dimanche 18 mars 2018

De l'art du déculottage.

Plaidoyer pour un déculottage dans les règles de l'art

Je suis frappé de constater que l'une des parties les plus importantes de l'administration d'une fessée, soit le plus souvent négligée. Je veux parler du moment où le puni voit les couches de vêtement qui protègent habituellement son intimité, être progressivement écartées pour exposer ses fesses nues : le déculottage.
Soyez un peu observateur. Regardez ce qui circule sur internet, en particulier ce qu’on y donne à voir. La fessée elle-même y est largement représentée. Les punis, quel que soit leur sexe, quand on les montre, sont déjà en position disciplinaire, prêts pour recevoir la fessée. Comment se sont-ils retrouvés dans cette situation inhabituelle pour un adulte ? Que s’est-il passé pour qu’ils passent de leur statut d’adulte à celui de puni, les fesses nues ?


La fessée punitive, sanction et prévention

Je ne parlerai ici que de la fessée punitive, c'est-à-dire celle qui est rendue nécessaire par le comportement de l’adulte qui va être puni, celle qui doit l’amener à regretter de s’être mal comporté et celle qui suppose la présence bienveillante, mais intraitable d’une tierce personne dont l’autorité n’est pas contestée et qui a accepté la charge consistant à remettre le contrevenant dans le droit chemin, aussi souvent que nécessaire. Celle qui a donc toute légitimité pour donner une fessée aussi rigoureuse que l’acte qui l’a motivé est répréhensible.
La fessée a alors vocation à être conjointement une sanction explicitant de la façon la plus claire possible que le comportement dont il est question, est inadmissible ; et de la prévention afin de dissuader le puni de recommencer les mêmes écarts.

Le recours à la fessée, un acte d’infantilisation

Pourquoi donner une fessée et pas une autre punition ? Cet effectivement un mode de rétorsion qui n’est plus couramment utilisé quel que soit l’âge des récipiendaires et qui n'a jamais été considéré comme adapté aux adultes. Les règles sociales veulent, en effet, qu’un adulte ayant enfreint des règles, je ne parle pas ici de ce qui est de nature pénale et qui exige la mise en route de procédures judiciaires, soit se retrouve face à sa conscience si elle le tarabuste, soit s’entend dire son fait par une autre personne.
Cela ne va généralement pas au-delà et la pression sociale suffit le plus souvent, pour que, peu ou prou, les comportements coupables se fassent au moins plus discrets sur l’initiative de leur auteur.
Le recours à la fessée suppose qu’un cheminement ait été fait autant dans la tête de la fesseuse que dans celui du puni : les méthodes habituellement utilisées pour un adulte ne fonctionnent pas avec celui-là. Il faut trouver une autre solution, intention louable pour peu que la personne détenant l’autorité soit préoccupée du bon comportement de celui dont elle prend soin.
Donner une fessée déculottée a alors une double portée : d’une part, faire ressentir physiquement au puni l’importance des écarts dont il n’a pas pris conscience ; et d’autre part avoir une portée symbolique visant à le faire régresser dans son statut social jusqu’à, au nom de son intérêt supérieur, ne plus avoir droit au chapitre sur les traitements qui lui sont appliqués.
En ce qui concerne la nécessité de lui faire sentir la gravité de ce qu’il a commis, la fessée est tout à fait adaptée pour peu qu’elle soit proportionnée à la faute qui l’a provoquée. Je ne m’étendrais pas, dans cet article, sur ce point, même s’il y aurait beaucoup à dire. Examinons comment, il est possible de faire sentir à un adulte qu’il n'y a pas d'autre choix que de le traiter comme une personne irresponsable.

