samedi 30 décembre 2017

Axel, élève à St Marie - chapitre 22

Les premières minutes que je passais au coin, j’étais centré sur les élancements intenses qui sillonnaient mes fesses. J’éprouvais le besoin de les atténuer en massant mes fesses pour disperser la douleur qui émanait, me semblait-il, de zones restreintes de ma peau qui se déplaçaient lentement sur toute la surface de mes fesses.
Puis, insensiblement, les pics de douleur se firent moins vifs. C’est alors que je me promis de faire tout ce qui m’était possible pour éviter une prochaine fessée … ou plus exactement une nouvelle fessée après celle que je devais recevoir à la fin du cours. L’obéissance aux professeurs et un travail sans reproche me semblaient une nécessité vers laquelle je pouvais tourner toute mon énergie. Cette décision prise, je me sentais rasséréné, comme si j’avais solutionné une part importante de mes problèmes.

vendredi 29 décembre 2017

Mon histoire avec Madame Anne-Sophie

Les visites chez Madame Anne-Sophie se multiplient. En voilà une autre qui nous est relatée par J.
Bonne lecture. JLG


Étant un adepte de la fessée ,je cherchais une maîtresse d'école comme dans mon enfance qui administre de bonnes fessées.
Et je tombe sur une petite annonce,je n'en crois pas mes yeux,une vraie maîtresse d'école qui donne de vraies fessées déculottées , à la main et instruments ,à Paris à 45 km de chez moi.Et en plus un numéro est disponible , à joindre par SMS .

jeudi 28 décembre 2017

Christine - chapitre 11

C’était déjà ma deuxième journée de cours de vacances à Ste-Marie que je venais d’entamer et il me semblait que cela faisait une éternité que j’avais fait ma rentrée tant les évènements s’étaient additionnés et bousculés depuis la veille.

Je n’avais pas encore commencé mon premier cours ce matin-là que je pensais avoir déjà fait ma journée. Nous avions été interceptées, ma camarade Magali et moi, par la Sœur portière sitôt entrées dans l’établissement. Logiquement en pénétrant à Ste-Marie on doit signaler sa présence à cette religieuse qui pointe les élèves à l’arrivée comme à la sortie des classes. Généralement la Sœur portière vise les cartes de correspondance et on peut laisser ses effets dans nos casiers respectifs.

mercredi 27 décembre 2017

Mémoire d'un garnement de jadis - 1er épisode

Premier d'une probable longue liste, ce dessin parle de lui-même. Peter Pan inaugure une nouvelle série dessinée qui constituera bientôt un passage obligé régulier pour nombre de lecteurs fidèles de ce blog. Je peux déjà vous en annoncer deux autres.
Merci Peter Pan, nous comptons sur toi pour nourrir, pendant de longues semaines, notre nouveau rendez-vous du mercredi.

mardi 26 décembre 2017

Axel, élève à St Marie - chapitre 21

En guise de (modeste) cadeau de Noël, deux épisodes d'Axel dans la même semaine. C'est le début d'une nouvelle partie : élève à St Marie, avec quelques changements dans la vie d'Axel. Joyeux Noël à tous. JLG.

« Allons, debout gros paresseux ! C’est l’heure de se lever ! Il y a école aujourd’hui : »
Encore dans mon demi-sommeil je percevais vaguement, à travers mes yeux entrouverts, Julie qui s’affairait. Elle ouvrit les rideaux, rabattit les couvertures de mon lit sur mes pieds en me laissant découvert. L’air frais m’entoura et je frissonnais. Cela ne suffit pas pour que je me lève.
Julie préparait mes vêtements qu’elle sélectionnait devant l’armoire. Elle revint vers moi et me donna une claque sèche sur les fesses.

lundi 25 décembre 2017

SFID, l'annonce - chapitre 1

Georges T rejoint le groupe des auteurs publiés sur ce blog. Nous entamons avec lui un récit qui comporte déjà plusieurs épisodes que vous découvrirez au fur et à mesure de leur publication, selon les codes propres aux feuilletons. Vous en avez l'habitude sur ce blog.
En fin du récit ci-dessous, vous trouverez tout ce qu'il faut pour le contacter directement. N'oubliez pas de lui faire part de vos appréciations. JLG.

Je m’appelle Georges T, j’ai 30 ans et je voulais vous raconter ce qui m’a amené à mon emploi actuel dans un environnement un peu particulier et en relation avec notre centre d’intérêt commun, la fessée.
Alors que je cherchais du travail il y a maintenant 2 ans, suite à un licenciement économique de ma société, je tombais sur une annonce dans un supplément emploi d’un grand quotidien national.
« La SFID recherche son responsable marketing en vente B to B/C et web.

samedi 23 décembre 2017

Axel, consultant à St Marie - chapitre 20

Je passais la suite des vacances sous la stricte surveillance de Julie. J’avais l’impression que le contrôle se renforçait chaque jour. Son exigence que j’avais admise les premiers jours me pesait de plus en plus. Je voyais finir les vacances sans que j’aie pu paresser comme je le faisais habituellement. Julie me maintenait au travail toute la journée.
Il y avait d’abord les tâches ménagères dont je devais faire plus que ma part. Enfin, … une part aussi importante que la sienne, … ou presque aussi importante. Ce n’était pas dans mes habitudes. De plus, elle était tout le temps sur mon dos à m’expliquer comment il fallait faire ou à me faire remarquer quand ce n’était pas bien fait. Elle exigeait alors que je recommence.

jeudi 21 décembre 2017

Christine - chapitre 10

« Quelle journée ! » Jamais en m’inscrivant à Ste-Marie pour y obtenir mon bac je n’aurais imaginé vivre de tels moments. J’étais ce qu’on nomme une petite bourgeoise à la vie bien rangée. Femme de 36 ans, sans histoire, mariée, deux enfants. Ma seule ambition, c’était de passer mon bac et de vouloir mettre tous les atouts de mon côté pour la réussite de ce projet.

C’était tout naturellement donc et parce que mes enfants y étaient scolarisés que je m’étais tournée vers Ste-Marie et l’offre que m’y faisait sa directrice, Sœur Marie-Joseph. Je savais bien lors de mon inscription que la discipline de cette école était stricte mais je pensais innocemment que du haut de mes 36 ans je n’avais rien à craindre ou si peu. En fait je pensais que je n’avais rien à craindre parce que tout simplement une femme adulte comme moi est mûre et posée, tout l’inverse d’une enfant ou d’une adolescente.

Grave erreur que je commettais là en croyant tout cela et surtout en considérant comme acquis un pseudo statut d’intouchable en faisant uniquement référence à mon âge. Pour des écarts de conduite pourtant évitables, j’avais été réprimandée, punie et même fessée. Fort heureusement et contrairement à Magali puis Nicolas, j’avais été fessée en classe durant les cours de vacances à Ste-Marie et de fait en les seules présences des Sœurs, la Préfète de discipline Sœur Marie-Hortense et ma professeure de lettres Sœur Thérèse. C’était là un moindre mal plutôt que d’avoir été fessée en public comme mes deux camarades.

Ensuite aux Galeries, où ma belle-mère avait tenu à m’habiller, j’avais perdu patience face à la vendeuse. Cela s’était soldé par quelques claques bien senties sur mes fesses dans la cabine d’essayage au rideau ouvert. Les quelques clients du rayon qui avaient pu être témoins de cette scène étaient restés si discrets que je ne les avais pas remarqués. Du reste et heureusement pour moi c’était des personnes que je ne connaissais pas, qui ne me connaissaient pas et que je ne reverrai ni ne recroiserai jamais.

