mardi 17 septembre 2019

Ces dames aux mains fermes en image - saison 2 - scène 20

Voici les trois derniers chapitres de la Saison 2, pour permettre au lecteur de faire plus facilement le lien avec la suite, dans la Saison 3 dont la publication devrait commencer dans la continuité, début octobre. Ramina.

Soirée fessées entre amies ( Part. 1)

Bétarice Klakerspank, tient un salon de coiffure où Edouard, envoyé là par Gladys son épouse a reçu  une magistrale correction pour avoir  eu les mains baladeuses vis à vis du personnel féminin. Claridge est propriétaire du magasin de lingerie où Béatrice envoie son fils Maxime, chercher ses commandes de bas nylon. Toutes ces dames, ardentes fesseuses, ont décidé d'organiser une soirée  de discipline collective  pour leurs maris . C'est Béatrice qui reçoit. 

Extrait :
 Le carillon de l'entrée fit presque sursauter Maxime, sa mère au téléphone lui demanda  d'aller ouvrir. Béatrice Klakerspank recevait ses amies au cour d'une soiré prometteuse, pas vraiment improvisée mais déplacée depuis peu puisque, prévue à l'origine, chez Gladys. Un empêchement de dernière minute l'avait obligé à différer. Le livreur apportait les commandes en petits fours, passées la veille chez le traiteur du quartier, où ces dames avaient l'habitude de s'approvisionner lors de leurs réunions mensuelles.
Maxime vivait ces préparatifs avec un certain malaise, mélange d'attente fébrile et d'appréhension. Il avait beau savoir comment ces trop fameuses ''Réunions Tupperware'' prenaient rapidement une toute autre tournure que leur annonce d'origine, il passait pratiquement toute la journée la boule au ventre et le derrière plutôt tendu dans son slip.

En réalité, ces réunions n'avaient de « Tupperware » que le nom. On y parlait que très rarement de ces petits récipients de conservation en plastique dont tout le monde était déjà équipé depuis longtemps. Les objets qui alimentaient les conversation étaient plutôt en cuir souple, à lanières ou en bois. Mis à part quelques cuillères ou,  spatules, bien pratiques car à double usage, ces instruments n'étaient pas vraiment utilisés en cuisine mais plutôt sur des parties charnues, pour une cuisson toujours à point. 

C'était en quelque sorte une fin de ''journée de la femme'' avec présence obligatoire des époux qui n'étaient pas invités uniquement par courtoisie et savaient à quoi s'en tenir sur le déroulement de la soirée. Maxime, le fils de la maison, était le petit ''favori'' auprès de sa mère qui disposait de lui en priorité. Un titre purement honorifique qu'il ne serait venu à l'idée d'aucun de ces messieurs de revendiquer en une telle circonstance. Il était accordé à tour de rôle à celui qui '' ouvrait '' la séance. Un peu comme on ouvre un bal sauf qu'il s'agissait là d'une danse un peu particulière : la valse des fesses !

Prudence et vigilance étaient donc à l'ordre du soir. Obéissance exigée. On se tenait convenablement, amabilité et disponibilité de rigueur, attentifs aux sollicitations, prévenants envers ces Dames... Le comportement sur mesure du parfait petit Mari, aimable, serviable et obéissant .  Le moindre  écart de comportement constituait le signal attendu, qui pouvait, à tout moment, mettre le feu aux fesses de ces messieurs.
Ils avaient beau faire et ne pas dire, pour éviter le pire, se ''tenir à carreau'' comme des hommes avertis valant deux paires de fesses, c'était inévitable parce que prévu ainsi.

Passé le moment des amabilités, papotages et babillages, conversations joyeuses, boissons diverses et petits fours, il y avait toujours une de ces Dames pour trouver une bonne raison de déclencher les opérations : bilan collectif de fin semaine et tournée générale. La réunion ''Tupperware'' qui n'avait jamais vraiment commencé, tournait court  et faisait place à la séquence discipline, beaucoup plus récréative... pour la gente féminine. Le comportement de ces Messieurs, erreurs, oublis, négligences, impolitesse, mauvaises manières, étaient passé au crible et, les fessées réparatrices commençaient à claquer. La maîtresse de maison inaugurait la séance par un belle fessée d'ouverture sur le mari désigné comme le plus indiscipliné de la bande.

