Le Vendredi matin, après une toute petite nuit, j’enfile une jupe ample, car
je me doute que le feu de la fessée m’interdira le port tout autre vêtement
serré. La gorge serrée, ayant à peine pris mon petit déjeuner, je quitte mes
parents qui m’étreignent en me souhaitant beaucoup de courage et me disent
qu’ils penseront très fort à moi toute la journée.
A contre cœur, je prends le bus où je retrouve mes amies Olga et Iourievna
qui elles-aussi sont tristes pour moi. A notre arrivée à l’école, nous sommes
accueillies par Adilson et Clément qui me ridiculisent en me disant que c’est
le « grand jour » et qu’ils ont hâte de me voir nue, de me voir me tortiller
et de m’entendre hurler ! Je passe sans broncher, en rougissant, car l’émotion
me submerge et je suis au bord des larmes.
Durant les cours du matin Je ne suis pas du tout concentrée, ce que me font
remarquer mes professeurs, mais ils n’insistent pas trop, conscients que mon
esprit est déjà tourné vers ce qui m’attend ce midi.
A la fin du dernier cours de la matinée, mon cœur fait des bonds dans ma
poitrine lorsque Léa me dit de l’accompagner chez la proviseure. Olga et
Iourievna m’enlacent tendrement pour me souhaiter bon courage. En me serrant
dans leurs bras, je trouve un peu de réconfort avant ma douloureuse et pénible
épreuve.
Sous le regard amusé ou plein de compassion ou moqueur des autres étudiants
de ma section, je quitte la salle de cours. Même dans les couloirs, les élèves
et professeurs que Léa et moi, croisons savent très bien où je vais et
pourquoi. Tous me dévisagent et je me contente de baisser la tête préférant
ne rien voir !
En entrant dans le bureau, Fabienne D. m’ordonne de retirer tous mes
vêtements, car c’est nue qu’on m’emmènera dans la cour et c’est ici même que
je me rhabillerai après ma punition. Dès que j’ai retiré mon tee-shirt et ma
jupe, je sens mon menton trembler et mes yeux s’humidifier. J’ai du mal à
dégrafer mon soutien-gorge et retirer ma culotte et c’est avec un remarque
désobligeante de Fabienne D. qui me dit que nous sommes entre filles et si
je fais ma mijaurée maintenant, qu’est-ce que ça sera lorsque je serai nue
devant tout le monde ?
Je finis par obtempérer, ce qui ne m’empêche pas de
mettre mes mains devant mon pubis et mes seins, attrapant la chair de poule.
Fabienne D. m’ordonne de retirer mes mains pour qu’elle vérifie mon épilation.
Je refuse en disant que c’est fait, trop confuse pour m’exhiber devant
elle. Etant tête baissée, je ne vois pas la gifle arriver et claquer sur ma
joue. Surprise par la claque, je retire prestement mes mains, car Fabienne
D. était prête à m’en claquer une seconde sur l’autre joue. Sans me le refaire
dire une seconde fois, j’écarte largement les cuisses en exhibant mon pubis
et mes grandes lèvres pour bien lui prouver que mon épilation est très récente
et que je suis bien propre, comme convenu. Fabienne D. me dit que je n’étais
pas obligée d’écarter les cuisses à ce point, car mes grandes lèvres ouvertes
laissent voir mon clitoris. Cette réflexion salace me fait resserrer les
cuisses et rougir plus fortement. En voulant faire du zèle, je me suis
complètement ridiculisée devant les personnes présentes !
Fabienne D. nous dit de rejoindre la cour via l’infirmerie, car l’heure
approche et il ne faudrait pas faire prendre du retard pour le début des
repas à la cantine, car avec ce qu’ils vont voir, les élèves auront de
l’appétit. Je me presse dans les couloirs pour rejoindre l’infirmerie.
