Madame Anne Sophie a encore eu de la visite. C'est Hervé qui nous le conte. JLG
Au terme d'une heure de fessées –le pluriel en effet
s’impose- avec pour résultat visible mes deux fesses du haut en bas jusqu’au
pli qu’elles font avec les cuisses voire même jusqu’en haut des cuisses, ainsi
que dans leur largeur, totalement rougies, sans omettre les traces très
visibles laissées par les lanières de martinet (plusieurs ont servi et de
manière abondante sur mes deux hémisphères) et de manière plus intérieure un
ressenti ô combien cuisant qui, au moment où j’écris ces lignes, ne s’est pas
éteint, et je ne m’en plains pas car c’est aussi cela selon moi, l’intérêt
d’être fessé, que son souvenir persiste le plus longtemps de manière vivace
–bref, je ne sais plus précisément combien de fois ai-je été
déculotté par Madame Anne-Sophie.
Peut-être une bonne dizaine de fois. Ce qui signifie qu’à
chaque déculottage, s’en suivait une sévère déculottée manuelle, soit avec tel
ou tel instrument. Il lui est même arrivé de mixer les deux. Madame Anne-Sophie
aime déculotter et elle aime aussi employer le mot qui s’y rapporte au point
même de désigner par le mot de « culotte » le caleçon très moulant
que je portais. Et moi, je le confesse, j’aime entendre ces mots de
« déculottée », de « déculottage », de
« culotte » …Alors aussi de ce point de vue, j’ai été gâté par madame
Anne-Sophie.
Enlever mes chaussures dans son entrée, il m’appartenait de
le faire, de même qu’ayant pénétré dans son boudoir dévolu à la fessée, il
m’incomba d’enlever mon pantalon. Le fait, du reste, qu’il n’était pas posé,
plié avec suffisamment de soin sur le dossier de la chaise attenante à la table
où sont exposés, soigneusement rangés, les différents instruments du fessage
dont elle dispose et use avec grand talent, me valut aussi une sacrée
correction. Madame Anne-Sophie est d’une grande rigueur et parce qu’elle sait
où sont les limites de la bienséance à ne jamais franchir que cela soit avec
ses mots mais surtout à travers les différentes fessées que j’ai reçues, elle a
su me rappeler à l’ordre. Ainsi quand, me regardant bien droit dans les yeux,
elle me dit que maintenant « on va
passer des mots aux maux ».
Mes fesses ont donc bien dégusté, réceptacles qu’elles furent
des conséquences de mon inconduite. Selon l’adage bien connu, ce fut un mal
pour un bien ou cela peut aussi s’appeler comme on dit, » traiter le mal
par le mal »
Madame Anne-Sophie a aimé varier les positions pour me
fesser. Par exemple quand je fus mis au coin après la première fessée. J’avais
dû me reculotter « remonte ta
culotte » m’avait-elle dit et ajouté « vas au coin ».
Face au mur de coin,
les bras bien relevés au-dessus de mes fesses, je ne marquais pas suffisamment
à son goût, la posture du puni car j’avais les jambes trop écartées. Elle
exigea que je les serre et me redresse un peu plus. J’ai entendu ses pas
s’approcher de moi, le bruit de ses bottes qu’elle portait et qui lui donnait
à la fois un côté sexy et sévère –telle fut du reste ma première
impression après qu’elle m’eut ouvert la porte, que venait compléter
harmonieusement une jolie robe assez courte, dessinant bien les formes de ses
attributs féminins- se mettre de côté et me courbant quelque peu sous un de ses
bras, elle baissa « ma culotte » et me flanqua une nouvelle fessée.
C’est peu dire que j’ai eu peu de moments de répit. Je n’écris pas cela pour
qu’on s’apitoie sur mon sort car après tout je n’avais que ce que j’avais
mérité, mais en fait pour souligner quelque part ce que j’appellerai la
« performance » de ma fesseuse. Car elle ne s’accorde pour ainsi dire
aucun moment de repos, trouve toujours des forces en elle pour me fesser de
plus belle.