Perdre ses prérogatives d’adulte

Il faut que les actes de la correctrice adressent des messages dépourvus d’ambiguïté au puni. Le plus important d’entre eux pourrait se formuler ainsi : puisque tu n’assumes pas les responsabilités et le comportement social que doit avoir un adulte, tu as besoin d’une personne qui le fasse à ta place. Elle a donc toute légitimité pour décider là quand tu refuses de le faire de façon raisonnable. Tu ne te comportes plus comme un adulte, tu dois donc en perdre les prérogatives.
Etre puni, à son corps défendant, est déjà une première étape importante. Nul ne peut y trouver une situation valorisante pour lui-même. Il ne faudrait cependant pas qu’il puisse être possible d’en minimiser la portée. Il faut donc s’attaquer ostensiblement au cœur de ce qui constitue les privilèges sociaux constitutifs du statut d’adulte, je veux parler du droit à l’intimité et à la pudeur.
Il faut, en effet, des circonstances très particulières pour qu’un adulte exhibe les parties de son corps que la bienséance l’oblige à cacher. Je veux parler de ses fesses et de ses organes génitaux. Autant il semble normal à tout le monde qu’un petit enfant se déplace fesses nues en présence d’autres personnes, autant cela est socialement interdit dès que l'on grandit, bien avant la puberté et a fortiori pour un adulte.
Cela arrive, mais ce sont, en général des circonstances où la nudité est réciproque. Comme les partenaires sont également dénudés ou vont l’être bientôt, il n’y a pas de pudeur outragée. Plus encore, la notion de consentement est fondamentale. La décision en est prise par la personne qui accepte de se dénuder. Encore un point, dans ces circonstances, les vêtements sont ôtés pour laisser libre cours aux actions qui sont en préparation.
Afin que la perte de ses prérogatives d’adultes soit clairement établie, il me semble qu’il faut prendre le contre-pied de ces situations.

Un déculottage réussi

Il faut d’abord monter que la punition suivra son cours quel que soit l’avis que le puni a sur cette question. Il n’est plus en mesure de décider quoique ce soit sur ce sujet. Sa collaboration n’est pas nécessaire et ne doit pas être recherchée pour que la correction soit au maximum de son efficacité. La présence de sa tutrice qui a autorité sur lui, garantit son obéissance ce qui est la seule attitude requise de sa part.
C’est donc à elle de baisser la culotte. Quoi de plus clair pour signifier la perte de son libre arbitre, que des mains étrangères qui s’approchent de ses parties intimes pour les dévoiler ? Quoi de plus embarrassant que des contacts non désirés avec ses fesses ou ses organes sexuels alors que le pantalon et la culotte glissent le long des cuisses ? Quoi de plus vexant que ces attouchements ne provoquent qu’indifférence de la part de la femme qui les effectue ?
Pour être tout à fait clair, je ne promeus pas la manipulation volontaire et préméditée des organes sexuels du puni. Nous sortirions alors immanquablement de la situation punitive, ce qui ne permettrait pas à la fessée d’atteindre son but. Non, il ne peut s’agit que de touchers et d’effleurements nécessaires pour atteindre ses fins : baisser la culotte. Les parties intimes ne seront touchées que par nécessité, parce qu’elles sont sur le trajet de la main. A contrario, il n’est pas non plus nécessaire de les éviter. En fait, cela n’a pas d’importance puisque ce n’est plus un adulte qui se tient face à la personne qui a entreprit de baisser la culotte.
Le puni, par sa passivité reconnait alors la légitimité à en décider de la personne qui le déculotte.

Il est alors important que la situation d’exposition des fesses nues se prolonge. Obliger, si nécessaire le puni à retrousser les vêtements, chemise, corsage, tee-shirt … qui pourraient tomber en-dessous de sa taille, soulignera de façon pertinente la différence qui existe entre lui et les autres personnes présentes.
Prenons alors le temps de le gronder tout en le laissant debout, face à la personne qui sera chargée de le punir. Cela présentera deux avantages. Tout d’abord chacun sera certain que les motifs de la punition seront clairement énoncés et qu’ils seront donc une évidence pour tous. C’est une condition indispensable pour que la fessée ait une fonction préventive.
Par ailleurs, la prolongation de la situation infantilisante actera la perte des prérogatives d’adulte, ce qui permettra de graver durablement dans la tête du puni le lien de cause à effet entre l’écart commis et la régression qui lui est imposée.