Enfin chez ma belle-mère, où celle-ci avait tenu à ce que je passe la soirée et la nuit, j’avais subi ce qu’on pourrait appeler le Service après-vente. Ma belle-mère y avait dressé le bilan de mes actions de la journée écoulée. Forte de cela elle avait agi en conséquence. J’avais reçu une bonne fessée terminée à la règle en réponse à celle que m’avaient infligée les Sœurs. Ma belle-mère m’avait ensuite douchée et, pour marquer le coup suite à mon insolence aux Galeries, elle m’avait punie à l’aide du martinet.

C’était donc toutes ces pensées qui se bousculaient dans ma tête de manière très désordonnée lorsque ma belle-mère m’avait autoritairement mise au lit à 21h. Je pleurais encore mais la fatigue fut la plus forte. Je m’endormis assez rapidement. Le sommeil a cela de bon, on est déconnecté de tout et tout s’oublie et se dilue. J’avais peut-être rêvé cette nuit-là, fait des cauchemars, mais je n’en eus aucun souvenir.

mercredi 20 décembre 2017

Fessé par la bonne

Un dessin de Waldo que je ne connaissais pas et qui correspond tout à fait à nombre de situations racontées sur ce blog.


Merci à Georges qui me l'a adressé, pour sa contribution à l'enrichissement de notre culture et commune et merci à Waldo pour sa production dont on découvre régulièrement un dessin qui nous avait échappé.

lundi 18 décembre 2017

Merci Madame Anne Sophie


La saga des visites chez Madame Anne-Sophie continue. C'est Paul dont vous avez déjà lu des écrits sur ce blog (voir le récit intitulé "Georges, un ado comme les autres") qui nous fait part de son expérience.
Il est sous forme de poème, le premier de ce blog. Paul a des doutes sur sa qualité, faites-lui des retours.


Le forum mis en place par Josip est plein d’informations
Et Paul y trouva le moyen de recevoir une bonne punition
Ayant lu ici à propos d’Anne Sophie quelques compte-rendu
Il y vit là un moyen très efficace de se faire rougir le cul

samedi 16 décembre 2017

Axel, consultant à St Marie - chapitre 19

Je sentis la lumière et un air plus froid entrer à grands flots dans ma chambre. On avait ouvert la fenêtre. Puis, mes couvertures furent rabattues sur le lied de mon lit.
« Debout, mon petit paresseux ! C’est l’heure de se lever. Le petit déjeuner est prêt. »
J’ouvris un œil, sur le point de m’insurger contre ce réveil trop matinal.
« Qu’est-ce que c’est que … »
Julie s’était assise sur le bord de mon lit. Le souvenir de la soirée d’hier me ramena à la prudence. Je ravalais mes protestations naissantes.
« Qu’est-ce que c’est que ce garçon ronchonneur quand il se réveille ? »
Elle tapota mes fesses en un simulacre de fessées, puis elle passa sa main dans mes cheveux.
« Je t’attends dans la cuisine. Cinq minutes, pas plus ! »

jeudi 14 décembre 2017

Christine - chapitre 9

Pour terminer cette journée de rentrée en cours de vacances à Ste-Marie, j’aurais préféré être seule chez moi mais les circonstances et surtout ma belle-mère en avaient décidé autrement. C’est donc chez ma belle-mère que j’allais finir la journée mais aussi y passer la nuit. En effet, suite à mes déboires matinaux à Ste-Marie où j’avais été collée pour le samedi suivant, ma belle-mère en réponse à cette sanction avait décidé de me garder, comme en retenue, chez elle pour la nuit.

Cette perspective ne me réjouissait absolument pas d’autant que les minutes que je venais de vivre chez elle avaient été fort éprouvantes. Ma belle-mère avait tenu à respecter à la lettre les consignes en vigueur à Ste-Marie lorsqu’une élève y est sanctionnée. La sanction est alors doublée à la maison par son tuteur, en l’occurrence ma tutrice en la personne de ma belle-mère.

J’avais reçu de ses mains une magistrale fessée terminée à la règle. En réponse à la douleur et à l’humiliation subies je n’avais malheureusement eu d’autre alternative de que de supplier et pleurer. Tout cela relevé par le fait que j’avais eu, juste auparavant, mon mari et mes enfants en ligne ; une bonne sape pour mon moral.

À la suite de cette rude épreuve, je me trouvais le front contre le mur, mise au coin afin de réfléchir sur les effets salutaires de cette punition. Je m’y tenais debout, la culotte au niveau des genoux et seulement vêtue de mon soutien-gorge. Mes larmes s’étaient peu à peu taries et je refaisais surface. Immobile depuis plus d’une trentaine de minutes, je ressentais une envie qui se faisait de plus en plus pressante. Je n’osais trop bouger de peur de heurter ma belle-mère dont je devinais parfois la présence derrière moi. Je me dandinais d’un pied sur l’autre pensant lui faire au moins remarquer la venue de ce besoin naturel.

mercredi 13 décembre 2017

Georges chez Madame Anne-Sophie

Une histoire vécue par Georges T, nouvel auteur invité sur ce blog, qui nous en fait le récit. Espérons qu'il nous gratifiera d'autres écrits, histoires vécues ou imaginées.
Deux récits, quelques commentaires, la saga des visites chez Madame Anne-Sophie s'allonge. Qui sera le prochain ? JLG


Suite à la lecture des aventures de Josip chez Madame Anne Sophie je décidais, avec l'accord de mon épouse qui m'y poussait, à mon tour de franchir le pas et de l'appeler pour en savoir plus.

Après une première tentative sans réponse, elle me rappelle. Très à l'aise elle m'explique qu'elle fesse des garçons de 21 à 75 ans. Que cela se passe très bien et qu'elle sera contente de me rougir les fesses, si je le souhaite. Mais que cela reste une fessée sur les fesses  et rien d'autre.

lundi 11 décembre 2017

L'institut F - chapitre 9

Diplômes

L’Institut F fonctionnait à merveille.  Les clients et clientes se bousculaient toute la journée. Il y avait les mères de famille qui avaient besoin d’un renfort d’autorité et qui venaient pour faire fesser leurs grands adolescents qui tentaient d’échapper à l’autorité parentale. Ces cas étaient sans doute les plus nombreux et les plus faciles à régler. Une bonne fessée déculottée ou quelques coups de martinet bien appliqués sur les fesses et les cuisses et le jeune garçon ou la jeune fille n’y revenait pas deux fois. Non seulement à cause de la douleur de la fessée mais aussi de ce sentiment d’humiliation à se retrouver dénudé et dans cette position inconfortable.

samedi 9 décembre 2017

Axel, consultant à St Marie - chapitre 18

Julie m’accueillit avec des yeux écarquillés.
« Qu’est-ce que c’est que ce costume ? »
Il n’y avait pas d’autre solution que de faire passer ce qui m’était imposé pour tout ce qu’il y avait de normal.
« Oh, c’est l’uniforme de St Marie.
– Tu portes l’uniforme de St Marie, c’est nouveau, ça ! Je croyais que c’était réservé aux élèves ?
– C’est bien réservé aux élèves, mais nous nous sommes mis d’accord avec les professeurs que cela me permettrait d’être plus intégré dans le groupe d’élèves. Il faut aller plus loin dans l’observation participative.
– Observation participative … je vois. »

jeudi 7 décembre 2017

Christine - chapitre 8

Avec ma belle-mère, nous rentrions enfin. Mais en ce qui me concernait, les épreuves qui m’attendaient étaient loin d’être terminées. Débutée tôt le matin, cette journée avait été jalonnée par ma rentrée à Ste-Marie en cours de vacances, la pause-repas imposée par et avec ma belle-mère et enfin l’achat aux Galeries de mon trousseau toujours en compagnie de ma belle-mère.