Mais, donc, le déculottage, c’est son domaine réservé. J’ai
aimé qu’elle aime me déculotter ; sentir ses mains ou une seule de ses mains se saisir de
l’étoffe de mon caleçon pour d’un geste rapide –expression de sa grande
détermination et que nous sommes bien dans le cadre d’une fessée punitive- le baisser jusqu’à mi-cuisses, ou en bas des
chevilles ou alors comme à certains moments au ras du bas de mes fesses. Tous
ces gestes à commencer par le déculottage sont précis. Elle sait jusqu’où doit
être baissée « ma culotte ». Mes fesses lui sont, alors, totalement
offertes, je ne vois pas ce qui va se passer. Je suis dans l’attente de ce qui
va advenir. Mais comment vais-je réagir ? Sans doute que de sa position de
fesseuse, Madame Anne-Sophie se pose la même question. Quoi de mieux que de ne
pas y aller de main morte de suite pour être fixé. Du reste de manière
générale, je n’avais plus la notion du temps car j’avais dû enlever ma montre.
Comme je ne l’avais pas fait de moi-même ou parce que je ne
lui avais pas demandé s’il convenait que je le fasse, cela me valut aussi pour
ce motif, une fessée très cuisante.
Et en regard du caractère très appuyé des claques manuelles
de Madame Anne-Sophie, je peux garantir que cette ignorance dans laquelle je me
trouvais, accentuait le fait d’être totalement en son pouvoir.
A travers le déculottage qui, pourtant ne dure pas très
longtemps, je vivais aussi totalement son emprise. Elle prenait son temps,
goutait sans doute de mes fesses offertes, se délectant de les voir à sa merci,
à sa main en quelque sorte. A ses deux mains, devrais-je dire. Car j’ai le
sentiment que Madame Anne-Sophie a deux mains également fessantes.
C’est peu dire que je me sentais regardé par elle,
m’obligeant à une totale immobilité dans l’illusion que je suis à ce moment que
cela va me faire disparaître. Et à ce moment, Madame Anne-Sophie déclenche la
foudre, il n’y a pas d’autre mot. Lors du premier déculottage quand je me
trouvais en travers de ses genoux, les fesses encore immaculées à ce moment,
j’ai ressenti un léger froid sur les chairs de mon séant. Etait-ce dû au fait
que mes fesses étaient encore imprégnées du froid extérieur, même couvertes par
le tissu de mon pantalon que j’avais choisi assez chaud en regard du temps
annoncé ? Ou bien étais-je déjà refroidi par avance par ce que j’allais
devoir subir à ce moment précis et ensuite ? En effet je n’oublierai
pas le choc ressenti en voyant –j’y reviens- tous ces martinets, badines, et
autres outils de fessage bien exposés à ma vue ? Comment ne pas avoir le
regard irrésistiblement attiré par eux et de me mettre à trembler
intérieurement en me demandant à moi-même si j’allais devoir les subir
tous ?
Très vite, sous l’effet de ses claques manuelles, je suis
passé au chaud, voire même au très très chaud avec ce qu’il faut de picotements
de mes chairs pour accentuer la cuisance de la fessée.
Contrairement à ce que beaucoup croient – et j’étais du
nombre avant que je » bénéficie » du savoir-faire accompli de Madame
Anne-Sophie en matière de fessées- ses claques manuelles ne relèvent d’aucune
introduction à quelque chose de plus cuisant ensuite. Elle me fessait très
fortement, longuement et à grande vitesse. J’en avais le souffle coupé,
bougeais timidement mes fesses. Elle me
rappela à l’ordre, exigeant par exemple de bien serrer mes fesses, de bien
tendre mes jambes. Et elle reprit cette correction manuelle dans un tempo
similaire. A ce moment-là, et alors que j’avais souhaité quand je l’avais
contactée, être fessé non pas durant 30 minutes mais pendant 1 heure, je n’en
menais pas large, me demandant si j’allais pouvoir tenir la distance.
Je n’ai pas souvenir d’une fessée courte qu’elle qu’ait été
sa modalité opérationnelle eu égard à l’intensité si forte qu’à chaque fois
elle y mettait, accentuée aussi par le fait qu’il n’y eut jamais de caresses
apaisantes. Mais il y eut des séquences
qui m’ont paru interminables.
