Une leçon de fessée
Pendant que
Marie punissait son premier client de la journée, le jeune Jérôme, dans le
premier bureau, une autre femme s’était présentée à l’Institut F. Une assez
jeune et jolie femme accompagné d’un homme, plutôt élégant, et l’air
parfaitement détendu. Manifestement un
couple du quartier venu non pas par simple curiosité mais dans un but bien
précis. Ils pénétrèrent tous les deux dans la boutique d’un air assuré. Le
monsieur ne semblait pas du tout le genre de personne qui s’apprête à être
puni. Il était là manifestement de son plein gré, peut-être même à sa demande.
La jeune
femme s’installa sans attendre dans la salle d’attente et exposa très
clairement et d’une voix déterminée à Caroline la situation :
« Nous sommes un couple de jeunes mariés et
nous avons du mal à gérer nos disputes Or malheureusement elles sont de plus en
plus fréquentes et parfois trop violentes. Je suis notamment très ponctuelle et
Paul est presque toujours en retard. C’en est devenu maladif. Je suis très organisée et Paul vit sans montre.
Cela crée des tensions parfois beaucoup trop
vives, des bouderies qui durent plusieurs jours et cela pénalise fortement
notre vie de couple à tel point que je crains pour notre avenir commun. Qu’il
soit clair que ma démarche, ou plutôt notre démarche vise d’abord à protéger
l’existence même de notre couple.
Ainsi, nous avons pensé que si je fessais
Paul à chaque fois qu’il était en retard, il apprendrait vite la ponctualité.
Une sorte de thérapie en quelque sorte. Par ailleurs, j’ai le sentiment
qu’après avoir ainsi fessé mon mari je lui pardonnerai plus facilement sa faute
et que je n’aurai ainsi pas besoin de bouder durablement. Et puis…nous nous
sommes confiés à un couple d’amis qui pratique la fessée en couple et qui nous
ont conseillé d’essayer. Chez eux, la pratique a été très salutaire. »
A la surprise
totale de Caroline, Paul pris la parole pour ajouter spontanément :
« Je suis parfaitement d’accord avec l’analyse qu’Isabelle
vient de vous développer. Nous y avons réfléchi ensemble. Aussi, je suis tout à
fait prêt à m’y soumettre avec toute la bonne volonté possible. »
Caroline
comprenait parfaitement l’exposé mais ne voyait pas bien ce qu’elle venait
faire dans cette organisation d’un couple manifestement assez lucide sur ses
relations et surtout, et c’était beaucoup plus rare, sur les bienfaits de la
fessée. C’est Isabelle qui lui expliqua ce qu’ils venaient tous les deux
chercher à l’Institut F :
« J’ai essayé de fesser Paul une ou
deux fois, mais je ne me sens pas particulièrement à l’aise avec ça. J’ai pensé
que vous pourriez me donner quelques leçons particulières sur la manière dont
je dois le fesser, sur la position à adopter, sur les instruments, sur l’intensité
des corrections. Dès que j’ai appris l’ouverture de votre établissement j’ai
tout de suite pensé que vous pourriez m’apprendre à le punir. Une leçon de
fessée en quelque sorte. Et Paul, comme il vient de vous le dire, est d’accord
pour participer aux travaux pratiques même si, aujourd’hui, je n’ai rien à lui
reprocher ! »
La prestation
était imprévue mais intéressante. Elle réclamerait sans doute plusieurs séances
et Caroline se voyait assez bien dans ce rôle de maitresse … d’école.
« Rien de mieux que des travaux pratiques
en effet. Nous allons donc faire comme si Paul était en retard et méritait une
première punition. Si j’ai bien compris, il a suffisamment de retard à son
passif pour mériter cette punition. Suivez-moi donc dans la salle prévue à cet
effet. »
Sitôt la poste
refermé, d’autorité, elle prit la veste de Paul pour la suspendre puis sans un
mot, déboucla la ceinture de Paul et baissa son pantalon. Puis, attrapant une
chaise elle le bascula d’un geste volontaire sur ses cuisses.
Paul n’avait
pas eu le temps de protester. Il était stupéfait de la tournure, un peu
imprévue, de la situation. Les premières claques, sèches mais pas trop fortes,
tombèrent sur les fesses d’un Paul plus décontenancé qu’inquiet. D’autant moins
inquiet que ses fesses restaient pour le moment protégées par un joli caleçon à
fleurs.
