samedi 7 octobre 2017

Axel, consultant à St Marie - chapitre 9

Ma nouvelle position dans la classe changea rapidement mes relations avec les élèves. Dans les premiers jours, j’étais un objet difficile à cataloguer : ni professeur, ni membre de la direction ou de l’administration de l’établissement, je n’étais pas non plus un élève. Savoir quelles relations mettre en place était mission impossible. Fallait-il me traiter comme un adulte ? Je ne semblais pas en avoir les attributs, et en particulier pas le droit d’administrer la fessée. Pouvais-je être considéré comme un élève ? Pas plus puisque je disposais d’une liberté avec les règles de St Marie, ce dont les élèves ne bénéficiaient pas. Plusieurs de mes manquements auraient valu une sévère déculottée à n’importe lequel d’entre eux.


Ma présence constante dans la classe et ma plus grande assiduité à suivre les règles de St Marie m’avaient rapproché du statut des élèves. Nous cohabitions plus régulièrement, en particulier pendant les récréations et c’est tout naturellement que sont venues les questions sur ce que je faisais exactement.
Ils sont restés perplexes quand ils ont compris que je devais faire un rapport sur les méthodes éducatives de leur établissement. Cela a pris un peu de temps avant qu’ils posent les questions qui les taraudaient.
« Tu regardes quand on nous donne la fessée ? »
« Tu veux savoir si c’est grâce à la fessée que St Marie est un très bon lycée ? »
Il fallut un ou deux jours pour que les plus hardis reviennent à la charge.
« Tu vas faire un rapport ? »
Comme je répondais par l’affirmative ils continuèrent.
« Ce rapport peut changer des choses ?
– C’est pour cela qu’il est écrit, dis-je en m’avançant un peu.
– Quand auras-tu fini de l’écrire ?
La fin du trimestre leur parut une échéance toute proche.
Le lendemain, ce fut une véritable délégation qui m’entreprit.
« Tu dois écrire dans ton rapport qu’il faut supprimer la fessée !
– Non, répliqua-t-on, pas pour tout le monde, seulement pour les grands ! »
Un débat s’engagea entre eux pour savoir s’il fallait abolir la fessée seulement pour les grands ou pour tout le monde. Ils furent vite d’accord pour dire que la fessée était très utile pour les petits. Une fois ce point acquis, restait à déterminer jusqu’à quel âge on était « petit » à St Marie. Chacun y alla de son anecdote montrant que recevoir la fessée avait été profitable à l’un ou l’autre des élèves. Certains n’hésitaient pas à utiliser leur propre cas. Le consensus se fit : la fessée était une punition appropriée, sauf pour les terminales.
« Je ne peux pas l’écrire comme cela, répondis-je, il faudrait que je démontre en quoi donner la fessée aux grands provoque plus d’inconvénients que d’avantages. »
Cela relança un autre débat sur les avantages et inconvénients de la fessée. La plupart d’entre eux avaient parfaitement intégré en quoi l’utilisation de la fessée permettait de faire de St Marie un établissement de haut niveau. Il n’y eut pas d’accord sur la décision à prendre. Certains acceptaient la fessée pour les terminales, mais dans certains cas seulement.
« OK pour la fessée, dit une voix, mais pas déculottée ! »
Cette proposition fut âprement discutée. D’autres idées fusèrent :
« Si on baisse la culotte, pas devant tout le monde ! »
Les intransigeants, ceux qui étaient pour l’abolition totale, reprirent de l’ascendant sur leurs camarades. Ils finirent par convenir qu’abolir la fessée pour les terminales, était ce qui devait figurer dans mon rapport.
« Si je l’écris comme cela, tentais-je d’argumenter, cela ne passera pas. »
Ils étaient maintenant insensibles à la logique. Ils avaient un espoir, irréaliste certes, mais un espoir tout de même d’être bientôt épargnés par la fessée.
« Ça se voit que ce ne sont pas tes fesses qui sont concernées ! »
Je faillis démentir, mais je me retins juste à temps.
« S’ils savaient, pensais-je. »
La cloche de la récréation mit fin à ce conciliabule et nous allâmes nous mettre en rang en attendant le professeur du cours suivant. Je sentis tout de suite que ma popularité avait chuté. En refusant de dénoncer la fessée, je m’étais replacé pas vraiemnt du côté des adultes mais dans un entre-deux indiféni.

