samedi 24 mars 2018

Axel, élève à St Marie - chapitre 35


Les colles du week-end étaient vraiment l’occasion de changer toutes nos habitudes. Sœur Gabrielle emmena les grands, filles et garçons, avec elle. Nous fîmes le tour des dortoirs dans lesquels dormaient habituellement chacun de nous.« Vous prendrez vos affaires de toilette et le change nécessaire pour deux jours. »
Muni d’un petit baluchon, SœurGabrielle nous conduisit à l’étage où dormaient les Sœurs. Ces lieux-là nous étaient interdits durant la semaine. Au bout du couloir où  chaque religieuse avait une chambre, il y avait un dortoir dans lequel nous rejoignîmes les élèves du collège qui y étaient déjà installés.
« Vous avez des draps dans cette panière pour faire votre lit. Installez votre change dans le placard et portez votre trousse de toilette dans la salle d’eau. »

Grands et petits, garçons et filles allions partager me même dortoir pendant le week-end. J’en restais un peu interloqué, n’imaginant pas comment se déroulerait notre toilette dans un espace partagé avec les filles, mais avec aussi peu d’intimité. Les Sœurs réglèrent la question avec leurs méthodes coutumières. Sœur Françoise et Sœur Gabrielle menaient le ballet.
« Axel, mets-toi là, dit Sœur Gabrielle en ma désignant un lit. Tes vêtements dans le placard et tu fais ton lit ! »
Sa consigne fut soulignée par une solide claque sur le fond de mon pantalon : un avertissement qu’il ne fallait pas négliger. Les Sœurs ne nous laissèrent pas le temps de réfléchir aux inconvénients ou aux avantages de notre nouvel espace de vie. Tout fut réglé en cinq minutes qui consistèrent à obéir sans délai aux consignes qui nous tombaient dessus à un rythme effréné. Chaque hésitation se concluait par une claque sur les fesses qui ne nous faisait, physiquement pas grand mal, mais qui promettait une fessée plus sérieuse en cas d’absence de diligence à effectuer les ordres qui nous étaient donnés.
Elle assigna le lit voisin du mien à Nathan et celui de l’autre côté à Noémie. Envoyé porter mon nécessaire à toilette dans la salle d’eau, je constatais que la disposition était en tout point semblable à ce que je connaissais ordinairement : une alignée de lavabos surmontés d’une petite armoire, un long banc de l’autre côté, là où nous nous séchions après la douche qui se passait dans une pièce attenante. Pas de cabine, pas de cloison, pas de porte, l’intimité n’était pas plus une préoccupation ici que dans le dortoir des grands.
Tout le monde fut installé en un temps record mais avec une distribution généreuse de claques sur le fond des pantalons et des jupes.
« Tout le monde à la toilette, proclama Sœur Françoise ! On se prépare. »
Dans notre dortoir, nous devions alors nous déshabiller pour, complètement nu, nous rendre devant notre lavabo. C’était le même rituel que celui que je vivais chaque soir. Qu’en était-il dans les autres ? Nous nous regardions, attendant que l’un d’entre nous fasse le premier geste.
D’un mouvement synchrone, les deux religieuses prirent l’initiative. Sœur Françoise attrapa un garçon qui était à côté d’elle et Sœur Gabrielle s’occupa de Noémie. Elles les déshabillèrent en un rien de temps et d’une claque sur les fesses, les envoyèrent dans le milieu du dortoir.
 « Le prochain ou la prochaine que je dois déshabiller reçoit une fessée pour de vrai ! »
Cela donna le signal d’un déshabillage général qui se fit sans hésitation marquée. Nathan dévoila sa culotte en plastique que Sœur Gabrielle lui ôta. Cela mobilisa l’attention de la plupart des élèves, ce qui fut réglé en un instant par Sœur Françoise qui distribua quelques fessées sur des derrières devenus inactifs.
« C’est bien, Nathan, tu n’as pas fait pipi dans ta couche. Je t’en remettrai une pour le coucher. En attendant, laissons tes fesses respirer à l’air. »
Nathan rougit mais Sœur Gabrielle ne lui laissa pas le temps s’offusquer de ce qui aurait pu passer pour une humiliation si ce n’avait été fait avec autant de naturel. Il n’y avait rien à dissimuler, rien d’anormal à ce qu’un jeune adulte portât des couches et qu’une religieuse se chargeât régulièrement de le changer. D’un tapotement sur les fesses, elle l’envoya rejoindre ceux qui attendaient dans l’allée au milieu du dortoir.
