Les colles du week-end étaient vraiment l’occasion de changer toutes nos habitudes. Sœur Gabrielle emmena les grands, filles et garçons, avec elle. Nous fîmes le tour des dortoirs dans lesquels dormaient habituellement chacun de nous.« Vous prendrez vos affaires de toilette et le change nécessaire pour deux jours. »
Muni d’un petit baluchon, SœurGabrielle nous conduisit à l’étage où dormaient les Sœurs. Ces lieux-là nous
étaient interdits durant la semaine. Au bout du couloir où chaque religieuse avait une chambre, il y
avait un dortoir dans lequel nous rejoignîmes les élèves du collège qui y
étaient déjà installés.
« Vous avez des draps dans
cette panière pour faire votre lit. Installez votre change dans le placard et
portez votre trousse de toilette dans la salle d’eau. »
Grands et petits, garçons et
filles allions partager me même dortoir pendant le week-end. J’en restais un
peu interloqué, n’imaginant pas comment se déroulerait notre toilette dans un
espace partagé avec les filles, mais avec aussi peu d’intimité. Les Sœurs
réglèrent la question avec leurs méthodes coutumières. Sœur Françoise et Sœur
Gabrielle menaient le ballet.
« Axel, mets-toi là, dit
Sœur Gabrielle en ma désignant un lit. Tes vêtements dans le placard et tu fais
ton lit ! »
Sa consigne fut soulignée par une
solide claque sur le fond de mon pantalon : un avertissement qu’il ne
fallait pas négliger. Les Sœurs ne nous laissèrent pas le temps de réfléchir
aux inconvénients ou aux avantages de notre nouvel espace de vie. Tout fut
réglé en cinq minutes qui consistèrent à obéir sans délai aux consignes qui
nous tombaient dessus à un rythme effréné. Chaque hésitation se concluait par
une claque sur les fesses qui ne nous faisait, physiquement pas grand mal, mais
qui promettait une fessée plus sérieuse en cas d’absence de diligence à
effectuer les ordres qui nous étaient donnés.
Elle assigna le lit voisin du
mien à Nathan et celui de l’autre côté à Noémie. Envoyé porter mon nécessaire à
toilette dans la salle d’eau, je constatais que la disposition était en tout
point semblable à ce que je connaissais ordinairement : une alignée de
lavabos surmontés d’une petite armoire, un long banc de l’autre côté, là où
nous nous séchions après la douche qui se passait dans une pièce attenante. Pas
de cabine, pas de cloison, pas de porte, l’intimité n’était pas plus une
préoccupation ici que dans le dortoir des grands.
Tout le monde fut installé en un
temps record mais avec une distribution généreuse de claques sur le fond des
pantalons et des jupes.
« Tout le monde à la
toilette, proclama Sœur Françoise ! On se prépare. »
Dans notre dortoir, nous devions
alors nous déshabiller pour, complètement nu, nous rendre devant notre lavabo.
C’était le même rituel que celui que je vivais chaque soir. Qu’en était-il dans
les autres ? Nous nous regardions, attendant que l’un d’entre nous fasse
le premier geste.
D’un mouvement synchrone, les
deux religieuses prirent l’initiative. Sœur Françoise attrapa un garçon qui
était à côté d’elle et Sœur Gabrielle s’occupa de Noémie. Elles les
déshabillèrent en un rien de temps et d’une claque sur les fesses, les
envoyèrent dans le milieu du dortoir.
« Le prochain ou la prochaine que je dois
déshabiller reçoit une fessée pour de vrai ! »
Cela donna le signal d’un
déshabillage général qui se fit sans hésitation marquée. Nathan dévoila sa
culotte en plastique que Sœur Gabrielle lui ôta. Cela mobilisa l’attention de
la plupart des élèves, ce qui fut réglé en un instant par Sœur Françoise qui
distribua quelques fessées sur des derrières devenus inactifs.
