samedi 31 mars 2018

Axel, élève à St Marie - chapitre 36


Je sentis que l’on s’asseyait sur mon lit. Le jour perlait à peine à travers les volets encore clos. Les yeux encore fermés dans mon demi-sommeil, à je ne sais quel détail, un parfum imperceptible sans doute, je sus que c’était Sœur Gabrielle qui venait de prendre place. Sans lever la tête de mon oreiller, je calais mon visage contre sa cuisse, enfouissant mon nez dans le creux qu’elle avait ménagé en s’asseyant. Ma joue était caressée par le tissu de sa robe.
Sa main se glissa sous mes draps. Elle alla chercher le bas de mon pyjama qu’elle remonta en me caressant le dos. Elle prolongea son geste, prenant le temps de parcourir mes reins, de remonter jusqu’à mes épaules. Puis, elle se fraya un chemin sous l’élastique de la culotte de mon pyjama et, doucement, elle explora toute la surface de mes fesses, éprouvant l’élasticité de ma peau entre son pouce et son index, là où subsistaient encore des zones douloureuses. Je réagissais à chaque fois par un petit gémissement sans bouger de ma position, détendu sous sa main.

vendredi 30 mars 2018

Le retour de la fessée à la fac


Un texte de Nicolas, nouvel auteur sur ce blog. Visiblement, il connait Madame Anne Sophie. JLG

Pratiquée jusqu’au début du vingtième siècle dans les prestigieux établissements anglais de Cambridge et d’Oxford, la fessée  va retrouver ses lettres de noblesse à l’Université de Paris 10 Nanterre dès la rentrée de septembre 2018.
Les étudiants et étudiantes indiqueront lors de leur inscription ou réinscription si oui ou non ils adhèrent à ce projet et acceptent  de recevoir ce châtiment si ils l’ont mérité par leur conduite, leurs manquements et négligences.

jeudi 29 mars 2018

Christine - chapitre 24


Mlle Mathilde tombait de haut, de très haut. La jeune professeure qui m’enseignait les mathématiques durant les cours de vacances à Ste-Marie avait eu pour mission de nous surveiller en étude de retenue. Elle s’était laissée déborder par le duo d’élève que je formais avec Magali et surtout, n’avait pas été jugée à la hauteur des attentes que portaient en elle les Sœurs, notamment Sœur Marie-Hortense.

Pour motif grave, une session de discipline s’était tenue à l’initiative de la directrice de Ste-Marie, Sœur Marie-Joseph. J’y avais été convoquée en compagnie de Magali. Toutes les deux nous dûmes nous expliquer sur notre conduite durant l’étude. Pour un échange de mots griffonnés sur une boulette de papier, la sanction était tombée : la réplique allait nous valoir le privilège d’une fessée magistrale au réfectoire. Ni Magali ni moi ne savions ce qu’était exactement une fessée magistrale mais ce terme pompeux n’augurait rien de bon, d’autant que cette punition allait se dérouler en public et non dans le relatif secret du dortoir des filles.

mercredi 28 mars 2018

Mémoire d'un garnement de jadis - 14ème tableau

Je revenais à la maison à chaque fin de semaine. Mais la "leçon" continuait... Mes belles cousines et mes sœurs se faisaient une joie de nous faire " réviser les leçons" comme elles disaient... sous l’œil bienveillant de Maman ! 

mardi 27 mars 2018

Une première fessée à vingt-cinq ans

Je t'avais pourtant prévenu que si tu venais vivre chez moi, ta tante, je serai très exigeante et que je ne tenais pas à avoir chez moi un jeune homme qui croit qu'il est libre de faire ce qu'il veut sous prétexte qu'il a vingt-cinq ans.
Je sais que c'est pratique de venir vivre ici. Il n'y a rien de mieux pour suivre ton doctorat. A dix minutes de l'université, le gite et le couvert assuré gratuitement, une chambre tranquille pour pouvoir travailler, tu as tout ce qu'il te faut.
En contrepartie, je te demande juste un comportement irréprochable, d'être un jeune homme bien élevé et obéissant.