Afin de rompre la monotonie des cours, j’apportais du travail à faire : je remettais mes notes au propre, j’avançais dans la rédaction de mon rapport. Evidemment, tout cela n’avait rien à voir avec le contenu de ce que les élèves apprenaient en classe. Cela se voyait. Une classe à St Marie, c’est une petite trentaine de personnes qui effectuent les mêmes gestes en même temps sous les ordres de leur professeur : ouvrir un livre, prendre leur stylo, écouter, prendre en note, lever la tête, la baisser, … J’étais décalé par rapport à ce ballet et certaines de mes actions, arrivant à contretemps, troublaient l’ordre bien établi de la classe : quand j’ouvrais un livre alors que tous les autres écoutaient silencieusement le professeur, quand je posais mon crayon dans le silence total de la classe, … toutes ces petites actions s’entendaient et se voyaient. Dans cet univers d’obéissance absolu, un geste qui n’était pas effectué dans le même tempo que le reste de la classe, se remarquait immédiatement.
Un élève qui aurait pris cette liberté se serait fait reprendre. Nul doute qu’en cas de récidive, ses fesses en auraient payé le prix. Ma seule présence créait un petit espace de désobéissance discrète qui agaçait la plupart des professeurs et que les élèves avaient parfaitement repéré. J’étais celui qui osait faire ce dont chacun rêvait mais dont personne ne prenait le risque. Pour parfaire le tout, je n’étais pas sanctionné. Une espèce d’espace de non-droit, ou ce qui s’en rapprochait le plus à St Marie.
J’avais l’impression de prendre une petite revanche sur cette institution si bien réglée qui m’impressionnait tant. Je me faisais la démonstration qu’il m’était possible de mettre quelques modestes grains de sable qui n’empêchaient pas la machine de tourner, mais me permettaient de marquer mon indépendance.
J’ai sans doute été enivré par ce premier succès. Je suis allé plus loin. Pendant les cours, j’ai apporté de quoi occuper mon désœuvrement et n’ayant plus rien à voir avec un quelconque travail. J’ai commencé par un magazine. Je l’ouvrais ostensiblement sur la table de classe devant moi. Puis, tapotant  sur mon téléphone, je répondais à mon courrier par SMS ou par courriel. Ces activités ne passaient pas inaperçues. Sœur Marie Véronique, la professeure de sciences, s’en offusqua à la fin du premier cours où j’avais pianoté sur mon téléphone.
« Les téléphones sont interdits à St Marie, me dit-elle.
– Excusez-moi, ma Sœur, mais il s’agit d’un outil de travail. J’en ai besoin pour rester en contact avec mes collègues du labo. Je ne fais pas de bruit, je reste discret mais je dois avancer pour rendre mon rapport à la fin du trimestre. Il me semble que certains professeurs en possèdent un. Je comprends qu’ils en aient besoin. C’est exactement la même chose pour moi. »
Sœur Marie Véronique n’était pas satisfaite de ma réponse, mais elle n’alla pas plus loin. Je pris donc le pli de venir en classe avec mon propre matériel qui n’avait rien à voir avec ce qui était abordé en cours, tout en prenant des libertés avec les règles de St Marie. Les sœurs m’avaient contraint à être présent à tous les cours, mais j’y faisais ce que je voulais.
Ma popularité remonta parmi les élèves. J’étais objet d’admiration et d’envie. D’un côté ils m’admiraient pour avoir réussi à introduire un peu de transgression des règles dans leur vie d’obéissance. Ils la vivaient par procuration. De l’autre ils m’enviaient parce que je faisais des actes qui étaient inatteignables pour eux. Pendant une récréation je surpris un groupe d’élèves de ma classe qui échangeaient sur ma situation. Ils se mirent vite d’accord sur le fait que je ne me permettais ces écarts graves uniquement parce que je ne risquais pas de prendre la fessée. Ils parlèrent de privilèges, d’avantages dont ils devraient, eux aussi, bénéficier. Ils évoquèrent l’injustice de la situation.

