jeudi 19 septembre 2019

Mes premières fessées - chapitre 7

Amélie déjeunait dans la cuisine.
– Alors ? Bien dormi ?
Avec un petit sourire moqueur.
Je n’ai pas répondu. Je me suis servi un grand bol de café au lait et je suis venu m’asseoir à ses côtés.
– N’empêche que tu t’en es bien sorti, toi, hier soir, avoue ! Parce que tu parles que t’étais pas au courant pour Philibert…
– Mais non, je l’étais pas.

– Ben, voyons ! Prends-moi bien pour une lapine de trois semaines. Mais t’as bien été puni quand même au final. Parce qu’elle t’est passée sous le nez la fessée de Clarisse. Comment j’ai trop aimé ta tête quand elles t’ont viré ! On aurait dit un gamin à qui on retire son jouet. En plus t’as vraiment raté quelque chose. Parce qu’elle y est allée de bon cœur, ma mère. Comment elle a piaulé, l’autre ! Et comment elle a gigoté ! Tout ce qu’on voulait on pouvait voir. D’autant qu’elle se l’épile le minou. Complètement. Ah, tu te serais régalé, sale vicieux que tu es.
– Je…
– Tu, quoi ? T’es pas vicieux peut-être ? Bien sûr que si ! Tous les mecs le sont. Tous ! Alors là ! Ça se discute même pas. Va me resservir un café, tiens, plutôt !
Que je suis allé lui chercher.
– Ce qu’il y a de sûr, en attendant, c’est qu’elle va se le garder cramoisi un moment, le cul. Et qu’elle est pas près de s’asseoir. Vu comment elle a ramassé. Ce qu’il y a de sûr aussi, c’est qu’elle est pas près non plus d’y remettre le nez à mon frère. Chatte échaudée… Et c’est pas plus mal. Parce qu’elle est imbuvable, cette fille, avec ses petits airs supérieurs. Et puis fausse avec ça. Si tu savais tous ces coups tordus qu’elle a faits. On en écrirait un roman. Je suis bien tranquille qu’en plus, Philibert, elle l’a déjà fait cocu plus souvent qu’à son tour. Seulement lui, il voit rien. Il bave devant comme un imbécile. De toute façon, de quelque façon qu’on retourne la question, ça peut pas aller bien loin, leur truc. Tu l’imagines en couple, toi, Philibert ? Vraiment en couple ? Il jure que par les copains. Il y a que ça qui compte. Et s’ils étaient vraiment ensemble, il passerait dix fois plus de temps avec Jérôme, son frère, qu’avec elle. À imaginer tout un tas de magouilles qui finiraient, comme d’habitude, par leur retomber sur le coin de la figure. Alors…

Clotilde avait une proposition à me faire.
– On fait les mêmes études. Et, une fois sortis de cours, on bosse chacun dans notre coin. C’est un peu idiot, non, tu trouves pas ?
Je la voyais venir, là. Je la voyais venir.
– Alors ce qu’on pourrait peut-être, c’est se retrouver le soir. Et le week-end de temps en temps. On se soutiendrait. On s’épaulerait. On avancerait beaucoup plus vite comme ça. Hein ? Qu’est-ce t’en penses ?
Ce que j’en pensais, c’est que, comme par hasard, cette idée lui était venue deux jours après m’avoir vu honteusement fessé. Ce que j’en pensais, c’est qu’Amélie l’avait très probablement fort bien percée à jour, qu’elle avait bien apprécié le spectacle que je lui avais bien malgré moi offert et qu’elle espérait pouvoir se trouver au bon endroit au bon moment la prochaine fois que je m’en prendrais une.
Ce que j’en pensais aussi, c’est qu’il allait falloir que je la joue fine. Parce que pas question de me la mettre à dos. Pour qu’il aille lui passer par la tête l’envie de me le faire payer ! Pour qu’elle aille raconter aux uns et aux autres, à la fac, à quel traitement infamant j’étais parfois soumis…
– Hein ? Qu’est-ce t’en penses ?
– Que c’est une bonne idée ! Une excellente idée. Va falloir qu’on mette ça au point.
Mais j’étais fermement décidé à différer. Aussi longtemps que possible.

