samedi 11 novembre 2017

Axel, consultant à St Marie - chapitre 14

Je perçus une modification de la lumière qui entrait dans ma chambre. Positionné comme je l’étais, il était difficile d’en être sûr et je n’allais pas me retourner pour le vérifier. Retenant mon souffle, j’écoutais plus attentivement. Il y eut un léger frottement sur le sol venant de l’entré de ma chambre.
« Ouf, songeais-je, Sœur Gabrielle est de retour. »
Pendant un moment, il n’y eut plus de bruit, … puis un nouveau frôlement qui venait toujours du même endroit.
« Pourquoi Sœur Gabrielle met-elle tant de temps à pénétrer dans ma chambre ? »


C’était bizarre et ne correspondait pas avec les manières franches et directes de Sœur Gabrielle. Je sentis monter mon angoisse au creux de mon estomac. Qui pouvait bien être là ?
« Axel ? »
C’était Mathilde ! Que faisait-elle là ? Je m’enfonçais un peu plus dans mon coin. Je crois que pendant un long moment je cessais de respirer. Si elle n’avançait pas plus loin dans la pièce, elle ne pouvait pas me voir. Le coin où je me tenais était situé complètement à droite et j’étais dissimulé par l’armoire. Dissimulé, oui, à condition qu’elle ne fît pas un pas de plus. Je fermais les yeux, comme si cela me pouvait me cacher un peu plus. Je crois que mon immobilité a été totale pendant tout ce temps.
« Pourvu qu’elle s’en aille, pourvu qu’elle s’en aille. »
Je ne cessais de répéter cette incantation dans ma tête, une prière muette à je ne sais quel dieu.
« Mathilde, que fais-tu là ? »
Il n’y avait aucun doute. C’était la voix de Sœur Gabrielle. Elle avait pris le ton qu’elle utilisait pour gronder un élève.
« Oh, répondit la jeune femme, je … je … je suis venu pour … enfin pour … 
– Tu es venue pour satisfaire ta curiosité. Je vois que je n’ai pas encore réussi à te faire passer ce défaut. Ne t’inquiète pas, jeune fille, je sais être persévérante. Tu voulais voir ? Et bien tu vas voir ! »
Il y eut le bruit étouffé d’une claque qui atterrissait sur des vêtements. Puis j’entendis clairement les pas des personnes qui entraient dans ma chambre.
« Voilà, tu vois maintenant. Axel est au coin, la culotte baissée. Il a les fesses toutes rouges parce qu’il a reçu une sérieuse fessée avec la brosse dont on voit encore les traces sur ses fesses. »
J’étais mort de honte. Mon visage devait être aussi rouge que mes fesses.
« Tu sais ce que c’est que de recevoir la fessée à la brosse, n’est-ce pas ?
– Oui, ma Sœur, oui, mais je ne voulais pas …
– Ne te lance pas dans des mensonges abracadabrants. Nous savons toutes deux que c’est la curiosité qui t’a amenée là. Tu as entendu quand je fessais Axel, et tu n’as pas pu résister à l’envie de venir voir.
– Oh, oui ma Sœur !
–  Bon, je préfère quand tu reconnais tes bêtises. J’espère que tu as bien vu parce que tu vas aller le rejoindre. »
Il y eut un déplacement dans la pièce accompagné de demandes de pardon émises faiblement par Mathilde. J’entendis Sœur Gabrielle s’asseoir sur mon lit.
« Viens ici ! »
Un bruissement de tissus.
« Ah, … non, … pardon, … non, pas ici ! »
La première claque tomba sur les fesses nues de Mathilde, il n’y avait pas à se tromper à l’écoute du bruit que cela faisait. Depuis le coin, je ne voyais évidemment rien, mais le fracas que faisaient la fessée et Mathilde suffisait à en deviner le déroulement.
