mardi 20 mars 2018

Petit précis de pratique de la fessée éducative

Nous nous rendons tous régulièrement coupables de manquements aux règles de la vie sociale, qu’elles soient formelles ou informelles. C’est même une caractéristique de l’âge adulte de pouvoir décider quelles sont les obligations que nous prenons en compte et quelles sont celles qui nous paraissent superflues et dont on s’émancipe. De ce point de vue, les exigences en direction des enfants sont bien plus grandes que celles qui s’imposent aux adultes.
Chacun se donne des passe-droits sur des sujets qui lui semblent secondaires. Qui n’a jamais traversé une route au feu vert ou en dehors des passages piétons ; ou bien forcé un feu orange ou dépassé une limite de vitesse ? Qui n’a jamais négligé de ramasser un papier qu’il venait de laisser tomber ou confié le soin au suivant qui passerait par-là, de ranger la tasse de café ou un autre objet qu’il venait d’utiliser ? Qui n’a jamais menti ou proféré un gros-mot pour marquer son dépit ? Qui n’a jamais remis à demain ce qu’il aurait été préférable de faire aujourd’hui, ou médit avec la plus parfaite mauvaise foi sur son voisin ou son collègue de travail ? … Il serait possible de continuer la liste presque à l’infini.

Ces manquements sont-ils un problème fondamental ? Là n’est pas la question pertinente. Il vaudrait mieux s'interroger sur les méthodes qui permettront à chacun de s’améliorer. Généralement la pression sociale produite par son entourage familial, amical ou professionnel suffit à garder les débordements dans des limites acceptables qui nous permettent de passer pour des adultes responsables. Ce n’est hélas pas toujours le cas, mais ne nous focalisons pas seulement sur les cas extrêmes.
Les adultes trouvent rarement face à eux une personne en capacité de leur imposer le respect des règles qu’ils ont l’habitude d’outrepasser. Pire, celui qui se le permet passe, presque à chaque fois, pour un pisse-froid qui se mêle de ce qui ne le regarde pas. C’est tout le problème avec les adultes. La haute opinion qu’ils ont d’eux-mêmes ne leur permet plus de revenir sur des habitudes, même quand elles sont fautives.

Parfois, mais assez rarement, faire un reproche à un adulte suffit, mais il faut trouver la personne qui en a la légitimité. Souvent, même l’accumulation de remarques pointant les écarts commis ne permet pas d’obtenir une amélioration. Elles provoquent, au contraire un entêtement dans ses choix.
Il est un moment où ces comportements compromettent la position sociale de celui qui les commet. Ils gênent son parcours professionnel, et gâchent ses relations affectives ou familiales ou avec ses amis. Il est alors temps qu’un tiers prenne les choses en mains pour faire changer les pratiques en utilisant des méthodes plus coercitives.
Il faut alors mettre l’adulte dans des situations où l’autorité à laquelle il est confronté, a la possibilité de déstabiliser son statut d’adulte pour lui imposer des changements radicaux. Il s’agit qu’une tierce personne prenne le relais obligeant à se discipliner là où il en est incapable par lui-même. La visée éducative est alors évidente.
Ce statut d’adulte et les privilèges qui vont avec, est clairement un obstacle par-dessus lequel il faut passer. La fessée est alors une méthode particulièrement efficace. Elle impose une phase de régression amenant l’adulte dans une situation où obéir est de nouveau la règle où le choix de faire ou de ne pas faire n’existe plus, il est prescrit par une personne extérieure.

Une tutrice impliquée

Faut-il argumenter pour démontrer que le choix de la personne qui va exercer ce tutorat, est fondamental ? Cela me semble une évidence. Je ne reviendrais pas ici sur la supériorité de la gente féminine dans ce domaine. Prenons-le, pour la suite du propos, comme un postulat, même s’il n’est pas exclu qu’un Monsieur puisse tenir ce rôle. J’aurai l’occasion d’y revenir ultérieurement par ailleurs.
Une compagne, une mère ou une grand-mère, une tante ou une sœur seront, en principe, les mieux placées pour exercer ce rôle. Une supérieure hiérarchique pourra s'atteler à cette tâche avec bonheur. Parfois une amie, une colocataire ou une voisine, se sentant suffisamment impliquée, entrera sans difficulté dans la fonction. Il peut s'agir également d'une personne extérieure à qui les proches de l'adulte à rééduquer l'envoient quand il est nécessaire de le punir. Les types de situations sont très divers.
Il est plus pratique d'avoir le pupille sous la main en permanence. La situation de cohabitation est donc la plus favorable. Mais on peut également organiser des séjours de quelques jours, un week-end, ou même seulement une soirée. On comprendra aisément que quand la tutrice a son pupille sous la main, l'efficacité éducative est bien plus grande.