Loin d’avoir été une partie de shopping, ce passage aux Galeries avait été éprouvant. J’y avais été prise à partie par la vendeuse et mon comportement n’avait alors pas arrangé les choses. Afin d’aller plus vite cette vendeuse avait demandé à ma belle-mère de m’aider pour les essayages et j’avais pris cela pour de l’ingérence. J’avais tout d’abord argué du fait que j’étais grande et savais me débrouiller toute seule pour me déshabiller. Puis je ne souhaitais pas me montrer en sous-vêtements ni enfiler des collants de laine. Et enfin j’avais refusé d’être nue pour essayer culottes et soutiens-gorge.

Je n’avais pas voulu me laisser faire et j’avais répondu sur un ton sec et déplaisant. La vendeuse, un peu excédée par mon insolence y avait été de quelques claques sur mes fesses qui s’étaient révélées être une bonne fessée. Par défi, par rapport à mes 36 ans, je m’étais retenue de toute réaction mais l’humiliation publique subie avait été la plus forte. Car c’est dans et devant les cabines d’essayage que tout cela s’était déroulé aux Galeries.

C’est en pleurant à chaudes larmes, telle une gamine, que j’avais suivi ma belle-mère jusqu’à la caisse. Y revoir la vendeuse qui me toisait n’avait fait qu’entretenir et même renforcer mes sanglots.

mercredi 6 décembre 2017

une histoire vraie - chapitre 7

L'été se déroule ensuite plus calmement. Je suis moins souvent puni car je suis dompté comme dit Madame Tourelle. J'aime énormément ma mère adoptive qui est véritablement devenu ma mère aussi dans mon cœur. Je pense d'ailleurs et je sais que c'est réciproque. Cependant je la crains énormément. Je suis toujours sur mes gardes et je me concentre toujours pour ne faire d'erreur. Il faut dire que la moindre bêtise me vaut une ou des punitions.
Quelques jours avant la rentrée, après mes devoirs quotidiens, maman m'envoie acheter une baguette de pain à la boulangerie toute proche. J'ai bien sûr droit aux recommandations d'usage.

lundi 4 décembre 2017

L'institut F - chapitre 8

le fouet

Depuis que Caroline avait administré une fessée déculottée à sa jeune stagiaire, elle n’eut plus jamais à lui faire de remontrances. Parfois, peut-être un conseil de temps en temps en général pour lui recommander d’être plus sévère. Mais Nadia avait parfaitement intégré ses missions d’assistante y compris pour recevoir et traiter directement clients et clientes.

Après quelques jours et un peu d’expérience, Nadia ne se formalisait plus. Déculotter un grand garçon ou une femme, y compris sensiblement plus âgée qu’elle ne la dérangeait pas. Elle avait compris que sa situation lui donnait une supériorité. Que le regard et le ton de la voix, déterminé et sans concession la plaçait en position de dominer la situation et d’obtenir une soumission presque parfaite.

samedi 2 décembre 2017

Axel, consultant à St Marie - chapitre 17

De retour dans l’appartement que je partageais avec mes colocataires, je me réfugiais dans ma chambre. Tout n’avait pas été explicité au cours de cette réunion. Il restait pour moi une grosse inconnue : étais désormais soumis à la fessée comme tous les autres élèves ? L’uniforme, cela me semblait acceptable. Mais la fessée en public, devant toute la classe … Cette question n’aurait pas de réponse avant la fin des vacances de la Toussaint qui commençaient. J’avais donc une semaine de répit.
Marc, Julie et moi avions pris l’habitude de prendre notre dîner ensemble lorsque nous étions présents tous les trois. Je pris place sur ma chaise, sans prendre de précaution. La grimace que je fis à la douleur qui électrisa mon postérieur, fut éloquente. Julie, à qui rien n’échappait, fronça les sourcils.
« Que t’arrive-t-il ? Ta as un problème ? »

jeudi 30 novembre 2017

Christine - chapitre 7

Avec ma belle-mère, nous étions au snack Nous finissions notre dessert. Après ma première journée de cours de vacances à Ste-Marie, elle venait de me sermonner. Étant de fait ma tutrice vis-à-vis de l’école, ma belle-mère me reprochait de vouloir minimiser les remontrances formulées à mon encontre par les religieuses  et surtout de vouloir en éluder les conséquences directes. Tout cela m’avait évidemment coupé l’appétit. Je n’avais pratiquement pas touché à ma salade et la part de tarte que le serveur venait de nous déposer sur la table n’avait guère plus mes faveurs.

En sortant de Ste-Marie, je pensais rentrer directement chez moi pour y faire une bonne pause réparatrice et surtout prendre des nouvelles de ma petite famille en villégiature au bord de la Méditerranée en ce début août. Ma belle-mère en avait décidé autrement. Elle avait pris les choses en mains et était venue m’attendre, à 13h à la sortie de Ste-Marie. Cela partait d’un bon sentiment de sa part et je n’avais pas voulu la froisser en refusant sa proposition. J’avais bien essayé de lui faire comprendre que j’étais fatiguée mais elle avait insisté. De fil en aiguille je compris que rien n’était gagné d’avance en ce qui me concernait.

Je ne savais pas encore quelle était la nature de leurs liens, mais Sœur Marie-Joseph, la directrice de Ste-Marie, avait téléphoné à ma belle-mère si bien que cette dernière était au courant de beaucoup plus que je ne le pensais quant à ma matinée.
Ma belle-mère avait tout organisé pour moi dans l’après-midi qui s’annonçait.
Nous devions aller faire quelques achats aux Galeries puis passer chez elle afin d’y faire un point précis sur mon premier jour de cours de vacances à Ste-Marie.

mercredi 29 novembre 2017

Une histoire vraie - chapitre 6

Le vendredi, nous avons devions aller au lycée pour finaliser mon inscription et Maman m'a pris un rendez-vous chez le médecin pour s'assurer de ma bonne santé et mettre à jour mon carnet de santé déclaré perdu. Elle m'a dit que si nous ne rentrons pas trop tard je serai autorisé à regarder un DVD. En effet la veille et ce matin j'ai bien travaillé et elle veut me récompenser. En plus le dimanche elle a organisé un lunch avec ses amis pour fêter mon adoption.
Sitôt le déjeuner avalé et après avoir fait la vaisselle ensemble, nous partons donc pour le centre-ville. Maman se gare sur un parking et nous finissons à pied. Nous arrivons devant un immeuble. Il n’y a qu’une plaque où il est inscrit « Docteur Michel Jouanot, pédiatre ».

lundi 27 novembre 2017

L'institut - chapitre 7

Une formation réussie

A l’issue de ce premier jour à l’Institut F, Nadia est rentrée chez elle avec en tête des sentiments contradictoires. Elle avait aimé cette ambiance de toute petite entreprise sans poids permanent d’une hiérarchie, elle savait quelle serait confrontée à des tâches multiples comme la facturation ou la comptabilité, l’accueil de la clientèle. Autant de missions qui lui seraient utiles dans le cadre de ses études. Elle qui était une fille rigoureuse, ponctuelle, ordonnée, honnête, elle reconnaissait au fond d’elle-même la logique des prestations proposées dans le cadre de l’Institut à une clientèle somme toute consentante.

samedi 25 novembre 2017

Axel, consultant à St Marie - chapitre 16

Si les trois punis avaient parfaitement conscience des conséquences futures de leur punition d’aujourd’hui, les répercussions sur mon avenir m’avaient totalement échappées. La mécanique était lancée elle ne s’arrêterait plus, comme un engrenage entraînant les faits l’un après l’autre.
Le premier arriva, en début d’après-midi, sous la forme d’une convocation signée de la main de la directrice. J’étais attendu à seize heures quarante-cinq, dans la salle du conseil. Je supposais que Sœur Marie Joseph souhaitait me faire part de quelques ajustements dans les conditions de ma présence. Je ne savais pas encore combien j’avais raisonné juste.

