mercredi 8 novembre 2017

Une histoire vraie - chapitre 3

A 18h quand le carillon du salon retentit, Maman s'approche de moi, elle me retire mon slip de la tête. Elle m'essuie mon visage encore humide avec.
 - Allez c'est l'heure de la douche Paul
-  Oui Maman
Je me dis que je vais avoir enfin un moment de tranquillité mais c'est peine perdue. Elle me fait passer devant et s'arrête devant les WC.

- Allez, tu fais tes besoins assis ça t'évitera d'en mettre partout et tu me dis quand c'est terminé.
Le fait de m'assoir sur le WC réveilla la douleur de mes fesses. Maman reste devant moi. Elle a pris un morceau de papier de toilette en main. J'ai du mal à uriner devant elle, mais devant son impatience je finis par faire. Tout en me laissant assis elle me décalotte le sexe et m'essuie le gland. Elle me remet tout en place et m'ordonne d'aller dans ma chambre. Arrivé dans la chambre, Maman me déboutonne ma chemise, me la retire et la pose sur le dos de la chaise. Avant elle y a déposé mon short et mon slip. Elle m'ordonne de retirer mes chaussons et d'aller dans la salle de bain.
- Allez montes dans la baignoire et mets-toi à genoux. Garde bien les mains sur le bord la baignoire.
Intérieurement j'en rage, elle va me laver, comme si je ne pouvais pas le faire tout seul. Mais je ne peux pas faire autrement. Je vois l'état de mes fesses dans la grande glace qui entoure la baignoire. Elles sont rouge et même violette à certain endroit. En prime on voit aussi les traces de lanières.
- Oui Maman
Elle règle l'eau puis me mouille rapidement puis elle me commence par me laver les cheveux. Je tente de garder ma tête droite car elle me les lave avec vigueur.
- C'est beaucoup trop long tout ça. Il va falloir que je te prenne un rendez-vous chez la coiffeuse.
Du shampoing me coule dans les yeux. Je tente d’essuyer mes yeux mais d’une claque sur la main Maman me rappelle à l'ordre et m'ordonne de laisser mes mains ou elles sont. Mes yeux me pique et brûle mais elle frotte encore un petit moment. Puis elle me rince, Je suis enfin soulagé et je peux rouvrir les yeux. Elle mouille le gant. Elle l'enduit de savon liquide et commence à me laver. D'abord le visage. Le soulagement est de courte durée. Elle ne prend pas la peine d'éviter mes yeux. Elle frotte derrière les oreilles, descend dans le cou, mon torse puis dos et mes bras. Elle insiste bien partout surtout sous les aisselles.
- Allez debout. Je me lève. Je la laisse me laver comme un petit garçon docile. Elle me frotte les cuisses et les jambes. Je sens la douleur sur mes cuisses au passage du gant. Ensuite elle me savonne le sexe. Elle me décalotte et insiste avec le gant. Je dois ensuite m'assoir pour qu'elle me lave les pieds et ensuite debout.
Penches toi en avant que je lave bien tes fesses. Elle n'hésite pas rentrer le gant dans ma raie. Il va falloir s'occuper de tous ces poils ajouta-t-elle. Puis elle me rince. Ensuite elle prend la serviette, m'essuie et me fait sortir.
Elle prend une brosse à cheveux et me coiffe tel un 1er de la classe avec la raie sur le côté droit. Les cheveux bien plaqués à la mode des années 1950. Je me trouve horrible et allez hop retour dans la chambre.
Maman prend dans le haut de l'armoire un pyjama "d'été" elle m'enfile d'abord la veste qu'elle me boutonne puis m'enfile le short. Elle le remonte sur la veste.
- Met tes chaussons et va mettre tes affaires dans la buanderie Paul. Ensuite tu me rejoindras dans la cuisine
Après un "Oui Maman" j'obéis rapidement de peur de prendre une autre punition. Arrivé dans la cuisine, après avoir obtempéré docilement, Maman termine la préparation du dîner.
 -Tu as déposé tes affaires salles dans le panier ?
- Oui Maman
- Parfait. Tu vas aller sur la grande table dans le salon. Je t'ai préparé un stylo et un cahier. Sur le cahier j'ai inscrit une phrase que tu vas copier 100 fois. Tu la copie sans fautes et avec une belle écriture sinon je serai au regret de devoir encore te punir.
- Bien Maman.
Je serre les dents. Au fond de moi je suis énervé de ne pas en avoir terminé avec cette histoire. Mais Madame Tourelle m'avais prévenu qu'elle serait très dure avec moi. Je ne suis donc pas surpris et je me disciplinais.
"Je dois prendre soin de mes vêtement et avoir une hygiène et allure impeccable"
