jeudi 1 mars 2018

Christine - chapitre 20

Ce qui n’était qu’une rumeur était à présent un fait vérifié, tout Ste-Marie savait que j’avais été fessée. Cela venait de se dérouler dans les sanitaires alors que nous prenions la douche. Nous y avions toutes été un peu turbulentes, chahutant avec une savonnette et nous aspergeant d’eau. Sœur Thérèse notre maîtresse de dortoir, par le bruit attirée, était arrivée et m’était tombée dessus, moi, la première des filles qu’elle avait à sa portée.

La correction avait été exemplaire et donnée dans la foulée sans sommation. D’abord une série de claques que je qualifierais de réflexes, cela pour bien marquer le coup. Puis, une bonne fessée classique mais très énergique. J’avais eu mal et je m’étais naturellement mise à pleurer pour cela. Ensuite, au coin, il m’avait été donné du temps pour sécher mes larmes et réfléchir.




Ce fut cette réflexion qui perdura au-delà de ma mise au piquet. Si la douleur s’estompait peu à peu, il en allait autrement de la blessure morale. Je venais d’être fessée pour la première fois en public en présence de mes camarades, certes seulement féminines. J’avais le sentiment que quelque chose venait de se casser, comme si la frontière que représentait mon âge n’existait plus. Je m’étais longtemps imaginée qu’avoir 36 ans, être mariée et maman me protégeaient de certaines choses. Je croyais être exonérée de l’application d’un règlement qui ne concernait que les gamines et je faisais l’amer constat que cette dispense n’existait que dans mon imagination, mes fesses et mon amour-propre en faisant l’amère expérience.

Si les garçons ne m’avaient pas vue, ils avaient forcément tout entendu. Durant l’été et pour des raisons pratiques, ils étaient logés tout à côté dans un dortoir de filles. Comme nous avions été à l’affût de leurs faits et gestes juste avant, lorsqu’ils prenaient leur douche, ils devaient être attentifs à ce que nous faisions dans les sanitaires. Les clameurs de notre tintamarre aquatique et de ma sonore réaction leur étaient inévitablement parvenues aux oreilles.

De plus, les premières filles sortant des sanitaires après inspection de propreté par Sœur Thérèse les avaient informés de mon infortune. Je ne sus s’il y eut de l’étonnement ou de la stupeur chez les garçons d’apprendre que la doyenne du groupe des consignés venait d’être sévèrement fessée. Peut-être me faisais-je là des idées fausses et exagérées sur mon propre compte, me pensant différente alors que eux m’assimilaient à une élève comme les autres.

Je fus la dernière du groupe des filles à pourvoir rejoindre le dortoir. Ma culotte remise, je m’entourais de ma serviette au dessus de la poitrine et traversais le couloir la tête basse, des larmes encore plein les yeux. Ces quelques mètres me semblèrent très longs, je sentais des dizaines de regards sur moi alors que l’endroit était désert. En pénétrant dans la chambrée je fus entourée par mes camarades qui s’empressèrent autour de moi.

C’est presque en martyre qu’elles m’accueillirent. J’avais été la seule et unique fille coupable aux yeux de notre maîtresse de dortoir, sans doute désignée comme telle en raison de ma fonction de « capitaine de dortoir ». Cet esprit de groupe me fit chaud au cœur, tellement que j’en eus à nouveau les larmes aux yeux et me remis à sangloter en abandonnant ma tête sur l’épaule de Magali.

Les filles se sentaient autant responsables que moi  dans l’affaire et elles étaient gênées, presque honteuses d’avoir été épargnées. Mais tout comme moi elles connaissaient le règlement de Ste-Marie et la règle du jeu qui veut que les Sœurs aient tout pouvoir. Une des conséquences fut que toutes sans exception furent aux petits soins avec moi.

Sœur Thérèse avait fait passer un tube de crème apaisante à mon intention. Ce fut Magali qui s’employa à l’utiliser. Elle m’invita à m’étendre sur le ventre et m’en tartina les fesses, des reins jusqu’aux cuisses. Outre ses vertus curatives, cette crème était rafraîchissante et me fit un bien fou. Mon derrière qui me semblait cuire en profondeur fut comme glacé en superficie.

– Ça va te faire du bien, me dit Magali, la crème est immédiatement absorbée. Tu en avais besoin.

– Merci Magali, lui répondis-je, enfin calmée.

Tout était relatif, mais il me semblait tout d’un coup que notre dortoir était devenu un petit cocon où je pouvais aspirer au calme et à la sérénité alors que le matin même, en y quittant mes affaires, j’abhorrais cet endroit. Je dus reconnaître que toutes les filles y mettaient du leur pour me rendre ce moment le plus agréable possible.

