lundi 30 octobre 2017

L'institut F - chapitre 3

Une leçon de fessée


Pendant que Marie punissait son premier client de la journée, le jeune Jérôme, dans le premier bureau, une autre femme s’était présentée à l’Institut F. Une assez jeune et jolie femme accompagné d’un homme, plutôt élégant, et l’air parfaitement détendu.  Manifestement un couple du quartier venu non pas par simple curiosité mais dans un but bien précis. Ils pénétrèrent tous les deux dans la boutique d’un air assuré. Le monsieur ne semblait pas du tout le genre de personne qui s’apprête à être puni. Il était là manifestement de son plein gré, peut-être même à sa demande.

La jeune femme s’installa sans attendre dans la salle d’attente et exposa très clairement et d’une voix déterminée à Caroline la situation :
« Nous sommes un couple de jeunes mariés et nous avons du mal à gérer nos disputes Or malheureusement elles sont de plus en plus fréquentes et parfois trop violentes. Je suis notamment très ponctuelle et Paul est presque toujours en retard. C’en est devenu maladif.  Je suis très organisée et Paul vit sans montre.
Cela crée des tensions parfois beaucoup trop vives, des bouderies qui durent plusieurs jours et cela pénalise fortement notre vie de couple à tel point que je crains pour notre avenir commun. Qu’il soit clair que ma démarche, ou plutôt notre démarche vise d’abord à protéger l’existence même de notre couple.
Ainsi, nous avons pensé que si je fessais Paul à chaque fois qu’il était en retard, il apprendrait vite la ponctualité. Une sorte de thérapie en quelque sorte. Par ailleurs, j’ai le sentiment qu’après avoir ainsi fessé mon mari je lui pardonnerai plus facilement sa faute et que je n’aurai ainsi pas besoin de bouder durablement. Et puis…nous nous sommes confiés à un couple d’amis qui pratique la fessée en couple et qui nous ont conseillé d’essayer. Chez eux, la pratique a été très salutaire. »
A la surprise totale de Caroline, Paul pris la parole pour ajouter spontanément :
« Je suis parfaitement d’accord avec l’analyse qu’Isabelle vient de vous développer. Nous y avons réfléchi ensemble. Aussi, je suis tout à fait prêt à m’y soumettre avec toute la bonne volonté possible. »
Caroline comprenait parfaitement l’exposé mais ne voyait pas bien ce qu’elle venait faire dans cette organisation d’un couple manifestement assez lucide sur ses relations et surtout, et c’était beaucoup plus rare, sur les bienfaits de la fessée. C’est Isabelle qui lui expliqua ce qu’ils venaient tous les deux chercher à l’Institut F :
« J’ai essayé de fesser Paul une ou deux fois, mais je ne me sens pas particulièrement à l’aise avec ça. J’ai pensé que vous pourriez me donner quelques leçons particulières sur la manière dont je dois le fesser, sur la position à adopter, sur les instruments, sur l’intensité des corrections. Dès que j’ai appris l’ouverture de votre établissement j’ai tout de suite pensé que vous pourriez m’apprendre à le punir. Une leçon de fessée en quelque sorte. Et Paul, comme il vient de vous le dire, est d’accord pour participer aux travaux pratiques même si, aujourd’hui, je n’ai rien à lui reprocher ! »

