"Tu aurais dû savoir que je tiens toujours mes promesses. Je te l'ai déjà dit plusieurs fois. Il faudrait vraiment des circonstances exceptionnelles pour que je revienne sur ce que j'ai promis, un cas de force majeure.
Et comme tu n'es pas attentif à ce que te disent les personnes de ton entourage, et en particulier quand tu reçois un avertissement, tu considères ces alertes comme quantité négligeable. Pourtant, je t'avais prévenu !
Ce n'est pourtant pas la première fois que je te garde pendant que ta femme, ma nièce, fais ses courses ou va chez le coiffeur. Tu ne découvres pas qu'elle nous a donné, à toutes les personnes à qui elle te confie, le droit de te punir quand tu n'es pas sage. Tu sais donc qu'aucune d'entre nous n'hésite à te déculotter pour te fesser dès que tu l'as mérité.
Je ne me rappelle pas une seule fois, quand tu es venu chez moi, où je n'ai pas été obligée de sévir. Tu pousses toujours tes désobéissances jusqu'à ce que tu aies reçu une bonne fessée. Après, ça va mieux. Tu es calmé pour un bon moment.
Il a encore fallu aller jusque-là cet après-midi. J'ai bien compris que tu ne souhaitais pas venir faire cette promenade au parc. Mais j'ai estimé que tu avais passé assez de temps à jouer sur ton ordinateur. Tu n'avais fait que cela depuis que ta femme t'avais laissé chez moi. Tu avais besoin de prendre l'air.
En sortant de la maison, je t'ai prévenu que si tu continuais à bouder ce serait la fessée. Je considère que cela faisait un premier avertissement. Quand, en entrant dans le parc, tu as donné un coup de pied dans un cailloux qui a frôlé une poussette, je t'ai dit qu'à la prochaine remarque que je devais te faire, tu avais une fessée. Comme tu étais en colère, tu n'as pas dû entendre ou me prendre au sérieux.
Tu as été exécrable pendant toute la promenade. Incapable de rester sagement à côté de moi, alors que c'est ce que je t'ai ordonné. Toujours dix pas devant ou dix pas derrière. Trois fois, j'ai dû te rappeler à l'ordre. Cela n'a rien changé. J'ai donc résolu de te tenir par la main. Je suis d'accord que c'est plus souvent une situation qu'on impose à un petit garçon désobéissant qu'à un adulte responsable, mais il n'y avait plus d'autre solution. Quand tu as refusé, j'ai décidé de te punir sur le champ : une bonne fessée déculottée. C'est maintenant que tu es traité comme un vilain petit enfant.
Il a encore fallu aller jusque-là cet après-midi. J'ai bien compris que tu ne souhaitais pas venir faire cette promenade au parc. Mais j'ai estimé que tu avais passé assez de temps à jouer sur ton ordinateur. Tu n'avais fait que cela depuis que ta femme t'avais laissé chez moi. Tu avais besoin de prendre l'air.
En sortant de la maison, je t'ai prévenu que si tu continuais à bouder ce serait la fessée. Je considère que cela faisait un premier avertissement. Quand, en entrant dans le parc, tu as donné un coup de pied dans un cailloux qui a frôlé une poussette, je t'ai dit qu'à la prochaine remarque que je devais te faire, tu avais une fessée. Comme tu étais en colère, tu n'as pas dû entendre ou me prendre au sérieux.
Tu as été exécrable pendant toute la promenade. Incapable de rester sagement à côté de moi, alors que c'est ce que je t'ai ordonné. Toujours dix pas devant ou dix pas derrière. Trois fois, j'ai dû te rappeler à l'ordre. Cela n'a rien changé. J'ai donc résolu de te tenir par la main. Je suis d'accord que c'est plus souvent une situation qu'on impose à un petit garçon désobéissant qu'à un adulte responsable, mais il n'y avait plus d'autre solution. Quand tu as refusé, j'ai décidé de te punir sur le champ : une bonne fessée déculottée. C'est maintenant que tu es traité comme un vilain petit enfant.
Jusqu'à aujourd'hui, tu as eu de la chance. Je ne t'ai donné la fessée qu'à l'intérieur de ma maison, sauf une fois dans le jardin, mais il n'y avait personne pour en être témoin. Je t'avais promis que cela ne durerait pas si tu ne te comportais pas mieux en public.
Si tu pouvais voir ! Il y a deux personnes qui prennent des photos. tu vas te retrouver sur internet ! Plus exactement, ce sont tes fesses qui vont se retrouver sur internet. J'espère que quand j'aurai fini, l'attroupement aura grandi. Je compte bien que cette fessée en public te mettra du plomb dans la tête. Je parie que tu n'auras pas envie de recommencer de sitôt.
Evidemment, c'est surprenant, qu'à quarante ans passés, il soit toujours nécessaire de te baisser la culotte et de te rougir les fesses pour que tu te comportes correctement. Ma nièce a eu raison de passer à la fessée. Rien de ce qu'elle avait essayé auparavant n'avait fonctionné.
Ce n'est pas que tu fasses moins de bêtises, un peu tout de même, mais tu en es puni systématiquement. Nous sommes alors à l'abri d'une récidive pour quelques temps. Tes quelques tentatives pour recommencer aussitôt la fessée finie, se sont terminées avec des marques de la ceinture d'Antoine, ton majordome, sur tes fesses. Apparemment, c'est assez dissuasif. Il faut dire que la petite Anna se débrouille pas mal, elle aussi, avec le martinet.
Tes fesses ne sont pas encore assez rouges, je crois qu'il faut que je poursuive encore un peu cette fessée !"
Tes fesses ne sont pas encore assez rouges, je crois qu'il faut que je poursuive encore un peu cette fessée !"
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