Ma nouvelle position dans la
classe changea rapidement mes relations avec les élèves. Dans les premiers
jours, j’étais un objet difficile à cataloguer : ni professeur, ni membre
de la direction ou de l’administration de l’établissement, je n’étais pas non
plus un élève. Savoir quelles relations mettre en place était mission
impossible. Fallait-il me traiter comme un adulte ? Je ne semblais pas en
avoir les attributs, et en particulier pas le droit d’administrer la fessée.
Pouvais-je être considéré comme un élève ? Pas plus puisque je disposais
d’une liberté avec les règles de St Marie, ce dont les élèves ne bénéficiaient
pas. Plusieurs de mes manquements auraient valu une sévère déculottée à
n’importe lequel d’entre eux.
Ma présence constante dans la
classe et ma plus grande assiduité à suivre les règles de St Marie m’avaient
rapproché du statut des élèves. Nous cohabitions plus régulièrement, en
particulier pendant les récréations et c’est tout naturellement que sont venues
les questions sur ce que je faisais exactement.
Ils sont restés perplexes quand
ils ont compris que je devais faire un rapport sur les méthodes éducatives de
leur établissement. Cela a pris un peu de temps avant qu’ils posent les
questions qui les taraudaient.
« Tu regardes quand on nous
donne la fessée ? »
« Tu veux savoir si c’est
grâce à la fessée que St Marie est un très bon lycée ? »
Il fallut un ou deux jours pour
que les plus hardis reviennent à la charge.
« Tu vas faire un
rapport ? »
Comme je répondais par
l’affirmative ils continuèrent.
« Ce rapport peut changer
des choses ?
– C’est pour cela qu’il est
écrit, dis-je en m’avançant un peu.
– Quand auras-tu fini de
l’écrire ?
La fin du trimestre leur parut
une échéance toute proche.
Le lendemain, ce fut une
véritable délégation qui m’entreprit.
« Tu dois écrire dans ton
rapport qu’il faut supprimer la fessée !
– Non, répliqua-t-on, pas pour
tout le monde, seulement pour les grands ! »
Un débat s’engagea entre eux pour
savoir s’il fallait abolir la fessée seulement pour les grands ou pour tout le
monde. Ils furent vite d’accord pour dire que la fessée était très utile pour
les petits. Une fois ce point acquis, restait à déterminer jusqu’à quel âge on
était « petit » à St Marie. Chacun y alla de son anecdote montrant
que recevoir la fessée avait été profitable à l’un ou l’autre des élèves.
Certains n’hésitaient pas à utiliser leur propre cas. Le consensus se
fit : la fessée était une punition appropriée, sauf pour les terminales.
« Je ne peux pas l’écrire
comme cela, répondis-je, il faudrait que je démontre en quoi donner la fessée
aux grands provoque plus d’inconvénients que d’avantages. »
Cela relança un autre débat sur
les avantages et inconvénients de la fessée. La plupart d’entre eux avaient
parfaitement intégré en quoi l’utilisation de la fessée permettait de faire de
St Marie un établissement de haut niveau. Il n’y eut pas d’accord sur la
décision à prendre. Certains acceptaient la fessée pour les terminales, mais
dans certains cas seulement.
« OK pour la fessée, dit une
voix, mais pas déculottée ! »
Cette proposition fut âprement
discutée. D’autres idées fusèrent :
« Si on baisse la culotte,
pas devant tout le monde ! »
Les intransigeants, ceux qui
étaient pour l’abolition totale, reprirent de l’ascendant sur leurs camarades.
Ils finirent par convenir qu’abolir la fessée pour les terminales, était ce qui
devait figurer dans mon rapport.
« Si je l’écris comme cela,
tentais-je d’argumenter, cela ne passera pas. »
Ils étaient maintenant
insensibles à la logique. Ils avaient un espoir, irréaliste certes, mais un
espoir tout de même d’être bientôt épargnés par la fessée.
« Ça se voit que ce ne sont
pas tes fesses qui sont concernées ! »
Je faillis démentir, mais je me
retins juste à temps.