C’est une douzaine de derrières nus qui s’alignèrent devant les lavabos. J’avais à côté de moi une fillette qui devait avoir moins de douze ans. A peu de choses près, j’aurai pu être son père. Si j’en juge par la situation dans laquelle nous avions été mis, elle comme moi, notre différence d’âges avait été gommée. C’était un rang d’enfants de cinq ou six ans qui, nus comme des vers, faisaient une toilette collective sans que des signes de pudeur soient tolérés. Apparemment, les habitudes étaient semblables dans tous les dortoirs. Nous retrouvions nos repères ce qui facilita notre adaptation à ce nouvel environnement.
Les deux religieuses se livrèrent à leur inspection de propreté rituelle. Elles nous prenaient dans ordre dans lequel nous achevions notre toilette. Ce fut Sœur Françoise qui vérifia la propreté de mes oreilles, de la raie de mes fesses et de mes parties sexuelles. Encore une fois, c’était le naturel qui l’emportât, même si, intérieurement, je ne pouvais m’empêcher de ressentir une gêne et un trouble à être ainsi manipulé.
« C’est bon, va mettre ton pyjama ! »
Garçons et filles retraversions alors partiellement le dortoir toujours aussi nus que le jour de notre naissance, pour mettre notre pyjama ou notre chemise de nuit. Je découvris que les filles, à St Marie, portaient, pour dormir, des chemises de nuit qui leur arrivaient aux genoux. Seul Nathan dut rester les fesses nues, en attendant qu’on lui remette une couche, ce qui ne devait pas se passer avant l’heure du coucher.
L’une des jeunes filles avait déjà pris place le nez collé le long du mur. Elle avait croisé ses mains sur le sommet de son crâne. Cette tradition-là ne changeait pas. Elle restait d’actualité dans notre nouveau dortoir. Ceux qui avaient une fessée notée sur leur carnet devaient attendre leur punition au piquet. Sans qu’aucune consigne ne soit donnée, quel que soit leur dortoir d’origine, une fois leur vêtement de nuit passé, ceux qui devaient être fessés allaient s’aligner le long du mur. Nathan et moi fûmes les deux derniers à prendre place.
« Venez ici, tout le monde ! »
Sœur Françoise convoquait tous les élèves dans l’espace disponible où se donnaient les fessées, juste dans notre dos.
« Vous, les punis, vous restez là où vous êtes. Vous allez parfaitement entendre. »
Aucun de nous n’aurait osé bouger sans une autorisation expresse.
« Nous avons remarqué que les collés du week-end bénéficient de petits privilège du fait de leur petit nombre. Nous pouvons nous occuper de vous plus attentivement. Il nous a semblé, ces derniers week-ends, que le côté punition tendait à s’effacer pour laisser place à de plus nombreux moments de câlin et à de la discipline qui se relâche. C’est assez inévitable et nous souhaitons garder ce côté convivial des week-ends à St Marie. »
Je n’étais pas certain que Noémie avait remarqué que la discipline se relâchait. Je n’aurais pas voulu être à sa place pour recevoir la fessée que lui avait donnée Sœur Gabrielle. J’avais, par contre, envié le moment qu’elle avait passé sur les genoux de la religieuse.
« Il n’est pas souhaitable que vous oubliiez qu’être collé c’est être puni. Nous allons le vous rappeler sans équivoque. Dorénavant, chaque soir avant de se coucher vous recevrez chacun une fessée. Puis nous vous mettrons au lit pour la nuit. »
Je ne pouvais voir ce qui se passait dans mon dos, mais j’imaginais les échanges de regard, certains étonnés, d’autres résignés ou parfois indignés.
« Nous commencerons dès ce soir. En attendant : tout le monde à ses devoirs, sauf pour les punis, bien sûr, qui ont d’abord une fessée à recevoir. »
Une fois passé le léger brouhaha provoqué par les déplacements et l’installation de chacun à sa table de travail, un calme presqu’absolu gagna le dortoir. Je ne pouvais pas voir ce qui se passait dans mon dos, mais j’imaginais sans peine chaque élève penché sur ses devoirs, cherchant à adopter l’air le plus studieux possible pour ne pas attirer l’attention des deux religieuses. Je n’eus pas, non plus, besoin de beaucoup d’imagination pour deviner à quoi pourraient servir les deux chaises dont j’avais entendu l’installation à proximité de notre file de pénitents.
