lundi 23 octobre 2017

L'institut F - chapitre 2

Marie et Caroline, les deux animatrices de l’Institut F, sont sûres de l’utilité de leurs prestations. Le projet a été mûrement réfléchi, évoqué à la maison avec l’aide des maris, plutôt bien placés tous les deux pour avoir un avis autorisé... L’expérience vaut décidément mieux que n’importe quelle étude de marché. Une étude de marché assez délicate à mener par ailleurs compte tenu de la spécificité des prestations.


A la maison, la fessée fait partie de mode de fonctionnement quel que soit l’âge et leurs maris ne sont pas les derniers à se retrouver cul nu lorsqu’ils sortent des règles établies. Elles ont parfaitement appréhendé les bienfaits d’une bonne fessée qui permet de remettre les règles de vie commune au centre de la vie de famille et de passer ensuite l’éponge sans ressentiments ni regrets. Après une bonne fessée et un passage au coin pour réfléchir un peu, on ne ressasse pas l’incident, on ne répète pas des reproches en boucle. La faute est purgée.

Mais elles savent aussi, pour avoir tenté d’évoquer le sujet avec des bonnes copines, que beaucoup hésitent à déculotter un grand fils, une adolescente ou évidemment un mari pour le punir. Sans doute parce qu’il est communément admis, mais à tort, qu’après un certain âge, la fessée n’est plus de mise. Aussi beaucoup de leurs amies n’osent simplement pas contrevenir à cette idée reçue, à ce politiquement correct qui empoisonne la vie. Mais, de conversations en conversations, elles ont aussi vu s’allumer le regard de leurs amies qui n’osent pas mais se laisseraient bien convaincre.  Alors, le faire faire par une autre, dans un cadre organisé, serait alors un bon moyen d’en tester les avantages, d’observer une première expérience quitte à fesser ensuite soi-même le sujet récalcitrant.

C’est donc sans surprise que, dès le premier jour, elles voient arriver, quelques minutes après l’ouverture, un premier client. Jérôme est un grand adolescent, probablement d’environ 18 ans. Moins de vingt en tous cas. Il est accompagné de sa mère qui a l’air fort contrariée. C’est Marie qui va recevoir ce premier client. Elle connait le contexte. Elle a elle-même un grand garçon qui lui a donné, et lui donne encore parfois du fil à retordre et de multiples et fréquentes fessées à administrer. Elle sait s’y prendre avec ce type de client.  Elle fait rentrer le jeune Jérôme et sa maman dans un des deux bureaux, s’installe et fait assoir les deux visiteurs.

Je vous écoute, Madame, signifiant bien que le jeune homme n’a pas la parole, avec un regard ferme qui ne souffre aucune contestation.

D’un ton désabusé la mère de famille expose la situation. Je n’y arrive plus. Mon mari non plus d’ailleurs. A la maison, Jérôme ne participe en rien aux taches de la vie de famille. Mettre la table, aider à ranger, sortir le chien… jamais il ne rend le moindre service. Mais aujourd’hui après lui avoir demandé plusieurs fois et sans succès de ranger sa chambre, j’ai craqué. D’autant qu’il me répond à chaque fois sur un ton insolent qui m’est parfaitement insupportable.  Je lui ai alors mis le marché en main : le faire venir ici ou je le mets à la porte de la maison. Il a préféré venir ici. C’est à prendre ou à laisser, c’est pour lui le rendez-vous de la dernière chance et il le sait.

Bien. Merci madame. Et vous Jérôme, vous avez quelque chose à ajouter ?

Ben non. Puisque c’est à prendre ou à laisser, finissons-en vite, répondit-il sur un ton blasé qui est un parfait exemple de la description faite par sa maman.

Je vois... En plus de vous faire comprendre qu’il faut ranger votre chambre, je vais devoir vous faire passer l’envie de me répondre sur ce ton. L’insolence est un défaut que notre thérapie sait parfaitement faire passer et vous aller le constater par vous-même.
Vous allez vous levez, retirer votre pantalon et vous présenter devant moi.

Euh..Vous…vous plaisantez, j’imagine ?

Non, j’ai l’air ? Ecoutez mon bonhomme, je n’ai pas de temps à perdre et malgré les apparences vous n’allez pas me prendre longtemps pour une blonde. Dans le cadre de mon activité ici, j’ai peu l’occasion de plaisanter et certainement pas avec vous Donc, soit vous obtempérez sans histoires et sans délai, soit vous quittez les lieux et vous savez que vous devrez quitter l’appartement de vos parents et le confort de vie que vous y avez. A vous de choisir. Je vous donne 30 secondes, pas une de plus. Vous voilà prévenu. Le ton ne souffrait manifestement guère de contestation !