Laetitia F. m’ausculte intégralement afin d’établir le PV pour ma punition :
Prise de pouls, tension et palpation des fesses et des cuisses, avant de
pratiquer un touché vaginal assez minutieux (parfaitement inutile selon moi
!), Laetitia F. me fait comprendre que la fessée aux martinets va me provoquer
des émotions et des sensations assez proches de la jouissance, ce qui ne me
rassure pas du tout.
Avant le départ pour la cour, l’infirmière me conseille d’aller aux toilettes,
car il serait très humiliant pour moi d’uriner en public lors de ma fessée.
Assez souvent, la peur et la douleur déclenchent ces réactions non contrôlées.
Je suis ses conseils et je n’urine que quelques gouttes, même en me forçant.
Avant de sortir du cabinet médical, je remercie encore une fois Laetitia F.
pour son intervention en conseil de discipline pour la réduction du nombre
de cinglées, c’était super gentil de sa part. L’infirmière me dit qu’elle
sait ce que je vais endurer et elle a essayé de minorer ma peine et que c’est
son rôle de protéger au maximum les étudiants, dans la mesure du possible.
Toujours confuse d’être nue, je me cache à nouveau le pubis et les seins,
mais la proviseure exige que je retire mes mains car il faut que j’accepte
ma nudité devant tout le monde car l’humiliation fait partie de ma punition.
Trop pudique et refusant de m’exhiber en public, Fabienne D. prend une corde
et m’attache les mains dans le dos, puis me pousse au travers des couloirs
vers la cour. Le visage tout rouge de confusion, je marche le plus lentement
possible, pour tenter de retarder au maximum l’arrivée dans cette cour bondée
d’élèves, ce qui m’effraie.
Lorsque la porte d’entrée est atteinte, je refuse de sortir et Fabienne D.
est obligée de me pousser un grand coup pour me faire sortir. Avec un cri de
peur, je me retrouve au milieu des élèves, car en me voyant les élèves
rigolent et se moquent de me voir nue. Mes tétons se dressent et deviennent
durs par l’angoisse et l’humiliation ressentie. Je suis en pleurs, voulant
être à cent mille lieues d’ici. Je pense être dans un cauchemar dont je vais
sortir, mais il faut bien se rendre à l’évidence, ce n’est pas le cas.
Nous atteignons le milieu de la cour et Fabienne D. me retourne face au public
augmentant mes sanglots, pour annoncer ma fessée, car il faut que celle-ci
soit démonstrative et profitable à tous les élèves et étudiants. Les bagarres
sont interdites et le premier ou la première qui dérogera au règlement
intérieur sera soumis à la même punition que moi. Les mains toujours attachées
dans le dos, mon intimité est révélée et les élèves ne se gênent pour la
commenter.
Après avoir attaché mes poignets et mes chevilles sur une barrière, penchée
en avant à l’équerre et cuisses écartées, Fabienne D. remet les fameux
martinets de correction à sept longues lanières de cuir au professeur de
sport Jessica T. et à mon professeur principal, Aline F. Ce seront elles deux
qui me cingleront le bas du corps à tour de rôle. J’ai l’impression d’être
seule au monde ! Je trouve encore la force de hurler que je suis innocente
et que tout ça est injuste ! Propos qui font rire les élèves, comblés de voir
une étudiante en si mauvaise posture.
Je me rappelle les filles qui ont été fessées avant moi, penchées comme je
le suis, elles ne pouvaient qu’exhiber leur vulve et on pouvait voir leurs
grandes lèvres écartées et le rosé de leur vagin. Ces visions ont le don
d’exciter tous les garçons et certaines filles.
Les élèves se pressent au premier rang pour ne rien perdre du « spectacle ».
C’est résignée, penchée en avant et cuisses largement écartées que la première
cinglée s’abat sur mes fesses. Surprise par la douleur, je sursaute en
grimaçant. La seconde cinglée me fait bondir et gémir. Les cinglées suivantes
m’arrachent des plaintes ou des grognements en trépignant. Les brûlures m’enveloppent progressivement et petit à petit je perds la notion de mon
entourage.