Sauf que, le soir même, du bruit en bas. Des voix. Un bon moment. Et puis un pas dans l’escalier. Et elle a fait irruption dans ma chambre. Résolument.
– Allez, on s’y met ? Faut battre le fer tant qu’il est chaud.
Et on a passé pas loin de deux heures à bûcher nos cours.
Pour le peu qu’elle l’avait vue, pour le peu qu’elle s’était entretenue avec elle, Madame Dubreuil était tombée sous le charme.
– Tu as une petite camarade en or, là. Elle, au moins, elle a les pieds sur terre. Tu devrais en prendre de la graine. Ça te ferait pas de mal.
Clotilde est revenue le lendemain. Quand on est redescendus, madame Dubreuil l’a retenue à dîner.
Et ça a été ma fête.
– Comme je lui disais hier soir, il a une chance inouïe de vous avoir. Parce que c’est quelqu’un de complètement inconsistant, Raphaël. Il faut sans arrêt être derrière lui. Pour tout. Si on ne le surveille pas, si on ne le stimule pas, il part complètement à la dérive. Il fait n’importe quoi. Ses études ? Il faut lui remettre constamment le nez dedans. Sinon, il se jette sur le premier prétexte venu pour les laisser de côté. La preuve : il a suffi, l’autre jour, qu’un soi-disant copain croise sa route pour qu’il sèche toute une journée de cours. Et il recommencera. À la première occasion. Il pourra pas s’empêcher de recommencer. Alors, vous m’avez peut-être trouvée dure, l’autre soir, avec lui…
Elle a fait signe que non. De la tête. Non. Non. Pas du tout.
Et j’ai piqué du nez dans mon assiette.
– Mais il y a pas que ça. Si vous saviez ce qu’ils nous en ont fait voir, cet été, Philibert et lui.
Et on a eu droit au récit circonstancié des fessées qu’elles nous avaient infligées, madame Lançon et elle, pour nous punir de notre inqualifiable comportement lors de la fameuse nuit du vol des monnaies.
Je me dandinais sur ma chaise. Philibert s’était ostensiblement absenté dans ses pensées. Amélie riait sous cape. Quant à Clotilde, elle buvait littéralement, l’œil brillant, les propos d’une madame Dubreuil qui prolongeait interminablement son récit, qui multipliait les détails, comme à plaisir, qui précisait, commentait, revenait en arrière.
J’étais sur des charbons ardents.
– Ils l’avaient pas volé, avouez !
Un bref petit coup de menton de Clotilde pour confirmer que non. Elle avait raison. Non. On l’avait pas volé.
– Et ce n’est pas tout !
Ce n’était pas tout. Pour faire bonne mesure, elle a enchaîné avec la correction à la ceinture qu’elle m’avait administrée devant Quentin.
– Parce qu’en plus de tout le reste, il boit. Il se met complètement minable. Non, mais vous vous rendez compte ?

Quand elle a été partie, c’est moi qui ai débarrassé la table. En compagnie d’Amélie qui arborait un petit sourire satisfait.
– Cet air tout penaud que t’avais ! T’étais trop drôle, je t’assure ! J’ai adoré. Elle aussi, d’ailleurs ! Toi, t’as pas vraiment vu parce que t’étais surtout passionné par ton assiette, mais je peux te dire que ça la laissait pas de marbre d’entendre raconter les fessées que tu t’es ramassées. Je suis bien tranquille qu’elle était à tordre, sa petite culotte, à la fin, et que ça va pas boiter : juste le temps de rentrer chez elle, le plus vite possible, et elle va se doigter comme une petite folle en repensant à tout ça.
Elle s’est servi un grand verre d’eau.
– J’espère que t’apprécies au moins. Parce que c’est pas tous les mecs qu’ont la chance d’avoir une nana qui se fait des grattouilles en pensant à eux. Bon, c’est vrai que c’est dans une situation où t’es pas trop à ton avantage, c’est le moins qu’on puisse dire. Mais c’est justement ça qui fait tout le charme. En ce qui te concerne en tout cas. Parce que c’est un rôle qui te va comme un gant. Et qu’une nana, il lui viendrait sûrement pas à l’idée de se donner du plaisir en imaginant quoi que ce soit d’autre avec toi. Alors là !