jeudi 23 novembre 2017

Christine - chapitre 6

Ma première journée de cours de vacances à Ste-Marie s’achevait. Et autant dire que ces quelques heures n’avaient pas été de tout repos. Mon dernier cours avec Sœur Thérèse, ma professeure de lettres, avait été éprouvant.
Le contrôle inopiné de la Préfète de discipline, Sœur Marie-Hortense m’avait marquée. J’avais estimé que la fouille en règle dont je faisais l’objet dépassait les limites qu’une femme de 36 ans comme moi pouvait supporter. Je l’avais fait savoir un peu trop vertement et je l’avais chèrement payé.
Mon insolence vis-à-vis de Sœur Marie-Hortense s’était soldée d’une fessée déculottée à la main puis à la règle. Dans mon malheur j’avais eu la chance que cette correction ne me fût donnée qu’en comité vraiment restreint, seule Sœur Thérèse était également présente. Les minutes ensuite passées au coin, face au mur, m’avaient permis de faire mon examen de conscience. Je venais de m’apercevoir que mon âge n’avait pas été un bouclier face au règlement séculaire de Ste-Marie. Bien au contraire, j’étais la doyenne des élèves et je me devais de montrer le chemin de l’exemplarité.
Mes camarades me voyaient sans doute sous cet angle de grande sœur et les religieuses ne me rateraient pas si je m’écartais du droit chemin.

mercredi 22 novembre 2017

Une histoire vraie - chapitre 5

NB : Je ne l'avais pas encore précisé mais les noms des personnes apparaissant dans récit ont été modifiés cela va de soit
Une fois encore je me réveille tôt. Forcément j'ai été mis au lit encore plus tôt que la veille. J'attends encore un bon moment l'arrivée de Maman et j'ai très faim. Mon ventre gargouille. Maman arrive à 7 heures. Tout se déroule comme hier matin. Sauf qu'après l'infâme cuillère de foie de morue, mon petit déjeuner n'est composé que d'un morceau de pain sec et d'un verre d'eau.
Après avoir terminé son café et lu son journal, Maman me fait passer au WC et me fait ma toilette. Mais au lieu de m'habiller comme le veut ce qui deviendra un rituel, elle me fait enfiler un peignoir et me fais asseoir dans la cuisine. Elle fait elle-même les corvées ménagère tandis que j'attends sagement.

mardi 21 novembre 2017

Une visite chez Madame Anne-Sophie - 2ème partie

Je montais les trois étages à pied. Il n’y a pas d’ascenseur. La boule que j’avais au creux de l’estomac avait grandi jusqu’à occuper tout l’espace. J’y étais.
Je venais de recevoir, par SMS, les dernières instructions pour trouver l’appartement en question, celui où Madame Anne-Sophie m’attendait. J’avais encore l’option de faire demi-tour. J’y songeais, mais cela ne faisait pas descendre la pression.
Arrivé sur le pallier, la porte était ouverte.
« Bonjour Josip !
– Bonjour Madame. »

lundi 20 novembre 2017

L'institut F - chapitre 6

La stagiaire


Nadia était étudiante en seconde année d’école de commerce. L’année ou le stage en entreprise est obligatoire, mais si difficile à trouver. Volontaire et entreprenante, la jeune fille n’a donc pas hésité à adresser force courriers et CV à des centaines d’entreprises parisiennes, privilégiant les toutes petites entreprises. Elle savait, d’expérience, que dans une PME on participait à toutes les tâches alors que le risque était grand d’être préposée à la machine à café dans les couloirs d’un mastodonte du CAC 40.

C’est ainsi qu’elle fut convoquée un beau matin à l’Institut F, dans le XVIIème. Arrondissement de Paris. Elle n’avait aucune idée de l’activité de cet établissement mais elle était si contente d’avoir enfin une piste positive que c’est avec entrain qu’elle décida d’honorer ce rendez-vous avec Caroline et Marie.

dimanche 19 novembre 2017

Une visite chez Madame Anne Sophie - 1ère partie

Tout a commencé par un courriel reçu dont le contenu était prometteur, mais assez iconoclaste par rapport à ce que je reçois habituellement sur ce blog.
« Anne-Sophie institutrice de 48 ans donne de bonnes fessées comme autrefois. Je corrige chez moi (75018) les vilains garnements »
Il s’agissait d’une femme, alors que la plupart des courriels qui me sont envoyés, ont des hommes pour auteurs. C’était, par ailleurs, la première fois que recevais une offre aussi directe. Je l’ai prise pour moi. Me proposait-on de me punir ?

samedi 18 novembre 2017

Axel, consultant à St Marie - chapitre 15

Sœur Gabrielle n’en était pas à sa première fessée ; elle connaissait son affaire. Cela me fut confirmé quand je constatais que ses prévisions se réalisaient à la lettre. La douleur sur mes fesses s’était transformée en un tiraillement continuel. Ma main passée sur mes fesses confirma que si la température de ma peau avait retrouvé un niveau normal, il restait une raideur certaine. Comme à mon habitude, je m’assis pour sortir de mon lit. Ce n’était plus une souffrance vive comme hier soir, mais des élancements à l’endroit où mes fesses entraient en contact avec mon lit.

jeudi 16 novembre 2017

Christine - chapitre 5

Mes deux premières heures de cours de vacances à Ste-Marie ne s’étaient pas si mal passées que ça, si l’on excepte bien sûr la mise au point de la directrice, d’entrée, à 8h.
Le groupe d’élèves que nous formions n’avait pas cru bon répondre au « bonjour » que Sœur Marie-Joseph nous adressait et son rappel à l’ordre s’était soldé par une punition générale de cent lignes à copier. Une incivilité collective que la directrice avait tenu à sanctionner pour marquer le coup.
À titre personnel je n’en fus pas fière, mais diluées et partagées en trente élèves, ces lignes me parurent insignifiantes ; seul mon amour-propre en avait été écorné. La suite, à la récréation me rappela combien les écarts de conduite n’avaient pas leur place à Ste-Marie.
Même lors des cours de vacances, où la discipline y était assouplie, il ne fallait surtout pas franchir la ligne. Ma nouvelle camarade Magali, elle, l’avait franchie et elle devait le regretter amèrement. Pour avoir simplement voulu consulter ses messages sur son smartphone, elle avait été corrigée d’une fessée par la Préfète de discipline, Sœur Marie-Joseph.

mercredi 15 novembre 2017

Une histoire vraie - chapitre 4

Je me suis réveillé tôt. Je vois à travers les volets qu'il fait déjà jour. Maman a été très claire. Je ne dois pas me lever avant qu'elle ne vienne. J'espère vraiment ne pas être autant puni qu'hier. J'angoisse aussi car je sais que je vais avoir, entre autres, un fruit au petit déjeuner. Je déteste cela. J'ai des hauts de cœur quand j'en mange. Ça va être compliqué. Mais quand j'en ai parlé à madame Tourelle pendant nos nombreux entretiens, elle m'a dit qu'elle serait inflexible. Cela me travaille.

lundi 13 novembre 2017

L'institut F - chapitre 5

Marie Thérèse est un pure aristocrate, installée depuis son enfance dans ce quartier chic de l’Ouest parisien. Elle est née ici, s’est mariée ici, vit dans le même appartement cossu qui appartient à la famille de son mari, lui monté à Paris plus tardivement après avoir quitté la propriété familiale et ancestrale.
Seule entorse à sa vie parisienne, Marie Thérèse aura passée quatre années dans un pensionnat anglais traditionnel pour y suivre des études et y parfaire sa connaissance de la langue anglaise. De la langue anglaise bien sûr, mais aussi de l’éducation réputée raffinée de la high society britannique.