« C’est bien, Nathan, tu
n’as pas fait pipi dans ta couche. Je t’en remettrai une pour le coucher. En
attendant, laissons tes fesses respirer à l’air. »
Nathan rougit mais Sœur Gabrielle
ne lui laissa pas le temps s’offusquer de ce qui aurait pu passer pour une
humiliation si ce n’avait été fait avec autant de naturel. Il n’y avait rien à
dissimuler, rien d’anormal à ce qu’un jeune adulte portât des couches et qu’une
religieuse se chargeât régulièrement de le changer. D’un tapotement sur les
fesses, elle l’envoya rejoindre ceux qui attendaient dans l’allée au milieu du
dortoir.
C’est une douzaine de derrières
nus qui s’alignèrent devant les lavabos. J’avais à côté de moi une fillette qui
devait avoir moins de douze ans. A peu de choses près, j’aurai pu être son
père. Si j’en juge par la situation dans laquelle nous avions été mis, elle
comme moi, notre différence d’âges avait été gommée. C’était un rang d’enfants
de cinq ou six ans qui, nus comme des vers, faisaient une toilette collective
sans que des signes de pudeur soient tolérés. Apparemment, les habitudes
étaient semblables dans tous les dortoirs. Nous retrouvions nos repères ce qui
facilita notre adaptation à ce nouvel environnement.
Les deux religieuses se livrèrent
à leur inspection de propreté rituelle. Elles nous prenaient dans ordre dans
lequel nous achevions notre toilette. Ce fut Sœur Françoise qui vérifia la
propreté de mes oreilles, de la raie de mes fesses et de mes parties sexuelles.
Encore une fois, c’était le naturel qui l’emportât, même si, intérieurement, je
ne pouvais m’empêcher de ressentir une gêne et un trouble à être ainsi
manipulé.
« C’est bon, va mettre ton
pyjama ! »
Garçons et filles retraversions
alors partiellement le dortoir toujours aussi nus que le jour de notre
naissance, pour mettre notre pyjama ou notre chemise de nuit. Je découvris que
les filles, à St Marie, portaient, pour dormir, des chemises de nuit qui leur
arrivaient aux genoux. Seul Nathan dut rester les fesses nues, en attendant
qu’on lui remette une couche, ce qui ne devait pas se passer avant l’heure du
coucher.
L’une des jeunes filles avait
déjà pris place le nez collé le long du mur. Elle avait croisé ses mains sur le
sommet de son crâne. Cette tradition-là ne changeait pas. Elle restait
d’actualité dans notre nouveau dortoir. Ceux qui avaient une fessée notée sur
leur carnet devaient attendre leur punition au piquet. Sans qu’aucune consigne
ne soit donnée, quel que soit leur dortoir d’origine, une fois leur vêtement de
nuit passé, ceux qui devaient être fessés allaient s’aligner le long du mur.
Nathan et moi fûmes les deux derniers à prendre place.
« Venez ici, tout le
monde ! »
Sœur Françoise convoquait tous
les élèves dans l’espace disponible où se donnaient les fessées, juste dans
notre dos.
« Vous, les punis, vous
restez là où vous êtes. Vous allez parfaitement entendre. »
Aucun de nous n’aurait osé bouger
sans une autorisation expresse.
« Nous avons remarqué que
les collés du week-end bénéficient de petits privilège du fait de leur petit
nombre. Nous pouvons nous occuper de vous plus attentivement. Il nous a semblé,
ces derniers week-ends, que le côté punition tendait à s’effacer pour laisser
place à de plus nombreux moments de câlin et à de la discipline qui se relâche.
C’est assez inévitable et nous souhaitons garder ce côté convivial des
week-ends à St Marie. »
Je n’étais pas certain que Noémie
avait remarqué que la discipline se relâchait. Je n’aurais pas voulu être à sa
place pour recevoir la fessée que lui avait donnée Sœur Gabrielle. J’avais, par
contre, envié le moment qu’elle avait passé sur les genoux de la religieuse.
« Il n’est pas souhaitable
que vous oubliiez qu’être collé c’est être puni. Nous allons le vous rappeler
sans équivoque. Dorénavant, chaque soir avant de se coucher vous recevrez
chacun une fessée. Puis nous vous mettrons au lit pour la nuit. »
Je ne pouvais voir ce qui se
passait dans mon dos, mais j’imaginais les échanges de regard, certains
étonnés, d’autres résignés ou parfois indignés.