« Ma Sœur, proposa Sœur Françoise, je vous propose de me charger de vos élèves et vous prendrez les miens. Cela les changera un peu.
– Volontiers, répondit-elle. N’ayez pas peur de les fesser sévèrement. Ils l’ont largement mérité. »
J’entendis Sœur Gabrielle appeler à elle l’élève qui se tenait à l’extrémité de la file. C’était la jeune fille qui s’était installée en premier au piquet.
« Noémie, venez-ici ! »
Je sentis la jeune femme rejoindre le lieu de sa correction. Elle gémissait faiblement. Il y eut un petit moment de silence, puis la fessée commença. En fait ce furent les deux fessées qui commencèrent de concert. Ni les deux fesseuses, ni les deux fessées ne respectèrent un rythme synchrone. Ce fut donc rapidement une cacophonie de claques sur les fesses nues, de cris et de pleurs qui emplit l’espace sonore du dortoir. Ce fut Sœur Gabrielle qui s’arrêta en premier. Sœur Françoise la suivit après avoir administré une belle série de claques sur les fesses de Noémie.
« Vous êtes plus grande, Jeune fille, il est donc normal que vous ayez le droit à une ration plus copieuse. »
Sœur Françoise continua la fessée pendant une bonne minute encore. Noémie redoubla de pleurs et de cris.
 « Nathan, à votre tour ! »
Sœur Gabrielle avait attendu que sa collègue soit prête pour commencer la correction du garçon qu’elle avait appelé. Les deux fessées débutèrent ensemble, mais, comme les premières, elles prirent rapidement chacune leur rythme. Nathan, de sa voix de basse, couvrait les bruits que faisait le jeune garçon que l’on entendait uniquement lorsque Nathan reprenait son souffle.
« Et maintenant le supplément dû à votre âge. »
Comme Noémie, Nathan dut supporter une correction plus longue que son condisciple. Il revint se placer à mon côté, alors que sa respiration était encore sporadiquement interrompue par des sanglots. Je me préparais, cherchant à me persuader que ce ne serait pas si difficile que cela.
« Axel, il ne reste plus que vous ! »
Gardant les mains sur la tête, je fis demi-tour. Sœur Gabrielle avait couché une jeune fille sur ses genoux. Elle avait retroussé sa chemise de nuit jusque dans le creux de ses reins. Sa main était posée sur les fesses nues devant elle, les tapotant doucement du bout de ses doigts.
« La dernière fois que vous avez mérité une fessée en ma présence, j’ai dû, à mon grand regret, vous épargner. Fort heureusement, cette fois-ci, vous ne passerez pas à travers. »
Sœur Françoise me baissa alors le pantalon de pyjama. Elle posa sa main sur mes fesses pour me faire approcher un peu plus près d’elle. Puis, elle me désigna ses genoux et j’y pris place. Elle prit le temps d’ajuster ma position. Je ne sentis pas qu’elle ait pris son élan, mais sa main tomba sur le milieu de mes fesses.
Elle insista longuement au même endroit jusqu’à ce que je ne puisse plus contrôler ni mes cris, ni mes battements de pieds, ni mes pleurs. Alors elle changea d’endroit, déplaçant un peu la zone de mes fesses sur laquelle elle appliquait sa main. Bien vite, là aussi, la brûlure devint intolérable. Sœur Françoise visita ainsi toute la surface de peau qui était à sa disposition. Je ne savais plus où j’en étais quand la fessée cessa.
« Encore un peu pour faire bonne mesure !
– Non, pardon, s’il vous … »
Ma supplique fut arrêtée par la main qui reprenait son activité sur mes fesses. Partout où elle claquait, j’avais l’impression qu’un fer rougi y était appliqué. La fin de la fessée ne fit qu’à peine diminuer l’embrasement de mon postérieur.
« Allons, debout ! »
Une nouvelle gifle sur mes fesses m’incita à obéir promptement.
« Retournez au piquet laisser vos fesses refroidir. »
La jeune fille dont Sœur Gabrielle s’était occupée, avait retrouvé sa place. Elle n’arrivait pas à étouffer de gros sanglots qui soulevaient sa poitrine. Pour ma part, une fois le piquet regagné, je laissais longuement couler mes larmes pendant un bon moment.