Les clameurs, les rires, les moqueries des élèves s’estompent pour
faire place à la douleur. Mon esprit est comme dans du coton et plus rien
n’a d’importance, seule compte la souffrance ardente que je ressens lorsque
les lanières me mordent la chair. Je tire comme une damnée sur mes liens en
criant. Malgré mon courage, je ne parviens pas à me taire.
Les fouettées ne cessent pas de s’abattre sur mes fesses puis sur mes cuisses.
J’ai l’impression d’être assise sur un feu ardent. Je tente d’appeler au
secours, mais mes hurlements m’en empêchent.
Les professeures, Jessica T. et
Aline F. semblent prendre du plaisir à me cingler le bas du corps à un rythme
soutenu, de part et d’autre de moi, ne me laissant presque pas de répit entre
chaque fouettée. Les longues lanières m’enveloppent le corps et le bout des
lanières me cingle les hanches allant même parfois, à me cingler le bas
ventre, ce qui me fait hurler la bouche grande ouverte, à gorge déployée.
En guise de conclusion, les deux fesseuses me cinglent l’intérieur des
cuisses, m’arrachant ainsi des hurlements stridents qui me font me
contorsionner davantage et me débattre vigoureusement, faisant ballotter mes
seins, à la plus grande joie des garçons, qui attrapent le fou rire.
Soudain, je ne sens plus les morsures des lanières, juste le feu irradiant
et c’est alors que je réalise que la punition est finie. Mes sanglots et mes
cris continuent de couvrir les conversations des élèves les plus prêts, qui
ont une vue superbe sur ma croupe marquée et mon intimité dévoilée, mais je
dois dire qu’à ce moment-là, c’est le cadet de mes soucis.
Les deux fesseuses viennent près de moi et me détachent. Je m’écroule à
genoux, les deux mains sur les fesses brûlantes et hyper sensibles.
Jessica
T. et Aline F. me relèvent. Tremblante de tous mes membres, je donne une bien
piètre image de moi, le visage grimaçant de douleur et les yeux rouges par
les larmes.
Fabienne D. demande à Adilson de s’approcher et m’ordonne de lui demander
pardon à haute voix. Complètement soumise et secouée de sanglots je bredouille
un petit
« Pardon ».
Fabienne D. me dit que personne n’a entendu mes excuses.
Je suis quasiment obligée de crier ma demande de pardon et le fait que je
suis désolée. Adilson, aux anges est arrivé à ses fins.
Se frayant un chemin avec peine, Olga et Iourievna viennent près de moi et
ce sont elles qui m’aident à rejoindre l’infirmerie, au travers des élèves
qui se sont regroupés autour de moi. Certains n’hésitent pas à m’insulter,
me toucher ou me claquer les seins, les fesses, me pincer les tétons, ce qui
me fait brailler de plus belle. Je crie de colère en me débattant de sentir
ses attouchements odieux et même la proviseure a du mal à rétablir l’ordre.
Nous avançons à petit pas, car la douleur est intense et ma démarche est mal
assurée, c’est comme si je marchais sur des œufs.
Je commence à me calmer et à sortir de ma torpeur lorsque nous rentrons dans
le bâtiment frais ce qui contraste avec la chaleur du dehors.
C’est en sueur
que j’arrive à l’infirmerie où Laetitia F. m’allonge sur le ventre sur la
table d’examen. Prostrée et le moral au plus bas car j’ai perdu ma dignité
devant toute l’école, je trouve tout de même la force de demander à mes amies
de ne pas me laisser seule, car j’ai besoin de leur réconfort. Olga et
Iourievna se passent de manger pour me tenir la main et tenter de me rassurer.
Mes amies me donnent à boire et j’avale un bon litre d’eau, tant j’avais
soif.