samedi 11 novembre 2017

Axel, consultant à St Marie - chapitre 14

Je perçus une modification de la lumière qui entrait dans ma chambre. Positionné comme je l’étais, il était difficile d’en être sûr et je n’allais pas me retourner pour le vérifier. Retenant mon souffle, j’écoutais plus attentivement. Il y eut un léger frottement sur le sol venant de l’entré de ma chambre.
« Ouf, songeais-je, Sœur Gabrielle est de retour. »
Pendant un moment, il n’y eut plus de bruit, … puis un nouveau frôlement qui venait toujours du même endroit.
« Pourquoi Sœur Gabrielle met-elle tant de temps à pénétrer dans ma chambre ? »

jeudi 9 novembre 2017

Christine - chapitre 4

Nous étions le 1er août.
Ça y est, c’était la rentrée… enfin la petite rentrée, une sorte de répétition, puisqu’il ne s’agissait que des cours de vacances. Mais pour moi qui avais interrompu mes études durant plus de quinze ans, cela avait été de très, très grandes vacances !
Je n’avais plus 18 ans, j’en avais à présent dix-huit de plus. Entre temps j’étais devenue une femme, une maman. Je vivais ce moment avec une certaine appréhension bien légitime. D’autant que mon parcours, les jours qui avaient précédé, n’avait pas été de tout repos : le passage obligé chez le docteur Wagner pour la visite d’aptitude à Ste-Marie, la mise en place chez mon gynéco d’un stérilet, jugé plus sûr comme moyen de contraception et surtout, voir partir mari et enfants sans moi vers les rives ensoleillées de la Méditerranée pour y passer de merveilleuses vacances.
Mais je m’étais résolue à mettre ma routine entre parenthèses durant l’année scolaire qui s’annonçait. Le baccalauréat était au bout. J’étais prête.

mercredi 8 novembre 2017

Une histoire vraie - chapitre 3

A 18h quand le carillon du salon retentit, Maman s'approche de moi, elle me retire mon slip de la tête. Elle m'essuie mon visage encore humide avec.
 - Allez c'est l'heure de la douche Paul
-  Oui Maman
Je me dis que je vais avoir enfin un moment de tranquillité mais c'est peine perdue. Elle me fait passer devant et s'arrête devant les WC.

mardi 7 novembre 2017

Promenade au parc

"Tu aurais dû savoir que je tiens toujours mes promesses. Je te l'ai déjà dit plusieurs fois. Il faudrait vraiment des circonstances exceptionnelles pour que je revienne sur ce que j'ai promis, un cas de force majeure.
Et comme tu n'es pas attentif à ce que te disent les personnes de ton entourage, et en particulier quand tu reçois un avertissement, tu considères ces alertes comme quantité négligeable. Pourtant, je t'avais prévenu !

lundi 6 novembre 2017

L'institut F - chapitre 4

Chapitre 4 / Bis

Sur le chemin du retour vers la maison, Isabelle réfléchissait à ce qu’elle venait de voir et d’apprendre. La fessée avait manifestement fait son effet. Paul avait quitté son air un peu supérieur et semblait dorénavant plus attentif. Il ne s’était pas plaint et avait accepté la punition, qui lui avait semblée très sévère, sans trop se plaindre. On sentait pourtant bien à sa démarche hésitante qu’il avait mal aux fesses et que la douleur était persistante. Au fond, la fessée pourrait bien s’installer comme moyen de régler leurs disputes au sein du couple. Isabelle se faisait assez bien à cette idée, sans être tout à fait certaine de pouvoir déculotter et fesser son mari elle-même. Malgré sa première visite à l’Institut F, elle ne se sentait pas encore très sure d’elle et capable de passer à l’acte.

samedi 4 novembre 2017

Axel, consultant à St Marie - chapitre 13

Je ne restais pas longtemps au coin. J’entendis Sœur Gabrielle s’exclamer dans la salle de bains.
« Le petit chameau ! »
Puis, ses pas se dirigèrent tout droit vers moi. Elle me prit par le lobe de l’oreille et je n’eus d’autre choix que de la suivre.
« Qu’est-ce que c’est que ça ? »

jeudi 2 novembre 2017

Christine - chapitre 3

Cela faisait à présent une bonne dizaine de jours que j’avais décidé de mon nouvel avenir. Je ne le regrettais pas.
Les vacances venaient de commencer et la présence des enfants à la maison n’était pas étrangère à ma bonne humeur et à l’ambiance générale. Ils occupaient bien mes journées et même s’ils étaient grands maintenant (17 ans pour Diane et 11 ans pour Tommy) et autonomes, le temps des vacances était pour nous l’occasion de se retrouver et de faire des choses ensemble.
Il allait bientôt être midi lorsque la sonnerie du téléphone retentit.

mercredi 1 novembre 2017

Une histoire vraie - chapitre 2

L'arrivée
Le jour J arrive enfin. Bien que je me réveille très tôt je traîne au lit en pensant à la nouvelle vie qui m’attend. Mon train est à midi. Madame Tourelle m'a recommandé de déjeuner avant d'arriver. J'ai passé cette dernière nuit à l'hôtel, ayant rendu les clés de mon studio. Vers dix heures, je me lève. Je prends une douche et j’enfile les vêtements que ma nouvelle Maman m'a donnés. Je me sens ridicule.

mardi 31 octobre 2017

Après-midi bridge

"J'étais bien certaine que cela ne dérangerait aucune d'entre vous si mon gendre était présent alors que nous faisons notre partie de bridge hebdomadaire. Il y a suffisamment de place dans mon salon pour qu'il ne nous gêne pas.
Je suis bien certaine qu'il sera absolument silencieux. Il ne risque pas de venir se mêler à notre jeu. Il va rester si discret que nous pourrions presque oublier sa présence.

lundi 30 octobre 2017

L'institut F - chapitre 3

Une leçon de fessée


Pendant que Marie punissait son premier client de la journée, le jeune Jérôme, dans le premier bureau, une autre femme s’était présentée à l’Institut F. Une assez jeune et jolie femme accompagné d’un homme, plutôt élégant, et l’air parfaitement détendu.  Manifestement un couple du quartier venu non pas par simple curiosité mais dans un but bien précis. Ils pénétrèrent tous les deux dans la boutique d’un air assuré. Le monsieur ne semblait pas du tout le genre de personne qui s’apprête à être puni. Il était là manifestement de son plein gré, peut-être même à sa demande.

samedi 28 octobre 2017

Axel, consultant à St Marie - chapitre 12

Mon réveil fut difficile. Encore dans les brumes de la fin du sommeil, je me retournais. Mon poids sur mes fesses me rappela à la réalité. Mon postérieur n’était plus réellement enflammé. Mais la gêne que j’éprouvais au contact du matelas de mon lit, suffisait à me remémorer la punition reçue le soir précédent.

jeudi 26 octobre 2017

Christine - chapitre 2

J’étais ressortie assez ébranlée du bureau de la directrice de Ste-Marie. J’étais venue pour inscrire mon fils Tommy qui allait y faire son entrée en sixième. Et voilà que Sœur Marie-Joseph, autour d’un café qu’elle m’avait offert de déguster, avait su cerner en moi mes doutes existentiels et révéler des envies enfouies si profondément en moi que je les avais pratiquement oubliées.
Ni plus ni moins Sœur Marie-Joseph me permettait d’accéder à un rêve de jeunesse mis à l’époque, sinon entre parenthèses, du moins en arrêt prolongé : pouvoir travailler dans la recherche et surtout m’y épanouir.

mercredi 25 octobre 2017

Une histoire vraie - chapitre 1

Bienvenu à Paul K qui, en lisant les aventures de Daniel dans le récit "Chambre chez l'habitante" (vous trouverez ici le chapitre 1) a reconnu la situation qu'il a vécu il y a quelques années. Une histoire vécue, donc.
Paul K nous en livre le récit en plusieurs épisodes, ... une nouvelle série qui commence.

Préambule.

Certaines scènes dans cette série risquent de vous faire penser à "Chambre chez l'habitante". Désolé pour la probable redite mais cette histoire n'est en rien fictive.

