jeudi 28 septembre 2017

Georges, un ado comme les autres - chapitre 9

9 – Le retour des parents
J’avais été confié à la famille H pour environ 6 mois. Mes parents revenaient en France pour une longue période et peut-être même définitivement. J’allais donc retrouver ma famille.
J’avais été heureux dans cette famille d’adoption, joyeuse, enjouée. Moi qui n’avais par des frères et sœurs, j’avais découvert les plaisirs de partager mes loisirs plus fréquemment. J’avais aussi découvert un autre mode d’éducation auquel je n’étais pas habitué. Ici, la fessée était la base de l’éducation et elle tombait vite et sans appel. Une fessée, au sens large car les corrections données avec le martinet, la canne ou la cravache faisaient partie du vocable « fessée » était systématiquement donné cul nu et si le contexte s’y prêtait, devant des tiers. Et ce quel que soit l’âge du fautif.

J’avais parfaitement accepté ce mode de fonctionnement même si je craignais toujours les punitions sévères et notamment cette maudite cravache de dressage longue, fine et particulièrement cinglante ! Mais j’étais heureux de retrouver mes parents qui m’avaient toujours témoigné tant d’amour. Différemment.

Afin d’organiser au mieux la transition, il avait été convenu que mes parents passeraient d’abord trois jours au domicile de la famille H avant de me ramener à la maison. « Nous pourrons vous raconter tout ce qu’a fait votre fils à la maison » avait ajouté Marie-Ange ce qui ne manqua pas de m’inquiéter un peu. Intérieurement, je craignais qu’elle n’évoque les punitions reçues et les motifs de celles-ci.
Mes parents devaient arriver en fin de matinée. Je les attendais avec impatience et excitation. Tellement d’excitation que, renversant un bol de lait sur la table du petit-déjeuner j’eu droit à une réprimande de Marie-Ange
« Tu sais bien mon Georges que ce n’est pas parce que tes parents arrivent à la maison que je renoncerai à te fesser si cela est nécessaire. Je comprends que tu sois heureux de les retrouver mais je tiens à ce que tu fasses honneur à l’éducation que tu as reçu ici en leur absence.
– Oui madame, répondis-je d’une voix basse. »
Je ne tenais pas à ce que ce genre de sujets soit évoqué avec mes parents et surtout qu’ils puissent assister à pareille démonstration !

Je guettais la voiture pour me précipiter au plus vite dans leur bras. L’effusion fut à la hauteur du temps passé. Ils m’avaient beaucoup manqué et j’étais heureux de les retrouver. Eux aussi manifestement. J’avais tant de choses à raconter : mes résultats scolaires plutôt favorables à l’exception d’un bulletin comportant une appréciation sur mon insolence dont je gardais un souvenir cuisant, mes progrès en sport, mes nouveaux amis… Marie-Ange aussi appuya mes récits de commentaires élogieux. J’étais un bon élément, facile à vivre, participant à la vie de la famille.
« Georges a été vraiment très agréable à vivre et s’est parfaitement intégré dans la famille. Comme tous les ados, il aura fallu parfois faire preuve d’autorité pour le remettre dans le droit chemin, mais quoi de plus normal ».
Je crois bien qu’à ce moment-là, je suis devenu rouge jusqu’aux oreilles, craignant que la conversation se poursuivent sur ce terrain avec plus de détail. Il n’en fut rien. J’étais sauvé. Le déjeuner se déroula donc dans la meilleure ambiance possible.