« S’ils savaient,
pensais-je. »
La cloche de la récréation mit
fin à ce conciliabule et nous allâmes nous mettre en rang en attendant le
professeur du cours suivant. Je sentis tout de suite que ma popularité avait
chuté. En refusant de dénoncer la fessée, je m’étais replacé pas vraiemnt du
côté des adultes mais dans un entre-deux indiféni.
Afin de rompre la monotonie des
cours, j’apportais du travail à faire : je remettais mes notes au propre,
j’avançais dans la rédaction de mon rapport. Evidemment, tout cela n’avait rien
à voir avec le contenu de ce que les élèves apprenaient en classe. Cela se
voyait. Une classe à St Marie, c’est une petite trentaine de personnes qui effectuent
les mêmes gestes en même temps sous les ordres de leur professeur : ouvrir
un livre, prendre leur stylo, écouter, prendre en note, lever la tête, la
baisser, … J’étais décalé par rapport à ce ballet et certaines de mes actions,
arrivant à contretemps, troublaient l’ordre bien établi de la classe :
quand j’ouvrais un livre alors que tous les autres écoutaient silencieusement
le professeur, quand je posais mon crayon dans le silence total de la classe, …
toutes ces petites actions s’entendaient et se voyaient. Dans cet univers
d’obéissance absolu, un geste qui n’était pas effectué dans le même tempo que
le reste de la classe, se remarquait immédiatement.
Un élève qui aurait pris cette
liberté se serait fait reprendre. Nul doute qu’en cas de récidive, ses fesses
en auraient payé le prix. Ma seule présence créait un petit espace de
désobéissance discrète qui agaçait la plupart des professeurs et que les élèves
avaient parfaitement repéré. J’étais celui qui osait faire ce dont chacun
rêvait mais dont personne ne prenait le risque. Pour parfaire le tout, je
n’étais pas sanctionné. Une espèce d’espace de non-droit, ou ce qui s’en
rapprochait le plus à St Marie.
J’avais l’impression de prendre
une petite revanche sur cette institution si bien réglée qui m’impressionnait
tant. Je me faisais la démonstration qu’il m’était possible de mettre quelques
modestes grains de sable qui n’empêchaient pas la machine de tourner, mais me
permettaient de marquer mon indépendance.
J’ai sans doute été enivré par ce
premier succès. Je suis allé plus loin. Pendant les cours, j’ai apporté de quoi
occuper mon désœuvrement et n’ayant plus rien à voir avec un quelconque
travail. J’ai commencé par un magazine. Je l’ouvrais ostensiblement sur la
table de classe devant moi. Puis, tapotant
sur mon téléphone, je répondais à mon courrier par SMS ou par courriel.
Ces activités ne passaient pas inaperçues. Sœur Marie Véronique, la professeure
de sciences, s’en offusqua à la fin du premier cours où j’avais pianoté sur mon
téléphone.
« Les téléphones sont interdits
à St Marie, me dit-elle.
– Excusez-moi, ma Sœur, mais il
s’agit d’un outil de travail. J’en ai besoin pour rester en contact avec mes
collègues du labo. Je ne fais pas de bruit, je reste discret mais je dois
avancer pour rendre mon rapport à la fin du trimestre. Il me semble que
certains professeurs en possèdent un. Je comprends qu’ils en aient besoin.
C’est exactement la même chose pour moi. »
Sœur Marie Véronique n’était pas
satisfaite de ma réponse, mais elle n’alla pas plus loin. Je pris donc le pli
de venir en classe avec mon propre matériel qui n’avait rien à voir avec ce qui
était abordé en cours, tout en prenant des libertés avec les règles de St
Marie. Les sœurs m’avaient contraint à être présent à tous les cours, mais j’y
faisais ce que je voulais.
Ma popularité remonta parmi les
élèves. J’étais objet d’admiration et d’envie. D’un côté ils m’admiraient pour
avoir réussi à introduire un peu de transgression des règles dans leur vie
d’obéissance. Ils la vivaient par procuration. De l’autre ils m’enviaient parce
que je faisais des actes qui étaient inatteignables pour eux. Pendant une
récréation je surpris un groupe d’élèves de ma classe qui échangeaient sur ma
situation. Ils se mirent vite d’accord sur le fait que je ne me permettais ces
écarts graves uniquement parce que je ne risquais pas de prendre la fessée. Ils
parlèrent de privilèges, d’avantages dont ils devraient, eux aussi, bénéficier.