Le mercredi matin, pendant la récréation, je découvris une nouvelle facette du système de punition de St Marie. Alors que nous sortions tous des cours, une des rares enseignantes qui n’était pas une religieuse amena une jeune fille au piquet sous le préau. Elle la tenait par l’oreille et l’élève tordait son cou pour tenter de soulager son oreille.
« C’est Virginie ! souffla l’un des garçons qui me précédaient. »
L’enseignante plaça la jeune fille, une élève de sa classe de première, le nez contre le mur. Elle releva sa jupe et la glissa sous la ceinture, puis elle baissa la culotte qu’elle venait de mettre à la vue de tout le monde. Enfin, pour faire bonne mesure, elle asséna une dizaine de claques sur les fesses de la jeune fille qui étaient pourtant déjà bien rouges. Enfin, elle la laissa là.
Un murmure parcourut les rangs de la classe. Il se confirma vite que cette élève avait été surprise à tricher pendant un devoir surveillé. Tous les élèves étaient à la fois indignés de cette faute inexcusable, et compatissants avec ce qui était promis à la jeune fille. Je ne comprenais pas pourquoi cette fessée, somme toute assez légère, même si, au regard de la couleur des fesses de la jeune fille, elle faisait suite à une première reçue en classe, apparaissait comme un événement exceptionnel. Certes, placée au piquet sous le préau, la culotte baissée, elle offrait la vue de ses fesses à tous, mais le nombre de spectateurs ne faisait pas une différence si essentielle.
Je compris assez vite ce que signifiait être puni d’une « fessée de récréation ». Sœur Marie Hortense, qui était la Préfète de discipline arriva bien vite. Je ne l’avais pas encore vu officier. Elle tenait à la main un instrument qui semblait redoutable. C’était un manche en bois au bout duquel était fixée une épaisse lanière de cuir.
Sans plus de commentaire, elle attrapa la jeune fille par l’oreille et l’emmena vers le centre du préau. Là, elle la fourra sous son coude, réajusta la jupe afin qu’elle ne couvre plus rien des fesses de la Virginie.
« Pardon ma Sœur, pardon, je ne recommencerai plus, pardon »
Sœur Marie Hortense semblait indifférente à la litanie de la jeune fille. Elle leva son bras et, donnant le maximum de vitesse à la lanière de son instrument punitif, elle l’abattit sur les fesses de la jeune fille. Le claquement ne fut pas impressionnant. La réaction de Virginie, par contre, le fut.
L’ensemble de ses muscles se tétanisa. Elle se raidit des pieds à ma tête et ses jambes montèrent à l’horizontal. Virginie émit un hoquet étranglé. Sœur Marie Hortense supportait le poids de la jeune fille sans broncher. Cet effort ne perturba pas le rythme de la punition. Une deuxième fois, elle appliqua la lanière sur les fesses de Virginie. Cette fois-ci, ce fut une longue plainte qui répondit à la douleur. Le postérieur de Virginie étaient barré par deux longues traces rouges parallèles. Il y en eut bientôt une troisième, puis une quatrième.
La lanière de cuir s’abattait régulièrement. Sœur Marie Hortense avait adopté un rythme lent qui détachait bien chaque coup de lanière l’un de l’autre. Compte tenu de la souplesse de l’instrument punitif, il fallait qu’elle prenne son élan pour que la lanière prenant de la vitesse, accumule de l’énergie qu’elle dissipait sur les fesses de la punie qu’elle tenait sous son bras. Le résultat était ravageur.
Virginie criait, sanglotait, tentait de supplier sa correctrice et promettait tout ce qu’elle pouvait. Cela donnait un résultat incompréhensible tellement ses phrases étaient hachées par les interruptions que provoquait la lanière à chaque fois qu’elle marquait les fesses de la jeune fille. Elle trépignait sur place au rythme de la fessée.
Finalement, les marques rouges sur les fesses de Virginie couvrirent toute la surface de son postérieur. Elles se croisèrent, se chevauchèrent jusqu’à obtenir un rouge sombre uniforme. Sœur Marie Hortense s’en tint là. Elle relâcha la jeune fille. Les jambes de Virginie de dérobèrent sous son poids. Elle serait tombée si sœur Marie Hortense ne l’avait pas soutenue. Cette défaillance ne dura pas. Sœur Véronique remit la jeune fille au piquet. Celle-ci reprit la pose, nez contre le mur et mains sur la tête. Ses sanglots peu à peu s’espacèrent. Le rouge de ses fesses pâlit doucement, mais à la fin de la récréation, elles étaient encore bien enflammées.
Sœur Marie Hortense revint inspecter son travail à la fin de la récréation. Elle passa sa main sur les fesses de la jeune fille et elle eut un hochement de tête approbateur.
« Vous êtes punie pendant deux jours. Je vous donnerai la fessée à chaque récréation. Vous reviendrez me voir après le déjeuner. Je m’occuperai alors du haut de vos cuisses. N’oubliez pas ! »
La jeune fille hocha la tête pour montrer son acceptation, tout en réprimant un sanglot. Ses yeux étaient encore remplis de larmes. Elle reçut alors l’autorisation de remonter sa culotte, ce qu’elle fit avec précaution et quelques grimaces de douleur, notamment quand l’élastique de sa culotte passa le gras de ses fesses. Je pensais avec compassion au moment où elle devrait s’assoir sur sa chaise. Les deux prochains jours promettaient d’être inconfortables.