« Les punis, cachez moi ces fesses que nous avons assez vues pour le moment ! »
Sœur Françoise venait mettre fin à notre mise en pénitence. Les uns remontèrent leur pyjama et les autres laissèrent retomber leur chemise de nuit. Seul Nathan resta les bras ballants, ne sachant pas très bien comment se comporter dans cette situation.
 « Les devoirs et les leçons, en vitesse. »
C’est en une file indienne bien disciplinée que nous nous dirigeâmes vers notre table de travail. Nathan, seul du dortoir à être encore fesses nues, ne cessait, machinalement, de tirer sur le bas de sa veste de pyjama qui ne couvrait que la moitié de ses fesses.
La routine du travail scolaire s’installa, laissant chacun concentré devant son travail sous la surveillance attentive des deux religieuses. Toute remarque faite à un élève, était accompagnée d’une claque sur la cuisse de celui qui avait été réprimandé. Les Sœurs voulaient se montrer intransigeantes.
Bientôt, chacun arriva au bout de ses devoirs et de ses leçons. C’est une jeune fille des classes de collège qui reçut en premier le satisfecit de Sœur Françoise pour son travail.
« Léa, maintenant que vous avez fini votre travail, vous vous mettrez au coin près de votre lit en attendant l’heure du coucher. »
Comme dans notre dortoir habituel, il y avait un espace entre le placard du lit voisin et le sien. Cela créait un angle qui pouvait aisément servir de coin pour y mettre les élèves en pénitence. Cela avait l’avantage d’avoir un coin par pensionnaire.
Léa regarda Sœur Françoise et elle faillit protester. Les gros yeux que lui fit Sœur Françoise et une claque sur les fesses l’en dissuadèrent.
« Au coin ! »
La jeune fille s’y résigna. Elle plaça son visage dans l’angle et croisa ses bras dans son dos. Puis elle s’immobilisa. Elle fut rapidement rejointe par d’autres élèves qui ne cherchèrent pas à protester. C’était peine perdue. Je fus un des derniers à obtenir l’autorisation de fermer mes cahiers et mes livres. Presque tous les coins étaient occupés par un élève. Je ne voyais que des dos barrés par des bras croisés. Je m’immobilisais dans mon coin, prenant la même posture que mes camarades. Il y eut encore un peu de bruit provoqué par les derniers à rejoindre leur lieu de pénitence.
« Je ne veux voir personne bouger, proclama Sœur Françoise, pas le moindre bruit jusqu’à ce que nous venions vous mettre au lit. »
Bien qu’il y ait douze jeunes gens dans la pièce, il y régna le silence le plus parfait. Je n’entendais pas un bruit, pas un raclement de gorge, pas un froissement de tissu qui aurait dénoncé un mouvement. Le silence était si profond que je me demandais si les Sœurs nous avaient laissés seuls. Bien entendu, il n’était pas question de me retourner pour vérifier.
J’écoutais le silence pendant les premières minutes, mais il n’y avait rien à entendre. Je scrutais le plus petit bruit qui aurait pu me renseigner sur la présence de l’une des deux religieuses. Rien. Le bruit de fond de la ville autour de St Marie qui était habituellement inaudible, devint perceptible si je faisais des efforts de concentration.
Puis, las de cette auscultation infructueuse, je revins à ma situation. Combien de temps encore devrais-je rester là ? Ce sont mes bras qui s’engourdirent en premier. Leur position n’était pas naturelle et je devais faire un effort pour les garder dans mon dos. Je relâchais un moment ma concentration et je faillis les laisser tomber. Je les rattrapais au dernier moment. Une poussée d’adrénaline me ramena à une plus grande attention : j’avais frôlé une fessée qui aurait été probablement magistrale. Je sentais venir des crampes dans le haut de mes cuisses.