« Nous commencerons dès ce
soir. En attendant : tout le monde à ses devoirs, sauf pour les punis,
bien sûr, qui ont d’abord une fessée à recevoir. »
Une fois passé le léger brouhaha
provoqué par les déplacements et l’installation de chacun à sa table de
travail, un calme presqu’absolu gagna le dortoir. Je ne pouvais pas voir ce qui
se passait dans mon dos, mais j’imaginais sans peine chaque élève penché sur
ses devoirs, cherchant à adopter l’air le plus studieux possible pour ne pas
attirer l’attention des deux religieuses. Je n’eus pas, non plus, besoin de
beaucoup d’imagination pour deviner à quoi pourraient servir les deux chaises
dont j’avais entendu l’installation à proximité de notre file de pénitents.
« Ma Sœur, proposa Sœur
Françoise, je vous propose de me charger de vos élèves et vous prendrez les
miens. Cela les changera un peu.
– Volontiers, répondit-elle.
N’ayez pas peur de les fesser sévèrement. Ils l’ont largement mérité. »
J’entendis Sœur Gabrielle appeler
à elle l’élève qui se tenait à l’extrémité de la file. C’était la jeune fille
qui s’était installée en premier au piquet.
« Noémie,
venez-ici ! »
Je sentis la jeune femme
rejoindre le lieu de sa correction. Elle gémissait faiblement. Il y eut un
petit moment de silence, puis la fessée commença. En fait ce furent les deux
fessées qui commencèrent de concert. Ni les deux fesseuses, ni les deux fessées
ne respectèrent un rythme synchrone. Ce fut donc rapidement une cacophonie de
claques sur les fesses nues, de cris et de pleurs qui emplit l’espace sonore du
dortoir. Ce fut Sœur Gabrielle qui s’arrêta en premier. Sœur Françoise la
suivit après avoir administré une belle série de claques sur les fesses de
Noémie.
« Vous êtes plus grande,
Jeune fille, il est donc normal que vous ayez le droit à une ration plus
copieuse. »
Sœur Françoise continua la fessée
pendant une bonne minute encore. Noémie redoubla de pleurs et de cris.
« Nathan, à votre tour ! »
Sœur Gabrielle avait attendu que
sa collègue soit prête pour commencer la correction du garçon qu’elle avait
appelé. Les deux fessées débutèrent ensemble, mais, comme les premières, elles
prirent rapidement chacune leur rythme. Nathan, de sa voix de basse, couvrait
les bruits que faisait le jeune garçon que l’on entendait uniquement lorsque
Nathan reprenait son souffle.
« Et maintenant le
supplément dû à votre âge. »
Comme Noémie, Nathan dut
supporter une correction plus longue que son condisciple. Il revint se placer à
mon côté, alors que sa respiration était encore sporadiquement interrompue par
des sanglots. Je me préparais, cherchant à me persuader que ce ne serait pas si
difficile que cela.
« Axel, il ne reste plus que
vous ! »
Gardant les mains sur la tête, je
fis demi-tour. Sœur Gabrielle avait couché une jeune fille sur ses genoux. Elle
avait retroussé sa chemise de nuit jusque dans le creux de ses reins. Sa main
était posée sur les fesses nues devant elle, les tapotant doucement du bout de
ses doigts.
« La dernière fois que vous
avez mérité une fessée en ma présence, j’ai dû, à mon grand regret, vous
épargner. Fort heureusement, cette fois-ci, vous ne passerez pas à
travers. »
Sœur Françoise me baissa alors le
pantalon de pyjama. Elle posa sa main sur mes fesses pour me faire approcher un
peu plus près d’elle. Puis, elle me désigna ses genoux et j’y pris place. Elle
prit le temps d’ajuster ma position. Je ne sentis pas qu’elle ait pris son
élan, mais sa main tomba sur le milieu de mes fesses.
