mercredi 4 septembre 2019

Deux grandes filles à éduquer - chapitre 11

Teva n’eut aucun mal à conduire Marguerite au coin. Elle la tenait par l’oreille, comme elle l’avait fait pour Maeva, mais c’était bien inutile, juste symbolique pour faire le parallèle avec la façon dont elle s’y était prise avec Maeva. Marguerite n’avait plus qu’une idée en tête : obéir à Teva. Ayant vu Maeva dans la même position, elle comprit tout de suite ce qu’on attendait d’elle. Elle y observa la plus grande immobilité et le plus grand silence. Avoir les fesses nues et exposées au regard de Teva lui paraissait alors comme une péripétie négligeable.
Teva vaquait à ses occupations. Elle jetait régulièrement un œil dans le séjour, mais tout y était on ne peut plus calme. Les deux jeunes femmes pointaient leur nez chacune dans un angle de la pièce. Elles y étaient parfaitement immobiles, image type de ce qui faisait suite à une mémorable fessée.
Teva souriait. Elle était parfaitement satisfaite du travail qu’elle avait accompli. Elle avait dû se donner du mal, mais les résultats étaient à la hauteur de ses espérances. Les quelques velléités d’indépendance de Maeva étaient remisées au fond d’un placard dont on pouvait oublier la clé. Elles n’étaient pas prêtes de ressortir. Le seul appui dont elle disposait, Marguerite, était rentrée dans le rang.
Marguerite, la petite rebelle insurgée, avait découvert que défier l’autorité de Teva se concluait par une séance à plat-ventre sur des genoux, la culotte baissée. Elle ne contestait plus le droit de Teva à recourir à une bonne fessée pour sanctionner ses outrecuidances. La fessée lui avait appris à obéir sans discuter. Tout cela restait cependant à confirmer.
Teva regarda l’heure. Dix-huit heures quarante-cinq, il était temps de mettre le marché dans les mains de Marguerite. Maeva pouvait bien rester au coin jusqu’à l’heure du bain. Fara et Moana ne tarderaient plus à rentrer.

« Marguerite, viens-ici ! »
Quand elle se détourna, Marguerite fit deux ou trois pas. Elle ne sembla qu’alors se rendre compte que son pantalon et sa culotte étaient restés à hauteur de ses genoux. Elle esquissa un geste pour les remonter, mais elle y renonça devant le regard de Teva qui s’assombrissait.
« Laisse ton pantalon et ta culotte où ils sont, ta punition n’est pas terminée ! »
Marguerite fit encore deux pas.
« Où doivent être tes bras ? »
Marguerite comprit tout de suite ce que Teva voulait dire. Elle croisa de nouveau ses bras dans son dos, relevant son sweat-shirt au-dessus de sa taille. Elle avait honte d’exhiber ainsi toute son intimité à Teva, mais elle se disait qu’être déculottée devant elle faisait partie de sa punition. Il n’était plus temps pour les excès de pudeur. Elle vint se placer dans cette position devant Teva.
Teva la fit pivoter pour examiner ses fesses. Une main sur le bas-ventre, à la limite du pubis, elle passa l’autre sur la peau qu’elle avait meurtrie et malgré la gêne qu’elle en ressentait, Marguerite ne trouva rien à y redire. C’était plutôt un geste attentionné mais plus adapté à une petite fille qu’à une femme de plus de trente ans. Marguerite le sentait bien, mais elle ne savait plus trop où elle en était.
« Plus aucune trace et je parie que tu n’en ressens plus rien. C’est normal quand j’utilise ma main. Ce ne sera pas pareil quand tu auras le martinet, sans parler de la ceinture. »
Le martinet, la ceinture, … Teva lui parlait-elle d’autres fessées ? Mais comment ?
« Je t’ai dit, tout à l’heure, que pour continuer à voir Maeva, tu devais partager sa punition. Toute sa punition, pas seulement la fessée d’aujourd’hui. Maeva était privée de téléphone pendant une semaine, je double la punition. Ce sera deux semaines et toi aussi, disons jusqu’au samedi en quinze. En partant, tu vas laisser ton téléphone ici et tu ne pourras le récupérer que dans deux semaines. »
Marguerite baissa la tête.
« Regarde-moi quand je te parle ! De plus, Maeva est privée de sortie pendant un mois à cause de votre petite escapade chez toi au sortir du travail. Tu partageras également cette punition. Tu viendras ici, chaque vendredi après le travail, pendant un mois et tu n’en repartiras que le lundi matin. Interdiction de sorties pendant la semaine. Maeva et toi, vous serez punies. Je te traiterai en toute chose, comme je le fais pour Maeva, ce qui signifie qu’il y aura la fessée à chaque fois que tu en auras besoin. »
Marguerite hocha la tête. Elle se surprenait à acquiescer à Teva qui venait de lui promettre la fessée.
« Voilà, c’est à toi de choisir maintenant. Soit tu acceptes la punition, toute la punition ou bien je ne veux plus que tu aies aucun contact avec Maeva. Je te précise juste qu’une fois la punition commencée, elle ira jusqu’au bout. Tu ne pourras plus revenir en arrière. »
Marguerite allait parler. Teva ne lui en laissa pas le temps.
« Non ! Ce n’est pas utile de répondre. Tu vas retourner réfléchir au coin pendant dix minutes encore. A ce moment-là, je t’autoriserai à en sortir. Tu prendras tes affaires et tu partiras. Si je ne trouve pas ton téléphone à côté de celui de Maeva, il sera inutile de reprendre contact. Je m’y opposerai et tu as compris que je sais me faire obéir. Dans le cas contraire, je t’attends vendredi prochain. A quelle heure finis-tu de travailler ?
– Dix-sept heures trente, Madame.
– Je veux donc te voir ici avant dix-huit heures, avec ton nécessaire jusqu’à lundi matin. Ne soit pas en retard ! Est-ce compris ?
– Oui, Madame.
– Alors, retourne au coin. »