Quant à vous, chère madame, je préférerai que vous assistiez à la punition. Vous verrez comment la punition est donnée et il ne vous sera que plus facile de la donner directement vous-même.

Impressionné par le ton péremptoire de son interlocutrice, Il n’aura pas fallu 20 secondes pour que Jérôme ôte son pantalon et se présente devant Marie qui, entre-temps avait pris place sur une chaise au milieu de la pièce. Deux doigts sous l’élastique du slip de Jérôme, et le voilà cul nu devant elle. Interloqué, gêné, il essaya de s’y opposer d’une main tremblante.

En deux temps trois mouvements, d’une claque sur les mains du jeune homme et d’une torsion de son bras droit, il se retrouva cul nu sur les cuisses de Marie.

 Je vous déconseille la moindre résistance, le moindre geste déplacé. Des jeunes garçons tout nus devant moi dans cette situation j’en ai vu souvent. Ça ne m’impressionne vraiment pas. Et vous comprendrez très vite les conséquences de votre éventuelle résistance. A vos dépends, si vous voyez ce que je veux dire.

Jérôme commença à voir assez vite en effet. La première claque résonna sur le derrière nu du jeune homme qui tenta de se cabrer. Immédiatement une pluie de claques tomba sur ses fesses à un rythme fort et ininterrompu. Dix peut-être même quinze de suite.  On se calme ou j’accélère ? Jérôme semblait plutôt calmé. La fessée repris alors à un rythme plus régulier, une claque en alternance sur chaque fesse. Les claques tombaient de haut avec une force insoupçonnée. Jérôme n’avait sans doute jamais été fessé ou pas depuis longtemps. Ses fesses prirent vite une couleur rouge, vraiment rouge. Marie savait qu’il fallait fesser fort pour marquer l’esprit du jeune homme. La fessée fut magistrale, longue et marquante. Les deux fesses mais aussi le haut des cuisses avaient une couleur uniforme témoignant de la sévérité de la punition.

Et voilà, j’espère que vous vous souviendrez de cette fessée. Soyez sûr que ni votre mère ni moi n’hésiteront à recommencer si nécessaire. Et en cas de récidive vous aurez droit au martinet, le gros martinet que vous voyez là, pendu sur le mur.
Mais… vous faites quoi là ?

Jérôme s’était relevé et entreprenait tranquillement de se reculotter. Erreur grossière ! Marie l’attrapa vivement par le lobe de l’oreille. Vous allez tout de suite au coin, cul nu et les mains sur la tête pour réfléchir un peu. Madame, je vous offre un café ? La maman de Jérôme semblait en effet complètement déstabilisée par ce qu’elle venait de voir.

Pendant que Marie et la maman de Jérôme devisait sur les bienfaits de la fessée cul nu, Jérôme, plus ou moins discrètement, se massait le derrière pour en atténuer la douleur. Marie, saisit alors la règle plate et sans faire de bruit, rejoint Jérôme pour lui asséner trois ou quatre bons coups de règle, cinglants et marquants. Je vous ai dit de mettre vos mains sur votre tête. Si vous voulez essayer tout de suite mon martinet, continuez donc à désobéir ! » Après la fessée qu’il venait de recevoir, Jérôme avait le postérieur particulièrement sensible. Mais il y avait fort à parier qu’il était aussi ou surtout vexé dans son amour propre. Il lâcha alors prise, abandonna sa dignité apparente et fondit en larme.

Marie avait obtenu ce qu’elle voulait : soumettre ce jeune insolent. C’était une phase indispensable pour lui inculquer ensuite de nouveaux principes. Elle l’autorisa enfin à se rhabiller et en le raccompagnât à la porte de l’établissement lui sourit chaleureusement. Je ne vous dis pas à bientôt… J’espère pour vous. Au revoir.



La porte de la seconde pièce était soigneusement fermée. Caroline y était sans doute en train d’y officier. Les affaires commençaient. Marie en était vraiment convaincu : il y avait un véritable marché de la fessée. Un business d’utilité publique. 

Pour lire ce qui s'est passé auparavant

L'épisode précédent : chapitre 1 

Pour la suite, c'est le chapitre 3

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