Accepter la responsabilité de devenir tutrice d’un adulte, garçon ou fille, n’est pas anodin. Cela demande une certaine rigueur si l’on veut rester dans le champ qui est le nôtre, celui de la punition éducative.
La relation qui doit s’instaurer reposera sur l'ascendance que détient la tutrice sur son pupille. Cela signifie que ses décisions ne sont jamais négociables et encore moins contestables. Elle agit au nom de l’intérêt supérieur du garçon ou de la fille dont elle a la charge, même si celui ou celle-ci n’est pas en capacité de le discerner.
Une fois cette autorité acceptée, la tutrice a toute légitimité pour punir quand elle le juge nécessaire. Le consentement du pupille n’est alors plus nécessaire. L'emprise de la tutrice doit suffire pour le faire obéir.
En effet, nombre d’adultes, bien qu’ils ne sachent pas ou ne veulent pas toujours l’exprimer ou l’admettre, ont besoin d’une supervision et n’ont de cesse quand ils l’ont trouvée, de se maintenir sous cette tutelle. Elle représente des repères stables engendrant un sentiment de sécurité qui n’a pas de prix. Si cela passe par la fessée, c’est alors un inconvénient nécessaire qui est largement compensé par la conviction d’avoir trouvé la personne fixant les limites dont ils ont besoin.
Toutefois, la tutrice devra être attentive à ne punir que quand c’est justifié. Autant le pupille va reconnaître, même s’il ne l’avouera pas toujours, la pertinence d’une correction quand elle est méritée, autant il sera révolté si elle est infondée. Cela demande un grand discernement. Il peut cependant arriver d’administrer un châtiment à mauvais escient. La tutrice devra demander à son pupille de l’en excuser, sans que cela ne change quoi que ce soit à la nature de leurs relations futures. Il peut arriver à tout le monde de commettre une erreur, mais la tutrice reste la tutrice quoiqu'il se passe.

C’est effectivement une relation dissymétrique qui s’installe. La tutrice a des responsabilités éducatives vis-à-vis de son pupille qui l’amène à prendre des décisions sans que l’avis de ce dernier ne puisse être recherché. Elle a alors non seulement le droit, mais également le devoir de le punir pour le remettre dans le droit chemin.
C’est un engagement réciproque durable, donner la fessée pour l’une et l’accepter pour l’autre. Le pupille ne peut pas en sortir sur sa propre initiative. Il n’a, en effet, pas le discernement nécessaire pour juger du niveau d’autonomie auquel il est arrivé donc pour savoir s’il a encore besoin d’être puni. Seule la tutrice l’a et on peut imaginer que si les progrès de son pupille sont importants, elle décide de renoncer à l’autorité qu’elle détient sur lui. Afin de ne pas passer du tout au rien, on peut également retenir une démarche progressive pour y arriver, comprenant, si nécessaire, le retour à des méthodes punitives dès que la tutrice juge qu’il y en a besoin. Il n’y aurait cependant rien d’étonnant à ce que son autorité s’exerce sans limitation de durée. Les cas où c’est nécessaire sont assez fréquents, les quelques avancées parfois réalisées n'étant généralement pas suffisantes pour imaginer de retrouver une autonomie, tant il est difficile, pour un adulte, d’éradiquer ses mauvaises habitudes.

Le champ de compétence de la tutrice peut être des plus vastes. C’est en fait elle qui va le déterminer en fonction des manquements qu’elle a repérés. Cela peut aller du comportement – désobéissance, impolitesse, insolence, caprice, colère, manque de respect dû aux aînés et à ses supérieurs, réponse impertinente, non-respect des règles, … – jusqu’à l’utilisation d’un langage inadéquat– gros-mots, familiarité déplacée, vulgarité, insulte, … Les négligences et les inattentions (hygiène corporelle ou propreté insuffisante, inattentions répétées, désordre récurrent...) entreront aussi bien dans le périmètre d’investigation de la tutrice, que l’indigence du travail fourni en quantité ou en qualité. Le mensonge, la paresse, la procrastination devront être des terrains examinés avec attention, tant ils sont courants. Un rythme de vie débridé devra être contrôlé. Si nécessaire, la tutrice devra prendre en mains les questions de propreté et d’hygiène corporelle.
Il ne faudrait pas oublier, non plus, les situations où la fessée doit inciter le pupille à plus de modestie quand la prétention et la vantardise ou les fanfaronnades débordent un peu trop ou encore quand l’orgueil occupe une trop grande place. Complétons la liste en évoquant les méchancetés gratuites comme les moqueries et les railleries outrancières et les persiflages déplacés. Après un traitement sérieux, le mépris et les agressions verbales ou physiques envers les autres diminueront de façon spectaculaire.
Enfin, finissons par les habitudes à rectifier comme l’usage de la cigarette, l’ingestion trop fréquente d’alcool, le grignotage entre les repas, la dépendance au jeu ou aux écrans de télévision ou d’ordinateur, le chapardage, … toute situation où il est nécessaire de rompre avec une conduite addictive.
Sans prétendre être arrivé à l’exhaustivité des raisons qui peuvent pousser une tutrice à mettre sous sa coupe un adulte, on voit que le regard doit être porté dans des directions très diverses.

