Mon réveil fut difficile. Encore
dans les brumes de la fin du sommeil, je me retournais. Mon poids sur mes
fesses me rappela à la réalité. Mon postérieur n’était plus réellement
enflammé. Mais la gêne que j’éprouvais au contact du matelas de mon lit,
suffisait à me remémorer la punition reçue le soir précédent.
La honte. C’est le sentiment qui
dominait. J’avais honte de moi. Des larmes me montèrent aux yeux. Comment
avais-je pu me comporter aussi inconsidérément ? A mon âge, ne pas être
capable d’entretenir ma chambre, c’était vraiment … un comportement enfantin.
Je ne trouvais pas d’autre qualificatif. Je ne savais pas combien de personnes,
à St Marie, qui avaient maintenant une piètre opinion de moi, qui devaient me
considérer comme un adulte incapable de s’assumer. Comment pourrais-je croiser
leur regard ?
J’avais une sensation plus
complexe vis-à-vis de la fessée que m’avait administrée Sœur Gabrielle. Bien
sûr si j’avais eu mon mot à dire, j’aurais refusé de la recevoir. Je n’arrivais
pas à comprendre qu’on puisse soumettre un adulte à une punition aussi
humiliante. Ce n’était plus de mon âge d’être fessé et encore moins déculotté.
Il est vrai qu’à St Marie, l’âge ne semblait pas un critère prépondérant.
Heureusement que tout cela s’est
déroulé en privé. En privé ? Ce n’était pas si certain. Je ne pouvais pas
savoir qui avait entendu le bruit de la fessée et de mes cris à travers les
cloisons qui séparaient les chambres. Mathilde, à coup sûr puisque j’avais
entendu la sienne. Qui d’autre ? La rumeur circulerait certainement
rapidement parmi le corps des professeurs.
Pourtant, la fessée était
sacrément efficace. Je m’étais promis, hier soir, d’être désormais
irréprochable sur le rangement de ma chambre. Ce n’était pas la première fois
qu’on m’avait critiqué d’être aussi désordonné ou fait remarquer que je faisais
reposer mon désordre sur les autres, leur laissant le soin de ranger un minimum
après moi quand ils trouvaient mon fatras insupportable. A commencer par Julie,
ma jeune colocataire, pas plus tard que la semaine dernière.
C’était, par contre, la première
fois que je me sentais une détermination aussi ferme même après une nuit de
sommeil. Bien sûr, il s’agissait de l’image que j’avais de moi-même. La fessée
m’avait renvoyé le regard que les adultes portaient sur moi : un enfant
trop vite grandi sans avoir appris les exigences qu’impose le fait d’être
adulte. Les reproches que j’avais entendus jusque-là n’avaient pas eu la force
de conviction que la punition de Sœur Gabrielle avait rendue incontournable. Il
était maintenant acquis que je n’étais pas réellement un adulte et qu’il
fallait une autorité ferme pour surveiller mes négligences. Désormais, Sœur
Gabrielle en assumait le rôle.
Il s’agissait également d’éviter
une nouvelle fessée. Je savais que Sœur Gabrielle n’hésiterait pas à y recourir
une nouvelle fois si je lui en donnais l’occasion. Je ne pus éviter de grimacer
à la pensée d’une prochaine correction. Sœur Gabrielle me l’avait promise.
Selon elle, il était inévitable que j’y sois de nouveau soumis, compte tenu de
tout ce qu’il y avait à rectifier dans mes habitudes et mes comportements.
Ce matin-là, dans la chaleur de
mon lit, je pris la ferme résolution de ne plus donner de raison à Sœur
Gabrielle de me fesser. Je ne voulais plus connaitre l’humiliation d’avoir la
culotte baissée, la douleur que provoquait la main de la religieuse sur mes
fesses et le sentiment d’être encore un petit garçon. Et surtout, je voulais
que Sœur Gabrielle soit fière de moi, je voulais qu’elle me dise combien elle
était satisfaite de mes progrès.