Laura qui avait été réprimandée un peu plus tôt dans la journée profita également de cette crème réparatrice. Magali, devenue experte en application d’onguent, lui massa longuement les fesses et les cuisses. Nous étions vraiment un groupe de filles soudé et c’était cela la chose la plus importante pour l’avenir de notre scolarité à Ste-Marie.

La soirée s’étirait et nous papotions, parlions chiffon et même sexe. On plaisantait avec Laura et Magali sur les différences évidentes de leurs « Apollon » qu’étaient respectivement Nathan et Nicolas. Nous en vînmes à la conclusion qu’elles étaient attirées par leurs contraires, la gracile Laura par l’athlétique Nathan et la charpentée Magali par le frêle Nicolas.

– Mais au moins, Nicolas, il est en parfait état de fonctionnement, plaisanta Magali.

Elle faisait allusion au fait que Sœur Gabrielle avait tiré sur son prépuce pour en contrôler la propreté après la douche. La porte de notre dortoir était entrouverte et nous avions pu apercevoir Nicolas et la religieuse.

– La prochaine fois, déguise-toi en Sœur et tu pourras le décalotter et même plus, dis-je à Magali.

Cette plaisanterie fut accueillie par des rires par les filles et même par Magali. Notre gaieté collective fut interrompue par le retour de Sœur Thérèse. Sans avoir précisément entendu la teneur du sujet de notre conversation, elle en devina le sens.

– Jeunes filles, clama Sœur Thérèse, je sais qu’à votre âge il est permis de rêver mais on doit rêver en silence. Je ne veux pas entendre de cochonneries. Et n’oubliez pas que vous êtes consignées. Alors, on arrête là les fanfaronnades.

Je ne sus sur le moment pour quelle raison nous devions l’indulgence de Sœur Thérèse. Il me paraissait évident qu’elle en avait ouï plus qu’elle ne voulait le faire croire. Je mis cela sur le compte que ces réflexions de filles lui rappelaient peut-être le temps où elle était ado et pas encore dans les ordres. En tout cas, ils ‘agissait là d’un premier avertissement sans frais.

– Il est temps de vous mettre au lit, continua-t-elle. Un petit pipi et vous pourrez lire en silence pendant encore une demi-heure, ensuite extinction des feux.

Sœur Thérèse nous laissait tranquillement le temps de nous glisser dans nos lit afin d’y trouver progressivement le sommeil.

– Christine, s’il vous plaît ! annonça Sœur Thérèse.

Que pouvait-elle encore me vouloir ?

Sœur Thérèse, sans m’en demander ouvertement la permission, alla fouiller dans mon sac. Elle en revint avec mon change pour la nuit, une culotte Tena® Silhouette nuit. Je m’étais imaginée pourvoir enfiler en toute discrétion cette protection sous ma nuisette en me rendant aux toilette, voilà que la religieuse l’exhibait devant tout le monde. Heureusement ce n’était que des filles mais il est toujours vexant de passer pour une incontinente qui risque de faire pipi au lit.

– Approchez Christine ! ordonna Sœur Thérèse.

Cet ordre ne me disait rien de bon, moi qui pensais pouvoir enfiler toute seule cette culotte. Sœur Thérèse me saisit par la taille et me bascula.

– Non ma Sœur, non ! Pas encore, suppliai-je.

« Pourquoi veut-elle encore me fesser ? », « Ah oui, la réplique de la sanction », « Mais je viens à peine d’être fessée »

– Non à quoi, Christine ? interrogea Sœur Thérèse. Vous refusez alors que vous ne savez pas de quoi il s’agit

Connaissant de mieux en mieux le fonctionnement des Sœurs à Ste-Marie, il me parut évident que notre maîtresse de dortoir excluait tout fessée dans l’immédiat. Je n’eus pas besoin de trop patienter pour avoir la réponse. Alors que je m’étais relâchée, je sentis la main de Sœur Thérèse glisser sur mes fesses. Bien vite j’eus la sensation bien réelle d’une pointe peser sur mon anus. Je n’eus pas le temps de me crisper que l’index de la religieuse s’y enfonçait, poussant un suppositoire dans mon fondement. Une petite claque d’encouragement et le tour était joué.

– Je vous enfile un suppositoire, c’est un relaxant, dit Sœur Thérèse. Avec tout ce que vous venez de subir, vous dormirez bien, sans tiraillement sur les fesses ou les cuisses et vous serez d’attaque demain.

Un petit cri de surprise et j’étais déjà debout.

« Quelle honte ! », « Me faire mettre un suppositoire devant tout le monde, à mon âge ! », « Me faire écarter les fesses, qu’on voit ma pastille ! »

Toutes ces pensées se bousculèrent dans ma tête. J’en eus par réflexe les larmes aux yeux. Sœur Thérèse n’avait pas pris de gants, au propre comme au figuré, pour m’administrer son traitement. Elle me fit lever un pied puis l’autre et m’enfila mon change, j’étais emmaillotée et prête pour la nuit. L’effet de cette médication forcée conjugué à ma fatigue eut raison de moi très rapidement. Je sombrai bien vite dans un sommeil réparateur avant même d’avoir pu parcourir un chapitre entier du bouquin que j’avais emprunté à la bibliothèque, au moins pour moi la nuit serait calme.


