Ce qui est regrettable avec toi, ma chérie, c'est que tu as tendance à croire que depuis que tu es majeure, tu as tous les droits. Comme si, d'avoir passé dix-huit ans le mois dernier, changeait quelque chose. Te figures-tu que tu as tellement grandi en un mois, que plus rien ne serait comme avant ?
Toi que je vantais auprès de toutes mes amies comme étant la grande fille la plus sage au monde, toi que je n'avais presque jamais eu besoin de punir, à tel point que je faisais des envieuses. On aurais pu s'attendre, puisque tu dis que tu es devenue grande, à ce que tu aies gagné en sagesse;
Je n'en ai pas vraiment l'impression ! Récapitulons : mensonges, désobéissances, rentrée au-delà de l'heure que je t'ai fixée, et en plus, tu me réponds !
Jusqu'à aujourd'hui, je n'avais jamais estimé nécessaire de te donner une fessée. Tout au plus si je me rappelle une claque sur le fond de ta jupe quand tu étais petite ! Il suffisait que je fronce les sourcils pour que tu prennes conscience de ta bêtise et que tu viennes m'en demander pardon.
Tu ne sembles pas t'être rendu compte que les règles qui étaient en vigueur le mois dernier le sont encore. Rien n'a changé ! Sauf une chose : puisque tu fais maintenant des caprices et des colères, puisque tu défies mon autorité, Tu auras désormais la fessée. A chaque fois que tu te comporteras comme une vilaine fille !
"Je suis trop grande pour avoir la fessée !" as-tu dit. Je n'en suis pas vraiment persuadée. Maintenant que je te tiens sur mes genoux, la culotte baissée, je trouve que c'est exactement ce dont tu avais besoin. Je suis certaine que cela va t'apprendre à te comporter comme une jeune fille sage, tu ne crois pas ?
Que dis-tu ? Je ne comprends pas bien ce que veulent dire tes gémissements. Je vais supposer que tu es d'accord et que tu m'encourages à continuer. De toute façon, c'est ce que j'aurais fait. Ces fesses-là ne sont pas encore assez rouges pour que je sois sûre que la leçon sera retenue. Il faudra probablement recommencer. Je pense que je vais avoir un jour ou deux de calme, avec une jeune file obéissante.
Tant que tu vivras sous mon toit, tu seras soumise aux règles que je déciderai et je n'hésiterai pas à te punir à chaque fois que ce sera nécessaire. Afin d’être certaine que tu aies bien compris ce qui n'est plus admis dans cette maison, j'ai préparé une brosse pour finir cette fessée. Tu vas voir combien cela aide à se souvenir de la punition qu'on a reçue.
Ensuite, tu iras au coin jusqu'à ce que je te dise que tu peux en sortir. Je pense que tu y seras encore quand Lise, ta grande sœur, arrivera pour dîner avec nous. Cela fait un petit moment où je suis exaspérée par ses manières. Elle va comprendre qu'elle a intérêt à en changer.
Voyons si la brosse peut rougir un peu plus ces fesses et t'arracher des cris d'un repentir sincère.
D'autres premières fois
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