dimanche 25 mars 2018

La première fessée de sa vie

Ce qui est regrettable avec toi, ma chérie, c'est que tu as tendance à croire que depuis que tu es majeure, tu as tous les droits. Comme si, d'avoir passé dix-huit ans le mois dernier, changeait quelque chose. Te figures-tu que tu as tellement grandi en un mois, que plus rien ne serait comme avant ?
Toi que je vantais auprès de toutes mes amies comme étant la grande fille la plus sage au monde, toi que je n'avais presque jamais eu besoin de punir, à tel point que je faisais des envieuses. On aurais pu s'attendre, puisque tu dis que tu es devenue grande, à ce que tu aies gagné en sagesse;

samedi 24 mars 2018

Axel, élève à St Marie - chapitre 35


Les colles du week-end étaient vraiment l’occasion de changer toutes nos habitudes. Sœur Gabrielle emmena les grands, filles et garçons, avec elle. Nous fîmes le tour des dortoirs dans lesquels dormaient habituellement chacun de nous.« Vous prendrez vos affaires de toilette et le change nécessaire pour deux jours. »
Muni d’un petit baluchon, SœurGabrielle nous conduisit à l’étage où dormaient les Sœurs. Ces lieux-là nous étaient interdits durant la semaine. Au bout du couloir où  chaque religieuse avait une chambre, il y avait un dortoir dans lequel nous rejoignîmes les élèves du collège qui y étaient déjà installés.
« Vous avez des draps dans cette panière pour faire votre lit. Installez votre change dans le placard et portez votre trousse de toilette dans la salle d’eau. »

vendredi 23 mars 2018

Ce que le mot « déculottée » veut dire

Madame Anne Sophie a encore eu de la visite. C'est Hervé qui nous le conte. JLG

Au terme d'une heure de fessées –le pluriel en effet s’impose- avec pour résultat visible mes deux fesses du haut en bas jusqu’au pli qu’elles font avec les cuisses voire même jusqu’en haut des cuisses, ainsi que dans leur largeur, totalement rougies, sans omettre les traces très visibles laissées par les lanières de martinet (plusieurs ont servi et de manière abondante sur mes deux hémisphères) et de manière plus intérieure un ressenti ô combien cuisant qui, au moment où j’écris ces lignes, ne s’est pas éteint, et je ne m’en plains pas car c’est aussi cela selon moi, l’intérêt d’être fessé, que son souvenir persiste le plus longtemps de manière vivace –bref, je ne sais plus  précisément combien de fois ai-je été déculotté par Madame Anne-Sophie.

Peut-être une bonne dizaine de fois. Ce qui signifie qu’à chaque déculottage, s’en suivait une sévère déculottée manuelle, soit avec tel ou tel instrument. Il lui est même arrivé de mixer les deux. Madame Anne-Sophie aime déculotter et elle aime aussi employer le mot qui s’y rapporte au point même de désigner par le mot de « culotte » le caleçon très moulant que je portais. Et moi, je le confesse, j’aime entendre ces mots de « déculottée », de « déculottage », de « culotte » …Alors aussi de ce point de vue, j’ai été gâté par madame Anne-Sophie.

jeudi 22 mars 2018

Christine - chapitre 23


Christine  – Chapitre 23


J’avais mal. C’était la première fois que j’avais aussi mal après avoir reçu une fessée. Certes une fessée était faite aussi pour faire mal, mais là, Mlle Mathilde avait dépassé les limites. Elle s’était acharnée sur moi plus qu’elle ne m’avait punie. J’avais ressenti dans ses gestes et dans ses yeux plus de hargne que de raison.

Tout avait commencé par un banal jet de boulette en papier de la part de Magali, je m’étais prise au jeu et je lui avais renvoyé cette boulette. Mlle Mathilde qui nous surveillait en étude de retenue s’était aperçu de cet échange de papier entre Magali et moi. Mais comme notre surveillante de retenue était en premier lieu concernée par la teneur de cette boulette, elle s’était bornée à en minimiser les suites. Tout cela n’aurait eu d’autre conséquence qu’un simple rappel à l’ordre si Sœur Marie-Hortense n’avait intercepté la boulette et ne s’était mêlée des suites à donner.

