Je
montais les trois étages à pied. Il n’y a pas d’ascenseur. La boule que j’avais
au creux de l’estomac avait grandi jusqu’à occuper tout l’espace. J’y étais.
Je
venais de recevoir, par SMS, les dernières instructions pour trouver
l’appartement en question, celui où Madame Anne-Sophie m’attendait. J’avais
encore l’option de faire demi-tour. J’y songeais, mais cela ne faisait pas
descendre la pression.
Arrivé
sur le pallier, la porte était ouverte.
« Bonjour
Josip !
J’eus
un dernier serrement de cœur. Nous y étions. Plus question de reculer
maintenant.
« Tu
enlèves ton blouson. Tu le mets là ! Enlève tes chaussures ! »
Les
préliminaires achevés, Madame Anne-Sophie me fait entrer dans le séjour.
« Il
paraît que tu as fait des bêtises ? »
Les
bêtises qui devaient déclencher ma punition. Je m’y étais préparé.
« J’ai
un courrier pour vous. »
J’ai
senti un moment d’hésitation mais Madame Anne-Sophie s’est reprise très vite.
« Un
courrier ? Donne-le-moi ! »
Je
l’avais placé dans une enveloppe que Madame Anne-Sophie ouvrit.
Un
carnet de correspondance. Voyons ce qu’il y est écrit. »
Matière
|
Note
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Appréciation
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Signature
du professeur
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Français
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5/20
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Pourrait avoir des notes correctes s’il se concentrait un peu plus
quand il travaille
Ne doit pas se sentir obligé de dire de faire rire ses camarades par
des insanités à chaque phrase qu’il prononce.
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Calcul
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10/20
|
Se contente de faire le minimum
Des capacités gâchées. Manque de travail.
Moins de bavardage avec ses voisins aiderait à sa concentration.
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Histoire et géographie
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2/20
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Devrait apprendre ses leçons. Ce serait plus simple pour les réciter.
S’il cessait de faire le pitre en classe, il aurait certainement plus
de temps pour travailler.
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Anglais
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6/20
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Doit être plus sérieux pour réussir. Travaille-t-il à la
maison ? Trop de bavardage en classe.
|
|
Education physique et sportive
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12/20
|
Fait des efforts, mais doit apprendre à se maîtriser, en particulier
quand il perd.
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Moyenne générale
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7/20
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Travail médiocre. Fait peu d’effort. Un potentiel dilapidé par
paresse. Bavardage à travailler.
|
Classement
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26ème/28
|
Je voyais les sourcils de Madame Anne-Sophie se froncer au fur et à mesure de la lecture.
« Tu
dis des insanités en cours de français ? A chaque phrase ?
–
Non Madame, pas à chaque phrase.
–
C’est pourtant ce qui est écrit. Prétends-tu que ton professeur
mente ? »
Deux
claques sur le fond de mon pantalon. A travers le tissu, elles ne m’ont pas
fait mal, mais elles me signalent ma place tant que je serai sous l’autorité de
Madame Anne-Sophie. Elle peut me fesser quand elle le juge bon.
« Baisse
ton pantalon ! »
Je
déboucle ma ceinture, déboutonne le pantalon puis la braguette. Je fais glisser
mon pantalon sur mes chevilles.
« Les
mauvais élèves que les professeurs envoient chez la directrice, c’est pour être
puni. Et dans cette école, la punition c’est une bonne fessée. »
Madame
Anne-Sophie m’entoure la taille de son bras puis c’est la fessée. Comme elle
m’est donnée alors que ma culotte recouvre encore mes fesses, elle ne claque
pas vraiment, sauf quand la main de Madame Anne-Sophie atterrit tout en bas de
mes fesses, là où la culotte s’arrête. Ce sont plusieurs dizaine de claques que
je reçois. Finalement, elle me relâche.