La semaine d’école tirait sur sa fin. Nous finissions par une heure d’éducation physique sous la houlette de Sœur Gabrielle. J’avais participé aux activités des autres garçons sans chercher à me dérober. Habillé dans la même tenue de sport que les autres, je passais inaperçu. Les deux premières séquences de la semaine s’étaient passées sans anicroche, du moins en ce qui me concerne.
Sœur Gabrielle avait donné quelques fessées qui se limitaient à quelques tapes bien senties sur les fesses des contrevenants, essentiellement pour réprimer ceux qui flemmardaient pendant les déshabillages ou pour exiger une propreté plus nette de l’une ou l’autre partie du corps d’un de ces jeunes gens. L’une d’elles avait été plus sérieuse. Pour une propreté approximative, un garçon avait fini en pleurs, courbé sous le bras de la religieuse.
Ces jours-là, j’avais fait attention à prendre une douche méticuleuse et à avoir une culotte bien propre. A la fin des deux cours, j’avais pris ma douche sans discuter, même si j’étais toujours aussi mal à l’aise de me montrer nu devant les autres garçons. Sœur Gabrielle me surveillait, comme elle le faisait pour les autres garçons. Elle ne faisait pas particulièrement attention à moi, mais j’avais l’impression d’être en permanence sous son regard. J’avais le sentiment qu’elle voyait tout ce qui se passait autour d’elle, y compris quand elle avait le dos tourné. Nul, et surtout pas moi, ne se serait risqué à commettre une infraction rien que pour vérifier si elle avait effectivement des yeux dans le dos, comme la rumeur le laissait croire.
Dans le vestiaire, ce vendredi-là, je me déshabillais, pour passer ma tenue de sport. J’étais en sous-vêtement, ce qui n’outrageait pas ma pudeur. Comme à son habitude, Sœur Gabrielle passait entre les garçons qui se préparaient pour son cours. Elle s’arrêta devant moi. Elle me prit pas la main et m’amena vers un lieu plus éclairé de la pièce. Elle me ceintura et me courba sous son bras. Je ne pus retenir une supplication :
« Non, ma sœur, pas la fessée ! »
– Auriez-vous commis une bêtise qui m’ait échappée ? Je n’ai pas trouvé que vous en ayez mérité une pour l’instant. »
Sœur Gabrielle baissa alors ma culotte. Elle passa sa main sur mes fesses et elle m’avertit :
« Attention, laissez-moi faire ! »
Elle écarta alors mes globes fessiers et passa, au fond de la raie de mes fesses, une feuille de papier hygiénique qu’elle avait sorti de sa poche. Elle tendit la peau du pli de l’aine et en éprouva la propreté en y passant sa main. Alors, en me remettant debout, elle vérifia la propreté de la zone autour de mon pubis en soulevant mon sexe, puis en le décalottant.
C’était la deuxième inspection que je subissais pour vérifier ma propreté. Je ressentais, à leur propos, un sentiment ambivalent. Je savais à quoi m’attendre, j’en avais une certaine habitude, quoique récente, ce qui en atténuait le caractère exotique. Je ne pourrais pas dire que je m’y habituais, tant était fort le sentiment de honte de devoir être soumis à ce traitement comme un petit garçon, tout en sachant qu’il était parfaitement justifié compte tenu de mes négligences.