La prestation était imprévue mais intéressante. Elle réclamerait sans doute plusieurs séances et Caroline se voyait assez bien dans ce rôle de maitresse … d’école.
« Rien de mieux que des travaux pratiques en effet. Nous allons donc faire comme si Paul était en retard et méritait une première punition. Si j’ai bien compris, il a suffisamment de retard à son passif pour mériter cette punition. Suivez-moi donc dans la salle prévue à cet effet. »
Sitôt la poste refermé, d’autorité, elle prit la veste de Paul pour la suspendre puis sans un mot, déboucla la ceinture de Paul et baissa son pantalon. Puis, attrapant une chaise elle le bascula d’un geste volontaire sur ses cuisses.
Paul n’avait pas eu le temps de protester. Il était stupéfait de la tournure, un peu imprévue, de la situation. Les premières claques, sèches mais pas trop fortes, tombèrent sur les fesses d’un Paul plus décontenancé qu’inquiet. D’autant moins inquiet que ses fesses restaient pour le moment protégées par un joli caleçon à fleurs.
« Leçon n° 1 : dès la faute constatée, la punition doit intervenir le plus rapidement possible, y compris devant d’autres gens éventuellement présents. »
Caroline trouvait Paul bien décontracté… Mieux, elle sentait une érection naître au contact de ses cuisses. Voilà une bonne raison de ne pas traîner, de le remettre dans un contexte de punition et donc de passer rapidement à la phase 2
« Leçon n° 2 : Une fessée s’administre forcément cul nu. »
Et joignant le geste à la parole elle glissa ses pouces sous l’élastique du caleçon pour le faire descendre sur les mollets d’un Paul qui, de plus en plus surpris, n’eut toujours pas vraiment le temps de résister. Les claques se mirent alors à tomber, plus fortes, très régulières et bien réparties sur l’ensemble de son derrière. L’aspect agréable de la fessée s’estompa rapidement. Dans cette tenue peu habituelle et dans cette position pour le moins inconfortable, Paul commençait à perdre son assurance, à geindre et à gigoter, cherchant à échapper aux claques.
« Leçon n° 3 : Pour gérer ce type de tentative de résistance particulièrement mal venue, deux conseils : augmenter immédiatement l’intensité de la fessée … »
Inutile de préciser qu’au même moment la fessée se fit plus forte, plus rythmée)
« … et si nécessaire passer une jambe par-dessus celle de votre « victime » qui reposera alors sur un seul de vos genoux. »
En effet coincé entre les jambes de Caroline, Paul était condamné à subir. Il serrait les dents pour ne pas pleurer. Il se sentait humilié, il avait mal. Ses fesses, pourtant fermes et musclées grâce à la pratique régulière du sport, étaient maintenant douloureuses. Il comprenait à ce moment que la fessée était une punition. Il était concentré pour essayer de rester digne. Il en avait oublié la sensation agréable du début, l’excitation qu’il avait ressentie lorsqu’il s’était trouvé en contact avec la peau douce et satinée des cuisses de Caroline, une femme qu’il trouvait très à son goût. Mais tout cela était désormais accessoire.
« Leçon n° 4 : La couleur des fesses doit toujours être surveillée. Elle vous donnera une bonne indication de l’intensité de la fessée et de la sévérité que vous avez atteinte. »
Or les fesses de Paul étaient maintenant sérieusement et uniformément rouges. D’un rouge soutenu et chaud. Une vraie bonne fessée qui durait maintenant depuis plus de 5 minutes de manière ininterrompue et rythmée. Caroline savait grâce à cet indicateur qu’elle allait pouvoir passer alors à la phase suivante.
« Leçon n° 5 : La punition ne s’arrête pas d’un seul coup. Il faut un sas de décompression. Paul, vous allez rejoindre le coin les mains sur la tête pour prendre le temps de réfléchir. »
Réfléchir, c’est justement ce qu’omis de faire Paul en répondant de manière péremptoire :
« Mais ça va pas non ? »
Aussitôt, Caroline le saisit par l’oreille et lui imposa de se pencher sur le bureau. Sans autre forme de procès et sans autre explication, le martinet tomba cinq fois durement sur les fesses déjà écarlates du jeune homme qui se mis alors à hurler.
« Voilà, maintenant vous pouvez aller au coin, … à moins que vous ne préfériez que je continue avec le martinet. »
Pendant toute cette séance, Isabelle était restée de marbre, le visage un peu pâle trahissant son inquiétude. Mais, c’est horrible, vous avez dû lui faire très mal. Je n’oserai pas.
« Rassurez-vous, les fesses sont parfaitement adaptées à ce genre de corrections et il s’en remettra. La punition d’aujourd’hui n’est qu’un avant-goût de ce que vous devrez faire en cas de récidive. Car là, vous devrez être beaucoup plus sévère. Peut-être pourrez-vous, dans un premier temps nous l’envoyer à l’occasion de prochains retards intempestifs. La récidive doit toujours être le motif de monter d’un cran. Nous avons ici des cannes en rotin tout à fait dissuasives.
– Je ne sais pas si je vais oser. Ça doit vraiment faire mal.
– Si vous voulez constater par vous-même des effets d’une bonne fessée, déculottez-vous et je vous en fais la démonstration ajouta Caroline sur le ton de la plaisanterie. Vous découvrirez ainsi par vous-même l’effet que peut produire une bonne fessée. Rassurez-vous, c’est inclus dans mon forfait …
– … Euh… merci beaucoup. Je crois que pour aujourd’hui nous allons en rester là.
– Je comprends parfaitement. Toutefois si, à la maison, vous ne vous sentez pas assez à l’aise pour fesser votre mari, revenez tous les deux et cette fois, sous ma direction, c’est vous qui le fesserez. Au prochain retard… revenez avec votre charmant mari. »

Pour lire ce qui s'est passé auparavant

Le  premier épisode : chapitre 1 
L'épisode précédent : chapitre 2

Pour la suite ... chapitre 4.

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