Elle avait exigé de Mlle Mathilde une ferme reprise en main des deux élèves incriminées que nous étions Magali et moi. Le résultat en avait été une fessée, d’abord donnée à Magali, puis une autre à moi. Si Mlle Mathilde avait corrigé ma camarade du bout des doigts, j’avais ensuite fait les frais d’une trop grande confiance en moi. Pensant avoir la main sur Mlle Mathilde, je l’avais narguée et presque toisée. Ce qui n’aurait dû être qu’une simple fessée s’était rapidement transformé en avalanche de coups plus méchants les uns que les autres. Mlle Mathilde ne me sanctionnait plus, elle prenait sa revanche assouvissant sa vengeance.

mercredi 21 mars 2018

Mémoire d'un garnement de jadis - 13ème tableau

" Comme chaque trimestre, les soeurs Claquemiche, toujours soucieuses de la renommée de leur école, recevaient la visite attendue mais redoutée de Madame l'Inspectrice ! Dont la sévérité et la rigueur n'étaient pas une légende..."

mardi 20 mars 2018

Petit précis de pratique de la fessée éducative

Nous nous rendons tous régulièrement coupables de manquements aux règles de la vie sociale, qu’elles soient formelles ou informelles. C’est même une caractéristique de l’âge adulte de pouvoir décider quelles sont les obligations que nous prenons en compte et quelles sont celles qui nous paraissent superflues et dont on s’émancipe. De ce point de vue, les exigences en direction des enfants sont bien plus grandes que celles qui s’imposent aux adultes.
Chacun se donne des passe-droits sur des sujets qui lui semblent secondaires. Qui n’a jamais traversé une route au feu vert ou en dehors des passages piétons ; ou bien forcé un feu orange ou dépassé une limite de vitesse ? Qui n’a jamais négligé de ramasser un papier qu’il venait de laisser tomber ou confié le soin au suivant qui passerait par-là, de ranger la tasse de café ou un autre objet qu’il venait d’utiliser ? Qui n’a jamais menti ou proféré un gros-mot pour marquer son dépit ? Qui n’a jamais remis à demain ce qu’il aurait été préférable de faire aujourd’hui, ou médit avec la plus parfaite mauvaise foi sur son voisin ou son collègue de travail ? … Il serait possible de continuer la liste presque à l’infini.

lundi 19 mars 2018

Le déculottage en débat

Si tout le monde, sur ce site, est d'accord pour dire qu'une réelle fessée s'administre sur les fesses nues, le processus pour y arriver fait débat. Je laisse le soin à Peter Pan de l'introduire :

"L'art subtil du déculottage" . Une étape essentielle dans l'administration de la fessée. A la douleur proche de la fessée, précède la HONTE de devoir subir cette épreuve. 
Deux options s'offre à la personne punie, ultime indulgence :
Soit la dame fesseuse lui ordonne de baisser lui-même son pantalon et son slip, tout en commentant la scène.
Soit elle s'en charge elle-même, d'une façon décidée et autoritaire. Parfois elle baisse le slip de son "protégé" , une fois celui-ci allongé sur ses genoux.
Bref, tout en nuance. Chaque "Dame fesseuse" a sa façon personnelle d'y procéder, selon son humeur du moment...
Ça va chauffer... durant ce débat prometteur.

J'ai commis un texte d'introduction. Je l'ai voulu radical dans le sens où il affirme une position tranchée.
Vos avis sont attendus. Postez vos commentaires !

Le lien pour avoir accès à la page des débats


dimanche 18 mars 2018

De l'art du déculottage.

Plaidoyer pour un déculottage dans les règles de l'art

Je suis frappé de constater que l'une des parties les plus importantes de l'administration d'une fessée, soit le plus souvent négligée. Je veux parler du moment où le puni voit les couches de vêtement qui protègent habituellement son intimité, être progressivement écartées pour exposer ses fesses nues : le déculottage.
Soyez un peu observateur. Regardez ce qui circule sur internet, en particulier ce qu’on y donne à voir. La fessée elle-même y est largement représentée. Les punis, quel que soit leur sexe, quand on les montre, sont déjà en position disciplinaire, prêts pour recevoir la fessée. Comment se sont-ils retrouvés dans cette situation inhabituelle pour un adulte ? Que s’est-il passé pour qu’ils passent de leur statut d’adulte à celui de puni, les fesses nues ?

samedi 17 mars 2018

Axel, élève à St Marie - chapitre 34


Les habitudes étaient immuables à St Marie. Cela faisait partie des principes pédagogiques que les Sœurs avaient mis au point : la routine de la vie quotidienne concentrait l’énergie des élèves sur le travail scolaire, disait Sœur Marie Joseph qui me l’avait expliqué quelques jours après mon arrivée. Le résultat était là. J’en faisais la douloureuse expérience depuis le début de la semaine.
J’eus la surprise, pour le dîner, d’être conduit dans une pièce bien plus petite que celle dans laquelle nous nous étions restaurés jusqu’à maintenant. Là, était dressée une table avec six couverts de chaque côté et un à chaque bout. Les élèves, visiblement au courant de cette particularité, prirent place sans hésiter de chaque côté de la table. Je m’installais sur le dernier tabouret inoccupé.