– Tu me fuis ?
Clotilde s’est brusquement dressée devant moi à la bibliothèque.
– Hein ? Tu me fuis ?
– Pas du tout, non. Je voulais vérifier un truc…
– Si ! Tu me fuis. Et on sait tous les deux pourquoi.
Elle s’est installée en face de moi.
– Bon, mais faut que je te parle. Parce qu’elle m’a appelé, ta mère, ce matin.
– Ma mère !
– Oui, enfin, la femme chez qui tu vis, là. C’est pareil.
– Qu’est-ce qu’elle voulait ?
– Que je t’aie à l’œil. Et que je la mette aussitôt au courant s’il y avait quoi que ce soit qui commençait à poser problème dans ton comportement.
– Manquait plus que ça !
– Oui, oh, ben, je comprends qu’elle se fasse du souci pour toi, hein !
– Ce qui veut dire ? Que tu vas entrer dans son jeu ?
– Non, mais attends, Raphaël ! Est-ce que tu te rends compte ? Tu pars complètement à la dérive. Tu voles. Tu picoles. Tu prends tes études par-dessus la jambe. Et ça, je suis bien placée pour le savoir. Alors qu’est-ce que tu veux que je te dise ? Tu peux quand même pas lui reprocher de vouloir te protéger de toi-même. De vouloir t’empêcher de mal tourner ou de te détruire la santé. Tu peux quand même pas lui reprocher de vouloir que tu réussisses tes études. Si ?
– Non.
Un tout petit non. Du bout des lèvres.
– Eh ben alors !