La phrase n'est pas trop longue par rapport aux exemples qu'elle avait pu me donner dans nos conversations. D'un côté je suis donc un peu soulagé. Je sais qu'il va être difficile d'avoir une écriture soignée tant j'écris d'habitude comme un cochon.
Je m'installe donc devant le cahier. La station assise m'est difficile après les châtiments de l'après-midi. Sur la 1ere page Madame Tourelle à inscrit Cahier de punition de Paul Tourelle. Je m'efforce de m’appliquer. Seulement cela prend du temps. J'ai copié à peine six fois la phrase quand Maman m'appelle pour le dîner et m'invite à aller me laver les mains avant.
Je me rends donc dans les toilettes du couloir d'entrée. Je me lave les mains rapidement.  Je trouve ridicule de relaver les mains alors que je sors d'une douche ou j'ai été plus que parfaitement mes mains y compris. Maman a mis la table sur la terrasse de devant. Je la rejoins donc là-bas. Cette terrasse donne sur la rue. J'ai honte d'être ainsi exposé à la vue des passants. A sept heures du soir, en plein été, lavé et en pyjama comme un petit garçon.
- Montres moi tes mains je te prie.
Maman inspecte mes mains et semble satisfaite et elle me dit de m'assoir et m'attache ma serviette de table autour du cou. Je tente malgré moi de l'empêcher en repoussant la serviette.
- Veux-tu une nouvelle fessée ? N'en a tu pas eu assez ? Je ne tiens pas à ce que tu tache ton pyjama tout propre.
- Non Maman. Je vous demande pardon. Pitié. J'ai presque déjà les larmes aux yeux au déclarant cela
- Je te préviens me dit elle ne t'avise jamais à recommencer cela
- Oui Maman, pardon Maman
Je suis soulagé d'avoir évité une nouvelle déculottée. Serviette nouée autour du cou, je suis assis selon les règles en vigueur. Je me tiens droit. Mon dos n'offense pas la chaise et mes mais reste bien posé sur la table. Maman me sert une assiette de soupe de légumes. J'ai une petite appréhension car je suis très difficile en nourriture. Je ne mange jamais pas de fruits et légumes et certain me font même avoir des hauts de cœur.
Je mange ma soupe sans difficulté. Une salade de riz, thon et tomates est ensuite servie. Je mange là encore sans problème. Mais sachant que je n'aime pas les tomates je trie. Maman le remarque très vite
- Ne trie pas et mange toute assiette Paul. D'abord cela ne se fait pas et ensuite pour être en bonne santé il faut manger de tout.
Je tente d'avaler un morceau de tomates et avec bien du mal je parviens à l'avaler. Je parviens à terminer mon assiette et j'évite ainsi d'être à nouveau puni.
Pendant le repas, j'ai le droit à une leçon de morale. Madame Tourelle m'explique pourquoi elle est exigeante et sévère. Elle affirme que c'est la seule manière d'éduquer un enfant et je sais que c'est ce que je cherche. Je la remercie donc d'agir ainsi avec moi.
Alors que nous terminons la salade de riz, un homme se présente devant la maison.
- Bonsoir Madame Tourelle. Désolé de vous déranger à cette heure un dimanche. Je vous importune pendant votre dîner mais je suis débordé en ce moment et je n'ai pas pu passer avant.
- Je vous en prie Monsieur Lafrogne. Venez, je vous ouvre.
Pendant qu'elle me part ouvrir je me lève et je retire ma serviette je pense que c'est une marque de politesse.
Monsieur Lafrogne précède Maman.
- Bonsoir Monsieur
- Bonsoir jeune homme me répond-il en me tendant la main
Maman arrive derrière et me mets une claque sur la cuisse
- Qui t'as permis de retirer ta serviette ? Venir saluer un visiteur est tout à fait normal mais cela ne doit pas t'empêcher d'obéir. Retournes m'attendre à table et sans bouger.
Tête basse je retourne m'assoir et renoue ma serviette autour du cou.
- Je vois que votre fils adoptif est arrivé. Ils ne sont pas faciles à cet âge
- Oh oui Monsieur Lafrogne, je suis obligée de reprendre son éducation à la base.
- Il a un peu près l’âge de mon dernier. Vous avez raison, à cet âge il ne faut rien lâcher.
Ils partent ensuite sur l'autre terrasse. Je n'entends plus ce qu'i se disent. Je reste assis à place. Je sens le rouge m'envahir le visage après l'humiliation que je viens de subir. Quelques instants après ils sont de retour dans la cuisine.
- Je viendrai donc demain en début d'après-midi vous faire cela Madame Tourelle.
-Merci Monsieur Lafrogne
- Oh mais dites-moi, c'est un solide martinet que vous avez là.