jeudi 15 mars 2018

Christine - chapitre 22


C’était Mlle Mathilde qui nous attendait en salle d’études. Tout notre groupe allait y passer le restant de la matinée pour y purger une partie de nos heures de retenue. Habituellement Mlle Mathilde était professeure de mathématiques de la section collège mais en période de cours de vacances, et surtout pour un week-end de retenue, toutes les cartes étaient rebattues. Mlle Mathilde n’était pas une religieuse mais une jeune professeure laïque d’environ 25 ans, de plus je la connaissais déjà puisque c’était elle qui m’enseignait les mathématiques depuis ma rentrée en cours de vacances.

 Nous n’étions que le samedi matin, il était à peine 10h passées, pourtant cette matinée était déjà bien entamée. Au petit déjeuner j’avais reçu ma première fessée publique au martinet de la main de Sœur Marie-Hortense et la mise au piquet automatique et réglementaire. Les deux heures de sport qui avaient suivi m’avaient heureusement permis de passer presque sans transition à autre chose mais la fin de la séance avait été marquée par la blessure sans gravité de Magali qui avait reçu un ballon sur son sein gauche. Cela m’avait été au moins profitable quelque part, en l’accompagnant se faire soigner chez la Sœur portière, j’en avais oublié un peu plus mes émotions matinales. Pour avoir été l’auteur bien involontaire de cet envoi de ballon malencontreux, Nicolas avait été fessé par Sœur Gabrielle qui encadrait notre séance de sport.

mercredi 14 mars 2018

Mémoire d'un garnement de jadis - 12ème tableau

La revanche de Gérome
Mon retour à la maison me valut les remontrances de mes cousines Natacha et Bérénice.  Professeures en école privée, elles se firent une joie de jouer leurs rôles de "préceptrices à domiciles" avec zèle... Ma fierté de jeune homme rumina sa revanche...

lundi 12 mars 2018

Luca chez Miss Kassandra


Premier récit  d'une séance de discipline chez Miss Kassandra. C'est Luca qui  inaugure la série, gageons, si k'en crois les courriels que je reçois, qu'il y en aura d'autres. JLG.
Bonjour je suis Luca la trentaine, beau gosse, sportif et musicien dans un groupe de jazz. Depuis longtemps je fantasme sur la fessée, je ne sais pas à quand cela remonte.
Mes parents étaient assez stricts et moi pas très scolaire donc j’ai reçu quelques bonnes fessées mais pas de quoi en faire un drame. Passionné par le sujet je suis allé sur internet et j’ai découvert le site de Kassandra une femme spankologist et disciplinarian qui sévit entre Paris et Toulouse. Son site est très classe avec une belle photo de Madame la fesseuse et des commentaires très élogieux sur les petits chenapans qui ont fait appel à ses services.

samedi 10 mars 2018

Axel, élève à St Marie - chapitre 33


Je mis en peu de temps à retrouver une respiration normale qui ne soit pas trop entrecoupée par des sanglots. Etre au piquet à ces moments-là, est une situation plutôt facilitante. L’obligation de s’y tenir silencieux, sous peine d’une nouvelle punition, nécessite de faire les efforts pour maîtriser au plus vite les expressions trop bruyantes. Cela minimise le moment d’apitoiement sur soi afin de se conformer aux exigences du piquet. Je ne manquais donc que peu de choses avant d’être attentif à ce qui se passait dans le dos, de mes camarades de pénitence et du mien.
Sœur Marie Véronique dirigeait la correction du devoir qu’elle venait de rendre.

jeudi 8 mars 2018

Christine - chapitre 21


J’étais à présent seule au réfectoire. J’y terminais mon petit-déjeuner. Volontairement, Sœur Marie-Hortense m’avait forcée à rester nue après la magistrale et cuisante fessée qu’elle venait de m’administrer. Je venais d’être punie en public en réplique à la fessée de la veille, reçue pour chahut collectif dans les douches. Sœur Thérèse, notre maîtresse de dortoir m’avait désignée comme seule et unique responsable en qualité de « capitaine de dortoir » et aussi parce que j’avais été la première à sa portée lorsqu’elle avait fait irruption dans les sanitaires en entendant notre brouhaha.

