouvant plus, hurle de douleur en s’écroulant à genoux. Transcendée par cette
victoire, Tiphanie termine par quelques fouettées sur le dos du jeune homme, qui,
perdu dans sa douleur ne peut plus retenir ses cris et ses sanglots.
Triomphante,
Tiphanie lui ordonne de se relever et de continuer son travail, sinon, elle se
fera un plaisir de lui rougir de nouveau le bas du corps.
Aidé par Zdenka
et Lenka, Jan se relève, en se massant, et retourne avec son père vers les
platebandes de fleurs. Tiphanie menace Zdenka et Lenka de sa ceinture pour les
obliger à reprendre leur travail, elles-aussi.
Jusqu’à
la fin de la journée, les trois jeunes gens font preuve du plus grand zèle,
afin de ne pas s’attirer les foudres de Tiphanie. En plus de leur travail au
jardin, Zdenka et Lenka sont appelées pour le service de la jeune femme qui
joue la princesse du domaine.
Après un
mois de nudité lors des travaux, Jan, Zdenka et Lenka, ayant purgé leur
punition sont réintégrés comme ouvriers temporaires et n’ont plus à se dévêtir
devant Adélaïde de M. et Tiphanie.
Cette
expérience aura laissé un gout amer aux trois jeunes gens, car ils se sentiront
toujours très mal à l’aise en présence de leurs amis Ekaterina, Olga et
Iourievna, bien que celles-ci les entourent de leur amitié et de leur
compassion.
Une série écrite par Elena
Elle nous revient pour quelques épisodes, un, c'est sûr, deux, très probable, plus ? Pas certain.
Dans l'entourage d'Iourevna d'autres fessées ont déjà été administrées, lisez-les ici : chapitre 1, le début de la série et l'épisode précédent, le chapitre 11Retrouvez-les tous sur la page des auteurs invités
Vous souhaitez réagir ?
Laissez un commentaire en bas de l'article, Elena vous répondra. Quelque chose de plus privé ? Adressez-moi-le, je transmettrai.
Bonjour,
RépondreSupprimerEt bien diantre fichtre, comme d'hab', tout le monde en prend pour son grade! Les raclées ( excusez du peu mais il semble bien que c'est le mot le plus approprié pour désigner les terribles punitions) dans les récits d'Héléna sont toujours âpres, presque féroces avec dans cet épisode quelques variantes audacieuses quand aux processus d'humiliation généralement employés pour renforcer la portée des châtiments. (Oula amis lecteurs, ça fait long comme phrase. On risque d'arriver à la fin en ayant déjà oublié le début!)
Jusqu'ici il est convenu que pour administrer une vraie bonne fessée efficace, on déculotte... maintenant on décalotte ! Un peu raide comme formule mais la malignité un peu perverse des fesseuses n'a pas de limite. Comme dit notre auteure ''j'aime bien ajouter un peu de piment!!! '' Là on est servi, vous reprendrez bien une larme de Tabasco!
On ne s'attendait pas non plus au coup du tampon... Tiphanie ne tient pas que le cordon des bourses, aussi sait aussi prendre les choses par le bon bout !
J'arrête là! Comme dit JLG, "la cour est pleine..." Là elle déborde.
Cordialement
Ramina
PS. J'ai pas fini! Je me donne, tout seul, l'autorisation de souligner l'absence des petites chroniques dessinées de notre ami Peter Pan. On espère que la disparition inexpliquée de l'indiscipliné Gérôme et Ma'am Thérez n'est que provisoire et, dans tous les cas, elle ne peut s'effectuer dans l'indifférence générale.
je suggère une marche ( fesses ) rouge en guise de protestation! En même temps j'ai bien disparu des écrans pendant trois semaines !!!...
Bonjour Ramina.
SupprimerPour moi, l’humiliation est un préliminaire et une conclusion à la correction, sous quelles que formes que ce soit, de façon à ce que la repentance soit suffisamment forte pour que la personne responsable s’amende elle-même et rentre dans le rang. Les situations d’humiliations sont nombreuses et toutes sont les bienvenues.
Amitiés.
Elena
Bonjour Elena, bonjour Ramina,
SupprimerRassurez-vous, cher ami, l'absence de la "fessée dominicale" de Dimanche n'était que provisoire: un stupide problème technique.
