A 18h quand le carillon
du salon retentit, Maman s'approche de moi, elle me retire mon slip de la tête.
Elle m'essuie mon visage encore humide avec.
- Allez c'est l'heure de la douche Paul
- Oui Maman
Je me dis que je vais
avoir enfin un moment de tranquillité mais c'est peine perdue. Elle me fait
passer devant et s'arrête devant les WC.
- Allez, tu fais tes
besoins assis ça t'évitera d'en mettre partout et tu me dis quand c'est
terminé.
Le fait de m'assoir sur
le WC réveilla la douleur de mes fesses. Maman reste devant moi. Elle a pris un
morceau de papier de toilette en main. J'ai du mal à uriner devant elle, mais
devant son impatience je finis par faire. Tout en me laissant assis elle me
décalotte le sexe et m'essuie le gland. Elle me remet tout en place et
m'ordonne d'aller dans ma chambre. Arrivé dans la chambre, Maman me déboutonne
ma chemise, me la retire et la pose sur le dos de la chaise. Avant elle y a
déposé mon short et mon slip. Elle m'ordonne de retirer mes chaussons et
d'aller dans la salle de bain.
- Allez montes dans la
baignoire et mets-toi à genoux. Garde bien les mains sur le bord la baignoire.
Intérieurement j'en rage,
elle va me laver, comme si je ne pouvais pas le faire tout seul. Mais je ne
peux pas faire autrement. Je vois l'état de mes fesses dans la grande glace qui
entoure la baignoire. Elles sont rouge et même violette à certain endroit. En
prime on voit aussi les traces de lanières.
- Oui Maman
Elle règle l'eau puis me
mouille rapidement puis elle me commence par me laver les cheveux. Je tente de
garder ma tête droite car elle me les lave avec vigueur.
- C'est beaucoup trop
long tout ça. Il va falloir que je te prenne un rendez-vous chez la coiffeuse.
Du shampoing me coule
dans les yeux. Je tente d’essuyer mes yeux mais d’une claque sur la main Maman
me rappelle à l'ordre et m'ordonne de laisser mes mains ou elles sont. Mes yeux
me pique et brûle mais elle frotte encore un petit moment. Puis elle me rince,
Je suis enfin soulagé et je peux rouvrir les yeux. Elle mouille le gant. Elle
l'enduit de savon liquide et commence à me laver. D'abord le visage. Le
soulagement est de courte durée. Elle ne prend pas la peine d'éviter mes yeux.
Elle frotte derrière les oreilles, descend dans le cou, mon torse puis dos et
mes bras. Elle insiste bien partout surtout sous les aisselles.
- Allez debout. Je me
lève. Je la laisse me laver comme un petit garçon docile. Elle me frotte les
cuisses et les jambes. Je sens la douleur sur mes cuisses au passage du gant.
Ensuite elle me savonne le sexe. Elle me décalotte et insiste avec le gant. Je
dois ensuite m'assoir pour qu'elle me lave les pieds et ensuite debout.
Penches toi en avant que
je lave bien tes fesses. Elle n'hésite pas rentrer le gant dans ma raie. Il va
falloir s'occuper de tous ces poils ajouta-t-elle. Puis elle me rince. Ensuite
elle prend la serviette, m'essuie et me fait sortir.
Elle prend une brosse à
cheveux et me coiffe tel un 1er de la classe avec la raie sur le côté droit.
Les cheveux bien plaqués à la mode des années 1950. Je me trouve horrible et
allez hop retour dans la chambre.
Maman prend dans le haut
de l'armoire un pyjama "d'été" elle m'enfile d'abord la veste qu'elle
me boutonne puis m'enfile le short. Elle le remonte sur la veste.
- Met tes chaussons et va
mettre tes affaires dans la buanderie Paul. Ensuite tu me rejoindras dans la
cuisine
Après un "Oui Maman"
j'obéis rapidement de peur de prendre une autre punition. Arrivé dans la
cuisine, après avoir obtempéré docilement, Maman termine la préparation du
dîner.
-Tu as déposé tes affaires salles dans le
panier ?
- Oui Maman
- Parfait. Tu vas aller
sur la grande table dans le salon. Je t'ai préparé un stylo et un cahier. Sur
le cahier j'ai inscrit une phrase que tu vas copier 100 fois. Tu la copie sans
fautes et avec une belle écriture sinon je serai au regret de devoir encore te
punir.
- Bien Maman.
Je serre les dents. Au
fond de moi je suis énervé de ne pas en avoir terminé avec cette histoire. Mais
Madame Tourelle m'avais prévenu qu'elle serait très dure avec moi. Je ne suis
donc pas surpris et je me disciplinais.