« Oh, non, pensais-je en
sortant de ma rêverie éveillée. »
L’heure avait tourné et il était
presque temps de me présenter au petit déjeuner. Pas de douche ce matin ?
Pas de cours d’éducation physique, c’était donc envisageable, c’était
impossible avec la perspective de ma confrontation ce soir avec Sœur Gabrielle.
Il ne manquerait plus qu’elle s’aperçoive que je n’ai pas pris le temps d’une
toilette sérieuse.
Je me levais en catastrophe,
filais dans la salle de bain. Ma toilette fut rapide, mais je passais sous la
douche sans être certain d’avoir récuré toutes les parties de mon corps que
j’oubliais parfois. Je finissais de m’habiller dans le couloir et je courus
pour rejoindre le réfectoire. Tout le monde était entré, la porte était
refermée. Que dirait Sœur Gabrielle si j’étais en retard ? Serait-ce un nouveau
motif de punition ? Considérerait-t-elle que la fessée devait m’être
donnée sur le champ, devant tout le monde ?
La peur au ventre,
j’entrebâillais la porte et je me glissais dans le réfectoire.
« Ouf, pensais-je, j’arrive
à temps. »
Les derniers élèves prenaient
leur place à table. Je rejoignis ma place, sur l’estrade avec les professeurs.
Sœur Gabrielle s’était-elle aperçue de mon arrivée presque en retard ? Je
lui jetais un coup d’œil discret. Elle me regardait et dès qu’elle accrocha mon
regard, elle porta sa main à hauteur de son visage, l’agitant de haut en bas en
un geste explicite de menace. Je plongeais dans mon bol, cherchant à me faire
oublier.
Je ne me sentais pas tranquille.
Sœur Gabrielle n’avait pas donné suite à son avertissement. Se réservait-elle
pour ce soir ? Là, elle m’aurait sous la main pour me punir de tout ce qui
pouvait m’être reproché dans la journée. Ce retard qui n’en était pas vraiment
un, méritait-il une fessée ? Je n’arrivais pas à me faire une opinion
définitive.
Je revenais sans cesse à la
prochaine soirée. Je n’imaginais pas un seul instant que Sœur Gabrielle ne
tiendrait pas sa promesse. Elle viendrait vérifier que le ménage de ma chambre
avait été bien effectué. Faire le ménage. Cela n’avait jamais été mon fort.
Chez mes parents, c’était
toujours ma mère qui s’en chargeait. Je n’avais jamais eu à passer le moindre
balai dans ma chambre ni même faire la vaisselle une seule fois. J’avais
découvert cette activité en prenant une colocation. Je m’étais débrouillé pour
contribuer à la communauté en effectuant d’autres tâches. Depuis trois ans que
nous cohabitions Julie, Marc et moi, ma colocataire s’en plaignait
régulièrement. Je participais avec un minimum de motivation, ce qui se
traduisait dans la qualité du ménage que je faisais.
Ce soir, il n’y aurait pas de
faux-semblant. Je devais prendre le nettoyage de ma chambre à bras-le-corps. Je
m’en sentais capable, pour d’une part éviter une fessée mais également pour
montrer à Sœur Gabrielle que je pouvais assumer mes responsabilités d’adulte.
Je rêvais qu’elle me félicitât de la qualité de mon travail. Cette pensée me
ragaillardit.
« C’est décidé, me dis-je,
ce soir Sœur Gabrielle me complimentera pour le travail soigné que je
ferai. »
Je ne pouvais m’empêcher d’avoir
un petit doute au coin de mon esprit. Serai-je assez tenace pour m’imposer
jusqu’au bout une séance de ménage qui satisferait Sœur Gabrielle ?
« Décidément, pensais-je, la
méthode utilisée à St Marie fonctionne très bien, encore plus avec moi. »
L’ombre de Sœur Gabrielle planant
au-dessus de moi et les fessées qu’elle promettait m’obligeaient à une plus
grande exigence vis-à-vis de moi. C’était sans nul doute l’effet recherché.
