Recette pour une bonne fessée

Recette pour donner une bonne fessée (elle a été utilisée, entre autres, par Madame Tolbois dans le chapitre vingt-quatre de "chambre chez l'habitante"). Précisons qu'elle est valable pour une droitière. Si vous êtes gauchère, positionnez simplement le puni sur l'autre cuisse.

Cette recette est évidemment utilisable quel que soit le genre de votre, puni. Selon son habillement, il sera nécessaire de s'adapter. Le port d'une jupe ou d'une robe amènera à la relever largement dans le dos, alors qu'il sera nécessaire de baisser un pantalon en dessous des genoux. Quel que soit le sexe de votre puni, vous lui baisserez la culotte.

Un déculottage réussi

Il peut être pratique, selon l'habitude de votre puni à ce que vous le déculottiez, de commencer dès le début, par lui baisser complètement pantalon et culotte alors qu'il est encore debout devant vous.

Un déculottage progressif peut s'imposer s'il s'agit de l'une des premières fois où vous sévissez de cette manière. L'emprise croissante que vous aurez sur les mouvements de votre puni, en utilisant la présente recette, vous permettra d'écarter progressivement ses vêtements, alors qu'il lui sera de plus en plus difficile de s'y opposer.

Rappelons que faire obstacle à son déculottage pour recevoir la fessée ou simplement le gêner, nécessite l'administration d'une autre correction pour ce motif exclusif. Appliquez-là sans tarder, mais en la séparant bien de la première. Un moment passé au coin entre les deux, peut être une solution judicieuse.

Afin que l'acceptation de la fessée soit rapidement intégrée, par le puni, comme une donnée à laquelle il ne peut pas se soustraire, il sera utile que la deuxième correction évoquée ci-dessus, soit plus sévère que la première. L'utilisation d'un instrument punitif, à votre choix, sera alors la bienvenue.

Prendre soin de l'installation

• prenez place sur un siège pas trop haut. Un canapé un peu mou, mais pas trop, fera parfaitement l'affaire,
• faites approcher  votre puni, garçon ou fille, placez-le face à vous,
• faites-le s'agenouiller entre vos pieds que vous aurez écartés, au préalable, juste ce qu'il faut pour laisser la place à votre puni,
• s'il porte un pantalon, défaite la ceinture, les boutons et la braguette si vous l'avez pas déjà fait. N'oubliez pas, vous ne pourrez plus le faire plus tard. Vous pourrez alors, à tout moment, achever le reste du déculottage quand vous le souhaiterez. 
• courbez-le sur votre cuisse gauche,
• en le soulevant légèrement, faites-le glisser jusqu'à ce que son bassin soit positionné sur votre cuisse sur laquelle il était déjà courbé (la gauche),
• faites-le basculer en avant jusqu'à ce que son visage repose sur les coussins du canapé. Ses fesses doivent occuper la place prééminente sur votre cuisse.
• vérifier que son bras gauche soit bien positionné derrière votre dos, puis, en le ceinturant de votre bras gauche, plaquez-le contre votre flanc le plus étroitement possible,
• posez votre coude sur le milieu de son dos afin d'éviter qu'il ne se relève intempestivement,
• Il sera plus pratique d'achever le déculottage au plus tard à ce moment si vous ne l'avez pas déjà fait. Baissez le pantalon jusqu'en dessous des genoux (en entourant les mollets ou les chevilles de votre puni, cela limitera considérablement ses possibilités de remuer les jambes) ou relevez la jupe bien haut dans le dos (vous pourrez la coincer sous votre bras).
• Enfin, faites glisser la culotte pour dénuder les fesses et le haut des cuisses. Quelques frottements indésirables peuvent vous amener à devoir insister pour faire glisser la culotte. Si cela se produit, soulevez légèrement votre puni, même partiellement, en général, cela suffit pour que la culotte coulisse.

• resserrez alors vos deux cuisses sur les jambes de votre puni. Plus vous serrerez, moins il pourra bouger, ce qui vous rendra l'application de la fessée plus aisée.
• procédez alors à la fessée.
• surveillez sa main droite qui va conserver une certaine liberté pendant toute la fessée. Elle est susceptible de s'interposer. Si cela arrive, recourbez le bras droit de votre puni dans son dos. N'oubliez pas alors de le punir une seconde fois un peu plus tard pour avoir tenté de s'opposer à l'administration de la correction qu'il avait méritée.

Une position aux multiples possibilités

Dans cette position punitive, vous avez une excellente tenue sur votre puni qui est immobilisé du buste du bassin et des jambes. Vous aurez facilité à le maintenir en place, étant donné que vous le dominez. Vous pouvez faire peser votre poids sur son dos s'il tente de soustraire à la correction que vous avez décidé de lui administrer.

Vous avez accès aux fesses, mais également au haut des cuisses qui seront idéalement positionnés pour que vous utilisiez votre main nue.

Vous pourrez également utiliser une variété d'instruments punitifs pourvu qu'ils ne soient pas trop longs ; règle, martinet, baguette en bois courte, palette à fesser, orties, ... Si vous souhaitez utiliser une ceinture, il faudra la raccourcir soit en la dédoublant, soit en en enroulant l'extrémité autour de votre main droite.

Une sévérité maîtrisée, un facteur important

Soyez consciente que, pouvant immobiliser assez facilement votre puni, il vous sera possible de lui administrer, dans cette position, une mémorable correction. Surveillez la cuisson des fesses et soyez attentive aux réactions de votre puni.

Attention, une rougeur des sanglots et des cris ne sont pas des signaux suffisants pour considérer que la fessée a produit les effets désirés. Il peut être nécessaire de ne pas s'arrêter à ces premières manifestations. Adaptez la sévérité de la fessée à la nature et à la récurrence de l'écart qui l'a motivée.

Pour aller plus loin ...

     D'autres positions punitives

                        Une bêtise de trop                                          Quand la bonne s'en mêle

              

                             

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