"Je dois prendre
soin de mes vêtement et avoir une hygiène et allure impeccable"
La phrase n'est pas trop
longue par rapport aux exemples qu'elle avait pu me donner dans nos
conversations. D'un côté je suis donc un peu soulagé. Je sais qu'il va être
difficile d'avoir une écriture soignée tant j'écris d'habitude comme un cochon.
Je m'installe donc devant
le cahier. La station assise m'est difficile après les châtiments de
l'après-midi. Sur la 1ere page Madame Tourelle à inscrit Cahier de punition de
Paul Tourelle. Je m'efforce de m’appliquer. Seulement cela prend du temps. J'ai
copié à peine six fois la phrase quand Maman m'appelle pour le dîner et
m'invite à aller me laver les mains avant.
Je me rends donc dans les
toilettes du couloir d'entrée. Je me lave les mains rapidement. Je trouve ridicule de relaver les mains alors
que je sors d'une douche ou j'ai été plus que parfaitement mes mains y compris.
Maman a mis la table sur la terrasse de devant. Je la rejoins donc là-bas.
Cette terrasse donne sur la rue. J'ai honte d'être ainsi exposé à la vue des
passants. A sept heures du soir, en plein été, lavé et en pyjama comme un petit
garçon.
- Montres moi tes mains
je te prie.
Maman inspecte mes mains
et semble satisfaite et elle me dit de m'assoir et m'attache ma serviette de
table autour du cou. Je tente malgré moi de l'empêcher en repoussant la
serviette.
- Veux-tu une nouvelle
fessée ? N'en a tu pas eu assez ? Je ne tiens pas à ce que tu tache ton pyjama
tout propre.
- Non Maman. Je vous
demande pardon. Pitié. J'ai presque déjà les larmes aux yeux au déclarant cela
- Je te préviens me dit
elle ne t'avise jamais à recommencer cela
- Oui Maman, pardon Maman
Je suis soulagé d'avoir
évité une nouvelle déculottée. Serviette nouée autour du cou, je suis assis
selon les règles en vigueur. Je me tiens droit. Mon dos n'offense pas la chaise
et mes mais reste bien posé sur la table. Maman me sert une assiette de soupe
de légumes. J'ai une petite appréhension car je suis très difficile en
nourriture. Je ne mange jamais pas de fruits et légumes et certain me font même
avoir des hauts de cœur.
Je mange ma soupe sans
difficulté. Une salade de riz, thon et tomates est ensuite servie. Je mange là
encore sans problème. Mais sachant que je n'aime pas les tomates je trie. Maman
le remarque très vite
- Ne trie pas et mange
toute assiette Paul. D'abord cela ne se fait pas et ensuite pour être en bonne
santé il faut manger de tout.
Je tente d'avaler un
morceau de tomates et avec bien du mal je parviens à l'avaler. Je parviens à
terminer mon assiette et j'évite ainsi d'être à nouveau puni.
Pendant le repas, j'ai le
droit à une leçon de morale. Madame Tourelle m'explique pourquoi elle est
exigeante et sévère. Elle affirme que c'est la seule manière d'éduquer un
enfant et je sais que c'est ce que je cherche. Je la remercie donc d'agir ainsi
avec moi.
Alors que nous terminons
la salade de riz, un homme se présente devant la maison.
- Bonsoir Madame
Tourelle. Désolé de vous déranger à cette heure un dimanche. Je vous importune
pendant votre dîner mais je suis débordé en ce moment et je n'ai pas pu passer
avant.
- Je vous en prie
Monsieur Lafrogne. Venez, je vous ouvre.
Pendant qu'elle me part
ouvrir je me lève et je retire ma serviette je pense que c'est une marque de
politesse.
Monsieur Lafrogne précède
Maman.
- Bonsoir Monsieur
- Bonsoir jeune homme me
répond-il en me tendant la main
Maman arrive derrière et
me mets une claque sur la cuisse
- Qui t'as permis de
retirer ta serviette ? Venir saluer un visiteur est tout à fait normal mais
cela ne doit pas t'empêcher d'obéir. Retournes m'attendre à table et sans
bouger.
Tête basse je retourne
m'assoir et renoue ma serviette autour du cou.
- Je vois que votre fils
adoptif est arrivé. Ils ne sont pas faciles à cet âge
- Oh oui Monsieur
Lafrogne, je suis obligée de reprendre son éducation à la base.
- Il a un peu près l’âge
de mon dernier. Vous avez raison, à cet âge il ne faut rien lâcher.
Ils partent ensuite sur
l'autre terrasse. Je n'entends plus ce qu'i se disent. Je reste assis à place.
Je sens le rouge m'envahir le visage après l'humiliation que je viens de subir.
Quelques instants après ils sont de retour dans la cuisine.
- Je viendrai donc demain
en début d'après-midi vous faire cela Madame Tourelle.