Continuons. Une fois baissés, le pantalon autour des chevilles et la culotte à hauteur des genoux, Ils auront trouvé leur place définitive jusqu’à la fin de la punition. Il ne faudrait surtout pas les ôter complètement. Tout d’abord parce qu’il n’y a aucune raison de le faire. En aucun cas, ainsi positionnés, ils ne sauraient gêner le déroulement de la suite des opérations, voire en entravant les mouvements intempestifs du puni, ils aideront à le maîtriser. A cette place, ils présentent même quelques opportunités dont une bonne fesseuse doit se saisir.
Prenons bien conscience que pour le puni, se retrouver les vêtements du bas de son corps enserrant ses jambes, c’est emblématique de la correction qui se rapproche. A quelle autre occasion pourriez-vous vous être dans cette tenue, si ce n’est la dernière fois où vous avez reçu une fessée ? On peut se trouver jambes et fesses nues à d’autres occasion, mais jamais avec le pantalon entourant les chevilles, pour qui n’a jamais pris de fessée déculottée. Il ne faudrait pas, en libérant les chevilles, gâcher cette nouvelle occasion d’enfoncer le clou. Il s’agit bien d’une fessée punitive qui s’annonce. Elle a réellement déjà commencé. Le déculottage bien mené en constitue la première phase.
Imaginez maintenant que, dans cet état, le puni doive effectuer quelques déplacements, pour se rendre au coin, par exemple. La situation d’infantilisation monte encore d’une marche. Ses organes génitaux exposés, ballotant d’un côté à l’autre quand il s’agit d’un garçon, il avance, les jambes entravées par ses vêtements. Essayez, dans ces conditions d’avoir une démarche élégante. Nous avons là une situation typique du puni qui ne se retrouve nulle part ailleurs, dans aucune autre circonstance de la vie.
Les avantages psychologiques à garder le pantalon et la culotte enserrant les chevilles du punis sont donc nombreux.

Cerise sur le gâteau quand le puni doit venir demander pardon à sa correctrice de sa démarche dandinante. Afin de confirmer son emprise sur son pupille, il suffira de le reculotter, sans lui laisser aucune initiative, en négligeant toujours les attouchements que cela pourrait provoquer.


Il est donc difficile, si l’on ne veut pas perdre de l’efficacité dans la situation punitive, de valider les méthodes qui sont parfois employées consistant à un déculottage par étapes et une fessée progressant à l’avenant. Il faut parfois la collaboration du puni pour achever le déculottage quand baisser la culotte n'est pas évident compte tenu de la position adoptée. Pourquoi pas lui ne pas aller jusqu'à lui demander son autorisation si on pousse la situation au bout ? Ne basculerait-on pas alors plutôt du côté d’une fessée pré érotique ? Au contraire, lors d’une fessée punitive la correctrice doit rechercher, dès le début la cuisson maximale, avant que la sécrétion des endorphines n’en atténue la brûlure. Les deux premières minutes sont donc cruciales.
De même, la nudité intégrale ou presque est parfois présentée comme l’alpha et l’oméga de la punition. Encore une fois, elle prive le puni et sa correctrice de bien des avantages qui sont à leur maximum quand les fesses et les jambes nues sont entravées par un pantalon et une culotte judicieusement baissés, mais gardant leur place autour des chevilles et des genoux. C’est la situation singulière du puni. Il faut en garder toute la force.
Dernière précision : il va de soi que la présence de témoins ne saurait être un obstacle à un déculottage. Une fessée méritée doit être donnée au plus vite. Que cela ne se passe pas dans un espace privé ne fait qu’en renforcer le message.
Mesdames les fesseuses, essayez donc, vous verrez la différence.