Comme souvent la sérénité du moment fut rompue par Denis. Incapable de tenir en place, il jouait au ballon pendant que tout le reste de la famille prenait le café dans le jardin. Il ne fallait pas être un devin pour savoir ce qui allait arriver. Le ballon vint balayer le plateau avec le café et les tasses, provoquant un joli tintamarre.
La suite, chacun – sauf mes parents – la devinait. Même et surtout Denis qui se rapprochait à petit pas de Marie-Ange et retenant son pantalon comme s’il voulait déjà lutter contre la main qui allait le déculotter. Précaution bien inutile. Il faisait beau, et il était en short. Un short qui se retrouva bien vite sur ses chevilles, rejoint par son slip en coton.
« Georges, peux-tu aller me chercher le martinet. Tu sais ou le trouver, je crois ».
Sans discuter, car je savais bien que c’était inutile, voire risqué. Je pris la direction de la maison. Revenant vers le lieu de l’incident, je vis Denis, déjà couché sur les genoux de Marie-Ange qui lui administrait une bonne fessée à la main. Ses fesses prenaient déjà une couleur vive lorsque Marie-Ange se saisit du martinet. Les lanières se mirent à cingler le derrière de Denis qui, tout habitué qu’il était des punitions de ce genre, se débattait comme un beau diable.
« Plus tu bouges, plus tu seras fouetté ajoutant Marie-Ange accélérant la cadence. 
 Les marques des lanières étaient désormais bien visibles. Marie-Ange put mettre fin à la correction pour envoyer Denis, toujours cul nu, près d’un arbre en guise de coin. J’observais discrètement mes parents pour essayer de voir quelle serait leur réaction. Ils restaient impassibles, ne laissant rien paraître. Ni choqué, ni surpris. Plutôt indifférents.

Un peu plus tard, la famille H eu la délicatesse de me laisser seul avec mes parents. Nous avions tant de choses à nous dire. Moi pour raconter un peu plus mon séjour ici, eux pour me décrire leur vie en Asie. La conversation allait bon train quand ma mère revint sur l’épisode de la fessée de Denis.
« Marie-Ange est vraiment charmante. Elle tient sa maison parfaitement. Et puis, le petit Denis reçoit encore la fessée déculottée à son âge mais comme il a l’air bien turbulent, c’est sans doute une bonne chose ».
Je fis semblant de ne pas entendre. Je ne voulais pas m’étendre sur le sujet et avouer que moi aussi je m’étais retrouvé dans cette position.

Un incident vint pourtant remettre le sujet sur le tapis juste avant le dîner. Le Colonel était rentré à la maison pour dîner avec mes parents. Nous devisions tous gaiement dans le salon à l’exception de Charlotte qui, restée au téléphone avec une amie, ne rejoignait pas le salon malgré les injonctions plusieurs fois renouvelées de ses parents. Son père finit par monter la chercher en la fit descendre un peu plus vite qu’elle ne l’aurait souhaité.
« Ma petite Charlotte, tu sais que je n’aime pas me répéter plusieurs fois. En d’autres occasions tu aurais été déculottée et fessée devant tout le monde sur le champ. Mais je ne veux pas interrompre nos conversations agréables avec les parents de Georges. Nous reparlerons de tout cela après le dîner ».
Charlotte venait de comprendre que ses fesses seraient rougies avant la fin de la journée et mes parents étaient, eux, en train de comprendre que la fessée n’était pas réservée aux plus petits.