Sœur Gabrielle commença par une avalanche de claques qui provoquèrent un roulement de tonnerre continu dans la chambre. Mathilde pleura dès le début de la fessée, une fois passé la stupeur occasionnée par la douleur des premières claques. Sœur Gabrielle maintint ce rythme une bonne minute. Puis, elle frappa les fesses à un rythme régulier, détachant bien chaque claque de sa suivante. Il y avait un petit écho qui répétait chaque gifle sur les fesses. Sœur Gabrielle attendait que cette réverbération s’éteigne pour recommencer. Les pleurs de Mathilde et les cris qu’elle poussait, rompaient l’harmonie sonore.
« As-tu encore envie d’être curieuse, petite fille ? »
Mathilde réussit à répondre en deux sanglots :
« Non, … non, ma Sœur ! 
– Hum, fit Sœur Gabrielle, je ne suis pas convaincue que cette fessée soit suffisante pour te guérir de cette détestable manie. C’est la troisième fois depuis la rentrée de cette année que je dois te punir pour avoir été curieuse. Cela commence à suffire. »
La fessée reprit de plus belle et avec elle les plaintes de Mathilde.
« Faudra-t-il que je te fesse devant tous les professeurs, comme j’ai dû le faire l’année dernière ? »
Il y eut une nouvelle série de claques.
« Je vais évoquer tous ces points avec Sœur Marie Joseph. Je vais lui suggérer de te priver de sortie ce week-end. Deux jours à travailler à la préparation de tes cours sous la houlette de Sœur Marie Véronique, cela va te faire beaucoup de bien. Et si tu as du temps libre, et bien nous l’occuperons aux cuisines ou au ménage des classes. »
Je ne sus pas si la plainte de Mathilde fût provoquée par l’annonce de sa punition ou par la fessée qui recommença.
« Bien évidemment, je te donnerai une fessée chaque matin et chaque soir et je doublerai celles que te donnera Sœur Marie Véronique. A quelle heure est ton premier cours demain ?
– Dix heures, ma Sœur.
– Parfait, tu auras donc le temps de me faire une punition. Tu copieras cent fois : je promets de ne plus jamais être curieuse. Tu viendras m’apporter la punition avant de te rendre à ton premier cours. J’espère pour toi que ce sera bien écrit et sans faute, autrement tu commenceras ton premier cours avec les fesses toutes rouges sous ta jupe. Est-ce compris ?
– Oui, ma Sœur ! »
Pour faire bonne mesure, Sœur Gabrielle rajouta une dizaine de claques sur les fesses de Mathilde.
« Pour l’instant tu vas aller remplacer Axel au coin. Relève-toi ! »
Il y eut des pas qui venaient vers moi.
« Axel, viens ici pour recevoir la fessée que je t’ai promise ! »
Je me retournai et je croisais le regard de Mathilde. Nous rougîmes tous les deux et, chacun baissant la tête, nous nous croisâmes. Sans pantalon ni culotte et tenant ma chemise relevée, je donnais à Mathilde une vue totale sur mon sexe et mes fesses. Elle, de son côté, tenait sa jupe au-dessus de sa taille. Ses fesses et son pubis étaient nus. Je peux vous assurer qu’il n’y avait rien d’érotique, ni dans sa nudité partielle, ni dans la mienne. Nous étions juste deux enfants punis, obéissant à la grande personne chargée de les maintenir dans le droit chemin.
Mathilde prit ma place au coin. Elle avait les mêmes consignes que moi, celles en vigueur pour tous les punis de St Marie. Elle prit donc la même pose, nous laissant Sœur Gabrielle et moi en tête à tête, ce dont je me serais bien passé.

