"Que Monsieur m'excuse, mais ce sont les ordres de Madame. Elle m'a fermement recommandé d'être très attentif aux faits et gestes de Monsieur. Elle m'a, comme qui dirait, confié une responsabilité.
Je ne voudrais pas décevoir Madame en lui donnant l'impression que j'ai été négligeant auprès de Monsieur. Vous comprenez bien, Monsieur, qu'il s'agit de conscience professionnelle.
Madame a souhaité que ce soit Madame Capelli et la jeune Anna qui soient principalement chargées de la discipline de Monsieur. Ce sont elles qui gardent Monsieur et qui s'occupent de toutes les petites chose quotidiennes quand Madame doit s'absenter. Elles ont donc reçu pleine et entière responsabilité de décider quand il faut déculotter Monsieur et le fesser.
Madame m'a demandé de veiller à ce que Monsieur se soumette aux corrections que la cuisinière de Monsieur et sa femme de chambre auraient décidé de lui administrer. Madame n'attendait pas à ce que Monsieur laissât, de bonne grâce, ces deux dames lui baisser la culotte pour châtier ses désobéissances, mais elle a exigé que Monsieur l'accepte sans discuter et sans interférer avec l'administration de la punition.
Il me semble que ce soir, Madame Capelli ait eu à se plaindre du comportement de Monsieur alors qu'elle le fessait. Elle m'a rapporté que Monsieur s'est débattu au-delà de ce qui est raisonnable. Monsieur a persévéré malgré l'ordre formel de cesser ses gesticulations.
Comme Madame en a donné l'ordre, je me vois donc dans l'obligation de faire goûter à Monsieur la caresse de la ceinture après avoir déculotté Monsieur, comme si Monsieur était mon propre garçon.
Madame m'a précisé que, dans ces situations, je devais laisser des marques de l'instrument que j'utilise sur les fesses de Monsieur, de façon à ce qu'elles soient visibles pendant plusieurs jours. Monsieur devra s'asseoir avec précautions pendant quelques temps. Madame Capelli et Anna doivent pouvoir constater que Monsieur a été justement puni.
Si Monsieur me le permet, je trouve qu'elles ont assuré pleinement leur rôle depuis que Madame a laissé Monsieur sous leur tutelle. Monsieur a été souvent fessé, bien plus régulièrement que quand c'est Madame qui s'en charge, mais il faut dire que Monsieur a été également bien plus désobéissant. Mais je n'ai pas le souvenir que Monsieur ai été puni alors qu'il ne l'avait pas mérité.
J'ai plutôt l'impression que j'aurais dû sévir une ou deux fois de plus que ce que j'ai fait. Que Monsieur ne soit pas inquiet, j'aurai d'autres occasions de le déculotter et de l'allonger à plat-ventre sur mes genoux pour le corriger. Dans cette position infantile, j'espère que Monsieur est convaincu de recevoir une fessée paternelle. Madame prétend que si Monsieur est traité comme un petit garçon, il va devenir plus obéissant. Au vu de ces quelques jours, j'ai tendance à penser que Madame à raison.
J'ai cru comprendre que, si la mère de Monsieur était sévère et qu'elle n'hésitait pas à le fesser, son père a été plutôt laxiste. Monsieur peut compter sur moi pour rattraper le temps perdu. Madame m'a demandé d'être le père de substitution de Monsieur, j'ai l'intention de jouer ce rôle le plus scrupuleusement possible.
Je n'ai que dix ans de plus que Monsieur, mais cela suffira bien à ce que j'assume l'autorité que le père de Monsieur n'a pas pas exercée.
Je n'ai que dix ans de plus que Monsieur, mais cela suffira bien à ce que j'assume l'autorité que le père de Monsieur n'a pas pas exercée.
Si ce n'est pas trop abuser, après la fessée, Monsieur va aller au coin, dans son propre bureau. Il y restera sagement, sans bouger jusqu'à ce que j'autorise Monsieur à en sortir."
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