Qui est survenu juste après m'avoir permis d'achever le dessin pour le chapitre 9 de la redoutaaaaaable Madame Caroni.
Quant à vos récits, chère Eléna, ils se bonifient comme les bons millésimes: le temps enrichit le flacon.
P-S. : Gérome va intégrer quelques temps le pensionnat des Sœurs à Synthol-sur-Mer. Peut-être y croisera t-il son camarade Robin au détour d'un couloir ? Qui sait...
Amicalement. Peter Pan.
Bonjour Peter.
SupprimerMerci pour les compliments. Ils sont très agréables à lire.
Amitiés.
Elena
Humiliation profonde pour les jeunes adultes de la famille F. qui se font fesser - et comment - par une jeune fille de seize ans.
RépondreSupprimerHumiliation totale pour Jan, plus nu que nu, décalotté publiquement à 22 ans par la même !
On attend avec impatience la suite des aventures de chacun des membres de cette famille…
Doumik
Bonjour Doumik,
SupprimerComme d’habitude, les situations d’humiliations et de corrections sont nombreuses et toutes n’ont qu’un seul but, c’est de rabaisser le caquet de ces jeunes adultes qui se croient au-dessus de toutes les lois, de tous les principes, ne respectant rien. En quelque sorte, mes textes se veulent moralisateur.
Amitiés.
Elena
Chère Elena,
SupprimerL’humiliation est pour moi le ressort principal d’une punition d’adulte. Certes, il ne faut pas ménager les fesses, mais l’humiliation ressentie est le baromètre de la prise de conscience du comportement fautif et par conséquent immature. La première humiliation est donc la prise de conscience de mériter de prendre la fessée, viendront ensuite toutes celles qui seront induites par la personne qui puni. Le fait même de se voir flanquer une fessée déculottée comme on donnait jadis aux enfants alors que l’on est majeur et de se retrouver impuissant jusqu’à ce que la personne qui vous prend en main mette fin à la punition, sont donc au cœur de la dimension pédagogique d’une punition.
Cela vaut pour tous les âges mais s’accentue au fur et à mesure que l’adulte grandi, voire qu’il exerce par ailleurs des responsabilités importantes dans sa vie sociale. D’autant que plus il avance en âge, plus il risque d’être fessé par une personne plus jeune qui, elle, se comporte de façon parfaitement mature et ne mérite plus d’être punie.
Côté puni(e), le fait d’assumer pleinement la fessée, reconnaître le comportement fautif et la nécessité de la correction, même si c’est dur pour l’ego, c’est montrer que l’on a compris et que, si ce qui justifie la fessée était immature, on s’est désormais ressaisi(e). On se met en règle avec soit même et l’on montre aux autres que l’on peut repartir sur des bases assainies et la morale est restaurée.
Amitiés,
Doumik
Bonjour Doumik.
SupprimerNous sommes d’accord en tous points. La fessée est purement physique et s’estompe au bout de quelques temps, tandis que l’humiliation reste beaucoup plus longtemps, voire toute une vie. C’est la raison pour laquelle, dans l’ancien temps, les flagellations étaient publiques devant le maximum de spectateurs et la personne condamnée était nue. De cette façon, elle pouvait se rappeler de sa faute à chaque fois qu’elle croisait une personne qui la dévisageait, ce qui revenait à dire, je t’ai vu en fâcheuse posture et je sais ce que tu as fait.
La fessée pour une personne majeure la renvoi à son enfance et à l’immaturité, ce qui la rabaisse considérablement, ce qui revient à lui faire comprendre qu’elle n’est pas plus mûre qu’un enfant.
Amitiés.
Elena
PS : Merci de ne pas m'avoir écorché mon prénom.
Bobjour Elena. Et bonjour tout le monde.
RépondreSupprimerC'est une véritable prise de pouvoir qu'opère Tiphanie sur ces trois jeunes gens et tout particulièrement sur Jan qui a eu la très mauvaise idée de vouloir faire preuve de courage en ne criant pas pendant la correction qu'elle lui a infligée. Mal lui en a pris: elle lui réserve un traitement spécial dans l'intention délibérée de le vaincre et de le faire crier. La défaite, pour lui, après avoir si bien résisté, n'en est que plus humiliante.