Elle insista longuement au même
endroit jusqu’à ce que je ne puisse plus contrôler ni mes cris, ni mes
battements de pieds, ni mes pleurs. Alors elle changea d’endroit, déplaçant un
peu la zone de mes fesses sur laquelle elle appliquait sa main. Bien vite, là
aussi, la brûlure devint intolérable. Sœur Françoise visita ainsi toute la
surface de peau qui était à sa disposition. Je ne savais plus où j’en étais
quand la fessée cessa.
« Encore un peu pour faire
bonne mesure !
– Non, pardon, s’il vous … »
Ma supplique fut arrêtée par la
main qui reprenait son activité sur mes fesses. Partout où elle claquait,
j’avais l’impression qu’un fer rougi y était appliqué. La fin de la fessée ne
fit qu’à peine diminuer l’embrasement de mon postérieur.
« Allons,
debout ! »
Une nouvelle gifle sur mes fesses
m’incita à obéir promptement.
« Retournez au piquet
laisser vos fesses refroidir. »
La jeune fille dont Sœur
Gabrielle s’était occupée, avait retrouvé sa place. Elle n’arrivait pas à
étouffer de gros sanglots qui soulevaient sa poitrine. Pour ma part, une fois
le piquet regagné, je laissais longuement couler mes larmes pendant un bon
moment.
« Les punis, cachez moi ces
fesses que nous avons assez vues pour le moment ! »
Sœur Françoise venait mettre fin
à notre mise en pénitence. Les uns remontèrent leur pyjama et les autres
laissèrent retomber leur chemise de nuit. Seul Nathan resta les bras ballants,
ne sachant pas très bien comment se comporter dans cette situation.
« Les devoirs et les leçons, en
vitesse. »
C’est en une file indienne bien
disciplinée que nous nous dirigeâmes vers notre table de travail. Nathan, seul
du dortoir à être encore fesses nues, ne cessait, machinalement, de tirer sur
le bas de sa veste de pyjama qui ne couvrait que la moitié de ses fesses.
La routine du travail scolaire
s’installa, laissant chacun concentré devant son travail sous la surveillance
attentive des deux religieuses. Toute remarque faite à un élève, était
accompagnée d’une claque sur la cuisse de celui qui avait été réprimandé. Les
Sœurs voulaient se montrer intransigeantes.
Bientôt, chacun arriva au bout de
ses devoirs et de ses leçons. C’est une jeune fille des classes de collège qui
reçut en premier le satisfecit de Sœur Françoise pour son travail.
« Léa, maintenant que vous
avez fini votre travail, vous vous mettrez au coin près de votre lit en
attendant l’heure du coucher. »
Comme dans notre dortoir
habituel, il y avait un espace entre le placard du lit voisin et le sien. Cela
créait un angle qui pouvait aisément servir de coin pour y mettre les élèves en
pénitence. Cela avait l’avantage d’avoir un coin par pensionnaire.
Léa regarda Sœur Françoise et
elle faillit protester. Les gros yeux que lui fit Sœur Françoise et une claque
sur les fesses l’en dissuadèrent.
« Au coin ! »
La jeune fille s’y résigna. Elle
plaça son visage dans l’angle et croisa ses bras dans son dos. Puis elle
s’immobilisa. Elle fut rapidement rejointe par d’autres élèves qui ne
cherchèrent pas à protester. C’était peine perdue. Je fus un des derniers à
obtenir l’autorisation de fermer mes cahiers et mes livres. Presque tous les
coins étaient occupés par un élève. Je ne voyais que des dos barrés par des
bras croisés. Je m’immobilisais dans mon coin, prenant la même posture que mes
camarades. Il y eut encore un peu de bruit provoqué par les derniers à
rejoindre leur lieu de pénitence.
« Je ne veux voir personne
bouger, proclama Sœur Françoise, pas le moindre bruit jusqu’à ce que nous
venions vous mettre au lit. »
Bien qu’il y ait douze jeunes
gens dans la pièce, il y régna le silence le plus parfait. Je n’entendais pas
un bruit, pas un raclement de gorge, pas un froissement de tissu qui aurait
dénoncé un mouvement. Le silence était si profond que je me demandais si les
Sœurs nous avaient laissés seuls. Bien entendu, il n’était pas question de me
retourner pour vérifier.