Sœur Gabrielle me fit signe de me mettre debout devant elle.
« Je suis très déçue de ce que tu as fait ce soir. J’avais pensé que la fessée d’hier serait suffisante pour que tu prennes conscience de tes erreurs. Tu es beaucoup moins mature que je ne le croyais. Tu as le plus souvent des comportements de gamin. Je te traiterais donc comme un gamin. Je vais étroitement surveiller ce que tu fais et tu auras la fessée aussi souvent que nécessaire. Je te la donnerai là où elle est méritée. Si tu ne veux pas le recevoir devant d’autres personnes que Mathilde, tu vas devoir faire très attention. »
J’étais mal à l’aise. Pas tellement parce que je me tenais à demi-nu devant une personne de sexe féminin qui, elle, était habillée. Pas tellement parce que je savais comment cette réprimande allait finir. J’étais mal à l’aise d’avoir déçu Sœur Gabrielle.
« Nous avons des comptes à solder mon garçon, mais je veux que tu comprennes pourquoi tu as mérité une autre fessée. La première fessée que je t’ai donnée, quand je t’ai trouvé à jouer sur ton lit, c’était pour la désobéissance. La deuxième, c’était pour le travail mal fait. Je vais t’en donner une troisième pour ta paresse. »
Sœur Gabrielle m’avait fait approcher entre ses pieds. Elle avait posé ses deux mains sur mes fesses encore endolories et elle les massait doucement.
« Je devrais t’en donner une quatrième, et une sévère avec la brosse, pour t’être débattu pendant la fessée. Je vais te l’épargner parce que c’était la première fois que je me munissais d’un instrument punitif. Maintenant que tu sais ce que ça fait, tu pourras t’y préparer. Si je te donne la fessée, c’est parce que tu en as besoin. Il n’est donc plus question que tu cherches à y échapper. La prochaine fois, ce sera une deuxième fessée encore plus rigoureuse que la première. »
Elle tapotait doucement mes fesses.
« As-tu entendu, mon vilain garçon ?
– Oui, ma Sœur.
– Met-toi en place ! »
Sœur Gabrielle désignait sa cuisse et ses bras étaient prêts à m’accueillir pour me positionner à sa convenance. Je m’y allongeais à plat ventre, laissant mes fesses à disposition de la religieuse. Le sermon de Sœur Gabrielle avait ravivé mon sentiment de culpabilité. Je ne voulais pas qu’elle soit durablement fâchée avec moi. En coopérant, je souhaitais lui montrer que j’acceptais la fessée en juste punition de ma paresse.
Sur mes fesses encore marquées par la brosse, la main de Sœur Gabrielle fit des ravages. Faisant fi de mes récentes résolutions, je me tortillais sur le genou de Sœur Gabrielle, je lançais mes jambes dans toutes les directions, j’étreignais le drap, … j’extériorisais la souffrance que la main infligeait à mes fesses. Je finis en pleurs, suppliant pour que la fessée s’arrêtât, mais je laissais Sœur Gabrielle aller au bout de la punition sans que je fasse quoi que ce soit pour l’en empêcher.
Elle finit par s’achever et me laissa avachi sur la cuisse de Sœur Gabrielle, totalement vidée de mon énergie. Sœur Gabrielle me releva après un court instant. Je voulus mettre mes mains sur mes fesses. Les claques que je reçus sur ma cuisse m’en dissuadèrent :
« Il est interdit de masser ses fesses après une fessée. Tu dois pouvoir profiter le plus longtemps possible de la cuisson de tes fesses, afin de t’en souvenir un bon moment. Frotter ses fesses, atténue la douleur. Je ne veux plus le voir. C’est passible d’un autre séjour sur mes genoux. »
Sœur Gabrielle m’emmena par le bras vers le coin où Mathilde restait figée.
« Mathilde, viens avec moi, je vais te coucher. Pendant ce temps, Axel, tu restes au coin. Je viendrai te mettre au lit dès que Mathilde sera prête à dormir. »
Mathilde et moi échangeâmes nos places. De retour au coin, il me restait deviner ce qui se passait dans mon dos juste avec les bruits que j’entendais.