L’infirmière m’étale des linges mouillés sur les fesses et sur les cuisses
pour apaiser les brûlures, ce qui me fait ruer et grogner.
Par conscience
professionnelle, Laetitia F. me reprend la tension et le pouls qui sont tout
à fait normaux. Ma bonne condition physique est un plus pour mon
rétablissement.
Ne pouvant en faire plus, Laetitia F. me demande d’aller prendre une douche,
car humide de sueur, je ne suis pas présentable pour l’après-midi. Mes amies
m’aident à me lever et elles m’accompagnent au bac de douche. L’eau fraîche me procure une réelle sensation de bien-être. C’est vraiment très agréable de
se sentir propre.
En me savonnant, je constate que mon entrecuisse est gluant.
Je réalise que ce qu’avait dit l’infirmière est vrai, à savoir qu’il est
fréquent que la cyprine coule lors des sévères fessées, essentiellement dues
aux ruades, à l’excitation de la situation (même inconsciemment) et à la
douleur irradiant tout le bas du corps. En me lavant, mes doigts passent sur
mes grandes lèvres et je ne peux réprimer un va-et-vient sur mon clitoris
qui se durcit. Une main sur mon sexe et une autre me caressant les seins,
tétons dressés, je me soulage intensément, tremblante de plaisir, je dois me
faire violence et serrer les dents afin de ne pas crier lorsque la jouissance
me submerge.
Soulagée, mais en me retournant, je vois que l’infirmière, Olga
et Iourievna me regardent, troublées et gênées par ce qu’elles ont vu, surtout
Olga et Iourievna ! Poussant un cri de surprise et piquant un énorme fard,
je leur demande pardon en bégayant de honte, consciente que je viens de me
ridiculiser totalement devant elles.
Voulant dédramatiser la situation, l’infirmière me dit que ces réactions sont
normales car j’ai vécu une situation très intense en émotions, de ce fait,
la masturbation et l’orgasme en sont le parachèvement, mais je m’en veux
terriblement que mes amies m’aient vu jouir.
Vers treize heure, ayant eu la permission de sortie de l’infirmerie, Léa qui
vient d’arriver, Olga, Iourievna et moi, toujours nue, allons au bureau de
la proviseure, à faible allure. L’infirmière tente de me rassure en me disant
qu’après quelques jours de souffrance, il n’y paraîtra plus rien. A cette
heure, les allées sont presque vides et tête baissée, je rase les murs
derrières mes amies pour exposer le moins possible ma nudité au public qui
en a déjà vu plus d’assez.
En salle d’attente, Fabienne D. nous laisse poireauter quinze minutes puis
nous fait entrer Léa et moi. Quelques élèves passent et repassent devant le
bureau, ne se privant pas de regarder dans ma direction. Léa donne le bon de
sortie de l’infirmerie à Fabienne D. qui met à jour mon dossier électronique.
De ce fait, mes parents pourront le consulter.
Notre proviseure me dit qu’elle espère que j’ai compris la leçon. Je
m’empresse de lui répondre que oui. Elle ajoute que s’il devait y avoir
d’autres heurs, la punition sera plus sévère et il y aurait en plus un renvoi
temporaire ou définitif de l’école. La proviseure me dit qu’il est temps
d’améliorer mon sale caractère, qu’elle en a maté d’autres et qu’elle fera
de moi une étudiante docile. Fabienne D. ajoute que si je m’améliore,
l’assignation en conseil de discipline pourrait disparaître de mon dossier
et de ce fait mon choix d’orientation vers l’université de TOULON serait
possible, aux vues de mes bons résultats scolaires, car elle sait aussi
récompenser lorsqu’un étudiant fait preuve de bonne volonté. Cette
perspective me redonne un peu de baume au coeur, malgré le feu qui couve
toujours sur mon arrière train.