Il y eut alors un léger bruit qui semblait venir de plusieurs endroits dans le dortoir. Il devint nettement plus perceptible. Alors ce furent quelques gémissements et grognements qui furent vite étouffés. Puis le bruit caractéristique de plusieurs fessées concomitantes résonna dans la pièce. Le silence imposé aux enfants mis au coin fut remplacé par des cris et des pleurs. Je ne comprenais pas bien comment Sœur Françoise et Sœur Gabrielle pouvaient administrer autant de fessées à la fois. Malgré ma curiosité, je conservais mon nez dans le coin, ce qui laissait mes questions sans réponse.
Les fessées durèrent un bon moment. Puis elles cessèrent à peu près toutes en même temps. J’entendais les Sœurs chuchoter. Les pleurs se calmèrent, laissant encore place à quelques sanglots qui s’échappaient de la gorge de l’un ou l’autre des punis. Quelques matelas et sommiers grincèrent et un silence relatif revint. Il dura un long moment tandis que je patientais dans mon lieu de pénitence. J’entendis des pas se rapprocher de moi.
Une main saisit mon bras gauche et m’attira hors du coin. 
la main qui donne la fessée



Sans résister, je suivis la personne qui m’entraînait et je me retrouvais face à une Sœur que j’avais vaguement aperçue mais dont je ne me rappelais plus le nom. Elle s’assit sur mon lit et me plaça à sa droite. Elle baissa le pantalon de mon pyjama. Juste avant qu’elle me couchât sur ses genoux, je pus apercevoir quatre ou cinq autres religieuses qui positionnaient autant de mes camarades à plat ventre sur leurs genoux. Il y avait là Sœur Françoise et Sœur Gabrielle, mais également Sœur Thérèse. Je ne pus identifier les autres.
La religieuse qui s’occupait de moi me repositionna et mon visage fut plaqué contre les couvertures de mon lit, dissimulant à ma vue ce qui arrivait à mes camarades. Ce n’était pas bien difficile à deviner. C’était le moment de la fessée qui nous avait été promise avant de nous mettre au lit.
Une première claque tomba sur ma fesse droite. Forte. Sèche. Brûlante. Sonore. Je ne pus retenir un cri. Il fut suivi de ceux de mes camarades qui subissaient la même punition que moi. Rapidement toute mon attention et mon énergie fut centrée sur la cuisson qui émanait de mes fesses.
Je cessais de percevoir ce qui arrivait aux élèves qui m’entouraient. La Sœur dont je ne connaissais pas le nom, s’y connaissait en administration de fessées. Elle concentrait ses claques à la jonction de mes fesses et de mes cuisses. C’était une zone de peau assez tendre et la fessée y faisait son effet. Je laissais mes larmes couler, je laissais mes cris retentir, trouvant un peu de réconfort dans ce piètre exutoire. Je n’avais pas d’autre choix que de subir la punition jusqu’à son terme.
Il arriva enfin après que je me suis dit plusieurs fois que je pouvais plus supporter la moindre fessée supplémentaire. J’avais supporté, bien entendu, toutes celles que la religieuse avait décidé de m’infliger.
Elle me remit sur mes pieds et remonta mon pyjama. Elle sortit un mouchoir de sa poche et essuya les larmes sui roulaient sur mes joues. Elle me moucha, puis, ouvrant grand mes draps, elle annonça :
« Au lit ! »
Je m’y glissais le plus vite possible. Je m’allongeais sur le ventre. La religieuse me borda puis elle prit place sur le bord de mon lit. Elle glissa sa main sous mes couvertures et la posa sur mes épaules.
un clin post fessée



Elle les massa doucement et je me détendais sous la caresse. Elle descendit alors sur mes reins dont elle dénoua les muscles l’un après l’autre. Puis, elle la glissa sous l’élastique de mon pyjama. Le contact accentua brièvement la douleur, puis le massage aidant, je sentis la brûlure se dissiper lentement.
La Sœur se pencha alors vers moi, plaçant sa bouche tout près de mon oreille.
« C’est bien, tu es un grand garçon. »
Elle poursuivit un peu le massage.
 « Demain, nous allons faire du bon travail ensemble. »
Je commençais à sombrer dans le sommeil. Je n’étais plus assez lucide pour m’interroger sur le sens de cette phrase. Elle retira doucement sa main et déposa un bisou sur ma joue.
Il n’y avait plus que Nathan qui, les jambes relevées au-dessus de sa tête, attendait que Sœur Françoise finisse de positionner sa couche et sa culotte pour la nuit. Je crois bien que je m’endormis avant qu’elle ait fini de le langer.

Merci à Peter Pan pour ses illustrations.


Pour suivre le fil de cette histoire :

Comprendre le contexte : l'introduction
Le premier épisode : chapitre 1
L'épisode précédent : chapitre 34
L'épisode suivant : chapitre 36.

4 commentaires:

  1. Excellent épisode... comme toujours !
    Jeancla

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    1. Merci Jeancla,
      le récit progresse. l'intégration d'Axel dans la communauté des élèves est maintenant quasi parfaite.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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  2. Bonjours à tous,
    Notre ami JLG ne manque ni d'imagination ni de souffle. le récit monte en puissance et les fesses en cuisson. Non seulement les fessées sont administrées en public mais maintenant en série et en duo. Les séances de deux fessée en même temps sont bien "percutantes" et donnent indéniablement du rythme au récit tout en en renouvelant l'intérêt.
    L'intégration d'Axel est quasi parfaite, on craint quand même pour l'intégrité de son derrière en voie de désintégration!!! pour notre plus grand plaisir de lecture... pauvre Axel. (rires à la Peter Pan)!
    Cordialement
    R.
    Cordialemant

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    1. Bonjour,
      Quel parcours pour Axel ! De simple observateur, il est devenu sujet, comme les autres, de la fessée. Elle fait maintenant partie de sa vie et gageons que le suite du récit n'ira pas en reculant sur ce point.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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