A l’âge de 16 ans j'ai décidé d’arrêter l'école. Je suis parti travailler chez un oncle pendant 4 ans pour gagner des clopinettes et je suis devenu majeur anticipé. J'ai vite regretté mon choix. 

mardi 24 octobre 2017

Maman s'en mêle

"Et bien vois-tu, pour moi rien n'a vraiment changé. Tu as presque quarante-et-un an et quand je te vois comme cela, j'ai l'impression d'avoir devant moi le petit garçon que tu étais ou le grand adolescent que tu étais devenu. Tu as toujours les mêmes réactions : une tendance certaine à bouder et à pigner quand la réalité ne se conforme pas à tes désirs.
Hélas, la vie nous réserve toujours des surprises, et parfois des mauvaises. Je suis bien contente que ta femme ait suivi mes conseils. J'ai tout de suite vu que ma suggestion retenait son attention. C'est pourtant assez rare qu'une belle fille prenne avis auprès de sa belle-mère

lundi 23 octobre 2017

L'institut F - chapitre 2

Marie et Caroline, les deux animatrices de l’Institut F, sont sûres de l’utilité de leurs prestations. Le projet a été mûrement réfléchi, évoqué à la maison avec l’aide des maris, plutôt bien placés tous les deux pour avoir un avis autorisé... L’expérience vaut décidément mieux que n’importe quelle étude de marché. Une étude de marché assez délicate à mener par ailleurs compte tenu de la spécificité des prestations.

samedi 21 octobre 2017

Axel, consultant à St Marie - chapitre 11

Le lendemain, les fessées administrées pendant les récréations aux douze punis continuèrent. Au moment de retourner en cours, chaque professeur, avant de les autoriser à se reculotter, leur passait une crème sur les fesses. Malgré cela, leur postérieur portait maintenant des traces d’une récréation à l’autre.
Les cours se tenaient dans une ambiance tendue. Les enseignantes avaient la main leste et le moindre écart était un prétexte suffisant pour une punition. Pauline et Antony furent épargnés mais leurs camarades furent fessés pour des motifs qui auraient pu ne leur valoir qu’une sévère réprimande en d’autres circonstances. Pourtant, tous les élèves faisaient profil bas, cherchant à se faire oublier.

jeudi 19 octobre 2017

Christine - chapitre 1

– Entrez ! s’exclama Sœur Marie-Joseph. Bonjour Mme Farell, veuillez vous asseoir.
– Bonjour ma Sœur.
– Alors Mme Farell, vous venez inscrire votre fils ?
– Oui ma Sœur. Tommy va sur ses 12 ans et il passe en classe de sixième.
– En effet, Mme Farell me répondit la directrice de Ste-Marie ouvrant son dossier scolaire. Je constate qu’il a d’excellentes notes et que son CM2 fut pour lui une formalité.
– En effet ma Sœur, Tommy est un petit garçon plein de vie et curieux de tout… Nos années passées à l’étranger, où il est d’ailleurs né, y sont sans doute pour beaucoup dans son caractère…Je suis persuadée qu’il va bien s’intégrer à Ste-Marie.
Sœur Marie-Joseph rajouta :
– Vous penserez, Mme Farell à aller le faire examiner par le docteur Wagner…

mardi 17 octobre 2017

Que Monsieur m'excuse

"Que Monsieur m'excuse, mais ce sont les ordres de Madame. Elle m'a fermement recommandé d'être très attentif aux faits et gestes de Monsieur. Elle m'a, comme qui dirait, confié une responsabilité.
Je ne voudrais pas décevoir Madame en lui donnant l'impression que j'ai été négligeant auprès de Monsieur. Vous comprenez bien, Monsieur, qu'il s'agit de conscience professionnelle.

lundi 16 octobre 2017

L'institut F - chapitre 1

Paul Paris nous revient avec une nouvelle histoire après le récit Georges, un ado comme les autres dont vous trouverez le premier épisode en cliquant sur le lien.
Il nous fait découvrir un institut dont vous saurez, sans doute, apprécier la spécialité.

Une petite vitrine sobre et opaque, intégrée dans le rez-de-chaussée d’un immeuble cossu, haussmannien, du XVIème arrondissement de Paris. Une vitrine comme tant d’autres et qui, pour tout dire, passe parfaitement inaperçue. Au-dessus de la porte, une enseigne banale, sans fioriture ni autre explication : « Institut F. ».  Pas d’autre indication permettant d’imaginer ce qui peut se passer derrière ces murs et ces vitres opaques.

samedi 14 octobre 2017

Axel, consultant à St Marie - chapitre 10

Mon étude avançait comme prévu. Le professeur Girard, la directrice de mon laboratoire, me félicitait de la matière recueillie et nous commencions à envisager le plan du rapport. La routine avait repris à St Marie. Je suivais tous les cours de la classe de terminale et j’avais mes habitudes vaquant à mes occupations propres dans le fond de la classe.
Je sentais bien que plus j’étais indifférent à ce qui se passait dans la classe, plus les enseignantes étaient agacées d’avoir un parasite dans leur pré carré. Cependant, elles faisaient avec. Nous étions arrivés à un équilibre, certes pas forcément immuable car je sentais bien qu’il faudrait peu de chose pour le déstabiliser. Ces petites choses s’accumulèrent peu à peu.

jeudi 12 octobre 2017

Christine - introduction

Dans le récit des aventures d'Axel à Ste Marie, au chapitre 5, Jeancla a déposé un commentaire évoquant le cas "d'une grande élève quadragénaire... sans doute mariée, peut-être maman d'un ou une élève de petites classes à Ste-Marie... et qui doit reprendre ses études afin d'obtenir un bac validant son futur projet professionnel." Je n'avais pas le souvenir d'avoir placé cette dame dans la situation d'une élève de Ste Marie. J'ai donc proposé à Jeancla de se lancer dans le récit des aventures de cette élève particulièrement âgée pour passer son bac.
Il a relevé le gant et c'est comme cela que le récit que vous trouverez ci-dessous, a vu le jour.
Bienvenu à Jeancla, nouvel auteur invité sur le blog. N'oubliez pas de lui transmettre vos appréciations sur ses écrits.


La rumeur bruissait…
Depuis la rentrée un jeune homme vaquait ici et là à Ste-Marie.
Mais nul ne l’avait encore vu, personne ne savait encore quel était son rôle précis et l’ignorance n’était pas la devise de Ste-Marie, même pour ses élèves.
Il se disait que c’était une sorte d’inspecteur envoyé par le ministère de l’Éducation Nationale pour espionner les méthodes efficaces de notre établissement scolaire, tant en termes de rendement scolaire qu’en succès aux examens.

mardi 10 octobre 2017

Une fessée et au lit

"Que Monsieur me comprenne bien, je tiens absolument à faire mon travail le plus consciencieusement possible. Madame et Monsieur m'ont embauchée, et je les en remercie, mais je tiens à mériter votre confiance. Je veux que vous n'ayez rien à me reprocher.
Comme Madame me l'a demandé, je suis très attentive, surtout quand elle n'est pas là, à donner à Monsieur tout ce dont il a besoin. Madame a été très explicite sur ce sujet.

samedi 7 octobre 2017

Axel, consultant à St Marie - chapitre 9

Ma nouvelle position dans la classe changea rapidement mes relations avec les élèves. Dans les premiers jours, j’étais un objet difficile à cataloguer : ni professeur, ni membre de la direction ou de l’administration de l’établissement, je n’étais pas non plus un élève. Savoir quelles relations mettre en place était mission impossible. Fallait-il me traiter comme un adulte ? Je ne semblais pas en avoir les attributs, et en particulier pas le droit d’administrer la fessée. Pouvais-je être considéré comme un élève ? Pas plus puisque je disposais d’une liberté avec les règles de St Marie, ce dont les élèves ne bénéficiaient pas. Plusieurs de mes manquements auraient valu une sévère déculottée à n’importe lequel d’entre eux.