« Je ne sais pas ce qu’elle s’imagine, mais je ne vais pas revenir ici pour y recevoir la fessée. Elle est complètement folle ! »
Les pensées tourbillonnaient sous le crâne de Marguerite. Elle était de retour au coin et elle s’y tenait aussi rigoureusement qu’avant. Il ne s’agissait pas de mériter une autre fessée. La première avait suffi pour lui faire comprendre qu’on en sortait pas indemne.
« Punie pendant un mois, tous les week-ends, même le reste de la semaine. Il n’en est pas question ! Qui serait assez dingue pour accepter ce traitement. A part Maeva, évidemment. Oui, mais c’est sa sœur, pas la mienne. Je vois bien qu’elle se comporte comme sa mère. Bon, c’est vrai, rien à voir avec la mienne, je ne la voyais jamais. »
Quinze secondes pour retourner une bonne vingtaine d’années en arrière lui confirmèrent que cela n’avait rien de commun.
« Et mon téléphone ! Deux semaines sans téléphone ! Impossible. Je ne pourrais plus vivre »
Elle rumina les griefs contre Teva pendant cinq bonnes minutes. Elle en était certaine : une fois libérée de ce coin, elle ne remettrait plus jamais les pieds ici.
« Ne plus jamais voir Maeva. Ce n’est pas juste, elle est comme ma sœur. »
Brusquement la vie sans Maeva lui semblait fade. Elle se voyait dans la petite chambre de bonne où elle habitait, n’ayant pas les moyens de s’offrir autre chose, tous les soirs sans sa bouée de secours qu’était Maeva.
« Avec elle, je peux tout dire. Elle me comprend. Si elle n’est plus là … »
Elle essaya de s’imaginer la vie sans Maeva. Elle n’y arrivait tout simplement pas. Des larmes remplirent ses yeux à cette seule pensée : une semaine, un mois, plus longtemps sans voir ni parle à Maeva …
« Je préfère être privé de téléphone pendant deux semaines. »
Elle réfléchit un peu et elle s’avoua :
« Même s’il faut prendre une fessée ou deux, c’est moins grave. »
Cette pensée la réconforta.
« Tout de même, je ne me vois pas risquer une fessée à la moindre faute. C’est ridicule de traiter quelqu’un de mon âge de cette façon. On pourrait faire autrement. Oui, mais comment l’expliquer à Teva ? Elle a l’air d’avoir ses idées et de ne pas en changer facilement. »
Penser à Teva la troublait bien plus qu’elle ne l’aurait admis. Elle n’arrivait pas à lui en vouloir, même après cette fessée magistrale et cette mise au coin qui n’étaient plus de son âge. Elle revoyait Maeva qui venait se blottir dans les bras de sa sœur pour y chercher le réconfort alors que sa correction s’achevait tout juste.
« Moi aussi, j’aurais bien aimé être prise dans ses bras. »
Elle se mit à rêver d’être dans les bras de Teva qui la consolait après un chagrin. Elle sentait le bien-être que cela lui procurerait. Evidemment, cela voulait dire les fessées qu’il y avait avec. Cela noircissait le tableau. Est-ce que Teva me prendrait dans ses bras pour me consoler après une fessée ?