Et en effet, après un diner très agréable et sans anicroches, le Colonel et Charlotte s’éclipsèrent un instant. Il n’y eu aucun éclat de voix mais une série de claques sonores ne laissait aucun doute sur le fait que ma pauvre copine était en train de recevoir une copieuse fessée cul nu. Je l’imaginais coincée sur le bras de son père, l’autre bras faisant des moulinets rapides au-dessus du derrière rougissant de Charlotte. Quelques instants plus tard, le Colonel revint dans le salon comme si de rien n’était, suivi de Charlotte, les yeux rouges et les fesses sans doute aussi. Mes parents ne pouvaient plus avoir de doutes sur les méthodes d’éducation de la famille.
Et quand bien même ils auraient eu un doute, il aurait été levé dès le lendemain. En milieu de matinée, un différend dont j’ai d’ailleurs oublié l’objet, m’opposa à Baudouin. Un différend que nous commencions à régler d’une manière assez virile au milieu du salon. Une empoignade un peu brutale comme il peut en exister entre deux garçons. Sans doute aurions-nous dû sortir pour nous battre à l’extérieur plutôt que de rouler sur le tapis, renversant une petite table et les bibelots posés dessus, avec un bruit assez peu discret.
Marie-Ange fit rapidement irruption dans le salon et mit fin à l’altercation, nous sommant de nous relever. Conformément à l’habitude, nous allions être puni immédiatement, et dans un salon heureusement vide de tous tiers.
« Cul nu tous les deux, et vite ou bien je vais chercher le martinet. Vous vous conduisez comme des gamins, vous serez traités comme des gamins. »
Evidemment, nous ne nous le sommes pas fait dire deux fois avant baisser rapidement pantalons et slips…. Sans imaginer qu’à ce moment précis mes parents allaient faire irruption dans la pièce.
« Ces deux gamins s’apprêtent à être sévèrement fessés. Et ils s’en sortent bien car il me démange d’aller chercher le martinet. Mais puisqu’il s’agit de punir Georges, il serait normal que je vous laisse le fesser pendant que je fais de même avec mon fils ».
Interloquée, ma mère répondit assez rapidement :
« Nous sommes chez vous, avec vos règles de fonctionnement. Je préfère vous laisser le soin de faire ce qui vous semble juste. »
Et nous voilà, à tout de rôle, Baudouin le premier, puis moi, sur les genoux de Marie-Ange pour recevoir une magistrale fessée sous le regard probablement surpris mais aussi intéressé de mes parents. Une vraie bonne fessée, rythmée, claquante, répartie équitablement sur l’ensemble des deux fesses. Une fessée que Marie-Ange voulait sans doute plus sévère qu’à l’accoutumé pour l’exemple devant mes parents.
Au fur et à mesure de cette magistrale fessée, je sentais la chaleur monter en moi et en même temps l’envie d’éclater en sanglots. Des sanglots plus dus à la honte d’être ainsi fessé devant mes parents à mon âge. Mais c’était décidé, je subirai cette correction sans broncher, sans pleurer, sans me débattre. Depuis quelques mois, j’avais été plus durement puni et je pouvais tenir le coup.
Une dernière claque plus retentissante encore que les autres vint conclure cette punition et je pus me relever, honteux, fuyant le regard de mes parents. J’échappais à la mise au coin cul nu, mais la suite de la conversation me stupéfia.
«  Voilà, après cette bonne fessée, je pense que ces deux-là seront plus calmes pour la journée. Georges est vraiment un bon garçon mais comme mes propres enfants une bonne fessée lui remet les idées en place. Il en a reçu quelques-unes depuis qu’il est chez nous et je ne crois pas qu’il en sorte traumatisé. En tous cas, je suis convaincue que cela lui a fait du bien et l’a aidé à progresser »
Je fus alors stupéfait d’entendre la réaction d’approbation de mes parents, eux qui ne me fessaient plus depuis longtemps.
« La dernière fessée cul nu donnée à Georges doit remonter à ses 12 ans. Nous le jugions trop âgé pour être traité ainsi, mais au vu des résultats que vous obtenez ainsi, nous allons, sa mère et moi, revoir notre position…. Et sa position sur nos genoux ! Peut-être vais-je faire l’acquisition d’un martinet, à moins que je ne retrouve celui dont mes parents se servaient pour mon punir, ajouta mon père. »

S’en suivi une conversation difficile à entendre sur les bienfaits de la fessée sur l’éducation, bien au-delà de la prime jeunesse. Le Colonel affirma que beaucoup de d’ados et même d’adultes auraient eu un parcours différents si leurs fesses avaient été plus souvent rougies. Pour m’extraire de la conversation, je me pris à imaginer Marie-Ange, si belle, cul nu sur les genoux de son mari, recevant elle aussi une bonne fessée. Un nouveau rêve, un nouveau fantasme …
En fin de journée, j’étais heureux de repartir dans ma famille, triste de quitter mes amis, de quitter Marie-Ange dont le charme fou agissait de plus en plus sur moi, et un peu inquiet des techniques éducatives que mes parents voulaient adopter…


Mais ça, c’est une autre histoire.

La suite ? Et non, c'est la fin ... provisoire, peut-être ?

