mardi 3 septembre 2019

Ces dames aux mains fermes en image - saison 1 scène 11

Edwige, la visiteuse du soir,

Gladys et Patricia sont en train d'en finir avec la correction de ces Messieurs lorsque le carillon de la porte d'entrée résonne. Malgré ses timides protestations et sous la menace d'une nouvelle fessée, Gladys envoie Edouard ouvrir la porte, les fesses à l'air, écarlates et cuisantes de sa dernière déculottée.

Extrait :
… « Pantalon en accordéon sur les mollets, le slip en travers des cuisses Edouard se dirige d’un pas mal assuré vers l’entrée. Il secoue la tête en pleurnichant sa misère et la honte de devoir s’exhiber devant une personne étrangère dans une tenue aussi humiliante. Robin, nez au mur dans le même accoutrement, s’est bien gardé de se retourner pour suivre la scène. Dans le présent contexte, les fessées peuvent fuser à n’importe quel moment sous n’importe quel prétexte.
 « Bien dit Gladys en se rasseyant dans le canapé à côté de sa fille, je me demande qui peut bien nous rendre visite… »

La question ne se pose pas longtemps, lorsque la voix forte et enjouée d’Edwige se fait entendre dès que Edouard a ouvert la porte. Ses talons aiguilles résonnent avec un bruit sec sur le carrelage.
 « Ah ce cher Edouard, comme c’est gentil de venir m’ouvrir, et dans cette tenue encore ! Je ne m’attendais pas à un accueil aussi croustillant ! ! Elle claque bruyamment la porte derrière elle. C’est bien Edouard, avance ! Je vais passer derrière toi pour profiter de cette magnifique paire de fesses si merveilleusement rougie ! »

deux fessées déculottées conjointes

 
Le ton est donné. La pétulante créature  fait une entrée frétillante dans le salon, le regard enveloppant, focalisé sur le postérieur d’Edouard qui la précède sans rien dire, vert de honte et de confusion. Il a posé  les mains en coquille sur son sexe pour essayer de l’abriter du regard goguenard de l’exubérante femme. 
 « Et bien dites moi mes chéries, on ne s’ennuie pas ici. S'exclame t-elle, Quel plaisir, à peine arrivée, de contempler un fessier aussi bien cuit ! Ça en impose!  »

Gladys comme Patricia pourtant rarement à court de réplique n’ont pas le temps d’en placer une.
 « Ça fait trois fois que je sonne! S’exclame la belle femme avec un rire en cascade. J’avais peur que vous ne m‘entendiez pas. Vous tapiez tellement fort que le claquement des fessées couvrait presque le bruit de la sonnette ! Quelle belle énergie! J‘adore ! »

Edwige, debout à l'entrée du salon, envahit  de sa seule présence tout l‘espace de la pièce. Elle est vêtue d’un élégant petit tailleur noir très près du corps qui met savamment en valeur ses courbes généreuses. Elle porte, allègrement, la petite cinquantaine  d‘une personne épanouie, dont le caractère affirmé se révèle instantanément au ton de sa voix et à sa manière de se déplacer. Son physique imposant dégage une impression d’autorité qui s'impose naturellement dès son irruption dans la pièce. De toute évidence, la maîtresse femme partage, en tous points,  le même tempérament flamboyant que celui de son amie Gladys.

Edouard se fait discret, planté au milieu de la pièce. Il préférerait être au coin, comme Robin, pour se faire oublier, ne serait ce qu‘un instant. Ses fesses écarlates, bien en évidence, exposées à la merci de ces femmes si autoritaires et  si sévères, constituent, à son grand désarroi,  le seul centre d‘intérêt qu’elles accordent à sa personne.

Edwige rayonne au milieu du salon. Gladys, suivi de Patricia se lève du canapé pour venir l’ embrasser .
« Ma chérie quelle surprise, et quelle bonne idée cette visite impromptue ! Tu tombes effectivement en pleine séance de recadrage. Nous étions en train de fesser Edouard et Robin pour leur indiscipline,.
– J’ai vu ça sur les fesses de ton mari en arrivant  ! Ça régale, joli travail, belle couleur beau fessier bien entretenu !
– Pour ça oui, on s'en occupe ! Répond Patricia,
 Parcourant la pièce du regard, Edwige aperçoit alors les fesses enluminées de Robin, en pénitence au coin.

inspection post fessée


« Ah, mais Robin aussi prend sa raclée ! Oh la, la quelle paire fesses lui aussi ! Vous en avez de beaux spécimens sous la main mes chéries. Il y a de quoi faire. D’ailleurs pour obtenir une couleur aussi resplendissante vous avez dû lui en mettre une sévère. Elles sont absolument splendides ! Exactement la même intensité de rouge bien profond, également réparti sur les deux fesses !
Elle se tourne vers Gladys avec un large sourire…
 «  Et question paires de fesses, j'en connais un rayon, j’ai l’habitude... J'en claque pratiquement tous les jours ! »


Vous voulez relire l'épisode en entier ?

Pas de souci, le voici : saison 1 chapitre 11


Prochaine illustration...

...dans quelques jours, il n'y a pas de raison que cela s'arrête.

A vos commentaires !

Que pensez-vous de cette rediffusion ?

2 commentaires:

  1. Bonsoir Ramina,

    Prêt pour une nouvelle saison ?
    Une ode pour la rentrée :
    "Un garnement /est toujours insolent
    Alors Lady Patricia / lui tient les bras...
    Puis Dame Gladys / baisse son slip à mi-cuisses...
    Et Dame Edwige / c'est elle qui le corrige !"
    Bonne rentrée... qui va chauffeeeeer !
    Amicalement. Peter.

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  2. Hello Peter,
    Et bien voilà qui est joliment troussé... voir retroussé!
    Amis de la poésie et de la déculottée, bienvenu au club des fesseuses associées. Rentrée reprises en mains, prévues en octobre pour ces jeunes gens indisciplinés. Avec de nouvelles Ladys, furieuses adeptes de l'éducation anglaise, et surtout de nouvelles paires de fesses toujours en pleines formes, prêtes à claquer!
    Et je ne te le fais pas dire: sûr que ça va chauffeeeeer!
    Amicalement
    Ramina

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