Paradoxalement, c’est la confiance qui est au cœur de cette relation. Le pupille doit pouvoir se remettre entièrement entre les mains de sa tutrice, tout en sachant qu’il y recevra son dû, tout son dû et rien que son dû : un châtiment dès que c’est nécessaire, mais également des gestes de pardon quand la faute a été expiée. Nous y reviendrons plus tard.
Il sait, même quand la punition est des plus rigoureuses, qu’il l’a méritée. Il en est, en quelque sorte à l’origine et il doit la subir jusqu’au bout pour pouvoir laisser derrière lui le motif qui en est la cause. II en éprouve, consciemment ou inconsciemment la nécessité, parce que cela répond profondément à son besoin.
Le crédit qu’il place dans sa tutrice demande qu’elle sache ajuster la correction qu’elle administre. Elle a l’obligation de le conduire au repentir afin qu’il ne récidive pas. Une fessée correctement administrée doit prévenir le retour de la faute qui l’a provoquée. C’est cela que le pupille va demander à sa fesseuse.

Une prise en mains complète par la tutrice

Cette relation établie, l’initiative revient à la tutrice. C’est elle qui va alors avoir la charge de décider de tous les éléments à mettre en œuvre.
Pour commencer, elle choisira le lieu et le moment de la punition. Tout en sachant qu’administrer la fessée au plus près de l'événement qui la justifie, s’est produit ou a été révélé, est la meilleure solution, elle aura cependant toute latitude pour la différer dans l’espace et dans le temps.
Son autorité pourra l’amener également à déculotter et à fesser son pupille devant témoins ou dans un lieu public si elle le juge nécessaire. Rappelons que c’est l’intérêt supérieur de son pupille qui doit la guider, donc la nécessité de lui faire comprendre au plus vite qu'il a outrepassé les règles. Un pupille qui prendrait le risque d’un comportement interdit en présence d’autres personnes, ne peut pas s’étonner de recevoir une fessée déculottée en leur présence. Ce sera même probablement une sanction salutaire.
Les questions de la sévérité de la correction, de l’utilisation d’instruments punitifs et de punitions complémentaires relèveront de sa seule appréciation. Nous reviendrons ultérieurement sur chacun de ces points.
Le déculottage devra également être pris en charge par la tutrice. Ce sera l’occasion, en le grondant tout en lui baissant la culotte, de vérifier que les causes de la punition sont explicites et comprises par le pupille. Un article, paru sur le blog « une bonne fessée », s’est largement étendu sur cette question.

La question des positions disciplinaires à adopter doit être regardée avec la plus grande attention. Au-delà de la douleur que va normalement provoquer la correction, il est tout autant important d’insister sur les aspects psychologiques qu’elle engendre.
En effet, la punition consiste également à faire prendre conscience de la déception de la tutrice face au comportement fautif et enfantin de son pupille. On pourrait la formuler ainsi : « je suis obligée de te punir, alors que je ne devrais pas avoir à le faire. Tu n’es pas assez responsable pour te discipliner toi-même. Je te déchois de ton statut d’adulte pour te corriger. »
Ce n’est pas seulement une simple fessée que le puni doit recevoir. Ce qui lui donne un caractère encore plus solennel, c’est qu’elle lui est donnée par une personne dont il est proche et qui est soucieuse de son devenir. Le regard que la tutrice porte sur lui et sur ses actes est celui d’une personne dont l’opinion lui importe, puisqu’il s’est remis entre ses mains en matière de discipline. Cette punition sera d’autant plus efficiente si le puni sent que son comportement et les écarts dont il est coutumier, ne sont pas anodins pour sa tutrice.
La relation de proximité qui s’est installée entre la tutrice et son pupille doit être conservée au maximum. Le message passera au mieux si le contact se maintient tout au long de la correction. Pour cela, deux types de position conviennent : allongé sur ou entre les genoux de la correctrice d’une part et courbé sous son bras de l’autre. Dans les deux cas, le contact physique étroit entre la tutrice et son pupille ne lui laissera aucun doute sur la personne qui le maintient en position pour le fesser. La tutrice choisira l’une de ses positions en fonction du résultat qu’elle veut obtenir.
Courber son pupille sous son bras permet de le fesser en toutes circonstances et en tous lieux sans avoir besoin d’un point d’appui. C’est l’archétype de la fessée donnée immédiatement, sur le champ, sans longue préparation. Elle aura l’avantage de surprendre le puni qui n’aura que le temps du déculottage pour s’y préparer. Il sera, par contre plus difficile de contrôler les mouvements du puni si la rigueur de la correction, et surtout sa durée l’amènent à une gesticulation désordonnée.
Allonger le puni à plat-ventre en travers des genoux va donner un meilleure assise. Ses fesses seront parfaitement à disposition pour la main de la fesseuse. Il sera plus facile de modérer ses mouvements intempestifs lorsque l’échauffement des fesses deviendra difficilement supportable. C’est la position classique pour une punition domestique, celle qui permet de longues et cuisantes fessées.
Si vous souhaitez utiliser des instruments avec une énergie encore plus importante, il est sans doute préférable de positionner le puni à genoux entre vos pieds puis de le courber sur l'un de vos cuisses tout en le ceinturant avec un bras. Vous aurez ainsi un recul plus important pour manier l’ustensile punitif et une très bonne tenue de votre pupille dès que vous aurez refermé vos genoux sur ses cuisses. Ses possibilités de mouvement seront des plus restreintes.