La nuit se déroula pour moi comme un bref passage du soir au matin. Je me réveillai ce samedi comme je m’étais endormie, dans le dortoir des filles de l’internat de Ste-Marie. À l’évidence, le traitement de Sœur Thérèse avait été d’une redoutable efficacité. Notre maîtresse de dortoir vint spécialement s’occuper de moi afin de vérifier l’état de mon change. Sous ma nuisette elle me baissa cette culotte de protection et constata en passant sa main entre mes cuisses que j’étais sèche.

Je pus aller rejoindre mes camarades aux sanitaires pour y faire pipi ainsi qu’un rapide brin de toilette. Le temps nous était compté car contrairement à la veille au soir, nous passions avant les garçons. De retour au dortoir je demandais à Magali de me donner son avis sur l’état de mes fesses. Je voulais que ma camarade me confirme ce que je pensais déjà, que mes fesses ne révélaient plus aucune marque visible des sanctions de la veille ; certes mon derrière était un peu rosé mais sans plus.

Habillées, nous gagnâmes toutes le réfectoire pour le petit-déjeuner, les garçons nous y rejoignant quelques instants après. Il flottait dans l’air une bonne odeur de café et cela me mit en appétit. Nous étions toutes et tous derrière nos chaises à attendre l’autorisation de nous asseoir. La directrice fit son entrée accompagnée de la Préfète de discipline.

– Bonjour mes Sœurs ! entonnâmes-nous tous en chœur.

– Bonjour jeunes gens ! répondit Sœur Marie-Joseph. Avant de passer au petit-déjeuner, je voudrais dissiper un malentendu. Pour cela je laisse la parole à Sœur Marie-Hortense.

– Vous n’êtes pas sans savoir que si vous êtes ici c’est parce que vous y êtes en retenue. Vous avez été avertis que vous commenceriez cette journée par un peu de sport. Certaines ont cru bon hier soir d’anticiper. Cela aurait été tout à fait louable si cet entraînement ne s’était déroulé dans les douches. J’ai ouï dire que la capitaine de cette équipe a été sévèrement punie par Sœur Thérèse. Christine, pouvez-vous me résumer la situation s’il vous plaît ?

Voilà que la journée s’annonçait difficile pour moi alors qu’elle débutait à peine. La Préfète de discipline me demandait ni plus ni moins de me justifier de mon comportement de la veille. Elle me réclamait cela en qualité de « capitaine de dortoir », un exercice qu’elle voulait volontairement complexe pour moi. Elle savait combien l’angle d’attaque était mince entre dénoncer mes camarades ou prendre tout sur moi, en fait, elle en jouait.

– Ma Sœur, répondis-je, nous avons manifesté un peu trop bruyamment notre ardeur. Comme responsable de notre dortoir, j’en assume la responsabilité.

– En fait de responsabilité, continua Sœur Marie-Hortense, vous enfoncez une porte béante. Sœur Thérèse vous a prise sur le fait et vous a punie pour cela. J’aurais aimé vous entendre résumer cette version de votre propre bouche.

– Oui ma Sœur, poursuivis-je, j’allais y venir…

– Stop ! m’interrompit Sœur Marie-Hortense, ne vous enfoncez pas !

La Préfète de discipline m’avait emmenée exactement là où elle le souhaitait, dans une impasse.

– Vous savez qu’ici, à Ste-Marie, toute punition doit être répétée afin de bien en appuyer les effets. Étant donné que vous avez été sanctionnée à l’internat hier après 18h, la réplique a lieu ce matin. Sœur Marie-Joseph m’a chargée de mener à bien l’application de cette répétition.

Une chance, je n’avais pas encore pris mon petit déjeuner. En un instant mon estomac était retourné. Non seulement Sœur Marie-Hortense clamait à l’envie ma situation peu enviable de la veille mais voilà qu’elle souhaitait en rajouter et, surtout, devant tout le monde, garçons compris. Si la veille ils avaient eu le son, là ils risquaient d’avoir l’image.

Il ne tenait maintenant qu’à moi de faire face avec dignité. Après tout, j’étais une femme de 36 ans et je pouvais affronter cette épreuve avec courage. L’image de ma voisine Christelle, superbe dans l’adversité me trottait encore dans la tête, je devais absolument lui ressembler.

– Christine ! m’apostropha Sœur Marie-Hortense, avancez-vous s’il vous plaît.