Quelques déculottages dans les règles de l'art

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10 commentaires:

  1. Difficile de prétendre le contraire, la vraie fessée, humiliante, claquante et cuisante... c’est la fessée déculottée. Celle qui fait vraiment mal aux fesses puisque c’est sa vocation. Fessée punitive, bénéfique car éducative. Je pense que tout le monde sera d’accord la dessus… Maintenant sur l’art et la manière du déculottage, partie intégrante et ô combien importante du cérémonial de la fessée, on peut avoir plusieurs façon de voir et de faire.

    Pour notre ami JLG la méthode pour être efficiente se propose radicale. Une fois la fessée annoncée, ces Dames positionnent, déculottent et fessent! Simple, direct, efficace. Puis, en pénitence au coin, toujours déculotté…

    Outre la fonction préliminaire aux notions de sanction, punition, repentir, je pense que le déculottage est peut-être le moment le plus humiliant de la fessée. Souvent le premier geste physique d’affirmation d’autorité de la fesseuse sur sa victime. Celui qui annonce et prépare la correction dans l’appréhension entretenue par l’attente.
    Le déculottage immédiat, après l’annonce de la fessée, réduit la durée de tension ressentie par le puni avant les première claques. En retarder l’échéance, procéder par étapes successives démultiplie l’angoisse de la descente finale du slip sur les cuisses, annonçant la fessée déculottée cul nu. Davantage redoutée car plus cuisante et douloureuse.
    Un fois le pantalon descendu sur les chevilles pourquoi ne pas prendre le temps de chauffer les fesses à travers le slip que la fesseuse peut utiliser comme un accessoire aussi utile que plaisant à manipuler. Je prends aussi en compte l’aspect esthétique (en général ignoré ou négligé) de la fessée. Prendre le temps de claquer une belle paire de fesses solidement culottée, dénuder juste une fesse l’une après l’autre, tirer l’élastique dans la raie et fesser les surfaces charnues ainsi partiellement découvertes… tout ceci avant de passer à la fessée déculottée proprement dite. Belle entrée en matière avec une montée en cuisson en couleur et en puissance de la punition qui se poursuit en point d’orgue par le déculottage en règle et la cuisante fessée qui s’en suit, en feu d‘artifice final. Tout un programme!
    Bon, c’est vrai je détaille! Disons qu’une correction peut ne pas se limiter à l’essentiel de la fessée déculottée, brute ( c’est le cas de le dire) de décoffrage. Rien n‘empêche de l’agrémenter de quelques malignes fantaisies pour en pimenter l‘exécution. Pour le plaisir de la fesseuse, ( qui prétendra qu’elle n’en prend pas? ) comme pour la honte du fessé. ( qui ne peut pas prétendre ne pas la ressentir! )

    Déculotter un derrière pour le fesser est humiliant pour celui (ou celle) qui reçoit et qui passe (comme le développe très bien JLG) du statut d’adulte indiscipliné à celui d’enfant puni pour désobéissance. Le reculotter après chaque fessée pour le re-déculotter à la suivante démultiplie autant de fois l’impacte de la soumission et celui de l’humiliation qui renforce la mémorisation de la punition. Surtout lorsque la séance se déroule en public. ( Relisez les séances de formidables fessées déculottées que Madame Tolbois fait subir à son locataire… comme celles de Fabien par sa tante et sa cousine...des virtuoses du genre !)
    Ce n’est pas par hasard si Madame Anne Sophie ( Fesseuse sophistiquée et redoutable dans les récits de ses victimes consentantes) emploie systématiquement la méthode, déculottage, reculottage entre chaque fessée.

    Pour conclure provisoirement, la manière de déculotter importe également. Baisser pantalon et slip brutalement, d’un coup sec sous la colère ou dénuder lentement le derrière en pénitence avant de le corriger sévèrement. Choisissez la manière Mesdames, péremptoire ou sévèrement voluptueuse, mais dans tous les cas, il est certain comme le dit Peter Pan que : « ça va chauffeeeeer! »
    Cordialement
    Ramina.