Les positions amenant à installer une distance entre la tutrice et son pupille n’offrent que peu d’avantage. Courber le puni dans le milieu d’une pièce ou sur une chaise ou tout autre élément de mobilier permet de lui appliquer des instruments qui demandent une certaine distance de mise en œuvre. La canne en est l’exemple type, mais il en est de nombreux autres. L’éloignement qui s’instaure alors entre la tutrice et le puni, fait perdre l’aspect intimiste de la fessée. La perte de contact physique de la fesseuse avec son pupille lui permet bien moins de ressentir les effets qu'elle provoque et, inversement, le puni ressent moins bien la colère et l’exaspération de sa tutrice, alors que c’est un élément essentiel du processus.
L’utilisation de ces instruments distants n’apporte que des risques supplémentaires, s’ils ne sont pas bien maîtrisés. La probabilité de blesser le puni est bien réelle, ce qui n’est pas l’un des résultats escomptés en administrant une punition. Il va de soi qu’ils peuvent appliquer une énergie très importante sur les fesses du puni. Est-ce bien nécessaire quand il est possible avec une brosse ou une règle de rendre, sans risque, l’administration d’un châtiment extrêmement douloureux et rapidement insupportable ?
Il n’est pas étonnant que les sociétés anglo-saxonnes, issues de l‘ère victorienne, en soient friantes. Il fallait donner à la correction un caractère impersonnel, institutionnel, respectant l’interdit du contact du corps, d’autant plus hypocritement quand il était partiellement dénudé. Tout cela parait contre-productif au regard des principes énoncés ci-dessus, de la recherche d’une fessée éducative donnée dans un cadre sécurisant, indispensable si l’on veut que le puni y soit en situation d'apprentissage.

Une sévérité indispensable

N’oublions jamais que la fessée doit être une punition. Même les plus légères d’entre elles se doivent de provoquer un échauffement des fesses du puni assez pénible à supporter pour lui permettre de ressentir, au plus profond de lui-même, que ses actes sont désapprouvés par les personnes qui l’entourent. A défaut, ce n’est pas une correction. La question de la sévérité est donc un facteur à déterminer avec attention.
La fessée est une réponse à un écart. Plus celui-ci est important, plus celle-là doit l’être également. Elle doit être proportionnée à ce qui l’a motivée. La fréquence et la gravité des actes répréhensibles, la récidive, le caractère plus ou moins volontaire de la bêtise, l’importance des effets qu’ils ont entraînés, … sont autant de facteurs aggravants qu’il conviendra de sanctionner.
Si l’on veut que le pupille garde le souvenir de sa punition, et c’est indispensable, il faut qu’elle soit démonstrative et sans ambiguïté. La fin de la fessée doit être marquée par le repentir ouvertement et sincèrement exprimé par au minimum une contrition, mais plus souvent par des cris, voire avec des sanglots. Tout dépend de la rigueur qu’il faut y appliquer.

Le niveau de sévérité est de la responsabilité de la tutrice. Seul son jugement et son appréciation de la situation ont force de loi. Encore une fois, l’avis du puni doit être négligé, il ne doit même pas avoir la possibilité de l’exprimer. Il peut supplier, il peut demander qu’on l’épargne, mais il ne peut influer sur la sévérité du châtiment qu’il va recevoir.
Dans un tel système, le « mot de sécurité », le « safe word » qui met fin sans délai à la fessée, n’a pas sa place. Le puni ne peut pas avoir cette marge de manœuvre. Pendant les corrections les plus sévères qui le mèneront aux larmes, il ne pourrait probablement pas faire autrement que de l’utiliser, sans doute bien plus tôt que ce qui est pertinent. La tutrice serait lors confrontée à un dilemme : continuer la fessée au mépris de son engagement à y mettre fin à l’énoncé du mot de sécurité, ou l’arrêter alors que la leçon n’a pas encore suffisamment porté. Les deux solutions sont insatisfaisantes, il ne faut donc pas prendre le risque de s’y trouver enfermé.
Il n’y a pas d’autre solution que de confier la pleine et entière responsabilité de la durée et de la sévérité de la fessée à la tutrice qui, observant les réactions de son puni, doit déterminer quand il a été correctement châtié au regard de la faute qui lui a valu d’être fessé. C'est une charge supplémentaire qu'il conviendra d'exercer avec le plus grand soin si l'on veut que le puni s'y retrouve et profite pleinement de sa punition.