J’écoutais le silence pendant les
premières minutes, mais il n’y avait rien à entendre. Je scrutais le plus petit
bruit qui aurait pu me renseigner sur la présence de l’une des deux
religieuses. Rien. Le bruit de fond de la ville autour de St Marie qui était
habituellement inaudible, devint perceptible si je faisais des efforts de
concentration.
Puis, las de cette auscultation
infructueuse, je revins à ma situation. Combien de temps encore devrais-je
rester là ? Ce sont mes bras qui s’engourdirent en premier. Leur position
n’était pas naturelle et je devais faire un effort pour les garder dans mon
dos. Je relâchais un moment ma concentration et je faillis les laisser tomber.
Je les rattrapais au dernier moment. Une poussée d’adrénaline me ramena à une
plus grande attention : j’avais frôlé une fessée qui aurait été
probablement magistrale. Je sentais venir des crampes dans le haut de mes
cuisses.
Il y eut alors un léger bruit qui
semblait venir de plusieurs endroits dans le dortoir. Il devint nettement plus
perceptible. Alors ce furent quelques gémissements et grognements qui furent
vite étouffés. Puis le bruit caractéristique de plusieurs fessées concomitantes
résonna dans la pièce. Le silence imposé aux enfants mis au coin fut remplacé
par des cris et des pleurs. Je ne comprenais pas bien comment Sœur Françoise et
Sœur Gabrielle pouvaient administrer autant de fessées à la fois. Malgré ma
curiosité, je conservais mon nez dans le coin, ce qui laissait mes questions
sans réponse.
Les fessées durèrent un bon
moment. Puis elles cessèrent à peu près toutes en même temps. J’entendais les
Sœurs chuchoter. Les pleurs se calmèrent, laissant encore place à quelques
sanglots qui s’échappaient de la gorge de l’un ou l’autre des punis. Quelques
matelas et sommiers grincèrent et un silence relatif revint. Il dura un long
moment tandis que je patientais dans mon lieu de pénitence. J’entendis des pas
se rapprocher de moi.
Une main saisit mon bras gauche
et m’attira hors du coin.
Sans résister, je suivis la personne qui m’entraînait et je me retrouvais face à une Sœur que j’avais vaguement aperçue mais dont je ne me rappelais plus le nom. Elle s’assit sur mon lit et me plaça à sa droite. Elle baissa le pantalon de mon pyjama. Juste avant qu’elle me couchât sur ses genoux, je pus apercevoir quatre ou cinq autres religieuses qui positionnaient autant de mes camarades à plat ventre sur leurs genoux. Il y avait là Sœur Françoise et Sœur Gabrielle, mais également Sœur Thérèse. Je ne pus identifier les autres.
Sans résister, je suivis la personne qui m’entraînait et je me retrouvais face à une Sœur que j’avais vaguement aperçue mais dont je ne me rappelais plus le nom. Elle s’assit sur mon lit et me plaça à sa droite. Elle baissa le pantalon de mon pyjama. Juste avant qu’elle me couchât sur ses genoux, je pus apercevoir quatre ou cinq autres religieuses qui positionnaient autant de mes camarades à plat ventre sur leurs genoux. Il y avait là Sœur Françoise et Sœur Gabrielle, mais également Sœur Thérèse. Je ne pus identifier les autres.
La religieuse qui s’occupait de
moi me repositionna et mon visage fut plaqué contre les couvertures de mon lit,
dissimulant à ma vue ce qui arrivait à mes camarades. Ce n’était pas bien
difficile à deviner. C’était le moment de la fessée qui nous avait été promise
avant de nous mettre au lit.
Une première claque tomba sur ma
fesse droite. Forte. Sèche. Brûlante. Sonore. Je ne pus retenir un cri. Il fut
suivi de ceux de mes camarades qui subissaient la même punition que moi.
