- Félicitation ma grande. Je ne pensais pas
qu'à l'heure où je t'ai couché, tu aurais réussi à te retenir toute la nuit.
Allez tu peux te libérer.
Quand Léa suivit par madame Lafitte font leur
entrée dans le salon, Julien à tout préparé. Il se tient debout près de la
table et attend l'autorisation de s'asseoir
Valèrie pose la ceinture qu'elle tient à la
main sur la table du salon puis rejoint sa place à table. Elle réajuste son
peignoir. Elle tire sa chaise assez loin et invite la jeune fille à se coucher
ses genoux.
Léa qui a encore mal de ses punitions d'hier
avance timidement vers sa marraine. Elle craint la nouvelle correction promise
hier soir
- Dépêche-toi un peu Léa. Nous n'avons pas que
ça à faire. Elle couche la jeune fille sur ses genoux et lui relève sa chemise
de nuit sur la tête.
- Tu es encore bien marqué de tes corrections
d'hier ma petite. Malheureusement pour toi, cela ne t'empêchera pas de recevoir
tout à l'heure celle que je t'ai promise pour tes frasques pendant ton baby-sitting
de Julien. Allez à table.
Pendant le petit déjeuner, Léa a bien du mal à
se tenir correctement sur sa chaise. En effet la position assise est difficile
avec les bleus qu'elle a sur les fesses. Madame Lafitte est obligée de la
reprendre quelques fois, mais elle évite tout de même une fessée.
- Léa, tu débarrasses la table, tu fais la
vaisselle, tu balayes le salon et la cuisine et tu nous rejoins dans la salle
de bain après ordonne Valérie
- Oui ma tante lui répond poliment la jeune
fille en s'exécutant directement
- Quant à toi, Julien direction salle de bain.
Madame Lafitte rafraîchit la coupe de cheveux
de son fils puis lui donne la douche et l'habille avant de l'envoyer au salon
- Julien tu descends au salon, tu t'installes
à la grande table et tu vas me recopier 200 fois la phrase que j'ai écrite sur
ton cahier de punition.
C'est maintenant au tour de Léa qui vient de
les rejoindre à l'étage. Madame Lafitte lui donne la douche à son tour puis la
conduit, toute nue, dans son institut. L'institut étant fermé, elle se charge
elle-même de son épilation. Léa n'est guère enchantée d'être totalement épilée.
- Vous m'épilez totalement en guise de
punition ma tante ? Demande t'elle
- Pas du tout ma chérie. Je le fais pour une
meilleure hygiène. Et puis une gamine n'a pas avoir de poil. C'est beaucoup
plus gracieux en plus. Comme pour Julien, tu seras épilée totalement toutes les
trois semaines et ta coupe de cheveux sera entretenue toutes les deux semaines.
Valérie aime l'ordre et la discipline. Elle
aime les choses organisées et apprécie sa routine bien huilée pour les journées
de ses enfants. Une fois son travail terminé, madame Lafitte ramène sa filleule
toujours nue dans sa chambre. Elle a quitté son peignoir pour sa blouse de
travail. Elle habille Léa. Une jupe vichy bleu et un chemisier blanc col
Claudine. Elles retournent ensuite dans le salon où Julien est en train de
faire sa punition.
Madame Lafitte précède qui précède sa filleule
prend la ceinture qu'elle avait posée précédemment dans sa main puis elle prend
la parole.
- Pour commencer, Léa tu vas me remettre ton
téléphone portable. Il est sur la table basse. Je n'y ai pas encore touché.
Dorénavant tu n'en plus besoin et de toute manière ta mère a mis un terme à ton
abonnement.
- Mais mes amies ? Comment vais - je faire ...
Sa marraine la coupe immédiatement
- Ça suffit jeune fille ! Tu fais ce que je te
demande. Tu vas recevoir une nouvelle correction j'aimerais ne pas avoir à t'en
redonner une autre après.
Léa s'avance et remet donc son portable à
Valérie. Sa tutrice s'assoit ensuite sur le canapé.
- Léa tient toi droite et mains dans le dos.
Pourquoi vais-je te punir maintenant ?
- Euh car j'ai obligé Julien à rester en
couche toute la journée pendant que je le gardais
- Exactement ! T'avais-je demandé cela ?
- Non ma tante
- Tu
m'as désobéi. Tu mérites donc une grosse punition. Nous sommes d'accord
- Oui ma tante
- Avant tout, tu vas aller voir julien pour
lui demander pardon
Tête basse, Léa s'approche de son
"nouveau frère" est lui demande pardon
- Mieux que cela, je te prie. Comme lorsque tu
me présentes tes excuses, tu vas te mettre à genoux pour demander pardon.
Léa s'exécute devant un Julien qui ne sait
quoi répondre. Mais peu importe pour madame Lafitte. Elle estime qu'elle sera
totalement pardonnée après ses punitions.
- Approche maintenant. Prends appui contre ce
mur. Penche-toi mieux que ça.
Madame Lafitte relève la jupe de Léa et lui
accroche avec deux pinces à linge au col de son chemisier pour être sûr qu'elle
ne retombe pas.
Elle applique la ceinture méthodiquement sur
les fesses ou sur les cuisses. La douleur est intense d'autant qu'elle réveille
aussi celle de la veille. Léa garde la position mais entre chaque coup elle
crie et sautille d'une jambe sur l'autre en pleurnichant. Une trentaine de coup
plus tard, Valérie repose la ceinture sur le dossier du canapé et ordonne à Léa
d'aller se placer au piquet. Au passage elle retire les pinces à linge et dicte
à Léa de ne pas oublier de relever sa jupe quand elle sera au coin.
Valérie part ensuite s'habiller et se
pomponner à son retour elle s'approche de Julien qui termine sa punition
écrite.