-Merci Monsieur Lafrogne
- Oh mais dites-moi,
c'est un solide martinet que vous avez là.
Madame Tourelle et Monsieur
Lafrogne parle maintenant éducation. D'où je suis je ne peux pas les voir pas
j'entends très bien la conversation. J'apprends ainsi que Monsieur Lafrogne à 2
enfants. Un garçon de 15ans et une fille de 17ans et qu'il leurs arrivent
d'être aussi corrigé. Madame Tourelle donne même l'adresse courriel du
fabricant de martinet à ce monsieur. Il prend ensuite congé et je le salue
respectueusement depuis ma place à table.
Après l'avoir
raccompagné, Maman reviens et me sert un yaourt nature pour mon dessert. Elle
me réajuste ma serviette et quand nous avons terminé elle quitte la table et
reviens avec un tablier à fleur dans la main.
- Allez, lèves toi. Elle
me passe le tablier par la tête me le noue autour de la taille.
Tu vas débarrasser la
table, la laver, passer un coup de balai sur la terrasse et faire la vaisselle.
Allez, applique-toi. Elle me claque doucement les fesses pour m'encourager à
lui obéir.
Une fois ma corvée
terminée. Maman est satisfaite. Elle me retire le tablier qu'elle va ranger dans
la cuisine et m'invite à continuer ma punition écrite. Un peu fatigué par cette
dure journée, j'ai du mal à m'appliquer. Je souhaite me débarrasser rapidement
de cette tâche que je trouve pénible. En plus par manque d'habitude je commence
à avoir mal le poignet.
L'horloge située en face
de moi indique 20 heures vingt-cinq quand Maman décide de venir vérifier mon
travail. Elle me dit de me lever et prend ma place. J'ai bien avancé puisque
j'en suis à la moitié. Cependant mon écriture naturelle étant vite réapparue,
le travail ne la satisfait pas.
- Ceci est un torchon. Tu
es entrain de bâcler ta punition. C'est inadmissible. Elle pivote sur la chaise
et me baisse ma culotte de pyjama. J'ai le réflexe de monter mes mains sur la
tête. Elle me courbe et me couche sur ses genoux. Une grêle de claque de claque
me tombe sur les fesses et les cuisses. Cela ne dure pas longtemps. Elle me
relâche, je tombe à genoux.
- Tu ne bouges pas m'ordonne-t-elle.
Je reste à genoux mains sur la tête. Très vite elle revient la règle à la main.
Elle reprend sa place.
- Relève-toi. Elle m'aide
à me replacer correctement.
- J'exige que tu t'appliques
toujours dans ton travail et tes punitions me dit-elle en appuyant chaque syllabe
qu'elle ponctue d'un coup de règles sur les fesses ou les cuisses. Encore
quelques coups et elle me relève me remonte la culotte de pyjama et m'entraine
à la suivre en me tenant le bras. Je pleure.
Arrivé dans la cuisine,
elle me tend un kleenex et me dicte de me moucher. Puis direction le couloir de
la partie nuit. Passage aux toilettes. Elle me baisse le short, me met assis et
me commande de faire mes besoins. Comme tout à l'heure elle m'essuie le sexe en
le décalottant. Je me relève, elle me remonte le pyjama. Passage dans la salle
de bain.
- Mets-toi à genoux les
mains dans le dos. Elle me frotte le visage avec un gant d'eau fraiche, puis
elle prend une brosse à dents et du dentifrice.
- Ouvres la bouche. Maman
me brosse les dents comme on le fait à un petit. Elle me fait relever pour
cracher dans le lavabo puis renouvelle l'opération. Puis de nouveau debout.
Elle me tend un gobelet et me dit de me rincer la bouche puis elle m'essuie le
visage.
- Allez au lit ! Nous
nous dirigeons vers ma chambre. Elle me ferme mes volets et me commande de me
mettre au lit.
- Maman puis je avoir un
oreiller s'il vous plait
- Il est en hors de
question. Ce n'est pas bon pour tes cervicales me répond elle
Je vais devoir me passer
de ce confort. Maman me borde parfaitement puis dépose un baiser sur mon front
- Bonne nuit mon garçon.
J'espère que tu vas faire des efforts pour être moins puni à l'avenir.
- Oui Maman. Bonne nuit
Elle quitte la pièce,
elle laisse ma porte entre ouverte.
J'ai beaucoup de mal à
trouver le sommeil. Non seulement car il est tôt mais aussi car je revis ma
journée. Je trouve madame Tourelle très sévère.
Ca je le savais. Paradoxalement malgré la douleur qui parcourt encore mon postérieur
et mes cuisses, je suis heureux. Je suis bien. Les draps sentent un parfum
agréable. Je finis par m'endormir
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