« Enlève
ton pantalon. Tu le mets ici ! »
Elle
me désigne une chaise placée près d’une table. Je n’avais pas fait attention
jusqu’à maintenant, mais y sont étalés un nombre impressionnant d’instruments
punitifs. Les martinets de tous types me semblent les plus nombreux, mais il y
a également des paddles, de tawses et des cannes de différents diamètres.
« Ote
ta chemise également pour qu’elle ne gêne pas pour la fessée !’
Ma
chemise rejoint mon pantalon.
Elle
me met mon carnet de correspondance sous le nez.
« Tu
vas avoir un coup de canne sur les fesses pour chaque point en dessous de la
moyenne. »
Madame
Anne-Sophie s’assied sur une chaise et elle me désigne son côté droit.
« Viens-ici ! »
A
peine suis-je en place, qu’elle m’ordonne :
« Allonge-toi
sur mes genoux ! »
Je
prends place. Le haut de mon buste et ma tête pendent dans le vide. Je pose ma
main sur le sol pour en soutenir le poids.
« Quand
on est envoyé dans le bureau de la directrice pour être puni, c’est une fessée
déculottée qu’on reçoit. »
Joignant
le geste à la parole, elle fait glisser ma culotte le long des mes cuisses. Je
n’ai pas le temps d’intégrer cette nouvelle donnée qu’un première claque arrive
sur mes fesses. Elle est d’une vigueur modérée, mais cela ne dure pas. Madame
Anne-Sophie appuie ses claques sur mes fesses nues. Je sens que l’échauffement
monte peu à peu.
Sans
doute satisfaite par la rougeur de mes fesses, elle remonte ma culotte.
« Va
te mettre au coin ! »
Elle
me désigne l’angle de la pièce, dégagé de tout meuble. Madame Anne-Sophie m’a
suivi.
« Ton
nez dans le coin ! Serre tes jambes, tu n’es pas à faire la queue au Mc
Do ! »
Elle
me baisse de nouveau la culotte et accompagne sa remarque par quelques claques
sur mes fesses maintenant nues.
« Les
mains dans le dos ! »
Alors
elle remonte mon tee-shirt et le coince sous mes poignets.
« Tu
ne bouges pas pendant que je continue à lire ton carnet. »
J’entends
Madame Anne-Sophie se déplacer dans la pièce et je l’entends soupirer de temps
en temps.
« Remonte
ta culotte et viens ici. »
Je
me trouve debout devant la directrice qui est restée assise sur sa chaise. Elle
me gronde encore pour l’indigence du travail que j’ai produit. Alors elle prend
place sur le canapé.
« Prend
le paddle et viens-ici ! »
Il
s’agit d’un instrument composé d’un manche et prolongé par une pièce de cuir
ronde. Sur ses instructions, je m’agenouille sur un coussin qu’elle a préparé.
Je me couche une nouvelle fois sur ses genoux, le visage enfoui dans le canapé.
La fessée reprend, d’abord avec la main puis avec le paddle. L’échauffement
revient très vite à son niveau précédent, puis il augmente progressivement. La
fessée dure. Les coups deviennent plus secs. L’accumulation des fessées
commence à se faire sentir.
« Remonte
ta culotte ! »
Elle
me renvoie au coin, mais cette fois-ci, elle m’y met à genoux. Un coussin rend
la position tenable.
« Serre
tes genoux ! »
Elle
baisse encore une fois ma culotte.
« J’espère
que tu as honte d’être au coin, les fesses nues. »
Je
me tais, ce qu’elle n’apprécie pas.
« Quand
je te pose une question, j’attends une réponse ! »
Elle
souligne cette remontrance par une bonne série de claque sur mes fesses.
« Alors,
as-tu honte ?
–
Oui Madame ! »
Elle
m’abandonne dans cette position dans laquelle je ne vois rien de ce qui se
passe autour de moi.
Quand
elle me rappelle, c’est pour m’ordonner de m’agenouiller au milieu du séjour.