La main est bien évidemment l’outil de base que doit mobiliser une fesseuse. Si elle est correctement utilisée, elle peut infliger une sérieuse correction. Ce n’est pas une question de force, mais de vitesse donc de geste à effectuer et de forme de la main quand elle entre en contact avec les fesses. Plus elle en épousera la surface, plus la cuisson sera cinglante. S’exercer beaucoup et un peu d’endurance transformera la main en un outil redoutable.
Cependant, même habilement maniée, elle a des limites, ne serait-ce que celles de la personne à qui elle appartient. On oublie souvent que la main de la fesseuse ressent en retour les échauffements qu’elle provoque sur les fesses de son puni.
Tout en conservant le puni dans sa position disciplinaire, il est possible de recourir à des instruments punitifs, pourvu qu’ils ne soient pas trop longs, ce qui nécessiterait un recul que la position adoptée ne permet pas : une règle plate en bois, un martinet qui ne serait pas l’ustensile classique totalement inefficace pour des adultes, une brosse à cheveux ou de bain qui peut être choisie avec un manche assez long pour en renforcer l’impact, une ceinture raccourcie en enroulant une extrémité autour de la main, une baguette souple en bois, … l’inventaire n’est pas exhaustif. Il y a l’embarras du choix et dès le printemps, il est également possible de cueillir un bouquet d’orties, fesses cuisantes pendant deux jours garanties.

Des punitions complémentaires bienvenues

La punition ne doit pas s’arrêter à la fessée. Si baisser la culotte introduit le cycle punitif avec pertinence, le coin ou le piquet le prolonge avec bonheur. Sauf quand, pour des raisons de temps ou de lieu, il n’est pas possible d’y placer le puni, un moment en pénitence est un passage quasi obligé. Il lui permet de prendre le temps de la réflexion, tout en récupérant un peu de la cuisson qui lui a été infligée.
Quoi de plus clair comme signal de contrition et de repentir qu’un adulte placé au coin, attendant l’autorisation de sa tutrice pour retrouver sa liberté de mouvement et une tenue prenant en compte sa pudeur dédaignée ? Un moment d’humilité qu’il ne rencontre que trop rarement, mais qui a des effets certains.

La durée de cette exposition pendant laquelle le puni doit se tenir immobile et silencieux, les fesses évidemment nues bien visibles par toutes les personnes présentes, est un élément à déterminer avec précision. Le pantalon et la culotte entourant ses jambes souligneront la situation punitive.
Il ne faut pas hésiter à la prolonger, le pupille en profitera d’autant mieux. La vie de la maisonnée doit suivre son cours sans plus s’occuper de lui. Une demi-heure, une heure, une soirée ... c'est également une histoire d'habitude, mais aussi de réaction à la bêtise qui vaut au puni d’être là. Il sera alors en marge de ce qui se passe tout en y étant présent, situation ambiguë qui augmentera sa gêne et son sentiment de ne toujours pas avoir récupéré son statut d’adulte.
Les cas les plus graves y finiront à genoux. Tenir cette position n’est pas possible très longtemps : dix minutes, quinze, vingt ? Trente pour les plus résistants, plus longtemps quand il faut vraiment marquer le coup ? Les genoux finissent par ne plus supporter le poids de leur propriétaire. Il s’agit là d’une continuité de la fessée qui en aggrave la sévérité. Bien que cela soit difficile pour le puni de demeurer à genoux pendant longtemps, cela ne signifie pas qu’il faille y renoncer, au contraire.

Les punitions qui complètent la fessée permettent de constituer un univers qui démontre au puni qu’il est toujours sous le coup de la sanction qu’il a méritée. Selon les circonstances, la tutrice choisira dans l’ensemble des possibles : tirer l’oreille pour que son pupille accompagne ses déplacements sans résister ; savonner la bouche de ceux qui ont cru que les mensonges et les gros-mots étaient des options acceptables ; faire copier des lignes pour ceux qui ont du mal à intégrer les règles à respecter ; recommencer un travail qui a été fait sans soin ; priver de sorties ceux qui considéraient que l’âge adulte levait toutes les limites, …
Il va de soi que la tutrice pourra puiser autant que de besoin dans cette liste qui a vocation à s’allonger.