La fessée que venait de m’infliger la Préfète de discipline l’avait été à l’aide du martinet, les coups en avaient été cinglants. J’avais eu mal et malgré mes 36 ans je n’avais pu contenir ma douleur et j’avais pleuré. Comme pour mieux marquer cette sanction et parce que j’étais dans cette tenue la veille, Sœur Marie-Hortense m’avait fait mettre nue devant mes camarades et c’est toujours sans vêtements que j’avais dû aller au coin.

Ayant séché mes larmes, j’avais pu reprendre ma place à table. Ce fut en touchant à peine à mon chocolat au lait et en grignotant du bout des dents une tartine beurrée de confiture que je fis mon examen de conscience. Pour la première fois à Ste-Marie, mais également de ma vie, je venais d’être fessée en public, déculottée devant une assistance de femmes, de filles et de garçons. Sur le moment, je m’étais dit que c’était inéluctable et que, depuis mon inscription à Ste-Marie, il fallait en arriver là, forcément.

mercredi 7 mars 2018

lundi 5 mars 2018

Une conduite à revoir

"Je sais, mon chéri, qu'on peut nous voir si une voiture passe sur la route, mais c'est toi qui a choisi. Tu as de la chance que nous soyons sur une petite départementale. il y a peu de risque que nous ayons des visiteurs.
Tu ignores toujours les avertissements qu'on te donne jusqu'à ce qu'il soit trop tard. Avais-tu vraiment besoin de faire cette queue de poisson à la voiture qui roulait devant toi ? Que je sache elle circulait à peu près au maximum de la vitesse autorisée.
 Ah, tu n'as vraiment pas de chance ! Une voiture qui passe, juste au mauvais moment ... ou était-ce au bon moment ? Elle a ralenti, mais elle ne s'est pas arrêtée. Le conducteur a dû être intrigué, mais il n'a pas osé venir voir ce qui t'arrivait. Dommage, non ?

dimanche 4 mars 2018

Chez Madame Anne Sophie - 2ème récit de Vincent

Après une première visite chez Madame Anne Sophie, marquante à tout point de vue, j'ai de nouveau pris rendez-vous chez elle pour une bonne correction.
Les choses ont été un peu différentes car la première fois j'ai découvert, à mes dépends, le plaisir d'être fessé par une institutrice que je découvrais en franchissant la porte et qui m'a  allongé sur ses cuisses alors que cette fois-ci, j'étais en terrain connu et elle aussi. En effet elle avait pu tester ma résistance aux claques et connaissait parfaitement le degré de sévérité à appliquer à mon postérieur. De mon coté, j'avais toute confiance en elle car elle m'avait bien puni et je connaissais bien ses cuisses pour y avoir fait quelques aller-retour.

samedi 3 mars 2018

Axel, élève à St Marie - chapitre 32


Je me réveillais gêné par la lumière. Mon premier réflexe fut de râler contre cette intrusion dans mon confort sous les couvertures. Puis, ce fut la voix de Sœur Gabrielle qui me ramena à la réalité.
« Debout les paresseux ! On sort du lit et à la douche ! »
Je songeais à sortir de sous les couvertures, mais il y faisait trop bon. L’extérieur me semblait glacé.
« Axel, j’arrive dans trente secondes. Si tu n’es pas levé, c’est la fessée ! »
Cela suffit à me sortir du lit. Je restais assis sur le bord du lit jusqu’à ce que Sœur Gabrielle parvienne jusqu’à moi.
« Encore le dernier ! Je vais finir par me fâcher ! »

jeudi 1 mars 2018

Christine - chapitre 20

Ce qui n’était qu’une rumeur était à présent un fait vérifié, tout Ste-Marie savait que j’avais été fessée. Cela venait de se dérouler dans les sanitaires alors que nous prenions la douche. Nous y avions toutes été un peu turbulentes, chahutant avec une savonnette et nous aspergeant d’eau. Sœur Thérèse notre maîtresse de dortoir, par le bruit attirée, était arrivée et m’était tombée dessus, moi, la première des filles qu’elle avait à sa portée.

La correction avait été exemplaire et donnée dans la foulée sans sommation. D’abord une série de claques que je qualifierais de réflexes, cela pour bien marquer le coup. Puis, une bonne fessée classique mais très énergique. J’avais eu mal et je m’étais naturellement mise à pleurer pour cela. Ensuite, au coin, il m’avait été donné du temps pour sécher mes larmes et réfléchir.