Ils évoquèrent l’injustice de la situation.
Le mercredi matin, pendant la
récréation, je découvris une nouvelle facette du système de punition de St
Marie. Alors que nous sortions tous des cours, une des rares enseignantes qui
n’était pas une religieuse amena une jeune fille au piquet sous le préau. Elle
la tenait par l’oreille et l’élève tordait son cou pour tenter de soulager son
oreille.
« C’est Virginie !
souffla l’un des garçons qui me précédaient. »
L’enseignante plaça la jeune
fille, une élève de sa classe de première, le nez contre le mur. Elle releva sa
jupe et la glissa sous la ceinture, puis elle baissa la culotte qu’elle venait
de mettre à la vue de tout le monde. Enfin, pour faire bonne mesure, elle
asséna une dizaine de claques sur les fesses de la jeune fille qui étaient
pourtant déjà bien rouges. Enfin, elle la laissa là.
Un murmure parcourut les rangs de
la classe. Il se confirma vite que cette élève avait été surprise à tricher
pendant un devoir surveillé. Tous les élèves étaient à la fois indignés de
cette faute inexcusable, et compatissants avec ce qui était promis à la jeune
fille. Je ne comprenais pas pourquoi cette fessée, somme toute assez légère,
même si, au regard de la couleur des fesses de la jeune fille, elle faisait
suite à une première reçue en classe, apparaissait comme un événement
exceptionnel. Certes, placée au piquet sous le préau, la culotte baissée, elle
offrait la vue de ses fesses à tous, mais le nombre de spectateurs ne faisait
pas une différence si essentielle.
Je compris assez vite ce que
signifiait être puni d’une « fessée de récréation ». Sœur Marie
Hortense, qui était la Préfète de discipline arriva bien vite. Je ne l’avais
pas encore vu officier. Elle tenait à la main un instrument qui semblait
redoutable. C’était un manche en bois au bout duquel était fixée une épaisse
lanière de cuir.
Sans plus de commentaire, elle
attrapa la jeune fille par l’oreille et l’emmena vers le centre du préau. Là,
elle la fourra sous son coude, réajusta la jupe afin qu’elle ne couvre plus
rien des fesses de la Virginie.
« Pardon ma Sœur, pardon, je
ne recommencerai plus, pardon »
Sœur Marie Hortense semblait
indifférente à la litanie de la jeune fille. Elle leva son bras et, donnant le
maximum de vitesse à la lanière de son instrument punitif, elle l’abattit sur
les fesses de la jeune fille. Le claquement ne fut pas impressionnant. La réaction
de Virginie, par contre, le fut.
L’ensemble de ses muscles se
tétanisa. Elle se raidit des pieds à ma tête et ses jambes montèrent à
l’horizontal. Virginie émit un hoquet étranglé. Sœur Marie Hortense supportait
le poids de la jeune fille sans broncher. Cet effort ne perturba pas le rythme
de la punition. Une deuxième fois, elle appliqua la lanière sur les fesses de
Virginie. Cette fois-ci, ce fut une longue plainte qui répondit à la douleur.
Le postérieur de Virginie étaient barré par deux longues traces rouges
parallèles. Il y en eut bientôt une troisième, puis une quatrième.
La lanière de cuir s’abattait
régulièrement. Sœur Marie Hortense avait adopté un rythme lent qui détachait
bien chaque coup de lanière l’un de l’autre. Compte tenu de la souplesse de
l’instrument punitif, il fallait qu’elle prenne son élan pour que la lanière
prenant de la vitesse, accumule de l’énergie qu’elle dissipait sur les fesses
de la punie qu’elle tenait sous son bras. Le résultat était ravageur.