mardi 3 octobre 2017

En cuisine

"Je remercie Monsieur de se préoccuper de mon travail, mais que Monsieur ne s'inquiète pas, j'ai bien cinq minutes à lui consacrer. C'est juste le temps qu'il faut. Cela ne me mettra pas vraiment en retard pour préparer le dîner de ce soir.
Je pense qu'il est plus urgent de donner à Monsieur, sans délai, ce dont il a besoin. Madame m'a bien recommandé, dans ces circonstances, de ne pas faire attendre Monsieur que le moins possible.

samedi 30 septembre 2017

Axel, consultant à St Marie - chapitre 8

La routine s’installa dans mon activité à St Marie. Les rituels bien en place constituaient des repères dans le temps qui rythmaient la vie quotidienne. Il fallait être prêt pour le petit déjeuner à sept heures trente. Je me levais donc à sept heures, mais quand je n’avais pas cours d’éducation physique avec Sœur Gabrielle, il m’arrivait fréquemment de m’accorder un quart d’heure de plus au lit. C’était alors un jour sans douche.

jeudi 28 septembre 2017

Georges, un ado comme les autres - chapitre 9

9 – Le retour des parents
J’avais été confié à la famille H pour environ 6 mois. Mes parents revenaient en France pour une longue période et peut-être même définitivement. J’allais donc retrouver ma famille.
J’avais été heureux dans cette famille d’adoption, joyeuse, enjouée. Moi qui n’avais par des frères et sœurs, j’avais découvert les plaisirs de partager mes loisirs plus fréquemment. J’avais aussi découvert un autre mode d’éducation auquel je n’étais pas habitué. Ici, la fessée était la base de l’éducation et elle tombait vite et sans appel. Une fessée, au sens large car les corrections données avec le martinet, la canne ou la cravache faisaient partie du vocable « fessée » était systématiquement donné cul nu et si le contexte s’y prêtait, devant des tiers. Et ce quel que soit l’âge du fautif.

mardi 26 septembre 2017

Tea time

"Non Antoine, je vous remercie, mais je ne crois pas que Monsieur va prendre un thé cet après-midi. Il est n'est pas ... disponible. Il me semble qu'il a d'autre préoccupations plus immédiates.
Il est actuellement plongé dans un temps d'intense réflexion qui risque de durer bien au-delà de l'heure à laquelle il est encore raisonnable de prendre le thé. Je finis tout de suite et vous pourrez desservir.

samedi 23 septembre 2017

Axel, consultant à St Marie - chapitre 7

Sœur Gabrielle me laissa dans la position dans laquelle elle m’avait fessé. J’avais compris qu’il était préférable d’obéir. Je ne bougeais pas, bien qu’en plus de mes fesses brûlantes, je commençais à avoir mal aux abdominaux qui peinaient à supporter d’être plié sur le genou de Sœur Gabrielle, tout mon poids reposant sur mon ventre.
Sœur Gabrielle se pencha et fit descendre mon short et ma culotte jusque sur mes chaussures. Elle leur fit passer l’obstacle et elle me les ôta. Alors, elle me releva et me fit asseoir sur le banc. Elle s’accroupit, défit mes lacets, m’enleva mes chaussettes. Je lui facilitais le geste en levant mes bras pour qu’elle puisse passer mon polo par-dessus ma tête. Elle me releva et, en me faisant pivoter devant elle, elle m’examina sous toutes les coutures. Elle fit une moue désapprobatrice.
« Décidément, cette douche est bien nécessaire. »
Une claque sur les fesses que j’accompagnais d’un petit cri, et je filais vers la douche, Sœur Gabrielle sur mes talons.

jeudi 21 septembre 2017

Georges, un ado comme les autres - chapitre 8

8 – Une nuit agitée

Depuis ce week-end un peu agité, nous avions repris une vie normale. L’absence du Colonel ne changea rien. Même si ses fessées étaient facilement plus sévères que celle de Marie-Ange, il était évident qu’elle avait la main suffisamment leste pour se faire respecter et pour développer une autorité pour que l’ensemble de la maisonnée file doux. Les semaines qui suivirent se passèrent sans anicroches pour nous. Une ou deux remontrances peut-être mais rien de plus. Pas la moindre fessée, même pour le derrière de Denis, traditionnellement le plus turbulent.

mardi 19 septembre 2017

Une douce soirée

"Enfin un peu de calme ! Je vais pouvoir récupérer de ma journée qui a été éprouvante. Une tasse de thé, mon émission de télévision préférée et une bonne heure devant moi pendant laquelle je peux rester assise dans le canapé. Quel bonheur !

C'est le premier soir depuis longtemps où tu ne te plains pas de tout ce qui t'est arrivé depuis le matin. Et pour une fois, ce n'est pas toi qui a choisi la chaîne de télévision que nous regardons. J'aurais dû prendre des mesures drastiques depuis bien longtemps.

samedi 16 septembre 2017

Axel, consultant à St Marie - chapitre 6

Je suivis le groupe d’élève vers le cours suivant. Ils se dirigèrent vers le gymnase qui avait été construit de l’autre côté de la grande pelouse qui occupait le centre de l’établissement. Comme Sœur Marie-Madeleine ne l’avait annoncé, nous continuions notre matinée par un cours d’éducation physique. Nous fumes rejoints par une autre classe de terminale. Alors, garçons et filles se séparent. Le cours d’éducation physique n’est pas mixte, contrairement à tous les autres.

jeudi 14 septembre 2017

Georges, un ado comme les autres Chapitre 7

8 – L’autorité paternelle

Plus de deux semaines s’étaient écoulé depuis mon insolence à l’école et la soirée difficile que j’avais passée, avec une correction mémorable. Depuis, la vie avait repris son cours de manière parfaitement harmonieuse. Personne n’avait reçu la moindre fessée. Le lecteur pourrait en effet croire que la fessée rythmait la vie de la famille alors qu’en fait il n’en était rien. La fessée, au sens large, était un moyen de maintenir l’ordre et la discipline dans une famille nombreuse. Mais elle n’était érigée en mode de fonctionnement. Rien de tyrannique dans cette vie-là !

mardi 12 septembre 2017

Recherche dame pour bénévolat à forte utilité sociale

Madame,
Vous avez entre vingt-cinq et soixante-dix ans. Vous êtes en bonne santé et vous vous sentez capable d'assumer une activité régulière qui peut demander un peu d'exercice physique ?
Vous cherchez à vous investir bénévolement dans une activité d'intérêt général permettant, localement, de contribuer au bon fonctionnement de notre société ?
Vous avez un certain goût pour donner une éducation traditionnelle stricte aux personnes qui n'en ont pas bénéficié auparavant ?
Vous vous sentez en capacité de représenter, pour des personnes qui en ont manqué, une figure maternelle sévère mais juste ?

samedi 9 septembre 2017

Axel, consultant à St Marie - chapitre 5

Je me dépêchais, le lendemain matin, de me rendre au bureau de la directrice afin de négocier ma présence dans une classe de terminale. La directrice n’était pas là, mais sa secrétaire, Sœur Marie Madeleine, répondit obligeamment à ma demande.
–« Sœur Marie Joseph, la directrice m’a laissé des consignes afin que je vous facilite l’accès aux classes. Vous dites, une terminale … voyons ce que nous pouvons vous trouver … voilà, je crois que cela ira. Je vous propose une terminale scientifique. C’est Sœur Thérèse qui les a pendant les deux premières heures pour les matières littéraires. Elle enseigne non seulement le français, mais également l’anglais, l’histoire et la géographie. Je ne suis pas certaine qu’elle vous accueillera les bras ouverts, mais je pense qu’elle vous laissera accéder à sa classe. En troisième heure, c’est Sœur Gabrielle pour l’éducation physique. Là, je suis sûre que cela ne posera pas de problème.