« Met
tes mains derrière la tête ! »
Je
m’imagine dans cette position : à genoux, mains sur la tête, la culotte
baissée. Le sentiment d’être puni est à son comble. Madame Anne-Sophie passe à
la page suivante. Celle qui parle de mon comportement :
Comportement
en classe
Appréciation
de l’équipe enseignante
|
|
Relations avec ses camarades
|
Josip
doit cesser d’agresser ses petits camarades à la moindre contrariété. Il doit
cesser de les menacer pour obtenir d’eux ce qu’il veut.
|
Comportement vis-à-vis des enseignants
|
Josip
est toujours à la limite de l’insolence, quand il n’est pas tout à fait
impoli.
Josip
doit cesser de répondre à ses enseignants quand ils lui font une remarque. La
désobéissance systématique ne sera plus tolérée.
|
Politesse
|
Mot
dont le sens est tout à fait inconnu par Josip quand il l’a décidé,
c'est-à-dire souvent. Ses insolences sont quasi quotidiennes.
|
Respect du règlement intérieur
|
Josip
ignore qu’il existe un règlement intérieur, quand ça l’arrange. Il croit le
plus souvent que cela ne le concerne pas.
|
Propreté et hygiène
|
Josip
prend-il une douche chaque jour ? Une attention plus grande à son
hygiène intime serait nécessaire.
|
Note
|
Commentaire et appréciations
|
|
Conduite à l’école et recommandations
|
0/20
|
Elève
désobéissant. Se fait remarquer par le taux de bêtises qu’il fait plus que
par la qualité de son travail.
Une reprise
en main générale de son éducation s’impose. Il faut envisager une discipline
plus ferme. Le laxisme ne peut plus durer
|
Madame
Anne-Sophie me lit une à une les remarques portées sur mon carnet de
correspondance. Elle me gronde. Comme je baisse la tête, elle place ses doigts
sous mon menton et m’oblige à la regarder dans les yeux. La sanction tombe :
ce sera le martinet.
« Reculotte-toi !
Choisis un martinet »
Il
y en a de toutes les sortes, alignés sur la table. Je ne sais pas lequel
choisir, mais je sens qu’il ne faut pas la faire attendre. Je saisis le manche
de l’un d’entre eux sans voir réellement ce qui est au bout. Ce sont des lanières
en boucle. Ai-je fait un bon choix ?
« Mets-toi
à genoux sur la chaise, tes avants bras sur la commode ! »
La
position n’est pas confortable, mais je la prends tout de même. Ma culotte est
descendue. Madame Anne-Sophie commence par une fessée à la main, puis elle
passe rapidement au martinet. Elle prend un peu de distance et elle me cingle
les fesses … dix fois, … vingt fois, … puis elle change de côté et la
correction reprend. Je crois qu’elle change de martinet à plusieurs reprises.
« Vois-tu
celui-là ? C’est celui de mon grand-père ! »
La
fouettée se prolonge et je commence à vraiment sentir la morsure du cuir sur
mes fesses. Je ne crie pas, mais des grognements m’échappent. Je ne peux
contenir de petits mouvements de mes pieds. Madame Anne-Sophie s’interrompt.
« Vois-tu
chez moi les « aïe » ou les « ouille » ne servent à rien. Cela
n’arrête pas la fessée. »
Quand
elle me donne un mot de passe que je dois prononcer pour arrêter la fessée, je
ne sais pas quoi en faire.
La
punition avec le martinet reprend. Elle se poursuit et je songe à utiliser le
mot de passe quand elle s’arrête. Madame Anne-Sophie me prend par l’oreille qu’elle
tire sans me faire changer de position.
« Que
t’avais-je dit pour les points en dessous de la moyenne ? Quel serait la
punition ?
–
La canne, Madame.
–
Exactement ! Un coup de canne pour chaque point. »
Je
me retrouve de nouveau à genoux au lieu de la pièce. Madame Anne-Sophie me tend
mon carnet de correspondance.
« Tu
vas compter les points en dessous de la moyenne. Si tu te trompes, je double le
nombre de coups de canne. »
Je
ne connais pas les ravages qu’une canne peut faire. Je fais donc bien attention
à ne pas faire d’erreur.