Fabienne D. me rend mon tee-shirt et ma jupe. Je lui demande mon soutien-gorge mais la proviseure me le refuse. Je resterai nue sous mon tee-shirt et
sous ma jupe durant tout l’après-midi. Par cette méthode, je vais me rappeler
que je suis encore sous le coup d’une punition. Je viendrai les récupérer ce
soir, avant de partir. J’enfile rapidement mon tee-shirt et beaucoup plus
délicatement ma jupe, car le frottement du tissu sur mes chairs hyper
sensibles me fait grimacer. En plus de la douleur, il faudra que je marche
doucement, car mes seins libres vont flotter et ce sera visible comme si
j’étais torse nu, de plus avec mes tétons qui pointent, ça n’arrange rien.
Le cours de l’après-midi est l’éducation physique, avec Philippe M. Celui-ci
me dispense de la séance. Je ne peux que regarder les autres entrainement et
ne pouvant m’asseoir, je passe la séance debout, bougeant le moins possible
pour ne pas souffrir.
En fin d’après-midi, accompagnée d’Olga et de Iourievna, je vais chez la
proviseure récupérer ma culotte et mon soutien-gorge. Mettant les textiles
dans mon sac, je prends congés et nous partons car je souhaite quitter l’école
le plus rapidement possible et tant pis pour la nudité sous mes habits.
Fabienne D. me dit de bien me reposer et surtout de méditer ma faute, car
mon avenir est en jeu.
Iourievna nous dit de nous dépêcher, car notre bus va arriver. D’une démarche
très hésitante compte tenu du feu qui couve sous ma jupe, je rejoins l’arrêt
de bus en grimaçant et en gémissant, celui-ci est déjà là. Très
intelligemment, Iourievna bluffe le chauffeur qui râlait en lui disant que
je me suis fait mal lors de la séance de sport et c’est la raison de ma
démarche, les cuisses écartées. La montée des marches du bus m’arrache un
petit cri de douleur. Essoufflée, je remercie mon amie d’avoir fait attendre
le bus.
Durant le trajet, Maman me téléphone pour prendre de mes nouvelles par rapport
à ma punition du midi. Je lui explique ce que j’ai enduré, la douleur intense,
les moqueries, la grande humiliation et je lui dis que j’ai l’impression que
mes fesses et mes cuisses ont doublées de volume. Maman, triste pour moi,
tente de me rassurer en me disant qu’elle est rentrée plus tôt à la maison
et qu’elle va bien s’occuper de moi durant tout le weekend.
En arrivant à destination, Olga et Iourievna m’aident à descendre et
m’accompagnent à la maison.
L’eau bue à l’infirmerie me fait un terrible
effet sur la vessie et nous sommes encore à quatre cent mètres de la maison.
A l’allure où je marche, quinze minutes me seront nécessaire. Inutile
d’accélérer car le frottement de ma jupe sur mes fesses endolories me rappelle
à l’ordre et me force à ralentir. En ayant honte, je dis à mes amies que j’ai
une envie super pressante et que je redoute le pire. Olga me dit de contracter
mon bas ventre, car on y est presque. A bout de m’être retenue, quelques
gouttes dégoulinent le long de ma cuisse.
Je serre les dents pour ne pas
lâcher, car nous croisons des gens, mais mon Sphincter m’abandonne, n’en
pouvant plus, j’écarte les cuisses et je me laisse aller à uriner. Un puissant
jet coule et forme une marre à mes pieds. Olga et Iourievna sont autant gênées
que moi, car les gens se retournent dont certains me traitent de « fille dégoûtante ». Je dois soulever et écarter ma jupe pour ne pas en mettre
partout. Le rouge me monte aux joues car je suis très embarrassée par ce
relâchement. Je me dépêche de finir pour repartir, car des connaissances
pourraient me croiser, me reconnaître et avoir une mauvaise opinion de moi
et de mon éducation, ce qui rajouterait à mon extrême humiliation de la
journée.