       Relire le chapitre 1
        ou l'épisode précédent : chapitre 8

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8 commentaires:

  1. Bonjour,
    je viens de lire d'une seule traite les aventures de Georges au sein de cette famille d'accueil temporaire. La narration est remarquable, ponctuée des sentiments et émotions de l'adolescent au fur et à mesure de la découverte des châtiments corporels à sa propre expérience qu'il ne prévoyait pas. On perçoit son trouble puis peu à peu son acceptation de cette discipline. Et on apprécie le rebondissement final où les parents de Georges assistent à sa fessée, trouvent celle-ci efficace et pensent y revenir au moyen même d'un martinet. Dommage que la série se soit arrêtée ! On aurait aimé voir l'achat du martinet, l'imposition de règles strictes par ses parents, l'attitude et les sentiments de Georges face à ce renouveau de sévérité éducative, ses incartades et les sanctions infligées par ses parents.
    Oliver Twist

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  2. Moi j’ai accompagné mon père lors de l’achat du martinet. Il faut dire que ce jour là j’avais été particulièrement odieux. Il m’avait menacé du martinet depuis longtemps et cela allait se réaliser. Il m’avait pris par une oreille au moment d’entrée dans la magasin. Il avait choisi le martinet, avec de bonnes lanières en cuir, sur les conseils du vendeur. Et comme je faisais la mauvaise tête, sans le lâcher l’oreille, il m’avait expédié deux bonnes claques sur les fesses à peine protégées par mon petit short d’été très court et il avait ajouté :
    Si tu continues c’est le martinet dès qu’on rentre à la maison.

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    1. Suite… en sortant du magasin je pleurnichais. Les deux paires de claques bien senties sur les cuisses m’avaient mis les larmes aux yeux et plus encore plus encore la honte d’avoir été fessé devant le vendeur et d’autres clients. Les traces bien rouges de la fessée sous la lisière du short ne laissaient aucun doute sur la punition que je venais de recevoir. Nous rentrions à la maison à pied et en cours de route je faisais la tête et ce qui avait particulièrement agacé mon père. Il le demanda de me calmer et me promis qu’à défaut il saurait sans tarder essayer le martinet sur mes fesses. J’étais tout honteux car plusieurs passants avaient tout entendu. Arrivé à la maison mon père mis sa menace à exécution car je continuais à grogner. « Allez viens ici. Ça suffit maintenant. Je t’assure que tu vas savoir pourquoi tu pleures »Il prit une chaise dans la salle à manger et s’y étant assis il me prit vigoureusement par une oreille, me déculotta promptement, petit short et slip aux chevilles et en un instant je me retrouvais allongé sur ses genoux, cul nu. Et la fessée pouvait commencer. Une fouettée magistrale. Je me mis à pleurer sans que cesse la fessée. Lorsqu’elle fut terminée je me relevais massant mes fesses et mes cuisses et sans même me reculotter je fus expédié dans ma chambre avec interdiction d’en sortir avant qu’on vienne me chercher. Je ne me fis pas prier…

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    2. Oui la fessée est le moyen de se faire obéir et les adultes en ont aussi le plus grand besoin surtout lorsqu’il ils sont restés immature comme moi. Je suis très étourdi et je fais beaucoup de bêtises ce qui le vaut d’être sévèrement corrigé comme je le mérite. Je suis un véritable gamin. Lorsque je suis déculotté et fessé je sais que c’est mérité parce que j’agis comme un ado de douze ans et c’est la fessée qui le fait filer droit. Et le martinet sanctionne aussi mes enfantillages et mes mensonges. Je sais que ça va tomber si je fais des écarts…alors…ça me fait réfléchir…et bien j’en fais quand même. La fessée cul nu c’est souvent. Et des fois c’est en présence de témoins.