Le pardon, aboutissement indispensable

Il reste une dernière étape consistant à réintégrer le puni dans son statut social dont la fessée l’avait privé.  Cela ne doit pas être une formalité. Le pardon demandé et accordé en sera le passage obligé.
Le pupille devra s’y présenter dans l’attitude humble de celui qui reconnait ses torts et la pertinence de la punition qu’il vient de recevoir. Debout ou à genoux devant sa tutrice, les fesses toujours nues, bras croisés dans le dos, montrant son obéissance, le pupille devra prier sa tutrice de l’excuser et lui demander pardon.

Il peut être pertinent que, par un questionnement judicieux, la tutrice vérifie la sincérité du repentir. Si elle en est insatisfaite, c’est sans doute que la correction n’a pas produit tous les effets souhaités. Une nouvelle fessée résoudra alors très certainement le problème.
Il pourra être nécessaire de tester l’obéissance du récent puni : engagement à ne plus recommencer, promesse de futures punitions, … Le puni doit accepter, sans réticence, son statut de pupille placé sous la coupe de sa tutrice qui a la haute-main sur tous les aspects de sa vie. Cela passera par une multitude de petits gestes montrant à la fois l’affection, mais aussi l’autorité de la tutrice : passer la main sur les fesses pour en éprouver les dommages, relever la tête du puni afin qu’il regarde sa fesseuse dans les yeux, …
Il pourra être bon que la tutrice reculotte elle-même son pupille, marquant ainsi son territoire et montrant qu’elle a toute autorité pour de futurs probables déculottages. Il doit comprendre que la fessée fait partie intégrante de sa vie actuelle, mais également future, tant qu’il sera sous la responsabilité de sa tutrice. Cela ne fait plus partie de son champ de décision.

Selon le degré d’intimité entre les deux personnes, un câlin consolateur peut s’intercaler dans cette dernière phase de la punition. Une caresse sur la joue ou, mieux, sur les fesses encore dénudées parachèvera ce moment de pardon. Il est en effet important que la main qui vient de fesser soit également celle qui console. Elle soulignera ainsi la double nature de la tutrice, celle qui punit son pupille quand il a été vilain et celle qui le récompense s’il a été sage et obéissant.



Quelques récits de fessées éducatives, pris au hasard

7 commentaires:

  1. Bonjour JLG et tout le monde!
    Bien sûr que nous parlons de la même chose: la fessée punitive. Mais pas de la même façon et abordée sous un angle qui n’est pas pour autant hors sujet. L’expression « fessée punitive » pourrait d’ailleurs relever du pléonasme. Par nature la fessée est cuisante, douloureuse, punitive. Elle doit faire mal au fesses pour marquer le puni. En écartant le masochisme et la fessée érotique qui ne concernent pas le contenu de ce blog, recevoir une fessée, n’est rien d’autre qu’une punition. Je ne vois pas comment on peut en parler autrement. C’est que je développe clairement dans mon commentaire précédent.
    Notre différence de point de vue est ténue mais cependant définissable. Vous situez le sujet dans une réalité tangible. A défaut d’expérience vécue, ( ou rare dans une petite enfance) je suis dans une approche fantasmatique de la fessée, alimentée des récits fiction et des témoignages, bien réels ceux là. C’est peut-être le cas d’une partie des amis de ce blog qui y trouve le plaisir de partager cet imaginaire, catalyseur d‘un fantasme qu’on n’ose pas transformer en expérience vécue. Peter pan l’exprime très bien lorsqu’il dit réaliser ce fantasme à travers ses dessins. Comme d’autres à travers leurs écrits.
    Nous rêvons, cher JLG… Nous rêvons! Allons savoir pourquoi ... Nous rêvons de ces merveilleuses femmes, fortes et sévères, déculottant et fessant ces hommes indisciplinés, mal éduqués, auxquels, à défaut d’en assumer la concrétisation dans le réel, nous nous identifions le temps d’une lecture, d’un dessin.
    Votre « Petit précis » méthodique, argumenté, de conviction sincère, s’inscrit, lui, dans cette réalité. Il sonne comme une profession de foi. La fessée y est abordée comme une procédure exécutive sous l’angle exclusif de la punition éducative. J‘y adhère, bien que dans ce contexte, toute autre considération semble parasiter l’acte de punition. La fessée y est rationalisée, administrée avec méthode dans une logique de «recadrage ». Mis à part le « Câlin » du pardon salvateur, l’exécution de la sentence est froide et déterminée .
    Mais quelques touches d’humour sarcastique, des situations cocasses, des endroits inattendus, un public stimulant… peuvent agrémenter et enrichir un peu ces fessées magistrales… sans nuire à l’intention punitive. Et peut-être même contribuer à en accentuer le caractère humiliant. Cet atmosphère est présent dans quelques récits. Notamment le chapitre ou Fabien se fait prendre en photos en situation de fessée par sa cousine qui le menace de les publier sur internet ... Ironique et cinglante !