Virginie criait, sanglotait,
tentait de supplier sa correctrice et promettait tout ce qu’elle pouvait. Cela
donnait un résultat incompréhensible tellement ses phrases étaient hachées par
les interruptions que provoquait la lanière à chaque fois qu’elle marquait les
fesses de la jeune fille. Elle trépignait sur place au rythme de la fessée.
Finalement, les marques rouges
sur les fesses de Virginie couvrirent toute la surface de son postérieur. Elles
se croisèrent, se chevauchèrent jusqu’à obtenir un rouge sombre uniforme. Sœur
Marie Hortense s’en tint là. Elle relâcha la jeune fille. Les jambes de
Virginie de dérobèrent sous son poids. Elle serait tombée si sœur Marie
Hortense ne l’avait pas soutenue. Cette défaillance ne dura pas. Sœur Véronique
remit la jeune fille au piquet. Celle-ci reprit la pose, nez contre le mur et
mains sur la tête. Ses sanglots peu à peu s’espacèrent. Le rouge de ses fesses
pâlit doucement, mais à la fin de la récréation, elles étaient encore bien
enflammées.
Sœur Marie Hortense revint
inspecter son travail à la fin de la récréation. Elle passa sa main sur les
fesses de la jeune fille et elle eut un hochement de tête approbateur.
« Vous êtes punie pendant
deux jours. Je vous donnerai la fessée à chaque récréation. Vous reviendrez me
voir après le déjeuner. Je m’occuperai alors du haut de vos cuisses. N’oubliez
pas ! »
La jeune fille hocha la tête pour
montrer son acceptation, tout en réprimant un sanglot. Ses yeux étaient encore
remplis de larmes. Elle reçut alors l’autorisation de remonter sa culotte, ce
qu’elle fit avec précaution et quelques grimaces de douleur, notamment quand
l’élastique de sa culotte passa le gras de ses fesses. Je pensais avec
compassion au moment où elle devrait s’assoir sur sa chaise. Les deux prochains
jours promettaient d’être inconfortables.
La semaine d’école tirait sur sa
fin. Nous finissions par une heure d’éducation physique sous la houlette de
Sœur Gabrielle. J’avais participé aux activités des autres garçons sans
chercher à me dérober. Habillé dans la même tenue de sport que les autres, je
passais inaperçu. Les deux premières séquences de la semaine s’étaient passées
sans anicroche, du moins en ce qui me concerne.
Sœur Gabrielle avait donné
quelques fessées qui se limitaient à quelques tapes bien senties sur les fesses
des contrevenants, essentiellement pour réprimer ceux qui flemmardaient pendant
les déshabillages ou pour exiger une propreté plus nette de l’une ou l’autre
partie du corps d’un de ces jeunes gens. L’une d’elles avait été plus sérieuse.
Pour une propreté approximative, un garçon avait fini en pleurs, courbé sous le
bras de la religieuse.
Ces jours-là, j’avais fait
attention à prendre une douche méticuleuse et à avoir une culotte bien propre.
A la fin des deux cours, j’avais pris ma douche sans discuter, même si j’étais toujours
aussi mal à l’aise de me montrer nu devant les autres garçons. Sœur Gabrielle
me surveillait, comme elle le faisait pour les autres garçons. Elle ne faisait
pas particulièrement attention à moi, mais j’avais l’impression d’être en
permanence sous son regard. J’avais le sentiment qu’elle voyait tout ce qui se
passait autour d’elle, y compris quand elle avait le dos tourné. Nul, et
surtout pas moi, ne se serait risqué à commettre une infraction rien que pour
vérifier si elle avait effectivement des yeux dans le dos, comme la rumeur le
laissait croire.