« Marguerite, je t’attends ici. »
Elle n’avait répondu à aucune des questions qu’elle se posait, mais il n’était pas prudent de faire attendre Teva. Sans hésiter elle marcha vers elle, à une vitesse raisonnable compte tenu de son pantalon et de sa culotte autour de ses genoux. Elle maintenait le haut de ses vêtements relevés. Une fois suffisait. Elle avait compris.
Teva l’attrapa en passant ses deux mains derrière ses fesses et elle la replaça entre ses jambes. Marguerite savait qu’elle ne risquait pas de recevoir une autre fessée, bien qu’elle ait été positionnée comme lors du début de sa fessée. Elle avait confiance dans Teva.
« Encore une chose avant que tu ne prennes ta décision … »
Teva lui caressait doucement les fesses de ses deux mains. Marguerite aurait voulu que cela ne s’arrêtât pas.
« … je ne veux pas de vêtements comme les tiens pour mes petites filles. Regarde-moi cette culotte, elle ne peut rien couvrir de tes fesses et ce pantalon déchiré, sans parler de ce pull informe. Je vais t’habiller comme Maeva, comme deux sœurs. »
Puis Teva lui remonta la culotte et elle l’ajusta. Ce fut alors le tour du pantalon qui fut boutonné sans que Marguerite ait à s’en occuper. Elle ne se rappelait plus la dernière fois où quelqu’un avait autant pris soin d’elle. Teva remit en place le sweat-shirt. Une petite claque sur les fesses.
« C’est le moment d’y aller, Marguerite. N’oublie pas de prendre ta décision avant. Je te laisse faire. »
Marguerite fit un pas vers la porte. Elle s’arrêta pour regarder Teva.
« Allez, va, lui dit celle-ci. »
Elle prit son manteau qu’elle avait laissé au porte-manteau dans l’entrée et elle l’enfila. Elle sortit son téléphone de sa poche et elle le regarda longuement.

La porte se ferma. Teva se leva. Elle entra dans la cuisine et elle sourit.
« J’en étais quasiment certaine, se dit-elle. Hum, oui, pas tant que cela rectifia-t-elle.
A côté du téléphone de Maeva, il y en avait un deuxième.

Vendredi soir, il était plus de dix-huit heures quinze quand Marguerite sonna à la porte. Teva lui ouvrit.
« Entre, ma grande, je t’attendais. »
Teva ouvrit ses bras, elle y enferma Marguerite et lui déposa un bisou sur le front.
« Enlève ton manteau ! As-tu des chaussons ?
– Oui, Madame. »
Teva emmena Marguerite dans le séjour. Maeva l’y attendait. Elle faisait semblant de lire une revue, impatiente de revoir sa meilleure amie. Elles s’embrassèrent.
« Viens dans ma chambre, je te montre …
– Une seconde, l’interrompit Teva. Dis-moi Marguerite, quelle heure est-il ?
– Six heures vingt, Madame.
– A quelle heure devais-tu arriver ?
– Six heures, Madame. »
Teva avait pris sa voix sévère. Maeva reconnaissait celle qu’elle utilisait en prélude à une fessée.
« Cela vingt minutes de retard. Comment l’expliques-tu ?
– Je … je …
– Qu’as-tu fait depuis que tu es sortie du travail ?
– J’avais besoin de faire une course.
– Une course ! Mais encore ?
– J’avais envie d’une pâtisserie, alors …
– Tu as pris le temps de manger une pâtisserie alors que tu étais attendue ici ? »
Marguerite n’avait plus rien à dire.
« Moi j’appelle ça de la désobéissance et tu sais ce qui arrive aux petites filles qui désobéissent. »
Teva s’assit sur le canapé.
« Marguerite ! »
L’interpellée regarda Maeva qui l’encouragea d’un regard.
« Il n’y a pas moyen de l’éviter, disait-il. »
Marguerite marcha jusqu’à l’endroit où Teva l’attendait.
« Vas-tu me faire des difficultés comme la dernière fois ?
– Non, Madame.
– Je préfère te prévenir que si c’est le cas, je te donnerai quand même la fessée après t’avoir déculottée de force comme la dernière fois. Fais-moi confiance, j’y arriverai quelle que soit l’énergie que tu mettras pour m’en empêcher. Mais alors tu en auras une seconde, plus tard dans la soirée, et ce sera avec le martinet. Demande à Maeva ce que ça fait. »
L’expression de Maeva était éloquente. Il valait mieux ne pas faire connaissance avec cet instrument. Sans plus attendre, Teva souleva le bas de la robe pour atteindre la culotte. Ses mains en prirent l’élastique sur les deux hanches de Marguerite et elle fit glisser la culotte jusqu’aux genoux. Puis elle retroussa carrément la robe et guida Marguerite sur ses genoux. Elle s’était laissé faire.
Toute la semaine, elle avait pensé à ce moment inévitable où il faudrait laisser Teva la déculotter pour la fesser. Elle s’y était préparée. Elle avait réussi à résister à l’envie de se défendre bien qu’elle sût que c’était tout à fait inutile. Teva pouvait la déculotter quand elle le voulait. Elle était soulagée d’avoir pu se soumettre aux préparatifs de la fessée. Pour la suite, sa volonté ne comptait pas.
Teva voulait que, dès la première fessée du week-end, Marguerite intègre les règles de la maison. Ne pas s’opposer au déculottage en était la première étape. Il fallait maintenant que Marguerite restât en place, acceptent la fessée jusqu’au bout, même si ses fesses étaient douloureuses, surtout quand ses fesses seront douloureuses.
Sans être exagérément sévère, le retard qui justifiait la fessée n’était pas une bêtise extrêmement grave, la fessée devait être difficile à supporter. Une vraie correction, en somme. C’en fut une. Marguerite battit des pieds, elle cria, elle pleura, mais elle ne fit pas un geste pour empêcher Maeva de la punir.
« Parfait, pensa Teva. Elle a compris qu’il est préférable d’obéir. Elle ne nous fera pas de difficulté. »
Teva gratifia Marguerite d’une courte caresse sur les fesses avant de l’envoyer au coin.