Maxime traversa le salon les bras chargés des cartons qu'il emmena dans la cuisine.  Confortablement installée dans le canapé, Béatrice, sa mère,  jambes haut croisées, sur une vue imprenable de jarretelles bien tendues sur les cuisses, agitait dans l'air ses doigts écartés pour accélérer le séchage de son vernis à ongles. Sa forte poitrine, largement décolletée, tressautait en rythme comme libérée de la pesanteur. Tenue de circonstance,   elle portait une jupe très courte, qu'elle pouvait aisément retrousser, facilitant ainsi la mise en place de ses victimes entre ses cuisses pour les séances de fessées au martinet. Les joues de Maxime, exposées au frottement rêche et continu des bas nylon en étaient, évidemment, les habituelles bénéficiaires. Il avait beau souffrir de ces terribles séances de corrections qu'il craignait par dessus tout, il éprouvait toujours de troublantes sensations à devoir mettre ses fesses entre les mains de ces belles et fortes femmes, si sévères.

une réception



Habituée à se faire obéir, au doigt et à l'oeil, Béatrice donne ses consignes depuis le canapé.
– «  Tu mets tout ça dans les plats que j'ai sortis... sur la table de la cuisine. Et tu me fais ça bien. Sinon gare à tes fesses ! Je n'hésiterai pas à leur donner un petit avant goût de ce qui les attend  pendant la soirée ! »
Elle disait ça sur un ton détaché, avec naturel. Comme si la menace d'une fessée était aussi banale que de proposer une partie de cartes.
– Oui maman... promis, je fais ça bien
– Ce soir nous attendons,  Gladys, Edouard et Robin, Edwige, Claridge avec leur mari et une nouvelle invitée... Madame Bellebourge et son fils Gérôme. Un sacré numéro, celui là, d'après ce que j'ai entendu. »
Maxime, curieux, passe une tête à la porte du salon, une barquette de petits fours dans la main. Il se lèche les doigts couverts de traces de mayonnaise.
Béatrice réagit immédiatement.
– « Tu ne peux pas faire ce que je t'ai demandé proprement, sans t'en mettre partout.  Lave toi les mains, s'il te plaît ! Sinon c'est la mienne que je vais faire claquer sur  tes fesses ! »
Le garçon fait comme s'il n'avait pas entendu.
– « Ah bon, il est comment ce Gérôme ?
– C'est ça... fais le malin... Tu as parfaitement compris ce que je viens de te dire. Tes fesses ne perdent rien pour attendre... »

une fessée déculottée devant les invités


Elle croise ses jambes dans l'autre sens en lâchant un grand soupire d'avertissement qui soulève son opulente poitrine, prête à passer par dessus bord.
– « D'après ce que m'a dit Gladys il fait la paire avec Robin. Une sombre histoire de trafic de revue érotiques.. ou un truc comme ça, J'ai comme l'impression que c'est un sacré loustic !  Il y a des fessées qui se perdent, mais pas pour longtemps ! ».


Vous voulez relire l'épisode en entier ?

Pas de souci, le voici : saison 2 chapitre 20


Prochaine illustration...

...et bien non ! Nous sommes au bout de la saison 1. Attendons la saison 3, elle ne devrait pas tarder.

A vos commentaires !

Que pensez-vous de cette rediffusion ?

1 commentaire:

  1. Bonsoir Ramina,

    Excellente idée de proposer une version écourtée de tes récits de "ces Dames". On reste dans le mouvement.
    J'ai repris certains de tes personnages dans la grille du jeu. Mais j'imagine que tu as déjà planché sur les définitions...
    J'ai un autre petit jeu déjà prévu. Hé, hé, hé !!!
    Qu'est-ce que la fessée peut inspirer comme trouvailles !!
    Amicalement. Peter Pan.

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