En ouvrant la porte de la maison, je vois Maman et c’est avec bonheur et en
sanglots que je me pends à con cou. Compatissante, elle me dorlote, comme
une petite fille. Nous rentrons et bien que mes amies soient présentes, je
retire prestement ma jupe sentant l’urine, et surtout pour ne plus sentir le
frottement du tissu sur ma chair. Maman constate que les fesseuses n’y sont
pas allées de main morte et après une douche fraîche, allongée et nue sur le
canapé, je termine l’après-midi, des sachets de glace sur les fesses et sur
les cuisses.
Avec deux verres de Vodka, ma douleur s’apaise.
Maman me dit qu’Olga et Iourievna ont acceptées de me tenir compagnie durant
tout le week-end. Elles resteront avec nous et entre copines, nous papoterons,
comme lorsque nous le faisions lors de nos soirées pyjama, étant plus jeunes.
Olga et Iourievna se réjouissent de venir passer du temps avec moi. Ce ne
sont pas mes meilleures amies pour rien ! Durant ces soirées entre filles,
nous papotons jusqu’à ce que nous nous écroulions de sommeil.
Les premières nuits sont parsemées de cauchemars, me réveillant en sursaut,
toute moite.
Les soins finissent par faire effet et les sachets de glace
terminent de me calmer.
Durant tout le weekend, uniquement vêtue d’un tee-shirt, je reprends le court
de ma vie avec en soutien moral mes parents et mes deux amies. Ma démarche
est moins vacillante et je serai à peu près en forme pour reprendre les cours,
cependant j’appréhende ce retour et les confrontations aux autres élèves, qui
ne manqueront pas de se commenter ma punition. Le point d’orgue sera ma
rencontre avec Adilson !
Je sais que quatre-vingt pour cent des élèves de ma section ne se moqueront
pas ou peu de moi, car je les ai également vu, nus et en train de se faire
fesser lors des entraînements sportifs où Jessica T. corrigeait les flemmards,
entre autres, Iourievna, Léa et Augustin. Par contre, je sais qu’Adilson a
également été fessé deux fois, mais j’étais absente ou dans un autre cours
de gymnastique les jours où il a reçu ses deux punitions. A posteriori, je
suis très déçue de ne pas avoir été spectatrice, car je sais qu’il n’a pas
été très courageux et que Jessica T. l’a fait « danser ». Il aurait surement
moins fait le fier devant moi si je l’avais vu.
Durant trois à quatre jours, je suis obligée de faire mes besoins à demi
accroupie, me cramponnant comme je peux pour ne pas basculer d’une part et
ne pas en mettre partout d’autre part, car le contact avec la lunette des
toilettes est beaucoup trop douloureux, ces moments sont franchement très
inconfortables ! Papa me suggère de m’agenouiller dehors sur une bassine dans
un coin du jardin, mais en tenant compte de la proximité des voisins, j’ai
vraiment trop peur qu’ils me voient dans une position très inconvenante.
Durant le weekend, les fesses et les cuisses soit enduites de crème soit sous
des sachets de glaces, je reste allongée sur mon lit, sur la banquette ou
simplement debout, mais hors de question de m’asseoir. Je suis heureuse que
mes parents et mes meilleures amies soient auprès de moi pour me remonter le
moral.
Mes activités sont assez limitées mais nous trouvons le temps de nous
promener dans le quartier et surtout de papoter entre filles. Pour les petites
promenades dehors, je m’enroule le bas du corps dans un paréo opaque pour
que la finesse du tissu ne m’irrite pas trop la chair.
Je passe également mon temps à ruminer ma vengeance envers Adilson, car il
est hors de question qu’il s’en tire à si bon compte. J’estime que j’ai été
victime d’une machination.
Le Lundi matin, en arrivant à l’école, je suis convoquée chez la proviseure
où celle-ci et l’infirmière me demandent de leur montrer l’état de mes fesses.
Constatant que je suis sans culotte sous ma jupe, Fabienne D. me traite de
« petite fille douillette ! », malgré le fait que mes fesses portent toujours
les marques de la fessée de Vendredi midi.