Celle-ci s’était déroulée en public. Je sentais le rouge me monter au front. Elle m’avait déculotté comme elle le faisait avec ses élèves. Son attention maternelle à mes parties intimes révélait publiquement combien elle me contrôlait y compris jusqu’aux aspects les plus privés de ma vie. Ma soumission confirmait son droit à vérifier mon hygiène. Nos quelques paroles échangées que certains de mes condisciples avaient surement entendues, expliquaient qu’elle pouvait, si nécessaire, me soumettre à la fessée.
Sœur Gabrielle m’autorisa à me reculotter, ce que je fis avec le plus de célérité possible. Je jetais un œil autour de moi et je ne remarquais pas une effervescence particulière suite à mon déculottage. C’était, à St Marie une scène assez banale qui pouvait arriver n’importe quand à n’importe quel élève, surtout avec Sœur Gabrielle à proximité. Cela ne méritait pas qu’on y accordât une attention particulière. Nul ne semblait noter que le consultant qui venait d’être soumis à ce traitement commun pour les élèves, n’était pas l’un deux.
En finissant d’enfiler ma tenue de sport, je soufflais intérieurement. Cela ne s’était pas achevé par une fessée que Sœur Gabrielle n’aurait sans doute pas hésité à m’administrer en présence de tous les élèves. Je songeais à ce qu’il aurait pu en être si, comme j’avais failli le faire ce matin, j’avais cédé à ma tendance à la paresse en sautant la douche pour gagner quinze minutes dans mon lit.

J’avais supposé qu’après deux cours sans examen particulier de ma propreté, Sœur Gabrielle considérait maintenant que mon attention à mon hygiène corporelle était acquise. Je venais d’avoir la preuve qu’il n’en était rien. Je devais me faire à l’idée que ses contrôles seraient aléatoires. Cela signifiait que je ne pouvais pas me relâcher sur mes prises de douches, du moins les jours où j’avais un cours d’éducation physique.

Pour suivre le fil de cette histoire :

Pour comprendre le contexte : introduction
Le premier épisode : chapitre 1
L'épisode précédent : chapitre 8
Le prochain épisode ... le voici : chapitre 10.

2 commentaires:

  1. Axel entre dans une routine qu'il espère profitable à la réussite de son rapport...
    Ce faisant et tel un jeune ado, il repousse sans cesse ses limites, il teste...
    Pourvu qu'il ne soit déjà pas trop tard pour lui, ce que personnellement je crains.

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    Réponses
    1. Bonjour,
      C'est le lot de tout test d'aller à la limite extrême de ce qui est possible. Axel marche sur un fil. De quel côté tombera-t-il ? La réponse est sans doute évidente. Jusqu'à où ira sa chute ?
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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