« Dix-sept,
Madame.
–
Et ceux-là ? »
J’ai
oublié de prendre en compte la moyenne. Heureusement, elle s’en tient aux vingt
coups correspondant au total de points manquant pour arriver à la note de dix.
« Vois-tu,
dit-elle en me montrant les cannes, tu vas avoir ces trois-là. La dernière est
vraiment terrible. »
Elle
la fait siffler dans l’air. Je dois alors me courber par-dessus le dos de la
chaise, mes mains à plat sur l’assise. Mes fesses ont dénudées encore une fois.
Madame Anne-Sophie me donne quelques petits coups sur les fesses avec la canne qu’elle
a en main, puis prenant un peu d’élan, elle l’abat à la jonction de mes
cuisses. Je sens le coup, mais c’est supportable. La manœuvre reprend sept fois
et à chaque fois je crispe mes fesses, mais je ne boue pas de ma position.
Etonnamment,
la canne me semble plus supportable que le martinet. Il est vrai que je connais
le nombre de coups que je dois recevoir alors que le martinet ne me semblait ne
pas avoir de fin.
« Tu
comptes les coups ! »
Enfin,
arrive le vingtième sifflement que j’accompagne d’un grognement. C’est fini.
Ce
n’est pas au coin que Madame Anne-Sophie me laisse quelques minutes pour
récupérer, mais au piquet. Ma position n’a pas changé : culotte baissée et
les mains derrière le dos.
Quand
je suis de nouveau convoqué, Madame Anne-Sophie s’assied sur l’accoudoir de son
canapé. Elle m’allonge sur ses genoux, mon visage posé sur les coussins. Mes fesses
nues sont à la disposition de sa main.
Après
l’utilisation du martinet et de la canne, la fessée à main nue ravive
rapidement la cuisson de mes fesses. Madame Anne-Sophie veut certainement leur
redonner une belle couleur rouge uniforme, car la fessée se prolonge. End=fin
elle cesse.
« Ne
bouge pas de là ! »
Madame
Anne-Sophie se dirige vers la table pour se munir d’un instrument. Ma position
ne me permet pas de voir lequel.
« Je
vais te fesser jusqu’à ce que tu utilises le mot de passe. »
C’est
un martinet ! Elle commence à l’appliquer sur mes fesses et je sens qu’elle
y met plus d’énergie qu’avant. Les lanières cinglent mes fesses, mais je décide
de résister encore. Je pense que Madame Anne-Sophie le sent. Elle accélère la
cadence et la force des coups qu’elle m’administre.
Trois
ou quatre fois de suite, je sens l’extrémité des lanières frapper là où la peau
est plus tendre. Je crispe mes fesses je grogne … et je décide d’abandonner la
partie. Je crie le mot de passe. La fouettée cesse aussitôt.
Madame
Anne-Sophie finit par une fessée à main nue. Cela n’a rien à voir avec le
martinet. Elle n’y met plus beaucoup de force.
« Rhabille-toi ! »
Voilà,
c’est terminé. Mes fesses me cuisent.
Madame
Anne-Sophie et moi échangeons quelques mots sur notre fantasme commun : la
fessée, puis je la quitte.
Je
sens les effets de la fessée en descendant l’escalier, mais je ne sais pas
encore que, plus tard, dans le train, la douleur deviendra encore plus vive.
Je
finis ce texte le dimanche soir, soit quarante-huit heures plus tard. Certes,
la douleur à bien diminuée. Je peux maintenant m’asseoir sans précaution sur
une chaise dont l’assise est dure. Ce n’était pas le cas hier, à peine ce midi.
Il reste encore quelques zones douloureuses quand j’y passe la main.
Madame
Anne-Sophie a correctement fait son travail.