Je ne dois plus faire de caprices et obéir
scrupuleusement à ma mère. A l'avenir je serai un petit garçon sage et
obéissant
- Mais qu'est que c'est ce torchon ? C'est quoi ces pattes de mouche
Julien ? Tu bâcles ta punition, on dirait. Tu sais pourtant qu'une punition
doit être effectuée avec application. Tant pis pour toi. Tu la recommenceras et
elle doublée.
Elle arrache les pages du cahier alors qu'il
ne restait que 5 lignes à copier. Elle arrache ensuite les pages en petits
morceaux et les fait retomber sur le sol.
- Ramasse-moi tout ça et jettes les à la
poubelle. Ensuite je vais te passer l'envie de bâcler encore ton travail. Tout
en parlant elle décroche le martinet et caresse doucement les lanières. Julien a
déjà les larmes aux yeux et rage intérieurement. Toutefois il prend garde de ne
pas le montrer pour éviter une punition encore plus sévère.
Valérie empoigne son fils et le tire jusqu'à
une chaise. Les yeux baissés le garçon sait ce qui l'attend. Elle déboutonne sa
culotte courte et le slip suit immédiatement.
- Place tes mains sur la tête commande t'-elle
tout en lui tenant encore le poignet droit et en le courbant sur la table. Elle
le maintient solidement et lui assène les premiers coups de martinet. Léa dans son coin n'ose pas se retourner mais
entant la raclée que se prend Julien.
- Aie, Ouille, Je m'appliquerai maintenant,
S'il vous plaît. Julien ne tarde pas à pleurer.
- Tu l'as bien cherché mon garçon. Voilà ce
qu'il en coûte de vouloir terminer avant de commencer.
Elle le donne comme à son habitude
vigoureusement. Sur les fesses, les cuisses et les mollets. Au bout du 7ème
coup les terribles morsures font qu'il supplie sa mère de l'épargner.
- Il fallait réfléchir avant dit elle
Une fois la correction infligée, elle envoi
julien à son tour au piquet. Celui près de la fenêtre de la cuisine puisque
l'autre est occupé par sa nouvelle sœur.
Madame Lafitte est ensuite occupée à remplir
les dossiers pour le pensionnat Sainte Marie. Ses deux enfants se tiennent
parfaitement dans leurs coins sans oser bouger une oreille. Les mains sont bien
croisées dans le dos maintenant la chemise pour Julien et la jupe pour Léa au-dessus
des fesses. Le nez collé au mur. Ils ne savent jamais où est Valérie. Ils
savent juste quand elle se déplace par le bruit des talons qui claquent sur le
carrelage.
Après deux bonnes heures pour Julien et plus
encore pour Léa. Elle les libère enfin. Les deux jeunes gens sont soulagés. Ils
commençaient par avoir des crampes à rester ainsi sans bouger.
Cependant ils ne sont pas au bout de leur
peine. Après le déjeuner, ils doivent effectuer leurs punitions écrites. Julien
doit à nouveau recopier sa phrase 400 fois, tandis que Léa doit aussi copier
400 fois la phrase suivante.
J'ai été une vilaine petite fille infernale
qui désobéit et est insolente. A l'avenir je serai sage et obéissante.
Il leur faut plus de quatre heures pour en
finir mais à la fin le travail satisfait madame Lafitte.
- C'est très bien tous les deux. J'espère qu’à
l'avenir vous allez vous calmer. Je compte sur vous. Je sais malheureusement
que vous êtes fatigué et que vos mains et bras doivent vous faire souffrir mais
ce n'est pas terminé. Je vais vous dicter votre lettre de motivation pour le
pensionnat Sainte Marie. Tachez de ne pas faire de fautes d'orthographe ou vous
serez à nouveau puni.
- Bon voyons voir ce que vous avez écrit
annonce Valérie après son point final.
Elle commence par la copie de Léa qui est
parfaite.
- C'est très bien ma chérie. Recopie-la
maintenant et de ta plus belle écriture.
- Oui ma tante répond Léa malgré qu'elle n'en
peut plus d'écrire.
En revanche, la lettre de Julien est truffée
de fautes. Valérie Lafitte doit utiliser son feutre rouge à plusieurs reprises.
- Onze fautes en une page ! C'est inadmissible
mon garçon. Tu sais que je suis intransigeante avec l'orthographe. Tu as mérité
encore une fois une sérieuse correction. Va me chercher la baguette.
Julien n'a pas d'autre choix que d'obéir à sa
mère. Il apporte la trique à sa maman qui lui ordonne de baisser son short et
son slip puis tétanisé il se met en position en appui sur la table.
Sa mère prend un peu d'élan et fait siffler la
baguette avant qu'elle ne s'abatte sur ses fesses. Elle répète l'opération à onze
reprises autant que de fautes commises par son fils. Onze fois de suite cela
arrache un cri à Julien et onze belles épaisses zébrures ornent désormais les
fesses et les cuisses du pauvre garçon en pleure
- Evite de faire des fautes en recopiant et
applique dans l'écriture. Je laisse la baguette à disposition pour le cas où
prévient madame Lafitte
Fort heureusement le recopiage est effectué
parfaitement. Et la fin de soirée se déroule dans le calme et selon les règles
habituelles imposées aux deux jeunes gens par madame Lafitte.
Eh là, ne perdons pas le fil de l'histoire !
Le début : le chapitre 1
et l'épisode précédent : le chapitre 7
Et bien, attendons la suite.
C'est le chapitre 9
Que cela ne vous empêche pas de déposer un commentaire
Pierre se lance dans l'écriture, il a besoin de savoir ce que vous en pensez.
Vous pouvez également le contacter directement : Pierre
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