Ainsi quand elle me demanda de mettre mes genoux sur la
chaise où elle avait officié quelques minutes auparavant, mes avant-bras bien
posés devant sur le rebord de la cheminée, je sus que j’allais avoir droit –si
je puis m’exprimer ainsi- à quelque chose de carabiné. Une fois de plus, elle
prit son temps, s’assurant d’abord que j’avais exactement la position qu’elle
avait demandée. Elle baissa ensuite énergiquement mon caleçon, jusqu’à
mi-cuisses. Etait-ce une sorte de « jauge » jusqu’où elle
s’autoriserait à me fesser ? Je n’en menais vraiment pas large en tout
cas. Je l’ai vue subrepticement s’approcher de la table, prenant le temps
de choisir le « bon » ustensile. C’était un martinet avec de
très longues lanières. Etaient-elles en cuir ? Je n’en savais rien et ne
voulais pas le savoir. Elle me dit « tu vas recevoir 60 coups de
martinet » !
60 ! rendez-vous compte. C’est beaucoup. Et c’est long.
C’est elle qui compta. Si cela avait dû être moi, y serai-je parvenu ?
J’imagine maintenant de manière rétrospective que si tel avait été le cas et
que sous l’effet du cinglement des lanières sur mes fesses j’eusse substitué un
« aie » retentissant au chiffre, Madame Anne-Sophie aurait pu décider
de recommencer la série à zéro !
Mais elle m’a épargné cette épreuve. Car malgré tout, ce fut
une épreuve douloureuse. A chaque coup reçu et dont elle égrène d’une voix
laconique le chiffre, je faisais très vite le compte de tout ce qu’il me
restait à endurer. Et sans rien retirer à la cuisance de ses mains, je peux
dire quand même que les lanières du martinet n’ont rien d’anodin. Surtout
qu’après chaque dizaine, elle changeait de martinet.
L’art du fessage, de la fessée punitive se mesure aussi
–selon moi- à ces « détails » qui en fait n’en sont pas : faire
en sorte que le fessé que j’étais ne puisse jamais s’acclimater. Et donc en
renouvelant le martinet utilisé, mes fesses étaient soumises à un nouveau
ressenti qui ne perdait en rien de sa cuisance. Au contraire. Tout en étant
dans la continuité de cette série générale de 60 coups de martinets, je ne pus
donc jamais m’habituer aux coups reçus car du nombre de lanières dont était
équipé chaque martinet, de leur longueur, de leur épaisseur, il en résultait
des effets différents. Quand ma fesseuse arriva à 50, je me dis alors que
c’était la dernière ligne droite. Mais à 59, elle s’arrêta. J’ai ressenti
douloureusement cet arrêt qui était voulu de sa part. Sa manière à elle de
prolonger mon tourment du moment. Et preuve aussi de sa grande maîtrise. Ce sont aussi à travers de tels gestes
calculés, les messages immédiats qu’ils envoient à la personne fessée, que se
nouent des liens de confiance avec ma punisseuse. Et après avoir pris tout son
temps – elle m’asséna le dernier coup de martinet de la série.
C’est durant cette première fessée au(x) martinet(s) que j’ai
pu me rendre (un peu) compte en tournant la tête vers la droite où se trouvait
la porte-miroir d’une armoire, de ce que mes fesses avaient
« encaissé ». C’est là que je vis toute l’étendue en hauteur et aussi
en largeur du « coloriage » obtenu de mon fessier. Je fus aussi
saisi par l’intensité du rouge qu’il avait prise.
J’ai subi encore ensuite à différents moment le martinet,
certes dans des séries moins longues mais Madame Anne-Sophie alternait avec des
claques manuelles qui n’étaient pas moins douloureuses. En quelque sorte, Elle
m’a donné à admirer ce que j’appellerai sa virtuosité car entre le dernier coup
de martinet reçu et la claque manuelle très forte qui s’en suivait, il ne
s’écoulait que très peu de secondes. Et idem quand elle reprenait le martinet
pour succéder à nouveau aux claques manuelles. Comment faisait-elle ? je
ne saurais le dire.
Toujours est-il cela témoigne d’une grande dextérité qui
donne à la fessée son côté alternatif tout en en garantissant la
continuité, la fluidité.