Il y a une première partie
Pour recevoir ou donner une fessée, déposer une annonce sur rencontres fessée
Suivez le lien pour contacter Madame Anne-Sophie
N'oubliez pas de la saluer respectueusement de ma part quand vous la contacterez et après un passage chez elle, de laisser un commentaire pour faire part de vos impressions.
superbe correction! Il me tarde de rencontrer Madame Anne Sophie! Je crois que j'irai le 09 décembre!
RépondreSupprimerBonjour indiscipliné,
SupprimerJe compte sur un commentaire ou un article à publier sur le blog.
Au plaisir de vous lire,
JLG.
cette personne semble très intéressante (bien qu'intransigeante !) dur pour les fesses non ?
RépondreSupprimerLe mieux, c'est de l'expérimenter ...
SupprimerAu plaisir de vous lire.
JLG.
Bonjour,
RépondreSupprimerJe voulais faire un commentaire sur ma visite chez la meilleure fesseuse de France.
Quoi de mieux qu'une véritable institutrice pour délivrer d'aussi bonnes fessees. Une institutrice comme tous les élèves en rêvent même si elle ne rigole pas avec la discipline.J'ai apprécié le scénario tout autant que les longues et sévères fessées déculottées administrées.
Avant d'y aller je me demandai comment une femme pouvait administrer des fessées pendant une heure sans se fatiguer et bien croyez moi elle sait y faire. Madame Anne Sophie sait varier a merveille les positions de fessées et présente très bien les instruments qu'elle utilise.Quand on est en travers de ses genoux même si elle fesse très vite et très fort on a a la fois envie que ça s’arrête et que ça continue tellement la douleur se transforme en plaisir.Pour ma part j'ai eu le droit a l'interrogation sur les conjugaisons et là se mêle la peur de rater et l'envie de rater;ce qui d'ailleurs n'est pas un problème car nous avons tous oublié, faute de pratiquer, les temps comme le futur antérieur ou certains verbes comme "ouir".
J'ai eu le droit a 40 coups de canne pour les nombreuses fautes effectuées et cela est très excitant aussi car ça fait vraiment discipline"
Malgré la distance j'ai déjà envie d'y retourner alors que ceux qui hésitent encore, foncent là bas pour recevoir de magistrales fessées par une institutrice très sexy et très stricte aussi.
Merci de faire figurer ce commentaire sur votre blog
Chris 22212
Cette dame est une excellente fesseuse : la meilleure que l'on puisse rêver.
RépondreSupprimerElle est d'une très grande classe, on ne passe pas en travers des genoux de n'importe qui.Elle s'exprime très bien, on se sent même valorisé à lui présenter son postérieur dénudé malgré la honte infligée.
La fessée par Anne- Sophie est un grand moment,bien au-delà et bien mieux que la simple réalisation d'un fantasme.
Elle a une belle énergie et la déploie sans aucune brutalité, ce qui porte au summum du plaisir.
Et c'est une très belle femme, d'un maintien irréprochable, aucun laisser -aller, aucune vulgarité, on perçoit qu'elle respecte son corps, qu'elle s'impose une discipline : elle n' ira pas se goinfrer de gâteaux après une séance.
Anne-Sophie donne la fessée sans ménagement mais en respectant son puni, même si il est sérieusement et vigoureusement sermonné.
Qui aime bien châtie bien, et on perçoit quand elle nous ouvre la porte qu'elle va agir pour notre bien.
On ressort de chez elle les fesses rouges mais on est aux anges.
Presque 48 heures après les magistrales fessées reçues mes fesses sont encore endolories et rosies à certains endroits.
RépondreSupprimerC'est tout d'abord très excitant et la preuve que Madame est une AS de la fessée (tiens c'est marrant comme ses initiales)
Finalement ma visite chez elle m'a procuré beaucoup de plaisir et ça continue après alors je tiens encore une fois a la remercier.
Je voulais également préciser que Madame Anne-Sophie est une belle personne qui maîtrise son art a la perfection et qui en plus a beaucoup d'humour.
Je peux lui assurer que je ferai encore beaucoup de bêtises pour mériter d'autres passages en travers ses genoux ou d'autres fouettées délicieuses.