    Lorsque je parle d’esthétique j’évoque des paramètres périphériques aux raisons et à l’exécution des fessées, mais que j’estime cependant influents sur la nature et le caractère des punitions. Certains en renforcent même la mémorisation. Le lieu, le public, les positions, le dialogue entre les « partenaires » , la description des fesseuses. Leur ressenti, rarement traité, même brièvement, à l’inverse de celui des punis dont on connaît même parfois les émotion érectiles. Car j’ai du mal à croire que ces Dames autoritaires, ne ressentent aucune émotion. Qu‘au delà de remplir leur mission éducative, elles n’éprouvent pas aussi, une certaine satisfaction (et même plaisir) à déculotter et voir rougir une paire de fesses sous leur main! Dans un autre registre, l’émotion du puni devant la plastique de sa fesseuse, sa façon de s’habiller, ( Ah les cuisses de ces dames gainées de nylon!) ses gestes, son parfum, sa manière de fesser, font partie intégrante de ce que j’appellerais le « cérémonial »l de la fessée.
    Les témoignages de Vincent et Lucas, le vôtre aussi, sont éclairants. Il y a beaucoup d‘imaginaire dans la projection du rendez vous fatal, redouté mais attendu. La mise en scène, le scénario inventé pour justifier la punition. Mélange de fiction que la réalité transforme en expérience.

    Cordialement à tous... Et toutes. Si ça se trouve!
    Ramina.



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    1. Bonjour Ramina,
      Quel plaisir d'échanger avec vous. Moi qui aime argumenter et comprendre ce fantasme si bizarre qu'est la fessée punitive, je trouve en vous un interlocuteur avisé.
      Vous touchez un point important qui mériterait d'être éclairci : quel est le ressenti de la fesseuse qui administre une fessée punitive ?
      C'est un peu difficile, pour moi, de me l'imaginer. Je ne suis pas du bon côté de la main qui donne la fessée, pour le faire. C'est donc un peu loin de mon expérience, y compris quand elle se nourrit de fantasme.
      Y aurait-il sur ce blog un lecteur, une lectrice plutôt, qui voudrait bien nous apporter ses lumières sur le sujet ? Cela mérite d'y consacrer un peu d'énergie, non ?

      Par ailleurs, je suis en accord avec vous quand vous dites que nos différences d'appréciation sont de l'ordre de la nuance. Je suis sans doute à la recherche de la fessée qui correspondrait en tout point à ce que je fantasme. Cela m'amène peut-être a des prises de position exagérément tranchées. Il conviendrait d'y mettre un peu moins de certitude.
      Autre différence, au-delà du fantasme alimenté par les récits et les témoignages des autres, je passe à l'acte. J'aurai sans doute bientôt des éléments à vous communiquer à ce sujet.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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  2. Bonjour Messieurs...

    J'adhère tout à fait à vos arguments respectifs.
    En effet, l'éclairage d'une lectrice, actrice ou non de la fessée, ne serait pas négligeable.
    Connaître le ressenti de leur mission du moment, le sentiment de ces Dames quant elle endossent le temps d'une séance le rôle de la terrible "Tante Mac-Miche"... Elle sont femmes avant tout. Elles doivent faire preuve à la fois de sévérité, de douceur, de compréhension vis-à-vis de leurs "garnements".
    Et ces sentiments génèrent de par et d'autre des émotions. Et que seules ces Dames savent gérer avec le tact féminin qu'on leur connaît.
    Les femmes seraient-elles les... championnes de la "bonne" fessée ? A méditer.
    Bonne journée. Peter Pan.

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  3. Cher JLG.
    Grand merci. L'intérêt est partagé.
    La lecture de l'excellent, et détaillé, dernier témoignage chez madame Anne Sophie commence à répondre à certaine de nos interrogations replacées dans un contexte de réalité.
    Je voulais, par ailleurs dire ceci:
    Vous avez eu la riche idée de créer ce blog ou chaque personne habitée par ce curieux ( bizarre dites vous) fantasme peut venir s'y exprimer en toute liberté sans s'exposer à de quelconques et mesquins jugements de valeur morale.
    Vous avez ainsi libéré la parole, au bénéfice de la plupart d'entre nous, isolé, dans un univers ou une pratique souvent incomprise et mal considérée par une majorité de personnes. Rapprochement salvateur et rassurant. Plaisir de communiquer honnêtement sur le sujet entre personnes sincères et d'y trouver une légitimité de comportement comme de mode de pensée, partagés. Le tout sous le filtre bienveillant de votre attention, nécessaire au maintien d'une qualité d'expression dans le stricte respect d'une éthique irréprochable.
    Mais j'irai plus loin...Ces éloges de la fessée administrée par des femmes sévères, replacent ces dernières au centre d'un dispositif, éducation/punition. Manière de leur accorder un statut dominant dans un rapport de force où le masculin patriarcal est souvent la norme dans une société encore trop inégalitaire à ce sujet.
    Alors, chers amis, fessante revanche! Peut on prétendre que l'envie ou le besoin de se faire claquer les fesses par ces Dames autoritaires est une démarche qui contribue à l'émancipation de la femme?
    Je vois les sourcils interrogateurs de JLG et j'entends les rires frondeurs de Peter Pan!!!!
    Cordialement
    R