La Préfète de discipline me fit venir jusqu’à elle, devant la table des Sœurs et enseignantes, bien en vue de toutes et tous. Elle me positionna de face vers mes camarades.

– Jeune fille, demanda Sœur Marie-Hortense, quelle était la couleur du maillot que portait votre équipe hier ?

– Nous étions sous la douche ma Sœur, répondis-je. Nous…

– Justement, renchérit Sœur Marie-Hortense, remettez-vous dans cette même tenue s’il vous plaît.

À l’écoute de ces mots, je fus pétrifiée. Mon courage espéré était en train de s’envoler. La Préfète de discipline vint malheureusement à mon secours. Elle fit tomber ma jupe à mes pieds et me déboutonna la chemise avant de me l’ôter. J’étais en sous-vêtements. En quelques secondes il me sembla avoir diminué en taille tellement les regards qui se portaient sur moi me tassaient.

Sans que j’eusse le temps d’esquisser le moindre mouvement, Sœur Marie-Hortense me dégrafa le soutien-gorge. Je me trouvais seins nus. Je sentis ensuite les pouces de la religieuse agripper l’élastique de ma culotte. J’eus tout juste le temps de m’en rendre compte, elle me baissa la culotte d’un trait jusqu’aux chevilles. L’impensable se produisait, moi, une femme de 36 ans, mariée et mère de famille, nue devant une poignée d’élèves tous plus jeunes que moi.

Instinctivement je mis ma main droite devant mon pubis et mon bras gauche devant ma poitrine. Mal m’en pris. Je reçus une fessée magistrale de la main de la Préfète de discipline ainsi que l’injonction de poser mes mains à plat sur ma tête. Telle un mannequin, je fus invitée à tourner lentement sur moi-même afin de bien montrer à tout le monde mon état de punie. Je sentis monter mes larmes mais je parvenais à me maîtriser. Sans être exhibitionniste, je me dis qu’être ainsi exposée pouvait aiguiser quelque fièvre chez certains des garçons. Cette pensée m’aida tant bien que mal à tenir le coup.

Sœur Marie-Hortense sortit de sa poche un martinet de belle taille aux lanières impressionnantes. Perdant de ma superbe, je ne pus réprimer par réflexe un « Non ! ». La réponse de la religieuse fut cinglante. Sans même me faire prendre position, elle m’asséna une volée de violents coups de martinet directement sur les fesses.

– Aïeeeee !

Je répliquai d’un long cri plaintif. Sœur Marie-Hortense insista, armée de son instrument. Elle me fit danser de douleur, les lanières atteignant tantôt mes fesses, tantôt mes cuisses.

– Ce sont des cris de victoires que vous poussez là jeune fille ? m’interrogea Sœur Marie-Hortense.

– Aïe ! Aïe ! Non ma Sœur, répondis-je bien difficilement, j’ai mal.

La religieuse poursuivit le maniement de son martinet. Je fus bientôt vaincue et n’eus d’autre alternative que de pleurer. Pour moi, la moindre once de pensée exhibitionniste n’était plus de mise, j’en perdais de fait tout dignité à fondre en larmes en public. Le silence absolu régnait dans le réfectoire, seuls mes pleurs entrecoupés de violents sanglots déchiraient ce calme.

Je dus aller au coin, les mains toujours sur la tête. Mes camarades purent enfin prendre leur petit-déjeuner, les Sœurs et enseignantes également. Ce ne fut qu’à leur suite que je fus autorisée à m’installer à table, mais toujours nue.

Pour les élèves, point de café mais du lait, du chocolat, du pain et de la confiture, tout ce que je ne pouvais avaler le matin. Comme d’autres de mes camarades auparavant, je fis un effort mais la fessée publique que je venais de recevoir m’avait coupé tout appétit.

Ce fut avec l’estomac presque vide que j’allais affronter la suite de ce samedi de retenue en consigne à Ste-Marie. C’était aussi la première fois que j’y avais été fessée en public.



Pour suivre le fil de ce récit

Lire ou relire le premier épisode : introduction
Et l'épisode précédent : chapitre 19
La suite, c'est le chapitre 21

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2 commentaires:

  1. Encore un excellent Episode , l'age de Christine ne compte plus , elle est au même niveau que les autres élèves , c'est tellement bien que cela devient trop court ces épisodes
    Vivement Jeudi prochain

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  2. L'âge de Christine a-t-il vraiment compté... ailleurs que dans sa tête?
    Qu'elle soit au même niveau que les autres élèves n'a rien d’étonnant, n'est-elle pas élève elle-même à Ste-Marie?
    Merci de trouver les épisodes trop courts, c'est qu'ils ont de l'intérêt pour vous; à contrario ce sont les longueurs qui paraissent souvent ennuyeuses.
    Au grand plaisir de vous compter parmi les lecteurs assidus jeudi prochain.
    Jeancla

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