Le samedi, en tout début d’après-midi, Amélie a surgi dans ma chambre.
– Allez, arrive ! Je t’emmène.
– Hein ! Où ça ?
– Chez ma copine Floriane. Depuis le temps qu’elle veut te connaître…
– Mais…
– Mais quoi ? Ma mère ? Elle est d’accord, ma mère. Du moment que je suis avec toi et que je te surveille. Allez, route !
Sa copine Floriane était une petite brune toute frisée, aux yeux verts, aux lèvres sensuelles, qui m’a examiné, des pieds à la tête, avec une petite moue dédaigneuse.
– Alors, comme ça, tu dis que c’est lui !
– C’est lui, oui !
– Il a pas l’air vraiment à l’aise.
– Et encore ! Là, c’est rien. Tu le verrais quand il s’en prend une ! Tout piteux. Tout honteux. Il sait plus où se mettre. Ah, je t’assure que ça vaut son pesant d’or !
– Tu dois te régaler…
– Tu parles si je me régale ! Plus il est tout penaud et plus je me délecte.
– Faut pas être hypocrites non plus, hein ! On est toutes pareilles. Voir un mec rabaissé, c’est le pied. Ils sont tellement prétentieux. Ils nous prennent tellement pour des moins que rien, nous, les filles, que ça fait du bien. Comment ça fait du bien ! Moi, ça m’excite même. Si, c’est vrai, hein ! Et pas qu’un peu ! Quand sa mère lui en colle une à Ugo, ça me met dans tous mes états. Alors après faut qu’il passe à la casserole. Il a pas le choix. Il déteste. Pas d’y passer, non, pour ça, les mecs en général, ils sont toujours preneurs. Mais que ce soit ça qui m’excite. Qu’il y ait que ça qui m’excite en fait. Ça le vexe. C’est dingue ce que ça peut le vexer. Mais moi, plus ça le vexe et plus ça m’enfièvre. Et je me prends un pied pas possible à sentir ses petites fesses toutes chaudes sous mes doigts et à repenser à la façon dont il les trémoussait en piaulant.
Elle a poussé un profond soupir.
– Parce que le reste du temps, vu la façon dont il s’y prend, il y a pas de risque que je monte au septième ciel. Non, plus nul que lui, tu meurs. Alors heureusement qu’il y a ça parce que sinon…
– Il y a longtemps que tu l’aurais largué.
– Oh, ça c’est sûr. Et je me gêne pas pour lui dire.
– C’est souvent qu’il s’en prend ?
– Encore assez, oui. Forcément. Parce que, depuis que son père est mort, ils sont plus que tous les deux, sa mère et lui, pour gérer l’entreprise familiale. Elle, elle lui a formellement interdit de prendre quelque initiative que ce soit sans l’avoir préalablement consultée. Parce que, chaque fois qu’il s’y essaie, c’est une véritable catastrophe. Seulement, c’est plus fort que lui. Il veut jouer au patron. Il peut pas s’empêcher.
– Attends ! Écoute ! Écoute ! On dirait que…
– C’est la voix de sa mère. Et là, elle est en colère. Vraiment en colère. Il va y avoir droit, ça, c’est sûr ! Venez !
Elle s’est précipitée dans l’escalier. On a suivi.
Là-haut, il était réfugié dans un coin. Un grand type dégingandé. Avec un air de chien battu.
– Je croyais que…
– T’as pas à croire ou à ne pas croire. Tu as à faire ce que je te dis. Un point, c’est tout !
– Mais…
– C’est qu’il discute en plus !
Elle s’est approchée, menaçante.
Il s’est rencogné un peu plus encore dans l’angle du mur.
– Qu’est-ce que tu veux ? Qu’est-ce que tu cherches ? À couler la boîte ? C’est ça ? Tu seras bien avancé.
Il a dit quelque chose, à mi-voix, que je n’ai pas entendu.
Une gifle est partie. Une autre.
– Cette fois, ça suffit ! Tu te déculottes…
Il a jeté un rapide coup d’œil dans notre direction.
À mes côtés, Floriane a murmuré.
– Chouette !
Il a supplié en se tordant les mains.
– Oh, non, maman ! S’il te plaît ! Pas ça ! Ça fait trop mal. Et puis…
Encore un coup d’œil, un peu plus appuyé cette fois, dans notre direction.
– Je t’ai dit de te déculotter. Fais attention, Ugo ! Fais bien attention ! Tu sais ce qui s’est passé la dernière fois… Alors si tu tiens absolument à ce que…
Il ne l’a pas laissée terminer.
– Oh, non, hein !
– Eh bien alors !
Il a capitulé. Il s’est déshabillé.
– Et tout ! T’enlèves tout.
Elle l’a regardé faire. Nous aussi.
– Là ! Et maintenant tu vas me chercher le martinet.
Qui se trouvait dans la pièce voisine. Il lui a fallu passer une première fois, tête basse, devant nous.
Amélie a susurré
– Il est pas trop mal monté, quand même !
Une seconde.
– Je sens que ça va être rock’n’roll…
Il a tendu le martinet à sa mère. Qui s’en est saisie et qui lui en a aussitôt expédié une grande cinglée sur les cuisses.
Il a hurlé.
Elle a haussé les épaules.
– Je t’ai à peine touché.
Une deuxième cinglée. À pleines fesses cette fois. Suivie presque aussitôt d’une autre. D’une troisième. Il les ponctuait, chaque fois, d’un grand cri à fendre l’âme. Ce qui avait manifestement le don d’exaspérer sa mère.
– Quel comédien tu fais !
Et elle cinglait de plus belle. Lui, il se dandinait. Il sautillait sur place. En tournant sur lui-même. Pour le plus grand plaisir d’Amélie.
– Comment ça brinquebale tout ça !
Elle a arrêté d’un coup, jeté le martinet.
– Et recommence pour voir !
Elle a regagné sa cuisine. Lui, il s’est enfui, Floriane sur ses talons.
Amélie les a suivis des yeux.
– Ça va donner maintenant là-haut ! Bon, mais va m’entendre dehors. Moi, je vais jeter une oreille dessus…