Après quelques palpations dont
certains très intimes, l’infirmière nous dit que dans trois ou quatre jours,
il n’y paraîtra plus rien, ce qui renforce l’idée de la proviseure que j’en
fais beaucoup pour si peu.
En début de chaque cours, je prends mille précautions pour m’asseoir. Le fait
que je grimace et que je me tortille en m’asseyant fait sourire certains !
Mes amies sont obligées de les remettre à leur place en disant qu’ils
devraient être bienveillants par égard de ce que j’ai subi.
Durant plusieurs semaines, je suis victime des remarques déplacées, voire
salaces d’un bon nombre élèves de l’établissement, surtout des plus jeunes
qui n’ont pas été soumis aux punitions corporelles, car le règlement interne
autorise la proviseure a prononcer ce type de punition publique sur des
étudiants à partir de dix-huit ans. Pour les élèves plus jeunes, les
corrections doivent être administrées devant un public restreint ( la
proviseure, le professeur et le/la chef de classe ou dans les cas les plus
graves devant les élèves de leur classe ). Il me faut tout mon courage pour ne pas m’effondrer en larmes en entendant ces commentaires.
Une série écrite par Elena
Elle nous revient pour quelques épisodes, un, c'est sûr, deux, très probable, plus ? ça semble le cas ! L'aventure continue !
Dans l'entourage d'Iourevna d'autres fessées ont déjà été administrées, lisez-les ici : chapitre 1, le début de la série et l'épisode précédent, le chapitre 13 acte 1Retrouvez-les tous sur la page des auteurs invités
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Bonjour Elena. Et bonjour tout le monde.
RépondreSupprimerIl y a, dans votre récit, des personnages qui occupent une position tout particulièrement privilégiée. L'infirmière, qui ne se prive pas de palper allègrement garçons et filles sous couvert de vérifications médicales et qui ne semble d'ailleurs pas assister aux punitions proprement dites. Léa, qui, en tant que déléguée de classe, a accès à des moments privilégiés.
Reste que, pour Elena, cette punition est particulièrement éprouvante, tant par la présence moqueuse avant, pendant et après, de camarades qui se réjouissent ouvertement de ce qui lui arrive que par le déroulé à proprement parler des "opérations". On lui attache les mains derrière le dos pour l'obliger à se montrer malgré elle. On lui impose une humiliante position, jambes écartées, à l'équerre, pour recevoir sa punition. On la contraint à demander publiquement pardon pour une faute qu'elle n'a, en réalité, qu'à moitié commise, poussée qu'elle y a été par des garçons machiavéliques.
Et ce n'est pas tout: il lui faut encore, pressée par le besoin, se faire dessus en public et se montrer incapable de s'empêcher de s'offrir, devant ses amies un plaisir libérateur.
On se prend dès lors à espérer ardemment qu'il y aura un acte 3 qui verra les garçons se trouver à leur tour dans une situation des plus inconfortables.
Amicalement.
François
Bonjour François et à tous,
RépondreSupprimerMerci pour ce commentaire résumant bien le déroulé de l’action. En effet, Elena ne méritait sans doute pas cette odieuse fessée, par contre, elle s’est laissée prendre au piège et n’a pas pu s’en défaire.
La morale serait qu’il n’est jamais bon de faire justice soi-même. Dans le texte, Elena s’en souviendra toute sa vie. Malgré tout, les liens d’amitiés avec ses amies s’en trouvent renforcés et c’est une consolation dans son malheur.
La discipline à Ste CROIX est très forte, ce qui fait que les élèves et étudiants qui sont diplômés ont un niveau envié par d’autres établissements, par contre, le revers de la médaille est que les élèves sont tenus et condamnés à donner le meilleur d’eux même, dans tous les domaines.
Pour ce qui est d’une suite, surement.
Amitiés.
Elena