vendredi 8 septembre 2017

Georges, un ado comme les autres - chapitre 6

6 – Dans le salon

Marie-Ange avait retrouvé instantanément cette incroyable douceur qui la caractérisait et qui faisait mon admiration. Elle passa doucement sa main sur mes fesses pour m’aider à calmer la douleur. Sa main me fit un bien fou. Puis de sa jolie voix qui savait pourtant prononcer des choses si difficile à entendre, elle dit
« Nous n’allons pas laisser nos amis, là à l’entrée de la cuisine. Tu vas venir te mettre au coin dans le salon. Je pourrai de surveiller pendant que tu te calmes et que tu réfléchis clairement aux conséquences de ton insolence à l’école. Que tu réfléchisses à la manière dont tu vas formuler tes excuses auprès de ton professeur. Car tu comprends bien que cela est indispensable »

mercredi 6 septembre 2017

Recette pour une bonne fessée

Recette pour donner une bonne fessée (elle a été utilisée, entre autres, par Madame Tolbois dans le chapitre vingt-quatre de "chambre chez l'habitante"). Précisons qu'elle est valable pour une droitière. Si vous êtes gauchère, positionnez simplement le puni sur l'autre cuisse.
Cette recette est évidemment utilisable quel que soit le genre de votre, puni. Selon son habillement, il sera nécessaire de s'adapter. Le port d'une jupe ou d'une robe amènera à la relever largement dans le dos, alors qu'il sera nécessaire de baisser un pantalon en dessous des genoux. Quel que soit le sexe de votre puni, vous lui baisserez la culotte.

dimanche 3 septembre 2017

Axel, consultant à St Marie - chapitre 4

Lorsque j’arrivais à la porte de la salle dans laquelle se déroule le cours suivant. Celle-ci était déjà close. Le cours avait commencé. J’étais en retard. Comme un flash, il me revint à la mémoire ce que Sœur Dominique avait promis aux deux jeunes filles au cas où elles se mettraient dans une telle situation : « Sœur Françoise serait obligée de vous fesser. » Je sens monter une angoisse que je n’arrive pas à contrôler.

vendredi 1 septembre 2017

Georges, un ado comme les autres - chapitre 5

5- A l’école
Mes parents avaient trouvé une place pour moi dans une école privée assez stricte. Mais mes bons résultats scolaires m’avaient mis à l’abri de réprimandes, heures de colle et autres sanctions classiques infligées dans ces établissements. Au regard de la loi, les châtiments corporels n’y avaient plus leur place depuis longtemps, mais beaucoup d’entre nous savions qu’un petit mot sur le « carnet de correspondance » pouvait falloir – de retour à la maison – une punition cul nu. Certains de mes camarades n’avaient d’ailleurs pu cacher les stigmates de coups de fouet lors des passages au vestiaire avant les séances de piscine.

mercredi 30 août 2017

Punition pour un voleur

" Je ne savais pas que je côtoyais tous les jours un petit voleur. Enfin, "petit" n'est peut-être pas le bon adjectif pour te décrire. Trente-huit ans et tu éprouves toujours le besoin de chaparder dans les magasins comme un gamin en pleine crise d'adolescence ?
J'ai bien remarqué que tu as quelques soucis de maturité, mais là tu dépasses tout ce que j'aurais pu imaginer. Je ne sais pas si c'est une habitude ou si tu viens de te lancer sans cette nouvelle carrière, mais j'ai bien l'intention de contrarier ta vocation.

dimanche 27 août 2017

Axel, consultant à St Marie - chapitre 3

Le lendemain était un jour de rendez-vous avec la directrice de mon laboratoire de recherche. Elle resta un moment songeuse après que je lui ai fait part de mes premières observations. Je la sentais réfléchir aux implications de la situation, mais je ne la voyais pas étonnée sur l’emploi de ces méthodes qui, même après une nuit de sommeil, me semblaient toujours aussi décalée avec la norme en vigueur dans la quasi-totalité des établissements. Je me suis alors demandé ce que mon interlocutrice savait des pratiques disciplinaires de St Marie avant que j’y mette les pieds.

vendredi 25 août 2017

Georges, un ado comme les autres - chapitre 4

4 –la canne.
Après la séance de fessée collective reçue dans le salon, le calme revint assez logiquement. Marie-Ange était exigeante mais pas tatillonne.  Sévère mais juste. Les jours s’écoulaient dans la bonne humeur. Le « colonel » était revenu pour 3 jours, heureux de retrouver sa famille. Je m’étais acclimaté à ma nouvelle classe et mes notes témoignaient d’une certaine aisance. La vie s’écoulait très heureuse. Marie-Ange me fascinait de plus en plus. Sa classe naturelle, son physique élégant, son visage souriant. J’étais si sensible à son charme évident.
Il y avait bien eu quelques rappels à l’ordre avec la formule désormais bien enregistrée dans mon esprit. « Un… deux… » mais pendant plus d’une semaine, pas de « trois », pas de punition.

mercredi 23 août 2017

Ce sera douche et fessée

" J'ai bien peur, mon garçon, que ce ne soit plus à toi d'en décider. Tu as eu tout le loisir de te prendre en charge. Je dois constater qu'il n'en est rien. Je n'ai pas l'intention de laisser les choses en l'état. Je vais m'en occuper.
Si tu croyais que j'allais me contenter que tu prennes une douche une fois par semaine, exceptionnellement deux, tu vas comprendre que je suis bien plus exigeante que cela. Dorénavant, ce sera une douche tous les matins et je peux te promettre que tu en sortiras impeccablement propre.

dimanche 20 août 2017

Axel, consultant à St Marie - chapitre 2

Mes premiers pas dans l’univers de St Marie furent on ne peut plus prudents. Je savais déjà que j’étais sous la surveillance constante des enseignantes qui n’attendaient qu’un faux pas de ma part pour m’expulser loin de leur champ d’action quotidien.
Je fus surpris de la prudence qu’adoptèrent les élèves lors de mon arrivée. J’étais pour eux un objet non identifié, dont le statut n’était pas très clair, dans cet univers où le monde se divisait en deux : ceux qui donnaient la fessée et ceux qui le recevaient. Ils ne savaient pas de quel côté j’étais. Il était difficilement concevable que je sois quelque part entre les deux, là où, normalement, il n’y avait personne.

vendredi 18 août 2017

Georges, un ado comme les autres - chapitre 3

3 – Une première

« Georges, comme tu le sais, j’ai promis à tes parents de m’occuper de toi comme de mes enfants. Ce matin non seulement tu ne t’es pas réveillé mais surtout tu as failli inonder toute ma maison. Mais à quoi pensais-tu donc (difficile pour moi de répondre sincèrement !) Ton attitude désinvolte est inadmissible. Pour cela je devrais aller chercher la cravache ou la canne et te fouetter sévèrement. C’est ainsi que j’aurai puni un de mes enfants pour une telle bêtise. Peut-être auras-tu l’occasion de le découvrir directement et à tes dépends. Mais tu bénéficies, aujourd’hui seulement, de la chance d’être puni pour la première fois. Je vais juste te fesser devant tes camarades. Mais ne t’attend plus après à une telle indulgence de ma part. »

mercredi 16 août 2017

Une fessée préventive

" Elisa, ma chérie, je t'ai dit que je n'étais pas d'accord pour que tu fumes. Que tu sois majeure n'y change rien. C'est une habitude qu'on regrette toujours par la suite. Je me suis engagée à ce que tu ne commences pas. Après, c'est plus difficile pour arrêter.
Je ne te laisserai pas te rendre dépendante de la nicotine que contiennent ces cigarettes. J'en sais quelque chose, j'ai eu un mal fou à m'arrêter après avoir commencé comme toi, innocemment, un soir pendant une fête de fin d'année.