Dans le vestiaire, ce
vendredi-là, je me déshabillais, pour passer ma tenue de sport. J’étais en
sous-vêtement, ce qui n’outrageait pas ma pudeur. Comme à son habitude, Sœur
Gabrielle passait entre les garçons qui se préparaient pour son cours. Elle
s’arrêta devant moi. Elle me prit pas la main et m’amena vers un lieu plus
éclairé de la pièce. Elle me ceintura et me courba sous son bras. Je ne pus
retenir une supplication :
« Non, ma sœur, pas la
fessée ! »
– Auriez-vous commis une bêtise
qui m’ait échappée ? Je n’ai pas trouvé que vous en ayez mérité une pour
l’instant. »
Sœur Gabrielle baissa alors ma
culotte. Elle passa sa main sur mes fesses et elle m’avertit :
« Attention, laissez-moi
faire ! »
Elle écarta alors mes globes
fessiers et passa, au fond de la raie de mes fesses, une feuille de papier
hygiénique qu’elle avait sorti de sa poche. Elle tendit la peau du pli de
l’aine et en éprouva la propreté en y passant sa main. Alors, en me remettant
debout, elle vérifia la propreté de la zone autour de mon pubis en soulevant
mon sexe, puis en le décalottant.
C’était la deuxième inspection
que je subissais pour vérifier ma propreté. Je ressentais, à leur propos, un
sentiment ambivalent. Je savais à quoi m’attendre, j’en avais une certaine
habitude, quoique récente, ce qui en atténuait le caractère exotique. Je ne
pourrais pas dire que je m’y habituais, tant était fort le sentiment de honte
de devoir être soumis à ce traitement comme un petit garçon, tout en sachant
qu’il était parfaitement justifié compte tenu de mes négligences.
Celle-ci s’était déroulée en
public. Je sentais le rouge me monter au front. Elle m’avait déculotté comme
elle le faisait avec ses élèves. Son attention maternelle à mes parties intimes
révélait publiquement combien elle me contrôlait y compris jusqu’aux aspects
les plus privés de ma vie. Ma soumission confirmait son droit à vérifier mon
hygiène. Nos quelques paroles échangées que certains de mes condisciples
avaient surement entendues, expliquaient qu’elle pouvait, si nécessaire, me
soumettre à la fessée.
Sœur Gabrielle m’autorisa à me
reculotter, ce que je fis avec le plus de célérité possible. Je jetais un œil
autour de moi et je ne remarquais pas une effervescence particulière suite à
mon déculottage. C’était, à St Marie une scène assez banale qui pouvait arriver
n’importe quand à n’importe quel élève, surtout avec Sœur Gabrielle à
proximité. Cela ne méritait pas qu’on y accordât une attention particulière.
Nul ne semblait noter que le consultant qui venait d’être soumis à ce
traitement commun pour les élèves, n’était pas l’un deux.
En finissant d’enfiler ma tenue
de sport, je soufflais intérieurement. Cela ne s’était pas achevé par une
fessée que Sœur Gabrielle n’aurait sans doute pas hésité à m’administrer en
présence de tous les élèves. Je songeais à ce qu’il aurait pu en être si, comme
j’avais failli le faire ce matin, j’avais cédé à ma tendance à la paresse en
sautant la douche pour gagner quinze minutes dans mon lit.
J’avais supposé qu’après deux cours
sans examen particulier de ma propreté, Sœur Gabrielle considérait maintenant
que mon attention à mon hygiène corporelle était acquise. Je venais d’avoir la
preuve qu’il n’en était rien. Je devais me faire à l’idée que ses contrôles
seraient aléatoires. Cela signifiait que je ne pouvais pas me relâcher sur mes
prises de douches, du moins les jours où j’avais un cours d’éducation physique.
Pour suivre le fil de cette histoire :
Pour comprendre le contexte : introduction
Le premier épisode : chapitre 1
L'épisode précédent : chapitre 8
Le prochain épisode ... le voici : chapitre 10.
L'épisode précédent : chapitre 8
Le prochain épisode ... le voici : chapitre 10.
Axel entre dans une routine qu'il espère profitable à la réussite de son rapport...
RépondreSupprimerCe faisant et tel un jeune ado, il repousse sans cesse ses limites, il teste...
Pourvu qu'il ne soit déjà pas trop tard pour lui, ce que personnellement je crains.
Bonjour,
SupprimerC'est le lot de tout test d'aller à la limite extrême de ce qui est possible. Axel marche sur un fil. De quel côté tombera-t-il ? La réponse est sans doute évidente. Jusqu'à où ira sa chute ?
Au plaisir de vous lire,
JLG.