Rapidement toute mon attention et mon énergie fut centrée sur la cuisson qui
émanait de mes fesses.
Je cessais de percevoir ce qui
arrivait aux élèves qui m’entouraient. La Sœur dont je ne connaissais pas le
nom, s’y connaissait en administration de fessées. Elle concentrait ses claques
à la jonction de mes fesses et de mes cuisses. C’était une zone de peau assez
tendre et la fessée y faisait son effet. Je laissais mes larmes couler, je
laissais mes cris retentir, trouvant un peu de réconfort dans ce piètre
exutoire. Je n’avais pas d’autre choix que de subir la punition jusqu’à son
terme.
Il arriva enfin après que je me
suis dit plusieurs fois que je pouvais plus supporter la moindre fessée
supplémentaire. J’avais supporté, bien entendu, toutes celles que la religieuse
avait décidé de m’infliger.
Elle me remit sur mes pieds et
remonta mon pyjama. Elle sortit un mouchoir de sa poche et essuya les larmes
sui roulaient sur mes joues. Elle me moucha, puis, ouvrant grand mes draps,
elle annonça :
« Au lit ! »
Je m’y glissais le plus vite
possible. Je m’allongeais sur le ventre. La religieuse me borda puis elle prit
place sur le bord de mon lit. Elle glissa sa main sous mes couvertures et la
posa sur mes épaules.
Elle les massa doucement et je me détendais sous la caresse. Elle descendit alors sur mes reins dont elle dénoua les muscles l’un après l’autre. Puis, elle la glissa sous l’élastique de mon pyjama. Le contact accentua brièvement la douleur, puis le massage aidant, je sentis la brûlure se dissiper lentement.
Elle les massa doucement et je me détendais sous la caresse. Elle descendit alors sur mes reins dont elle dénoua les muscles l’un après l’autre. Puis, elle la glissa sous l’élastique de mon pyjama. Le contact accentua brièvement la douleur, puis le massage aidant, je sentis la brûlure se dissiper lentement.
La Sœur se pencha alors vers moi,
plaçant sa bouche tout près de mon oreille.
« C’est bien, tu es un grand
garçon. »
Elle poursuivit un peu le
massage.
« Demain, nous allons faire du bon
travail ensemble. »
Je commençais à sombrer dans le
sommeil. Je n’étais plus assez lucide pour m’interroger sur le sens de cette
phrase. Elle retira doucement sa main et déposa un bisou sur ma joue.
Il n’y avait plus que Nathan qui,
les jambes relevées au-dessus de sa tête, attendait que Sœur Françoise finisse
de positionner sa couche et sa culotte pour la nuit. Je crois bien que je m’endormis
avant qu’elle ait fini de le langer.
Merci à Peter Pan pour ses illustrations.
Pour suivre le fil de cette histoire :
Comprendre le contexte : l'introduction
Le premier épisode : chapitre 1
Excellent épisode... comme toujours !
RépondreSupprimerJeancla
Merci Jeancla,
Supprimerle récit progresse. l'intégration d'Axel dans la communauté des élèves est maintenant quasi parfaite.
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Bonjours à tous,
RépondreSupprimerNotre ami JLG ne manque ni d'imagination ni de souffle. le récit monte en puissance et les fesses en cuisson. Non seulement les fessées sont administrées en public mais maintenant en série et en duo. Les séances de deux fessée en même temps sont bien "percutantes" et donnent indéniablement du rythme au récit tout en en renouvelant l'intérêt.
L'intégration d'Axel est quasi parfaite, on craint quand même pour l'intégrité de son derrière en voie de désintégration!!! pour notre plus grand plaisir de lecture... pauvre Axel. (rires à la Peter Pan)!
Cordialement
R.
Cordialemant
Bonjour,
SupprimerQuel parcours pour Axel ! De simple observateur, il est devenu sujet, comme les autres, de la fessée. Elle fait maintenant partie de sa vie et gageons que le suite du récit n'ira pas en reculant sur ce point.
Au plaisir de vous lire,
JLG.