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    1. Je partage entièrement votre avis.
      Lors ce qu'il est déculotté péremptoirement par sa fesseuse l'adulte enfant se sent dominé, impuissant et ramené austtut d'enfant.

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  2. Mon cher Ramina,
    Oui, oui, oui, ... j'entends bien ! Parlons-nous de la même chose ?
    Le côté esthétique, certes. Des malignes fantaisies, évidemment. Pimenter l'exécution, pourquoi pas. Mais sommes-nous encore dans la fessée punitive ?
    Je vous invite à lire l'article que je ferai paraître demain, et nous en reparlerons après.
    Au plaisir de vous lire,
    JLG.

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  3. Excellent plaidoyer sur la façon de déculotter !!
    J'ai énormément apprécié cet exposé car en lisant chaque étape je me suis retrouvé tel le puni sous la férule de ma fesseuse
    Combien de fois ai je subi ce moment le plus surprenant le plus humiliant de la fessée à savoir " le déculottage "
    Tout d'abord , ma compagne m'avertissait qu'elle allait me fesser en insistant sur " et ce sera déculotté " ce qui provoquait chez moi une angoisse le rouge apparaissant sur mes joues puis je me sentais tout d'un coup tétanisé lorsqu'elle me saisissait et commençait à dégrafer mon pantalon . Les premiers temps je l'empêchais en plaçant mes mains sur ma braguette mais une claque virulente sur ma main me dissuada
    Le pantalon descendu à mes chevilles , elle saisissait mon slip et avec dextérité le baissait pour qu'il rejoigne le pantalon
    Ce déculottage se passait souvent dans l'intimité mais il pouvait se produire en public car ma compagne ne diffère jamais une fessée déculottée
    Souvent en présence d'amis à la maison et une fois dans une galerie commerciale j'en garde encore des frissons
    Ainsi , ce n'est pas la fessée le plus humiliant mais plutôt la préparation ou le puni est mis à nu sous l'emprise de sa fesseuse
    A 65 ans , je reçois toujours la fessée et je ressens toujours une vive émotion lorsque ma femme me dit " je vais te déculotter si tu continues !"

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    1. Bonjour,
      Je vois que nous sommes sur la même longueur d'onde en ce qui concerne le déculottage.
      Avec cette méthode, frissons garantis, bien plus que lors d'un déculottage progressif.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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  4. Bonjour messieurs,
    Au moins ça discute, et chacun sa méthode.
    Mais développer sur « l‘Art » du déculottage ne peut, à mon avis, se réduire à la description d’une simple technique gestuelle exécutée systématiquement de facto!
    Dans le mot « Art » il y a la notion d’Artisan, (acte de faire avec habileté) déculotter avec art, avec dextérité, c’est faire preuve d’un savoir faire acquis par l‘expérience. Donc une pratique régulière de la fessée. C’est aussi évoquer une forme d’esthétique dans la manière de le faire à laquelle, je peux comprendre, tout le monde n'est pas sensible. Eh oui, la perte de dignité de l'adulte au moment du déculottage. Rapide et efficace, ou intense dans la durée ?... Je ne parle pas de mettre dix minutes à baisser un pantalon et un slip!
    Je vois plutôt cela comme des valeurs ajoutées dans la préparation de la fessée.
    Cordialement
    R.

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  5. Un souvenir très précis sur le sujet.
    A 12 ans, durant des vacances dans le sud de la France , j'avais fait la connaissance de deux filles de 14-15 ans, donc 2-3 ans plus âgées que moi. Un jour, elles avaient voulu me montrer qu'elles étaient plus grandes et qu'elles pouvaient me punir de mes bêtises. Un jour, elles ont estimé que j'avais essayé de les mater quand elles se changeaient sur la plage. Arrivés chez l'une des deux, j'ai reçu ma première fessée en travers de leurs genoux et c'est elles qui m'ont déculotté lorsque j'étais à plat ventre sur leurs genoux. je me suis jamais senti aussi honteux. J'estime donc que c'est plus dur de se faire déculotter par ses fesseuses.