C’est aussi cela que j’ai beaucoup aimé dans cette fessée
d’une bonne heure : il n’y eut pas de temps mort. Elle a un sens du tempo,
du bon rythme de sorte que je n’ai pas eu le temps de m’ennuyer –si je peux
oser cette expression. Une mise au coin, comme je l’ai écrit plus haut, ne
signifie pas forcément l’absence de fessée. Et de toute façon cette mise au
piquet ne dure pas longtemps. Madame Anne-Sophie a une énergie, et à l’évidence
(je me base sur mon ressenti cuisant bien évidemment pour hasarder cette
hypothèse) un plaisir à fesser qui ne se dément à aucun moment.
Et ce plaisir, elle sait le rendre communicable. A un moment,
je ne sais plus lequel, elle me dit « il y a trois sons importants ». Je suis tout ouïe et
ajoute-t-elle « il y a d’abord le
silence ». Je me tiens donc dans une
immobilité totale face à la table, les mains posées sur les extrémités des
rebords du devant. « Puis, le bruit
de mes bottes ». Elle s’avance vers moi, j’aime aussi beaucoup ce
moment où elle s’approche. Je sais que le déclenchement de la nouvelle fessée
est imminent. « Et enfin il y a les
claques de la fessée ». Et elle me refesse avec gourmandise. C’est
cuisant mais je n’ai pas envie que cela s’arrête car tout simplement c’est si
bon de sentir des mains de femmes claquantes à souhait, déversant leur (trop)
plein d’énergie sur mes chairs et à ce moment je jouis pleinement du bruit de
leur claquement à chaque fois qu’elles me touchent aux fesses.
Elle crée et justifie
pleinement avec un aplomb que j’ai beaucoup aimé (même si les conséquences
pratiques sur mon séant en sont terribles. Je vais y venir) des raisons de me
fesser.
Ainsi de ce qu’elle a appelé (si j’ai bien compris le mot) « une fessée de maintenance ».
Ma fesseuse, pour me fesser, à ce moment-là était assise sur le bras de son
canapé de cuir et tout en me fessant assidument de ses mains ou du paddle (que
c’est douloureux !) me parla, peut-être parce que nous nous approchions du
terme de cette fessée d’une heure, qu’elle finirait par » une fessée de maintenance ».
La fessée qui était en cours alla à son terme mais avant de
la conclure elle m’expliqua qu’il y aurait six séquences de cette fessée qui
suivrait le terme de celle qu’elle m’administrait avec toute la virulence dont
ses mains sont capables. Cette ultime séquence eut la particularité
notable que je sois tenu dans l’ignorance la plus totale de
la durée de chacune de ses six séquences et du nombre de coups que je recevrai.
Elle me fit me relever. En exigeant que je remonte « ma
culotte ». Acte, geste, qu’à chaque fois, j’ai réalisé rapidement,
recouvrant un peu de ma dignité. Car il n’est jamais facile de se mettre à nu
devant une femme (d’autant plus à ce moment-là, car auparavant sur son ordre
j’avais dû aussi enlever ma chemise). Je titubai quelque peu, eu égard à tout
ce que j’avais reçu. De nouveau sur mes deux jambes, Madame Anne-Sophie me fit
prendre une nouvelle position. Elle mit de côté la chaise à fesser et me
demanda de me tenir bien
droit, les jambes toujours serrées mais reculées de sorte à lui offrir encore
plus mes fesses, de tendre mes bras et de les poser, ainsi sur le rebord de sa
cheminée.
Elle me baissa
« ma culotte » jusqu’au ras des fesses, si ma mémoire est bonne. Avec
quelle application elle accomplit ce geste. Ses deux mains officièrent,
baissant en même temps « ma culotte ». Pas de glissade lente,
sensuelle. Non, un geste coordonné de ses deux mains qui vite, vite mais sans
précipitation descend « ma culotte » le long de mes cuisses. Elle a
dû estimer, cependant être descendue trop bas. Aussi réajuste-t-elle le bon
niveau où doit se trouver « ma culotte ».