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    3. En lisant la mésaventure de Georges je peux vous conter celle qui n’est arrivé à 13 ans. J’étais très ami avec Marc, un voisin et camarade de classe de mon âge, et ce jour là nous jouions comme souvent au foot. Mais comme nous n’étions que tous les deux, au lieu de jouer dans le pré derrière la maison nous n’avons rien trouvé de mieux que de faire rebondir le ballon sur la porte du garage qui venait d’être repeinte. L’empreinte du ballon laissait des traces noires sur la porte blanche, mais nous n’y prenions garde. La maman de Marc était partie faire des courses en ville. Ce jeu s’est poursuivi jusqu’à son retour. A on arrivée j’ai vite compris qu’elle s’était aperçue des traces qui maculaient la porte. Nous nous sommes regardés avec Marc et comme deux gamins que nous étions, nous avons vite pris conscience de la bêtise que nous venions de commettre. La suite ne se fit pas attendre. La maman fait irruption très en colère et nous gronde sévèrement. Nous allons avoir à nettoyer la porte dans un premier temps. Sous la surveillance de la maman de Marc, nous allons chercher une bassine et une éponge et nous nous activons, espérant éviter d’autres punitions dont la maman nous menace. « vous allez voir tous les deux, vous allez avoir à faire à moi… allez nettoyez moi ça et plus vite que ça ´… » Elle agite de main de haut en bas en un geste qui nous laisse peu de doute sur la suite de la punition. Je regarde Marc en rougissant, lui aussi connaît la suite. Il sait que sa mère a la main leste. En baissant les yeux Marc se tourne vers sa mère : “Ça y est maman c’est terminé” et la mère toujours très en colère nous prend tous les deux par l’oreille et nous traîne vers la maison, « attendez moi la” et elle disparaît pour ranger ses courses. Dans la salle à manger nous n’en menons pas large. Je regarde Marc et lui chuchote : “Tu crois qu’on va avoir droit à la fessée”. Et Marc en pleurs plus doucement encore: “0ui tu sais ici ça se termine toujours comme ça”. La maman revient, tire une chaise au milieu de la pièce et j’observe qu’elle tient le martinet à la main. Elle prend Marc par une oreille et de l’autre main elle lui baisse son petit short en nylon et son slip et le voilà en travers des genoux de sa mère. Les fesses sont claquées vigoureusement ainsi que les cuisses. La fessée se poursuit malgré les lamentations de Marc et pour terminer lorsqu’il se relève cul nu, le martinet cingle son fessier. Je sais ce qui m’attend. La maman me prend l’oreille me déculotte avant de me basculer sur ses genoux pour une magistrale fessée déculottée. Je fonds en larmes et la fessée se poursuit, elle se termine par une bonne fouettée au martinet. Marc et moi sommes mis au coin pendant dix minutes cul nu…interdiction de se reculotter. Quelle cuisson lorsque je suis autorisé à remonter mon petit short.

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    4. Je fais beaucoup de bêtises. Je dois être repris en main, puni et c’est sûr, je mérite la fessée. Une sévère correction s’impose pour me remettre dans le droit chemin.

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    5. A 13 ans je recevais très souvent la fessée et même jusqu’à 17 ans passés. Mon père ne me passait rien. C’est vrai que j’étais encore un gamin plutôt petit et malingre et qu’étant un blondinet je ne faisais pas mon âge. Je ne perdais jamais une occasion de faire des bêtises, et pour ça je ne manquais pas d’imagination. Alors je me retrouvais en travers des genoux paternels déculotté et mes petites fesses et mes cuisses rougies

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    6. J’allais oublier que le martinet n’était pas fait que pour la décoration, il faisait souvent la connaissance de mes cuisses et de mes fesses nues. Le martinet tous les gamins de mon âge le redoutaient. Il y en avait un dans la plupart des familles, en tout cas il y en avait un à la maison et chez presque tous mes copains. C’était efficace pour éduquer les garnements que nous étions. On s’en souvenait. Le pire c’était lorsqu’on venait nous chercher avec le martinet pour faire les devoirs alors qu’on jouait avec les copains. On ne demandait pas notre reste, le martinet cinglait nos cuisses et on courait vers la maison pour être déculotté. Le plus souvent la culotte était baissée devant tout le monde.

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