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  6. quand c'est à mon tour d'être fessé par une dame fesseuse aussi bien autrefois comme "ado" ou à l'occasion comme cela a bien pu de temps à autre m'arriver à titre de "jeu", je préfère que ce soit la dame qui me déculotte, plutôt qu'avoir à me déculotter devant elle ; bien sûr, debout, face ou de côté de la fesseuse, qui déboutonne, puis baisse le pantalon, généralement aux genoux, avant de s'occuper du slip qui prend le même chemin ; sans oublier, qu'une fois en place sur les cuisses de la dame, que cette dernière peut poursuivre et améliorer le déculottage en baissant encore plus bas l'ensemble pantalon et slip ; en ce qui concerne Geneviève, il n'y avait pas de vraie bonne fessée sans pantalon et slip baissés minimum jusqu'aux chevilles ... je n'ai connu dans ma vie qu'une seule et unique situation au cours de laquelle j'ai dû me déculotter avant d'être généreusement fessé par Geneviève, devant une de ses collègues enseignante, avec laquelle j'avais été particulièrement impoli ; debout devant Geneviève, déjà assise et prête, j'avais dû baisser pantalon et slip pour ma plus grande honte, car même si j'étais coutumier de la fessée déculottée de sa main, cela c'était toujours jusqu'à présent pratiqué dans l'intimité entre Geneviève et moi, dans son bureau et non au milieu du salon, devant une une témoin ; j'avoue que j'avais essayé de jouer la montre et avoir prs mon temps pour baisser mon pantalon, puis l'enjamber après avoir ôté mes chaussures ; pour baisser mon slip, il me falu un peu plus de temps, provovoquant l'impatience de Geneviève, tandis que sa colègue confortablement assise dans un fauteuil, observait la scène ; faire attendre Geneviève n'était jamais un bon calcul pour lequel mes fesses allaient payer le prix fort ; une fois le slip baissé et enjambé, je n'eus guère le temps de protéger de mes deux mains mon intimité, Geneviève me fit basculer rapidement à plat ventre en travers de ses cuisses nues (nous étions au début de l'été donc hélas pas de bas nylon) et ce fut en polo et chaussettes, nu de la taille aux chevilles que je fus bien fessé ... sachant qu'ensuite, après un long passage au coin après la fessée cuisante de Geneviève, au coin bien sûr à genoux, cul nu, fesses écarlates et brûlantes, mains sur la tête avec interdiction de me retourner et aussi de me masser les fesses, sa collègue me fessa à son tour, soit un bilan de 2 bonnes fessées musclées dans un délai de 20/30 minutes !!!

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  7. quand je fesse, je préfère déculotter moi-même ma partenaire ; je pense que quand c'est le cas, la dame doit se trouver "ridicule", tenant sa jupe ou robe remontée, troussée au-dessus de ses fesses, culotte baissée sous les fesses, le peu qu'elle porte un collant, cuisses resserrées par le collant, avançant à petit pas pour se mettre en position allongée en travers des genoux de son fesseur ; je n'ai fait se trousser et se déculotter qu'une fois une partenaire car elle portait un collant "ventre plat et fesses galbées", un collant tellement serrant, gainant, que lorsqu'elle était en place, allongée sur mes genoux, il m'était impossible de décoller le collant de ses hanches et fesses et de le lui baisser sous les fesses ; alors je lui ai demandé de se relever et de baisser elle-même ce collant ;

    si elle ne porte pas de collant, mais des bas, mieux vaut des "dim-up" à des bas avec porte-jarretelles, car baisser une culotte et lui faire passer la barrière des jarretelles est parfois une mission lente, délicate et périlleuse, à moins de savoir faire preuve de patience et de dextérité !!!

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    1. C est ce que je préfère être déculottée en public surtout en laissant un certain moment a l exposition du public et de m administré une cuisante pour que j ai honte et inviter à les voirs comment elles ont bien rougits

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