vendredi 13 septembre 2019

Un difficile retour à la maison - chapitre 8

Le lendemain matin après son bain, en peignoir blanc, madame Lafitte réveille d'abord son fils. Après avoir vérifié l'état de sa couche, elle la lui retire et le place sur les WC. Elle part ensuite lever Léa. Elle pratique de la même façon.
- Félicitation ma grande. Je ne pensais pas qu'à l'heure où je t'ai couché, tu aurais réussi à te retenir toute la nuit. Allez tu peux te libérer.
Quand Léa suivit par madame Lafitte font leur entrée dans le salon, Julien à tout préparé. Il se tient debout près de la table et attend l'autorisation de s'asseoir
Valèrie pose la ceinture qu'elle tient à la main sur la table du salon puis rejoint sa place à table. Elle réajuste son peignoir. Elle tire sa chaise assez loin et invite la jeune fille à se coucher ses genoux.
Léa qui a encore mal de ses punitions d'hier avance timidement vers sa marraine. Elle craint la nouvelle correction promise hier soir
- Dépêche-toi un peu Léa. Nous n'avons pas que ça à faire. Elle couche la jeune fille sur ses genoux et lui relève sa chemise de nuit sur la tête.
- Tu es encore bien marqué de tes corrections d'hier ma petite. Malheureusement pour toi, cela ne t'empêchera pas de recevoir tout à l'heure celle que je t'ai promise pour tes frasques pendant ton baby-sitting de Julien. Allez à table.
Pendant le petit déjeuner, Léa a bien du mal à se tenir correctement sur sa chaise. En effet la position assise est difficile avec les bleus qu'elle a sur les fesses. Madame Lafitte est obligée de la reprendre quelques fois, mais elle évite tout de même une fessée.
- Léa, tu débarrasses la table, tu fais la vaisselle, tu balayes le salon et la cuisine et tu nous rejoins dans la salle de bain après ordonne Valérie
- Oui ma tante lui répond poliment la jeune fille en s'exécutant directement
- Quant à toi, Julien direction salle de bain.
Madame Lafitte rafraîchit la coupe de cheveux de son fils puis lui donne la douche et l'habille avant de l'envoyer au salon
- Julien tu descends au salon, tu t'installes à la grande table et tu vas me recopier 200 fois la phrase que j'ai écrite sur ton cahier de punition.
C'est maintenant au tour de Léa qui vient de les rejoindre à l'étage. Madame Lafitte lui donne la douche à son tour puis la conduit, toute nue, dans son institut. L'institut étant fermé, elle se charge elle-même de son épilation. Léa n'est guère enchantée d'être totalement épilée.
- Vous m'épilez totalement en guise de punition ma tante ? Demande t'elle
- Pas du tout ma chérie. Je le fais pour une meilleure hygiène. Et puis une gamine n'a pas avoir de poil. C'est beaucoup plus gracieux en plus. Comme pour Julien, tu seras épilée totalement toutes les trois semaines et ta coupe de cheveux sera entretenue toutes les deux semaines.
Valérie aime l'ordre et la discipline. Elle aime les choses organisées et apprécie sa routine bien huilée pour les journées de ses enfants. Une fois son travail terminé, madame Lafitte ramène sa filleule toujours nue dans sa chambre. Elle a quitté son peignoir pour sa blouse de travail. Elle habille Léa. Une jupe vichy bleu et un chemisier blanc col Claudine. Elles retournent ensuite dans le salon où Julien est en train de faire sa punition.
Madame Lafitte précède qui précède sa filleule prend la ceinture qu'elle avait posée précédemment dans sa main puis elle prend la parole.
- Pour commencer, Léa tu vas me remettre ton téléphone portable. Il est sur la table basse. Je n'y ai pas encore touché. Dorénavant tu n'en plus besoin et de toute manière ta mère a mis un terme à ton abonnement.
- Mais mes amies ? Comment vais - je faire ...
Sa marraine la coupe immédiatement
- Ça suffit jeune fille ! Tu fais ce que je te demande. Tu vas recevoir une nouvelle correction j'aimerais ne pas avoir à t'en redonner une autre après.
Léa s'avance et remet donc son portable à Valérie. Sa tutrice s'assoit ensuite sur le canapé.
- Léa tient toi droite et mains dans le dos. Pourquoi vais-je te punir maintenant ?
- Euh car j'ai obligé Julien à rester en couche toute la journée pendant que je le gardais
- Exactement ! T'avais-je demandé cela ?
- Non ma tante
 - Tu m'as désobéi. Tu mérites donc une grosse punition. Nous sommes d'accord
- Oui ma tante
- Avant tout, tu vas aller voir julien pour lui demander pardon
Tête basse, Léa s'approche de son "nouveau frère" est lui demande pardon
- Mieux que cela, je te prie. Comme lorsque tu me présentes tes excuses, tu vas te mettre à genoux pour demander pardon.
Léa s'exécute devant un Julien qui ne sait quoi répondre. Mais peu importe pour madame Lafitte. Elle estime qu'elle sera totalement pardonnée après ses punitions.
- Approche maintenant. Prends appui contre ce mur. Penche-toi mieux que ça.
Madame Lafitte relève la jupe de Léa et lui accroche avec deux pinces à linge au col de son chemisier pour être sûr qu'elle ne retombe pas.
Elle applique la ceinture méthodiquement sur les fesses ou sur les cuisses. La douleur est intense d'autant qu'elle réveille aussi celle de la veille. Léa garde la position mais entre chaque coup elle crie et sautille d'une jambe sur l'autre en pleurnichant. Une trentaine de coup plus tard, Valérie repose la ceinture sur le dossier du canapé et ordonne à Léa d'aller se placer au piquet. Au passage elle retire les pinces à linge et dicte à Léa de ne pas oublier de relever sa jupe quand elle sera au coin.
Valérie part ensuite s'habiller et se pomponner à son retour elle s'approche de Julien qui termine sa punition écrite.
Je ne dois plus faire de caprices et obéir scrupuleusement à ma mère. A l'avenir je serai un petit garçon sage et obéissant
- Mais qu'est que c'est ce torchon ? C'est quoi ces pattes de mouche Julien ? Tu bâcles ta punition, on dirait. Tu sais pourtant qu'une punition doit être effectuée avec application. Tant pis pour toi. Tu la recommenceras et elle doublée.
Elle arrache les pages du cahier alors qu'il ne restait que 5 lignes à copier. Elle arrache ensuite les pages en petits morceaux et les fait retomber sur le sol.
- Ramasse-moi tout ça et jettes les à la poubelle. Ensuite je vais te passer l'envie de bâcler encore ton travail. Tout en parlant elle décroche le martinet et caresse doucement les lanières. Julien a déjà les larmes aux yeux et rage intérieurement. Toutefois il prend garde de ne pas le montrer pour éviter une punition encore plus sévère.
Valérie empoigne son fils et le tire jusqu'à une chaise. Les yeux baissés le garçon sait ce qui l'attend. Elle déboutonne sa culotte courte et le slip suit immédiatement.
- Place tes mains sur la tête commande t'-elle tout en lui tenant encore le poignet droit et en le courbant sur la table. Elle le maintient solidement et lui assène les premiers coups de martinet.  Léa dans son coin n'ose pas se retourner mais entant la raclée que se prend Julien.
- Aie, Ouille, Je m'appliquerai maintenant, S'il vous plaît. Julien ne tarde pas à pleurer.
- Tu l'as bien cherché mon garçon. Voilà ce qu'il en coûte de vouloir terminer avant de commencer.
Elle le donne comme à son habitude vigoureusement. Sur les fesses, les cuisses et les mollets. Au bout du 7ème coup les terribles morsures font qu'il supplie sa mère de l'épargner.
- Il fallait réfléchir avant dit elle
Une fois la correction infligée, elle envoi julien à son tour au piquet. Celui près de la fenêtre de la cuisine puisque l'autre est occupé par sa nouvelle sœur.
Madame Lafitte est ensuite occupée à remplir les dossiers pour le pensionnat Sainte Marie. Ses deux enfants se tiennent parfaitement dans leurs coins sans oser bouger une oreille. Les mains sont bien croisées dans le dos maintenant la chemise pour Julien et la jupe pour Léa au-dessus des fesses. Le nez collé au mur. Ils ne savent jamais où est Valérie. Ils savent juste quand elle se déplace par le bruit des talons qui claquent sur le carrelage.
Après deux bonnes heures pour Julien et plus encore pour Léa. Elle les libère enfin. Les deux jeunes gens sont soulagés. Ils commençaient par avoir des crampes à rester ainsi sans bouger.