Anne-Sophie est une
esthète, amoureuse du beau. Quand elle a estimé que « la culotte »
était au bon niveau, elle s’est écartée, s’assurant, je pense, que mes fesses
étaient bien serrées. Le déculottage,
pour Anne-Sophie relève d’un cérémonial que j’ai beaucoup aimé. La fessée
relève d’un redressement du comportement, m’a-t-elle bien fait comprendre. Et
donc dans le soin qu’elle met dans le déculottage je trouve qu’elle s’applique
à elle-même en tant que fesseuse, les exigences qu’elle m’intime de suivre. Le
déculottage « made in Anne-Sophie » est en totale cohérence avec les
fessées qu’elle administre : la même rigueur, le même soin à bien faire
les choses.
Et j’ai eu droit de nouveau aux martinets. Plusieurs séries
lui furent dévolues mais cette fois, avec un nombre de coups uniquement connus
d’elle. J’étais dans la totale ignorance
de combien de temps chaque séquence allait durer. Ce qui augmentait mon
tourment. D’autres furent réalisées par ces mains nues. Que j’ai aimé quand
même être fessé à mains nues par elle dans cette posture debout. Car alors
qu’elle se met tout contre moi, je sens son corps contre le mien. J’ai eu envie
–oui, je l’avoue- à chaque fois qu’elle m’a fessé de la sorte, de la caresser.
Et il y eut de nouveau des séquences mixtes. Quand elle
arriva à la dernière séquence, j’ai blêmi car après avoir reposé le martinet
dont elle venait de faire usage, elle se saisit de la canne de bambou. Et après
être revenue dans la position pour me fesser, elle me dit à ce
Moment, » tu vas
recevoir 30 coups de canne ! »
Au bout de dix, je lui ai dit le mot à prononcer pour que
cela s’arrête. Les coups ne semblaient pas donnés avec grande force –quoique-
mais la douleur ne cessait pas de croitre quand même, au point de ne plus
pouvoir la supporter. Anne-Sophie reposa la canne et se saisit d’une tige très
fine et dure qu’elle m’infligea avec une modération certaine, certes, pour
parvenir au chiffre de 30.
J’étais content, cela dit, que cette ultime épreuve était
terminée. Elle m’autorisa à me reculotter. Me montrant l’heure je sus, plutôt
eus la confirmation qu’il n’y aurait pas un nouveau déculottage. Pour cette
fois, c’était terminé. J’ai poussé en moi un ouf ! de soulagement, mais ne
regrettant absolument pas ma venue. Anne-Sophie est une remarquable fesseuse
qui a su me pousser dans mes retranchements, m’a permis de commencer à les
dépasser.
Enfin, la prochaine séance nous le dira.
Un récit d'une autre visite chez Madame Anne-Sophie accompagné de quelques commentaires, et là celle de Georges, ici celle de Paul et enfin celle de J. Puis ce fut le tour de Pierre, pour finir par le premier passage de Vincent qui est venu une deuxième fois
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N'oubliez pas, quand vous la contacterez, de la saluer de ma part. Je vous conseille de le faire respectueusement. Après un passage chez elle, laissez un commentaire ou proposez un récit pour partager vos impressions.
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Superbe récit, circonstancié à souhait !... Et Madame Anne-Sophie, dont l'image se précise au fil des "reportages" vécus...
RépondreSupprimerL'évidence des déculottages successifs que j'évoquais dans mon premier commentaire s'affirme encore : c'est pour bien faire sentir au puni le trouble et la honte de se faire mettre les fesses à l'air par celle qui le fouette et le traite en sale gamin.
Quant à aimer ça... Il me semble absolument évident qu'on ne peut exercer une telle activité sans aimer ce qu'on fait !... Notre sévère maîtresse ( d'école ) doit jubiler en déculottant ses punis, en les envoyant au coin et en leur faisant rougir le derrière, et couiner comme des mioches corrigés sous ses claques et ses fouets !...
Et puis, il faut aimer punir pour BIEN punir, c'est certain. Le jeu est tout autant psychologique que physique.
Bravo et merci, Hervé...
Georges 1er.