Le seul bruit notable que j’entendis venant de la chambre de ma voisine, fut une claque sur les fesses, suivi d’un cri sonore. Après cela, le coucher de Mathilde se déroula en silence, autant que je puisse en juger.
J’espérais disposer d’un répit avant que les crampes ne reviennent. Il n’en fut rien. Mes muscles retrouvant leur position abandonnée juste quelques instants durant ma fessée, s’engourdirent presque aussitôt. Sœur Gabrielle ne revenait pas et pourtant elle allait être là d’un instant à l’autre. Je devais tenir.
Depuis combien de temps suis-là ? Pour combien de temps encore ? Vivement que Sœur Gabrielle revienne !
Enfin, Sœur Gabrielle revint. Elle me fit patienter encore un petit moment. Durant tout ce temps, je trouvais plus facile de rester au coin. Je suivais les différents déplacements de Sœur Gabrielle aux frôlements que j’entendais. Elle fit un tour complet de ma chambre et de la salle de bain, s’arrêtant souvent en différents endroits, devant chaque meuble de rangement, me sembla-t-il, si j’avais bien jugé de la position où elle se trouvait.
« Viens ici Axel ! »
Enfin, je pouvais quitter le coin, sans risque de fessée, espérais-je. Sœur Gabrielle était assise sur mon lit. Elle me prit par la main et je dus approcher d’elle.
« Viens t’asseoir ici, dit-elle en tapotant ses genoux du but de ses doigts. »
Elle me guida à califourchon sur ses genoux, face à elle. Puis elle me prit la nuque et elle posa ma tête sur son épaule, le visage caché dans le tissu de sa robe. Alors elle posa ne main sur mes fesses nues et caressa doucement mes fesses en un massage circulaire. Son bras me tenait serré contre sa poitrine.
Toute la tension accumulée depuis le début de la soirée disparut en un clin d’œil. Je me relâchais dans ses bras et je recommençais à sangloter doucement. Sa main vint masser ma nuque.
« Allons, allons, mon grand garçon, chut, … chut … »
Je me laissais aller contre elle. Sa main passait de ma nuque à mon dos, puis elle descendait jusqu’à mes fesses. A chaque fois qu’elle passait sur une zone où la brosse avait particulièrement marqué son passage, cela faisait naître un frisson tout au long de mon dos, mélange de douleur et de douceur. Elle murmurait à mon oreille un doux refrain apaisant dont les paroles importaient moins que le bercement de sa litanie.
Elle ma laissa ainsi jusqu’à ce que mes pleurs deviennent presque imperceptibles.
« C’est fini. Tu as reçu une bonne fessée, mais elle était méritée. Est-ce que je me trompe ? »
Elle m’écarta de sa poitrine et sa main posée sous mon menton m’obligeait à la regarder droit dans les yeux.
« Non, ma Sœur.
– Ça t’a fait certainement beaucoup de bien, sauf à tes fesses, bien entendu, mais ça c’est pour un jour ou deux. Après ça ira mieux. Il te restera le souvenir de ta désobéissance, de ton travail approximatif, de ta paresse et de la punition que cela a nécessité. Ce n’est pas que tu ne recommenceras plus, une seule fessée en suffira pas, mais tu hésiteras certainement la prochaine fois à recommencer les mêmes bêtises, n’est-ce pas ?
– Oui, ma Sœur. »
Elle me lâcha et je reposais ma tête sur son épaule.
« Est-ce que tu boudes ?
– Non ma Sœur, c’est que …
– Oui ? »
La tendresse dont Sœur Gabrielle m’entourait m’incitait aux confidences.
« C’est que j’ai honte.
– De quoi as-tu honte ? D’avoir reçu une fessée ? Que Mathilde t’ai vu la culotte baissée ?
– Ah, ça, non, … euh, enfin oui, bien sûr. Mais c’est surtout d’avoir été désobéissant comme un petit garçon et … de vous avoir fâchée. »
Sœur Gabrielle resserra son étreinte.
« Mon grand garçon, bien sûr, c’est mieux quand tu es sage et obéissant. Mais je sais ce que c’est qu’un petit garçon, même quand il est dans un corps d’adulte. De temps en temps, il ne peut pas s’empêcher de faire une bêtise ou deux. Ce qui est important c’est qu’il trouve, au bon moment, une grande personne qui se fâche et le punisse. Comprends-tu ?
– Oui, ma Sœur.
– Je me fâche, c’est vrai, mais c’est nécessaire. Ensuite après t’avoir donné la fessée, il n’y a plus de raison de se comporter avec toi comme avec un coupable. Une fois puni, il est normal que tu sois pardonné. Un petit câlin dans mes bras, comme maintenant, pour te faire comprendre que ce n’est pas la fin du monde. Tu redeviens alors un gentil grand garçon, n’est-ce pas ?
– Oui, ma Sœur, lâchais-je dans un soupir de soulagement. »
Dans cet instant, j’aurais pris toutes les fessées de l’univers pour ce moment de sécurité.
« Voyons cela de plus prêt. »
Sœur Gabrielle me fit passer sous son bras, puis elle passa son bras entre mes jambes. Son bras et sa main se plaquèrent sur mon ventre et elle me souleva pour poser mon bassin en travers de ses genoux. J’eus un instant de crainte. Posé ainsi à plat ventre sur ses genoux, mes fesses étaient idéalement positionnées pour recevoir une fessée.
Sœur Gabrielle passa sa main sur mes fesses. Elle massait légèrement la peau entre ses doigts. L’examen dura un petit moment.
« La fessée a laissé des marques. Tu auras des difficultés à t’asseoir demain. C’est exactement ce que je voulais. Ainsi, toute la journée, tu te rappelleras de cette fessée. Tu viendras me voir demain soir. Je regarderai comment tout cela évolue. »
Aussi facilement que quand elle m’avait couché sur ses genoux, elle me remit dans la position assise sur ses genoux. Je ne me rappelais pas avoir été si facilement manipulé par une autre personne depuis que j’étais tout petit. Entre ses mains, j’avais l’impression d’être un fétu de paille.