J'invite tous ceux qui partagent le même fantasme que moi a la rencontrer, du moment qu'ils me laisse une place dans son emploi du temps.
A bientôt et merci pour la publication
Chris 22212
Ma parole, voici un récit authentique aussi passionnant que ceux que vous inventez !... Voilà donc que vous avez sauté le pas !... Et avec une virtuose, semble-t-il !... Ça laisse rêveur...
RépondreSupprimerJ'ai relevé une particularité dans la manière de Mme. Anne-Sophie : elle fait fréquemment reculotter le puni, aussi souvent, en fait, qu'elle l'a déculotté !...
Je suppose que c'est pour que le puni ressente au maximum la honte d'être mis à nu par la main qui le corrige. Belle technique. La honte est un puissant corollaire de la fessée.
Merci pour ce "reportage", cher Josip !...
Georges
Bonsoir Georges,
SupprimerJ'ai effectivement sauté le pas.
Je vous garantis l'authenticité de la situation. Vous pouvez d'ailleurs aller, de vous même, le vérifier. Vous avez toutes les indications en fin du récit sur cette présente page.
En ce qui concerne les reculottages et déculottages répétitifs, à posteriori et par courriel, j'ai questionné Madame Anne-Sophie sans avoir eu réellement de réponse sur les raisons de cette pratique.
Je suis d'accord avec vous sur l'importance de la honte qu'une fesseuse accomplie se doit de faire ressentir à un puni au cours d'une fessée. C'est aussi important que la cuisson sur les fesses. Baisser la culotte y contribue grandement.
Toutefois, m'ôter le pantalon et me remonter la culotte m'a épargné l'humiliation de traverser le séjour de Madame Anne-Sophie, fesses nues, de la démarche malaisée qu'obligent un pantalon et une culotte baissés.
La honte n'aurait-elle pas été au moins aussi forte ?
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Bonjour
RépondreSupprimerMerci pour ce récit...j'aime aussi ce genre de jeux...où avez-vous été chercher votre carnet de correspondance...J'ai adoré lorque Madame Anne Sophie vous a promis la canne pour les points en dessous de la moyenne...
Je pense que vous y avez pensé pendant la punition avant qu'elle vous rappelle ce douloureux châtiment...
Eddy
Bonjour Eddy,
SupprimerPour écrire ce récit, je n'ai pas eu à faire preuve d'imagination, juste à raconter les faits tels qu'ils se sont déroulés.
J'ai fabriqué le carnet de correspondance. Je peux vous l'adresser par courriel, si vous le voulez.
Si vous allez rencontrer Madame Anne-Sophie, n'oubliez pas de nous en faire part avec un commentaire, voire, pourquoi pas, un article.
Au plaisir de vous lire,
JLG.
J ai rencontré anne sophie cet am
RépondreSupprimeraprés m'avoir fessé sur ses genoux, elle m'a fait mettre a genoux sur sur une chaise les bras a plat sur une commode.en alternance avec la fessée tres forte a mains nues, j'ai recu pls series de 20 cps de paddle en bois dont une tres lourde me laissant deja des equimoses,j'ai ensuite debout les mains sur la table ou se trouvant ts les instruments recu la correction avec ses trois cannes dont une anglaises dont une ou j'ai compté jusqu'a 100.en suite allongé sur le lit les jambes reunies j'ai reçu la correction avec 6 martinets dont une avec des lanières épaisses à l'ancienne ou j'en ai reçu 75 de chaque et un martinet constitue de 6 fils électriques pour lequel j'en ai reçu 30 dures.la correction a été très forte avec de l'élan anne sophie se trouvant debout et moi couché,les martinets atteignant les fesses et notamment la jointure des fesses et cuisses, elle du changer de coté pour frapper les deux fesses et leurs jointures total 285 cps de martinet, ensuite je suis revenu ds le salon ou anne sophie m'a demande de reprendre la position ou je me trouvais pour me corriger de toutes ses forces avec le paddle en bois epais . nous avons ensemble constaté les marques bleues sur les jointures des fesses et cuisses et un fond rouge foncé sur le cote de la fesse droite par le paddle ainsi que des bousouflures causes par les cannes.