Marguerite y était depuis un bon quart d’heure quand Moana et Fara rentrèrent.
« Alors, demanda Fara ?
– Elle est venue. En retard, mais elle est venue.
– En retard ? Elle a eu une fessée ?
– Evidemment.
– Comment a-t-elle pris cela ?
– Plutôt bien. Va voir elle est au coin dans le séjour. »
Fara entra dans la pièce. Il était resté silencieux. Marguerite ne s’était pas rendu compte de sa présence.
« Qui c’est, Papa ?
– C’est Marguerite, elle va vivre avec nous de temps en temps. »
Au son de la voix, Marguerite comprit que derrière elle se tenait un homme.
« Non, non, fit-elle ! »
Elle laissa tomber l’arrière de sa robe et tenta de quitter le coin. Fara l’attrapa au passage. Il la courba sous son bras et bien qu’elle se soit tortillée dans tous les sens, Marguerite ne put s’échapper.
« Depuis quand, gronda Fara, les petites filles qui sont au coin se comportent-elles comme cela ? Depuis quand a-t-on le droit de parler, de cacher ses fesses et même de quitter le coin sans autorisation ? »
Fara souleva l’arrière de la robe et sa grosse main donna une claque formidable sur la fesse gauche de Marguerite. Celle-ci hurla. Elle ne put que recommencer quand Fara s’occupa du côté droit. Sa main, mise en protection, fut écartée et elle se retrouva, sous son ventre, enfermée dans une pince qu’elle ne pouvait desserrer.
Fara lui donnait la fessée avec application. Il était nécessaire que Marguerite comprenne, dès le premier soir, que non seulement une pénitence au coin ne pouvait être écourtée par la punie sous aucun prétexte et certainement pas parce qu’une autre personne entrait dans la pièce, mais également qu’il avait la responsabilité de la punir autant que Teva, que cela lui plaise ou non. Elle allait devoir s’habituer à sentir une main masculine sur ses fesses.
« Es-tu décidée à retourner au coin et à y rester sagement ? »
Trois ou quatre claques sur les fesses vinrent confirmer le sérieux de la question.
« Alors ?
– Oui, Monsieur, je vais être sage. »
Encore une bonne série de claque également réparties sur les deux fesses.
« Si je te vois bouger, ne serait-ce qu’un petit doigt quand tu seras au coin, ma main est prête à resservir.
Marguerite courut se réfugier au coin. Teva arriva sur cette entrefaite, attirée par le bruit de la fessée.
« Je vois que les fesses de ma petite fille ont fait connaissance avec la main de Fara. Une expérience qu’on n’oublie pas avant longtemps, n’est-ce pas Maeva.
– Oh non, s’exclama-t-elle ! »
Maeva se rappelait bien de la première fessée que lui avait donnée Fara. Elle n’était pas prête de l’oublier. La vie reprit son cours, indifférente à la présence de Marguerite au coin.


Voyons, voyons, Maeva, Teva... ça me dit quelque chose

Eh bien oui ! Nous les avons déjà croisées. Rappelez-vous c'était dans le chapitre 93 d'Axel au supermarché que nous avons fait la connaissance de la jeune fille et, dans le chapitre  98, de sa sœur si sévère.

Il faut suivre si l'on veut comprendre, donc avoir lu ce qui a précédé

Voici le début du récit : le chapitre 1
L'épisode précédent : le chapitre 11
Et tous les autres sur la page "mes récits"

Mais, ce n'est pas fini

Ensuite, c'est le chapitre 12

Un commentaire, deux commentaires, trois... n'en jetez plus !

Si, si, au contraire, ne vous restreignez pas. Abondance de commentaire ne nuit point.

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