Cependant ils ne sont pas au bout de leur peine. Après le déjeuner, ils doivent effectuer leurs punitions écrites. Julien doit à nouveau recopier sa phrase 400 fois, tandis que Léa doit aussi copier 400 fois la phrase suivante.
J'ai été une vilaine petite fille infernale qui désobéit et est insolente. A l'avenir je serai sage et obéissante.
Il leur faut plus de quatre heures pour en finir mais à la fin le travail satisfait madame Lafitte.
- C'est très bien tous les deux. J'espère qu’à l'avenir vous allez vous calmer. Je compte sur vous. Je sais malheureusement que vous êtes fatigué et que vos mains et bras doivent vous faire souffrir mais ce n'est pas terminé. Je vais vous dicter votre lettre de motivation pour le pensionnat Sainte Marie. Tachez de ne pas faire de fautes d'orthographe ou vous serez à nouveau puni.
- Bon voyons voir ce que vous avez écrit annonce Valérie après son point final.
Elle commence par la copie de Léa qui est parfaite.
- C'est très bien ma chérie. Recopie-la maintenant et de ta plus belle écriture.
- Oui ma tante répond Léa malgré qu'elle n'en peut plus d'écrire.
En revanche, la lettre de Julien est truffée de fautes. Valérie Lafitte doit utiliser son feutre rouge à plusieurs reprises.
- Onze fautes en une page ! C'est inadmissible mon garçon. Tu sais que je suis intransigeante avec l'orthographe. Tu as mérité encore une fois une sérieuse correction. Va me chercher la baguette.
Julien n'a pas d'autre choix que d'obéir à sa mère. Il apporte la trique à sa maman qui lui ordonne de baisser son short et son slip puis tétanisé il se met en position en appui sur la table.
Sa mère prend un peu d'élan et fait siffler la baguette avant qu'elle ne s'abatte sur ses fesses. Elle répète l'opération à onze reprises autant que de fautes commises par son fils. Onze fois de suite cela arrache un cri à Julien et onze belles épaisses zébrures ornent désormais les fesses et les cuisses du pauvre garçon en pleure
- Evite de faire des fautes en recopiant et applique dans l'écriture. Je laisse la baguette à disposition pour le cas où prévient madame Lafitte
Fort heureusement le recopiage est effectué parfaitement. Et la fin de soirée se déroule dans le calme et selon les règles habituelles imposées aux deux jeunes gens par madame Lafitte.


Eh là, ne perdons pas le fil de l'histoire !

Le début : le chapitre 1
et l'épisode précédent : le chapitre 7

Et bien, attendons la suite.

C'est le chapitre 9


Et s'il vous manque un épisode,

Vous le trouverez sur la page "les auteurs invités"

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