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  4. Bonjour Ramina,

    Votre commentaire mérite réflexion.
    En tant qu'homme, je pense que notre éducation reçue influence en partie nos relations d'adultes avec la gent féminine. Le rapport à l'autorité maternelle conditionne notre regard sur les femmes.
    Personnellement, j'avais une Maman, qui avait un tempérament très "mère-poule, faite de bisous et de fessées. Elle se montrait encore plus attentive avec moi, en raison de ma très mauvaise santé, et veillait à mon bien-être. Elle était aussi très angoissée par nature.
    Mon père exerçait un métier avec des horaires décalés et par conséquent, il délégua "l'autorité parentale " à ma maman.
    Ce fut donc ma maman qui régentait la maisonnée et les enfants en son absence. Elle avait un caractère assez autoritaire et elle aimait bien être obéie. Et pour nous, tout manquement à la règle était sanctionnée d'une bonne fessée !
    Cette éducation a beaucoup influée sur mon rapport d'homme avec les femmes. Et comme l'on reproduit souvent ce que l'on connaît le mieux, c'est peut-être ce qui transparait dans l'ambiance de mes saynètes. Chassez le naturel, il revient au galop !
    Bon Dimanche. Peter Pan.

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    1. Bonjour,
      Si vous me le permettez, je vais rebondir conjointement sur les deux précédents commentaires. L'intérêt d'internet, c'est que, quoi que vous fassiez, vous ne pouvez pas me l'interdire, donc je me permets tout seul.
      L'influence de l'éducation. Un sujet à lui tout seul qui n'a pas fini de faire couler de l'encre. Certes, chacun est le résultat de son éducation. A condition de prendre le mot dans un sens très englobant. C'est l'ensemble des influences et ce que nous en faisons qui détermine nos comportements.
      Il faut toutefois garder à l'esprit que l'imitation de la figure maternelle ou plus généralement parentale, n'est que l'un des modes de réaction à ce que nous avons vécu dans notre enfance. Si d'aucun réagissent de cette façon, d'autres vont plutôt se situer dans le rejet des modèles qu'ils ont connus. Certains seront très influencés par les modèles familiaux, d'autres par d'autres environnements.
      Avoir reçu la fessée d'une main féminine dans son enfance, n'est que l'une des sources d'un attrait pour les punitions cuisantes données par un substitut maternel. Ainsi, je ne peux pas dire que ce soit mon cheminement. Certes l'autorité parental s'exerçait dans ma famille, mais sans recourir à la fessée dans ce qu'elle avait de magistrale. Il s'agissait plus de claques sur le fond du pantalon ou de la jupe en ce qui concerne mes sœurs. Elle était bien plus présentes à l'école ou chez des voisins. Le martinet familial à la vue de tous, n'était pas une chose rare, bien que je n'en aie jamais été le bénéficiaire.

      Est-ce une revanche de la gente féminine ? J'en ai de forts doutes. En effet, s'occuper des enfants et les discipliner a de tous temps et le rôle des femmes, du moins dans la petite enfance. Dans la société patriarcale dont parle Ramina, les pères ne prenaient le relais que lorsque les enfants avaient grandi. N'est-ce pas plutôt la continuité de la répartition sexuée des tâches ?
      Ramina avait raison : sourcils interrogateurs !
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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  5. Bonjour JLG,

    En effet, l'influence de l'éducation est "digérée" de diverses façons pour chacun de nous.
    Se raccrocher aux modèles déjà vécus est aussi une manière de se rassurer et de reproduire la continuité des principes.
    L'influence du père est, elle aussi, importante même si elle reste dans certains cas très épisodiques.
    J'ai connu aussi la présence du martinet à la maison: il était accroché derrière la porte de la cuisine entre la tablier de cuisine et l'almanach des Postes. Parfois, ma maman nous en menaçait mon frère et moi mais cela restait un "argument dissuasif".
    Car l'autorité naturelle de ma maman suffisait.
    Mes parents faisaient partie de l'ancienne génération née avant guerre pour laquelle les notions de respect, travail et obéissance avaient une importance vitale. Pour les femmes de cette génération, le choix du travail à l'extérieur n'en concernait qu'une minorité.
    Dont ma maman en faisait partie. Mais ce fut son choix.
    Peter Pan.

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