« Leçon n° 1 : dès la faute
constatée, la punition doit intervenir le plus rapidement possible, y compris
devant d’autres gens éventuellement présents. »
Caroline
trouvait Paul bien décontracté… Mieux, elle sentait une érection naître au
contact de ses cuisses. Voilà une bonne raison de ne pas traîner, de le
remettre dans un contexte de punition et donc de passer rapidement à la phase 2
« Leçon n° 2 : Une fessée
s’administre forcément cul nu. »
Et joignant
le geste à la parole elle glissa ses pouces sous l’élastique du caleçon pour le
faire descendre sur les mollets d’un Paul qui, de plus en plus surpris, n’eut toujours
pas vraiment le temps de résister. Les claques se mirent alors à tomber, plus
fortes, très régulières et bien réparties sur l’ensemble de son derrière. L’aspect
agréable de la fessée s’estompa rapidement. Dans cette tenue peu habituelle et
dans cette position pour le moins inconfortable, Paul commençait à perdre son
assurance, à geindre et à gigoter, cherchant à échapper aux claques.
« Leçon n° 3 : Pour gérer ce type
de tentative de résistance particulièrement mal venue, deux conseils :
augmenter immédiatement l’intensité de la fessée … »
Inutile de
préciser qu’au même moment la fessée se fit plus forte, plus rythmée)
« … et si nécessaire passer une jambe par-dessus
celle de votre « victime » qui reposera alors sur un seul de vos
genoux. »
En effet
coincé entre les jambes de Caroline, Paul était condamné à subir. Il serrait
les dents pour ne pas pleurer. Il se sentait humilié, il avait mal. Ses fesses,
pourtant fermes et musclées grâce à la pratique régulière du sport, étaient
maintenant douloureuses. Il comprenait à ce moment que la fessée était une
punition. Il était concentré pour essayer de rester digne. Il en avait oublié
la sensation agréable du début, l’excitation qu’il avait ressentie lorsqu’il
s’était trouvé en contact avec la peau douce et satinée des cuisses de
Caroline, une femme qu’il trouvait très à son goût. Mais tout cela était
désormais accessoire.
« Leçon n° 4 : La couleur des
fesses doit toujours être surveillée. Elle vous donnera une bonne indication de
l’intensité de la fessée et de la sévérité que vous avez atteinte. »
Or les fesses
de Paul étaient maintenant sérieusement et uniformément rouges. D’un rouge
soutenu et chaud. Une vraie bonne fessée qui durait maintenant depuis plus de 5
minutes de manière ininterrompue et rythmée. Caroline savait grâce à cet
indicateur qu’elle allait pouvoir passer alors à la phase suivante.
« Leçon n° 5 : La punition ne s’arrête
pas d’un seul coup. Il faut un sas de décompression. Paul, vous allez rejoindre
le coin les mains sur la tête pour prendre le temps de réfléchir. »
Réfléchir,
c’est justement ce qu’omis de faire Paul en répondant de manière
péremptoire :
« Mais ça va pas non ? »
Aussitôt, Caroline le saisit par l’oreille
et lui imposa de se pencher sur le bureau. Sans autre forme de procès et
sans autre explication, le martinet tomba cinq fois durement sur les fesses
déjà écarlates du jeune homme qui se mis alors à hurler.
« Voilà, maintenant vous pouvez aller
au coin, … à moins que vous ne préfériez que je continue avec le martinet. »
Pendant toute
cette séance, Isabelle était restée de marbre, le visage un peu pâle trahissant
son inquiétude. Mais, c’est horrible, vous avez dû lui faire très mal. Je
n’oserai pas.
« Rassurez-vous, les fesses sont
parfaitement adaptées à ce genre de corrections et il s’en remettra. La
punition d’aujourd’hui n’est qu’un avant-goût de ce que vous devrez faire en
cas de récidive. Car là, vous devrez être beaucoup plus sévère. Peut-être pourrez-vous,
dans un premier temps nous l’envoyer à l’occasion de prochains retards intempestifs.
La récidive doit toujours être le motif de monter d’un cran. Nous avons ici des
cannes en rotin tout à fait dissuasives.
– Je ne sais pas si je vais oser. Ça doit
vraiment faire mal.
– Si vous voulez constater par vous-même des
effets d’une bonne fessée, déculottez-vous et je vous en fais la démonstration ajouta
Caroline sur le ton de la plaisanterie.
Vous découvrirez ainsi par vous-même l’effet que peut produire une bonne
fessée. Rassurez-vous, c’est inclus dans mon forfait …
– … Euh… merci beaucoup. Je crois que pour
aujourd’hui nous allons en rester là.
– Je comprends parfaitement. Toutefois si, à
la maison, vous ne vous sentez pas assez à l’aise pour fesser votre mari,
revenez tous les deux et cette fois, sous ma direction, c’est vous qui le
fesserez. Au prochain retard… revenez avec votre charmant mari. »
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