madame anne sophie m'avait promis par texto une correction de 300 coups minimum sévères avec force et que celle ci laisserais des traces durables et m'a confirmé en les admirant que elles dureront 10 jours .je dois lui adresser un texto pour lui connaitre son leurs évolutions,nayant jamais reçu de telles marques j'y retournerais madame anne sophie m'ayant complimenté pour mon endurance.
J'ai rencontré Madame Anne-Sophie hier. C'est une belle femme bien habillée, très crédible dans son rôle de maitresse d'école qu'elle est d'ailleurs dans la vie. Son style m'a semblé sévère mais bienveillant, plutôt dans le registre de la motivation à s’améliorer, que de la punition sadique.
RépondreSupprimerElle m'a administré une fessée magistrale, la meilleure que j’ai reçu jusqu’à présent. Sa main est forte et son endurance sans faille. Sans être mécanique elle fait varier le tempo et l’intensité au bon moment pour ajuster douleur et plaisir.
Par la suite les martinets m'ont semblé presque reposants par rapport à ses redoutables mains.
Pour moi, Madame Anne-Sophie est vraiment LA grande spécialiste de la fessée sur Paris. J'y retournerai.
Pierre
réponse de anonyme du 17 janvier 2018 a anonyme du 25 janvier 2018
RépondreSupprimerje note que vous avez subi une bonne correction de anne sophie
vous avez ressenti plus la fessée a main nue qua celle au martinet.
En ce qui me concerne celle que j'ai reçue a mains nues m'a servi d'échauffement plus que de la douleur.
Mais ce que je peux vous assurer ce que j'ai dégusté ensuite avec ses cannes et martinets dont un dont les lanières sont constituées avec du fil électrique appliqué sur les fesses et sur la cuisse droite dont j'ai encore des marques noires aujourd'hui
Consultez mon aventure du 17 janvier 2018.
m
Quel rêve je vis depuis que j'ai rencontré Madame Anne Sophie.Cette Dame est merveilleuse et les fessées qu'elle m'a donné me font un bien énorme tant Madame Anne Sophie sait corriger avec une force dans ses mains qui me procure un bien fou.De plus Madame Anne Sophie est une femme d'une grande beauté et cela rajoute à l'envie de revenir se faire corriger énergiquement et sévèrement par Madame Anne Sophie.J'attend avec grande hâte la prochaine visite chez Madame Anne Sophie pour recevoir ma correction méritée.Merci pour tout Madame Anne Sophie
RépondreSupprimerDepuis que je connais Madame Anne Sophie ma seule envie est de revenir chaque semaine pour recevoir une bonne correction et avoir les fesses bien rouges et je fais exprès d'être désobéissant pour recevoir encore de bonnes grosses fessées administrées par Madame Anne Sophie,la reine des fesseuses et j'ai vraiment trop hâte de revenir me faire corriger car je suis un vilain garnement qui a besoin de retrouver le droit chemin en étant quelqu'un de bien au lieu de faire les bêtises que je fais et les fessées de Madame Anne Sophie me font retrouver le droit chemin. Merci encore Madame Anne Sophie
SupprimerQui d´entre vous pourrait m´en dire un peu plus sur cet nouvel fesseuse prénommée Madame Elena de Paris, débarquant de nulle part, que personne d´entre nous n´en a jamais entendu parler et ne connait ni d´Adam, ni d´Eve.
RépondreSupprimerBonjour ce matin j ai pris une fessée par madame Anne Sophie c est une super fesseuse
RépondreSupprimerBonjour cher inconnu,
SupprimerVous nous devez un récit. Je le publierai bien volontiers. Envoyez-moi-le par courriel.
Au plaisir de vous lire,
JLG.