Pour les distraits qui auraient loupé le début

Tout a commencé comme ça : chapitre 1
Et la semaine dernière, le chapitre 6
Et tous les autres chapitres sur la page "les auteurs invités"

Et la suite ?

C'est le chapitre 8

Les commentaires sont les bienvenus

François Fabien doit-il continuer dans cette direction ? Doit-il écrire un prochain épisode ?

6 commentaires:

  1. Bonjour,
    Ecrit en style direct, dialogues très réalistes en langage parlé et surtout aussi rythmés que les coup de martinets. Lecture fluide bien agréable.
    La revanche des files sur l'arrogance masculine... fessées militantes ?
    Les première ne sont certainement pas les dernières.
    Cordialement
    Ramina

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    1. Bonjour, Ramina…
      C'est vrai que ces demoiselles s'en donnent à cœur joie. Et sans le moindre complexe. Elles ne font même pas mine de jouer les simples apitoyées. De feindre de ne prendre aucun plaisir à voir fesser des derrières masculins. Non, elles assument et l'esprit de groupe aidant… Militantisme? Je ne suis pas certain qu'elles s'inscrivent dans cette perspective-là. Elles sont, à mon sens, plus "primaires". Les garçons leur en ont fait voir. Elles ont l'occasion de leur rendre la monnaie de leur pièce. Elles ne s'en privent pas.
      Amicalement.
      François

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  2. Bonjour à tous,
    En effet, Ramina, c'est un texte assez partisan, où les femmes ont le beau rôle. Ca fait plaisir, de temps en temps de voir le sexe faible avoir le dessus, même si ces chipies sont odieuses, selon moi.
    Mais peut-être que le vent tournera défavorablement pour ces demoiselles. Par contre, la fessée en public devant ces demoiselles aura forcément un écho mortifiant surtout pour un jeune homme, qui doit ravaler sa fierté, contraint et forcé. Il ne fera plus le malin, après ça...
    Amitiés.
    Elena.

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    1. Bonjour, Elena. Et bonjour tout le monde.
      Odieuses, ces chipies le seront davantage encore dans le prochain épisode. Qu'il finisse par y avoir un retour de bâton, c'est en effet tout à fait vraisemblable. Et prévu.
      Il est sûr que le pauvre Raphaël n'a pas d'autre solution que de faire profil bas et de raser les murs, englué qu'il est dans le regard des filles qui lui renvoient en permanence le souvenir des fessées qu'il a reçues devant elles et sous la menace permanente d'en recevoir d'autres. L'une des difficultés auxquelles il se heurte est que toutes les filles, absolument toute, avec lesquelles il se trouve en contact, ont la même attitude moqueuse et humiliante. De là à ce qu'il généralise et en tire des conclusions définitives sur le sexe féminin
      Amicalement.
      François

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  3. Bonjour,
    Je ne suis pas loin de penser que ces récits de sévérité féminine participent d'une tendance à valoriser le soi disant sexe faible. Comme je le disais ( je crois) dans un autre courrier. Soutien au MLF... Mouvement de Libération de la Fessée!! (rires)
    Cordialement
    Ramina

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  4. Bonjour,
    Peut-être osent-elles enfin se donner le droit d'éprouver un plaisir d'une nature un peu différente sans s'en sentir culpabilisées. Seulement… une fois que les lionnes sont lâchées, on peut s'attendre à tout.
    Amicalement.
    François

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