Edwige, la visiteuse du soir,
Gladys et Patricia sont en train
d'en finir avec la correction de ces Messieurs lorsque le carillon de la porte
d'entrée résonne. Malgré ses timides protestations et sous la menace d'une
nouvelle fessée, Gladys envoie Edouard ouvrir la porte, les fesses à l'air,
écarlates et cuisantes de sa dernière déculottée.
Extrait :
… « Pantalon en accordéon
sur les mollets, le slip en travers des cuisses Edouard se dirige d’un pas mal
assuré vers l’entrée. Il secoue la tête en pleurnichant sa misère et la honte
de devoir s’exhiber devant une personne étrangère dans une tenue aussi
humiliante. Robin, nez au mur dans le même accoutrement, s’est bien gardé de se
retourner pour suivre la scène. Dans le présent contexte, les fessées peuvent
fuser à n’importe quel moment sous n’importe quel prétexte.
« Bien dit Gladys en se rasseyant dans le
canapé à côté de sa fille, je me demande qui peut bien nous rendre
visite… »
La question ne se pose pas
longtemps, lorsque la voix forte et enjouée d’Edwige se fait entendre dès que
Edouard a ouvert la porte. Ses talons aiguilles résonnent avec un bruit sec sur
le carrelage.
« Ah ce cher Edouard, comme c’est gentil
de venir m’ouvrir, et dans cette tenue encore ! Je ne m’attendais pas à un
accueil aussi croustillant ! ! Elle claque bruyamment la porte derrière
elle. C’est bien Edouard, avance ! Je vais passer derrière toi pour
profiter de cette magnifique paire de fesses si merveilleusement rougie
! »
Le ton est donné. La pétulante
créature fait une entrée frétillante
dans le salon, le regard enveloppant, focalisé sur le postérieur d’Edouard qui
la précède sans rien dire, vert de honte et de confusion. Il a posé les mains en coquille sur son sexe pour
essayer de l’abriter du regard goguenard de l’exubérante femme.
« Et bien dites moi mes chéries, on ne
s’ennuie pas ici. S'exclame t-elle, Quel plaisir, à peine arrivée, de
contempler un fessier aussi bien cuit ! Ça en impose! »
Gladys comme Patricia pourtant
rarement à court de réplique n’ont pas le temps d’en placer une.
« Ça fait trois fois que je sonne!
S’exclame la belle femme avec un rire en cascade. J’avais peur que vous ne
m‘entendiez pas. Vous tapiez tellement fort que le claquement des fessées
couvrait presque le bruit de la sonnette ! Quelle belle énergie! J‘adore !
»
Edwige, debout à l'entrée du salon,
envahit de sa seule présence tout
l‘espace de la pièce. Elle est vêtue d’un élégant petit tailleur noir très près
du corps qui met savamment en valeur ses courbes généreuses. Elle porte,
allègrement, la petite cinquantaine
d‘une personne épanouie, dont le caractère affirmé se révèle
instantanément au ton de sa voix et à sa manière de se déplacer. Son physique
imposant dégage une impression d’autorité qui s'impose naturellement dès son
irruption dans la pièce. De toute évidence, la maîtresse femme partage, en tous
points, le même tempérament flamboyant
que celui de son amie Gladys.
Edouard se fait discret, planté au
milieu de la pièce. Il préférerait être au coin, comme Robin, pour se faire
oublier, ne serait ce qu‘un instant. Ses fesses écarlates, bien en évidence,
exposées à la merci de ces femmes si autoritaires et si sévères, constituent, à son grand
désarroi, le seul centre d‘intérêt
qu’elles accordent à sa personne.
Edwige rayonne au milieu du salon.
Gladys, suivi de Patricia se lève du canapé pour venir l’ embrasser .
« Ma chérie quelle surprise, et
quelle bonne idée cette visite impromptue ! Tu tombes effectivement en pleine
séance de recadrage. Nous étions en train de fesser Edouard et Robin pour leur
indiscipline,.
– J’ai vu ça sur les fesses de ton
mari en arrivant ! Ça régale, joli
travail, belle couleur beau fessier bien entretenu !
– Pour ça oui, on s'en occupe !
Répond Patricia,
Parcourant la pièce du regard, Edwige aperçoit
alors les fesses enluminées de Robin, en pénitence au coin.
« Ah, mais Robin aussi prend sa
raclée ! Oh la, la quelle paire fesses lui aussi ! Vous en avez de beaux
spécimens sous la main mes chéries. Il y a de quoi faire. D’ailleurs pour
obtenir une couleur aussi resplendissante vous avez dû lui en mettre une
sévère. Elles sont absolument splendides ! Exactement la même intensité de
rouge bien profond, également réparti sur les deux fesses !
Elle se tourne vers Gladys avec un
large sourire…
« Et question paires de fesses, j'en
connais un rayon, j’ai l’habitude... J'en claque pratiquement tous les
jours ! »
Vous voulez relire l'épisode en entier ?
Pas de souci, le voici : saison 1 chapitre 11
Prochaine illustration...
...dans quelques jours, il n'y a pas de raison que cela s'arrête.A vos commentaires !
Que pensez-vous de cette rediffusion ?
Bonsoir Ramina,
RépondreSupprimerPrêt pour une nouvelle saison ?
Une ode pour la rentrée :
"Un garnement /est toujours insolent
Alors Lady Patricia / lui tient les bras...
Puis Dame Gladys / baisse son slip à mi-cuisses...
Et Dame Edwige / c'est elle qui le corrige !"
Bonne rentrée... qui va chauffeeeeer !
Amicalement. Peter.
Hello Peter,
RépondreSupprimerEt bien voilà qui est joliment troussé... voir retroussé!
Amis de la poésie et de la déculottée, bienvenu au club des fesseuses associées. Rentrée reprises en mains, prévues en octobre pour ces jeunes gens indisciplinés. Avec de nouvelles Ladys, furieuses adeptes de l'éducation anglaise, et surtout de nouvelles paires de fesses toujours en pleines formes, prêtes à claquer!
Et je ne te le fais pas dire: sûr que ça va chauffeeeeer!
Amicalement
Ramina