Maintenant qu'ils lui mangent tous les trois dans la main, elle peut, si elle le désire, pousser plus loin ses avantages et leur imposer d'autres humiliations qui leur serviront de leçon et les dissuaderont, à l'avenir, de se laisser aller à voler.
Ce qu'il y a de passionnant, avec vos récits, c'est, entre autres, qu'ils restent toujours ouverts. C'est que le lecteur peut s'impliquer en imaginant une "suite". Et, en l'occurrence, on imagine bien que l'emprise de Tiphanie sur ces trois jeunes gens puisse s'inscrire dans la durée.
À bientôt.
Amicalement.
François
Bonjour François et les autres.
SupprimerTrès vrai sous tous les points.
Tiphanie, une sang bleu, a un tempérament fier et autoritaire qui ne tolère pas qu’on lui résiste ni qu’on la vole. A présent, Tiphanie est la souveraine de ces trois jeunes. Elle pourra faire ce que bon lui semble. Dans mes récits, les personnages partent puis réapparaissent dans d’autres aventures, alors il se pourrait qu’ils resurgissent pour d’autres mésaventures.
amitiés.
Elena
Bonjour Elena. Et bonjour tout le monde.
SupprimerC'est l'un des aspects passionnants de vos récits que de retrouver précisément des personnages qu'on a déjà rencontrés dans de nouvelles situations qui mettent l'accent, en fonction des circonstances, sur d'autres aspects de leur personnalité.
Je crois que vos textes gagnent à être relus. On y découvre alors des aspects qui n'avaient pas forcément retenu l'attention à la première lecture. On y découvre aussi, au-delà des constantes d'humiliation évidentes (visite médicale, décalottage, épanchements liquides, etc) d'autres "insistances". C'est ainsi par exemple qu'il me semble qu'avoir le dos fouetté (il faudra que je procède à une relecture dans ce sens) constitue pour les punis une redoutable perspective, tant sur le plan physique que psychologique.
Amicalement.
François
Merci François pour ces beaux compliments. Vous êtes un gentleman ! Vous avez bien perçu les faces cachées de mes fictions. Fin limier que vous êtes ! Entre autres, Ekaterina a eu le dos cinglé par les deux religieuses et pas que, puisqu'à l'utilisation des lanières, celles-ci enveloppant le haut du dos, le bout fini par cingler le torse... Intense et exquise douleur !
SupprimerAmitiés.
Elena
Bonsoir Elena, bonsoir François,
SupprimerAu Moyen-Âge, l'usage du fouet ou des verges était commun dans les communautés religieuses cloitrées. Elle permettaient au pécheur de payer ses fautes par la douleur et la pénitence.
Et pour certains et certaines de ces personnes la douleur intense de ces punitions consenties provoquaient une sorte d'extase.
Au 13è ou 14è. siècle, une confrérie religieuse, les Flagellants, originaire d'Allemagne, basait son salut sur la flagellation collective, parfois en pleine rue, devant une foulé médusée. Elle recherchait le pardon divin pour les fautes des fidèles. Certaines de ses pratiques furent interdites par les autorités religieuses. Cette forme de cruel repentir devait coïncider avec une période de changements sociaux et économiques comme les famines, la démographie et les maladies. Ainsi, en 1347, la terrible peste noire s'abattit sur l'Europe, rapportée des comptoirs d'Orient par des cargaisons infectées de rats. Elle décime alors un quart de sa population. Les Européens l'assimilèrent à un châtiment divin. A l'image des Sept Plaies d'Egypte décrites dans la Bible.
Bon W-E. Peter.
Bonjour Peter.
RépondreSupprimerRassure toi cher ami, Gérôme va bien recroiser Robin dans la saison 3 de" Ces dames aux mains fermes" En compagnie d'ailleurs de son affreux Cousin Rodolphe... Et je te prie de croire que ça va chauffer dur!
Cordialement
Ramina
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerVoilà une heureuse surprise pour la rentrée !
Les trois mousquetaires de la fessée !
A défaut de Mylady De Winter et de Constance Bonacieux, nous devrons compter sur Lady Gladys et Pat' sa fidèle confidente !!!
Merveilleuse des récits entrecroisés. Merci d'avance.
Amicalement. Peter.