Merci Georges de vos éloges. (J'aime bcp ce "1er")..pour votre information, j'en reçois une nouvelle (fessée déculottée) jeudi 29 mars à 17h30. Si vous regardez votre montre à ce moment-là et durant l'heure qui suit vous saurez que je suis à nouveau fessé.
SupprimerBonjour Hervé !
RépondreSupprimerQuelle émotion et quelle claque! (C'est le cas de le dire!)
Voilà un écho saisissant aux propos que j'exprimais dans un commentaire précédent sur le " Petit Précis de pratique de la fessée éducative" de notre ami JLG.
Tout y est! la description détaillée de la punition physique et l'aspect psychologique et mental qui l'accompagnent.
La vision de l'intérieur par le puni et son interprétation du ressenti de sa fesseuse construisent une atmosphère saisissante de vérité. Le narrateur décrit explicitement ses sensations et les fait partager avec une sincérité passionnante..
Pour une première fois peut-être, dans un récit, il est question d'une réflexion sur le vif (c'est aussi le cas de le dire) de tout ce qui alimente en émotions et en sensations une séance de fessées et en justifie pleinement la réalisation.
Moi qui étais curieux de trouver dans un récit une allusion au ressenti d'une femme fessant, je suis comblé!
"... Elle prenait son temps, goutait sans doute de mes fesses offertes, se délectant de les voir à sa merci, à sa main en quelque sorte..."
Et puis ce constat franchement exprimé qui suffit à donner ses lettres de noblesse à l'art de la fessée et celles qui le pratiquent: " ...Madame Anne Sophie aime déculotter..." "aime aussi employer le mot qui s'y rapporte..." " ...Elle aime varier les positions pour fesser" et "Madame Anne-Sophie a une énergie, et à l’évidence... un plaisir à fesser qui ne se dément à aucun moment "
Assez fascinant la description des attitudes conjuguées et du ressenti des deux "partenaires " qui donne une dimension humaine à une séquence punitive pourtant sévère et douloureuse:
..." Elle prenait son temps, goutait sans doute de mes fesses offertes, se délectant de les voir à sa merci, à sa main en quelque sorte... "Et elle me refesse avec gourmandise. C’est cuisant mais je n’ai pas envie que cela s’arrête car tout simplement c’est si bon de sentir des mains de femmes claquantes à souhait, déversant leur (trop) plein d’énergie sur mes chairs et à ce moment je jouis pleinement du bruit de leur claquement à chaque fois qu’elles me touchent aux fesses..."
On rentre dans une description intimiste. Confidences du fessé pendant ses corrections. Ressenti des sensations de la fesseuse à travers ses gestuelles.
Pour finir, intéressante l'allusion à cet esthétisme de la fessée que j'ai quelque fois revendiqué pour en valoriser le déroulement:
..."Anne-Sophie est une esthète, amoureuse du beau. Quand elle a estimé que « la culotte » était au bon niveau, elle s’est écartée, s’assurant, je pense, que mes fesses étaient bien serrées. Le déculottage, pour Anne-Sophie relève d’un cérémonial que j’ai beaucoup aimé...."
Bravo et merci Hervé pour ce récit authentique, valorisant, tout à l'honneur et la crédibilité des passionnés que nous sommes.
Cordialement.
R.
Bonjour Ramina. A vous lire, je vois que vous vous êtes délecté et avez saisi toute une série de choses dont je ne mesurais pas forcément l'importance en les écrivant et surtout le plaisir que cela déclencherait. Donc merci de votre retour. Sachez que ce jeudi 29 mars à 17h30 je serai à nouveau fessé par Anne-Sophie et ce, pendant une bonne heure. Avec des fessées encore plus sévères que la première fois!
SupprimerBonjour,hervé
RépondreSupprimerNous sommes vendredi... Comme vous nous en avez informé, vous êtes donc passé de nouveau entre les mains si fermes de madame Anne Sophie! Curieusement étonnant cette manière pour nous lecteurs, (le derrière bien à l'abri) de suivre à distance ces séances de fessées auxquelles vous vous exposez avec tant de persistance. A la lecture de votre premier commentaire on se demande comment ces fessées peuvent être encore plus sévères (?)
Inutile de préciser avec quelle impatience votre récit est attendu.
Comme dit JLG : Au plaisir de vous lire
R.