Sœur Gabrielle déboutonna ma chemise et me l’enleva. Ma gêne de se trouver nu devant elle se raviva. J’avais oublié ma nudité durant tout le temps qu’avait duré le câlin. Je mis mes mains pour protéger mon sexe, gênant Sœur Gabrielle dans mon déshabillage.
« Axel, gronda-t-elle, veux-tu bien me laisser faire ! »
Sa main claque mes fesses une seule fois. Cela suffit pour que j’enlève ma main, mais je rougis aussitôt.
« Quel enfantillage ! Prendre le risque de désobéir, pour cacher ce que tu me montres depuis à peu près une heure : des fesses de garçon. »
Sœur Gabrielle me passa alors le haut de mon pyjama. Puis elle me fit mettre debout, et une jambe après l’autre à sa demande, j’enfilais la culotte. Alors, elle ouvrit les draps de mon lit et m’ordonna :
« Au lit ! Sur le ventre ! Cette nuit, tu ne pourras pas faire reposer ton poids sur tes fesses. »
Je préférais ne pas essayer. Je m’allongeais sur le ventre. Sœur Gabrielle rabattit les draps et les borda. J’étais un peu serré, mais je me sentais protégé. Sœur Gabrielle éteignit la lumière. Aurai-je le droit à un bisou comme hier soir ?
Elle revint s’asseoir sur le bord de mon lit. Elle se pencha et déposa un bisou sur ma tempe.
« On dort, maintenant. Je ne veux plus t’entendre ! »
Sa voix avait un ton à peine sévère. Sa main me caressa les cheveux, jouant avec les mèches qui s’égaraient sur mon front. Puis elle descendit, massant mes épaules, puis le dos en se glissant sous le drap.


Je m’endormis alors que Sœur Gabrielle veillait encore sur moi.

Pour suivre le fil de cette histoire :

Pour comprendre le contexte : introduction
Le premier épisode : chapitre 1
L'épisode précédent : chapitre 13
Le prochain épisode ... chapitre 15

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