Soirée fessées entre amies ( Part. 1)
Le carillon de l'entrée fit presque sursauter
Maxime, sa mère au téléphone lui demanda
d'aller ouvrir. Béatrice Klakerspank recevait ses amies au cour d'une
soiré prometteuse, pas vraiment improvisée mais déplacée depuis peu puisque,
prévue à l'origine, chez Gladys. Un empêchement de dernière minute l'avait
obligé à différer. Le livreur apportait les commandes en petits fours, passées
la veille chez le traiteur du quartier, où ces dames avaient l'habitude de s'approvisionner
lors de leurs réunions mensuelles.
Maxime
vivait ces préparatifs avec un certain malaise, mélange d'attente fébrile et
d'appréhension. Il avait beau savoir comment ces trop fameuses ''Réunions
Tupperware'' prenaient rapidement une toute autre tournure que leur annonce
d'origine, il passait pratiquement toute la journée la boule au ventre et le
derrière plutôt tendu dans son slip.
En réalité,
ces réunions n'avaient de « Tupperware » que le nom. On y parlait que
très rarement de ces petits récipients de conservation en plastique dont tout
le monde était déjà équipé depuis longtemps. Les objets qui alimentaient les
conversation étaient plutôt en cuir souple, à lanières ou en bois. Mis à part
quelques cuillères ou, spatules, bien
pratiques car à double usage, ces instruments n'étaient pas vraiment utilisés
en cuisine mais plutôt sur des parties charnues, pour une cuisson toujours à
point.
C'était en
quelque sorte une fin de ''journée de la femme'' avec présence obligatoire des
époux qui n'étaient pas invités uniquement par courtoisie et savaient à quoi
s'en tenir sur le déroulement de la soirée. Maxime, le fils de la maison, était
le petit ''favori'' auprès de sa mère qui disposait de lui en priorité. Un
titre purement honorifique qu'il ne serait venu à l'idée d'aucun de ces
messieurs de revendiquer en une telle circonstance. Il était accordé à tour de
rôle à celui qui '' ouvrait '' la séance. Un peu comme on ouvre un
bal sauf qu'il s'agissait là d'une danse un peu particulière : la valse
des fesses !
Prudence et
vigilance étaient donc à l'ordre du soir. Obéissance exigée. On se tenait
convenablement, amabilité et disponibilité de rigueur, attentifs aux
sollicitations, prévenants envers ces Dames... Le comportement sur mesure du
parfait petit Mari, aimable, serviable et obéissant . Le moindre
écart de comportement constituait le signal attendu, qui pouvait, à tout
moment, mettre le feu aux fesses de ces messieurs.
Ils avaient
beau faire et ne pas dire, pour éviter le pire, se ''tenir à carreau'' comme
des hommes avertis valant deux paires de fesses, c'était inévitable parce que
prévu ainsi.
Passé le
moment des amabilités, papotages et babillages, conversations joyeuses,
boissons diverses et petits fours, il y avait toujours une de ces Dames pour
trouver une bonne raison de déclencher les opérations : bilan collectif de
fin semaine et tournée générale. La réunion ''Tupperware'' qui n'avait jamais
vraiment commencé, tournait court et
faisait place à la séquence discipline, beaucoup plus récréative... pour la
gente féminine. Le comportement de ces Messieurs, erreurs, oublis, négligences,
impolitesse, mauvaises manières, étaient passé au crible et, les fessées
réparatrices commençaient à claquer. La maîtresse de maison inaugurait la
séance par un belle fessée d'ouverture sur le mari désigné comme le plus
indiscipliné de la bande.
Maxime
traversa le salon les bras chargés des cartons qu'il emmena dans la
cuisine. Confortablement installée dans
le canapé, Béatrice, sa mère, jambes
haut croisées, sur une vue imprenable de jarretelles bien tendues sur les
cuisses, agitait dans l'air ses doigts écartés pour accélérer le séchage de son
vernis à ongles. Sa forte poitrine, largement décolletée, tressautait en rythme
comme libérée de la pesanteur. Tenue de circonstance, elle portait une jupe très courte, qu'elle
pouvait aisément retrousser, facilitant ainsi la mise en place de ses victimes
entre ses cuisses pour les séances de fessées au martinet. Les joues de Maxime,
exposées au frottement rêche et continu des bas nylon en étaient, évidemment,
les habituelles bénéficiaires. Il avait beau souffrir de ces terribles séances
de corrections qu'il craignait par dessus tout, il éprouvait toujours de
troublantes sensations à devoir mettre ses fesses entre les mains de ces belles
et fortes femmes, si sévères.
Habituée à
se faire obéir, au doigt et à l'oeil, Béatrice donne ses consignes depuis le
canapé.
– « Tu mets tout ça
dans les plats que j'ai sortis... sur la table de la cuisine. Et tu me fais ça
bien. Sinon gare à tes fesses ! Je n'hésiterai pas à leur donner un petit
avant goût de ce qui les attend pendant
la soirée ! »
Elle disait ça sur un ton détaché, avec naturel. Comme si la
menace d'une fessée était aussi banale que de proposer une partie de cartes.
– Oui maman... promis, je fais ça
bien
– Ce soir nous attendons, Gladys, Edouard et Robin, Edwige, Claridge
avec leur mari et une nouvelle invitée... Madame Bellebourge et son fils
Gérôme. Un sacré numéro, celui là, d'après ce que j'ai entendu. »
Maxime, curieux, passe une tête à la
porte du salon, une barquette de petits fours dans la main. Il se lèche les
doigts couverts de traces de mayonnaise.
Béatrice réagit immédiatement.
– « Tu ne peux pas faire ce que je
t'ai demandé proprement, sans t'en mettre partout. Lave toi les mains, s'il te plaît !
Sinon c'est la mienne que je vais faire claquer sur tes fesses ! »
Le garçon fait comme s'il n'avait
pas entendu.
– « Ah bon, il est comment ce
Gérôme ?
– C'est ça... fais le malin... Tu as
parfaitement compris ce que je viens de te dire. Tes fesses ne perdent rien
pour attendre... »
Elle croise ses jambes dans l'autre
sens en lâchant un grand soupire d'avertissement qui soulève son opulente
poitrine, prête à passer par dessus bord.
– « D'après ce que m'a dit Gladys il
fait la paire avec Robin. Une sombre histoire de trafic de revue érotiques.. ou
un truc comme ça, J'ai comme l'impression que c'est un sacré
loustic ! Il y a des fessées qui se
perdent, mais pas pour longtemps ! ».
Vous voulez relire l'épisode en entier ?
Pas de souci, le voici : saison 2 chapitre 20
Prochaine illustration...
...et bien non ! Nous sommes au bout de la saison 1. Attendons la saison 3, elle ne devrait pas tarder.A vos commentaires !
Que pensez-vous de cette rediffusion ?
Bonsoir Ramina,
RépondreSupprimerExcellente idée de proposer une version écourtée de tes récits de "ces Dames". On reste dans le mouvement.
J'ai repris certains de tes personnages dans la grille du jeu. Mais j'imagine que tu as déjà planché sur les définitions...
J'ai un autre petit jeu déjà prévu. Hé, hé, hé !!!
Qu'est-ce que la fessée peut inspirer comme trouvailles !!
Amicalement. Peter Pan.