Madame Tourelle et Monsieur Lafrogne parle maintenant éducation. D'où je suis je ne peux pas les voir pas j'entends très bien la conversation. J'apprends ainsi que Monsieur Lafrogne à 2 enfants. Un garçon de 15ans et une fille de 17ans et qu'il leurs arrivent d'être aussi corrigé. Madame Tourelle donne même l'adresse courriel du fabricant de martinet à ce monsieur. Il prend ensuite congé et je le salue respectueusement depuis ma place à table.
Après l'avoir raccompagné, Maman reviens et me sert un yaourt nature pour mon dessert. Elle me réajuste ma serviette et quand nous avons terminé elle quitte la table et reviens avec un tablier à fleur dans la main.
- Allez, lèves toi. Elle me passe le tablier par la tête me le noue autour de la taille.
Tu vas débarrasser la table, la laver, passer un coup de balai sur la terrasse et faire la vaisselle. Allez, applique-toi. Elle me claque doucement les fesses pour m'encourager à lui obéir.
Une fois ma corvée terminée. Maman est satisfaite. Elle me retire le tablier qu'elle va ranger dans la cuisine et m'invite à continuer ma punition écrite. Un peu fatigué par cette dure journée, j'ai du mal à m'appliquer. Je souhaite me débarrasser rapidement de cette tâche que je trouve pénible. En plus par manque d'habitude je commence à avoir mal le poignet.
L'horloge située en face de moi indique 20 heures vingt-cinq quand Maman décide de venir vérifier mon travail. Elle me dit de me lever et prend ma place. J'ai bien avancé puisque j'en suis à la moitié. Cependant mon écriture naturelle étant vite réapparue, le travail ne la satisfait pas.
- Ceci est un torchon. Tu es entrain de bâcler ta punition. C'est inadmissible. Elle pivote sur la chaise et me baisse ma culotte de pyjama. J'ai le réflexe de monter mes mains sur la tête. Elle me courbe et me couche sur ses genoux. Une grêle de claque de claque me tombe sur les fesses et les cuisses. Cela ne dure pas longtemps. Elle me relâche, je tombe à genoux.
- Tu ne bouges pas m'ordonne-t-elle. Je reste à genoux mains sur la tête. Très vite elle revient la règle à la main. Elle reprend sa place.
- Relève-toi. Elle m'aide à me replacer correctement.
- J'exige que tu t'appliques toujours dans ton travail et tes punitions me dit-elle en appuyant chaque syllabe qu'elle ponctue d'un coup de règles sur les fesses ou les cuisses. Encore quelques coups et elle me relève me remonte la culotte de pyjama et m'entraine à la suivre en me tenant le bras. Je pleure.
Arrivé dans la cuisine, elle me tend un kleenex et me dicte de me moucher. Puis direction le couloir de la partie nuit. Passage aux toilettes. Elle me baisse le short, me met assis et me commande de faire mes besoins. Comme tout à l'heure elle m'essuie le sexe en le décalottant. Je me relève, elle me remonte le pyjama. Passage dans la salle de bain.
- Mets-toi à genoux les mains dans le dos. Elle me frotte le visage avec un gant d'eau fraiche, puis elle prend une brosse à dents et du dentifrice.
- Ouvres la bouche. Maman me brosse les dents comme on le fait à un petit. Elle me fait relever pour cracher dans le lavabo puis renouvelle l'opération. Puis de nouveau debout. Elle me tend un gobelet et me dit de me rincer la bouche puis elle m'essuie le visage.
- Allez au lit ! Nous nous dirigeons vers ma chambre. Elle me ferme mes volets et me commande de me mettre au lit.
- Maman puis je avoir un oreiller s'il vous plait
- Il est en hors de question. Ce n'est pas bon pour tes cervicales me répond elle
Je vais devoir me passer de ce confort. Maman me borde parfaitement puis dépose un baiser sur mon front
- Bonne nuit mon garçon. J'espère que tu vas faire des efforts pour être moins puni à l'avenir.
- Oui Maman. Bonne nuit
Elle quitte la pièce, elle laisse ma porte entre ouverte.

J'ai beaucoup de mal à trouver le sommeil. Non seulement car il est tôt mais aussi car je revis ma journée. Je trouve madame Tourelle  très sévère. Ca je le savais. Paradoxalement malgré la douleur qui parcourt encore mon postérieur et mes cuisses, je suis heureux. Je suis bien. Les draps sentent un parfum agréable. Je finis par m'endormir

Pour prendre connaissance de ce qui s'est passé auparavant

Le  premier épisode : chapitre 1 
l’épisode précédent : chapitre 2

Pour la suite ... c'est le chapitre 4.

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