Je ressassais toutes ces
interrogations sans réponse sans trop prêter attention à ce qui se passait dans
le cours de Sœur Thérèse. Observer les méthodes pédagogiques en œuvre n’était
pas aujourd’hui ma priorité.
Je fus rattrapé par Sœur Thérèse
à la fin du cours.
« Axel, je vous ai vu
rêvasser pendant toute une heure. Cela donne un très mauvais exemple aux
élèves. Vous profitez outrageusement de ne pas être placé sous mon autorité
comme les autres enfants. Je ne vais pas pouvoir continuer à vous accepter dans
ma classe dans ces conditions."
Je marmonnais quelques vagues
excuses et fis quelques promesses que je n’avais pas l’intention de tenir.
Le soir venu, dès le dîner
terminé, je regagnais ma chambre. En passant devant Sœur Gabrielle qui n’avait
pas encore quitté la table, je reçus un regard approbateur. Je rangeais
soigneusement mes affaires, fit un tour des placards pour vérifier que tout y
était en ordre, puis je commençais le ménage.
D’abord un coup de balai. Je fus
étonné par le volume de mouton de poussière que je sortis de dessous mon lit.
Il me fallut deux voyages à la poubelle pour évacuer toute la poussière qui ne
tenait pas dans une seule pelle. Une éponge, du produit dégraissant et je
m’attaquais à la salle de bain. Les ennuis commencèrent. Il y avait trop de
produit nettoyant et je fus rapidement dépassé par la mousse. Il me fallut
rincer quatre fois le carrelage posé sur le mur pour arriver à évacuer le trop
plein de produit. Confronté au même problème au-dessus du lavabo, je décidais
d’utiliser la douche toute proche pour accélérer le rinçage. Mal m’en prit.
L’eau éclaboussa partout et je dus éponger le sol.
Je trouvais mes efforts mal
récompensés. Un peu énervé, je bousculais la bassine remplie d’eau et elle
bascula, répandant tout son contenu. L’éponge ne suffisait plus. J’allais
prendre une serpillère dans le placard, furieux contre les objets qui se
liguaient contre moi. J’essorais ma serpillère dans le bac à douche. Il était
maintenant nécessaire de laver le bac une nouvelle fois pour éliminer les
résidus de mon essorage.
Je regardais ma montre. Quinze
minutes. Cela ne faisait que quinze minutes et j’étais déjà épuisé. Je
regardais autour de moi et je constatais que j’avais déjà largement amélioré la
situation.
« Il me reste peu de choses
à faire, pensais assez satisfait de moi. Je vais faire une pause, je reprendrai
plus tard. »
Je pris ma station de jeu et je
me plongeais dans l’univers des monstres qui voulaient conquérir la planète que
j’étais chargé de défendre. J’étais assez doué pour cette activité. Elle
m’absorbait assez facilement et je perdais facilement la notion du temps.
Quand, victorieux des aliens, je levais les yeux, un quart d’heure avait passé.
Je décidais, bien que j’eusse encore largement le temps, de finir ce satané
ménage.
Le produit, dilué dans une eau
maintenant trop froide, ne dégraissait plus rien. Il fallait changer l’eau et
la remplacer par de la chaude, avec moins de produit. En versant ma cuvette
dans le bac à douche, je pris conscience de ma bêtise. Le bac à douche était de
nouveau sale, il fallait le nettoyer une troisième fois. Les insultes bien
pesées que je lui envoyais n’y changèrent rien, je m’y attelais une nouvelle
fois. Afin de me calmer, je fis une nouvelle pause.
Je regardais alors mon travail.
Je le considérais comme satisfaisant. La salle de bain avait été récurée, il
n’y avait plus de poussière dans la chambre. Tout y était rangé impeccablement.
Je ne voyais pas ce que Sœur Gabrielle pourrait trouver à y redire.
« Ce n’est pas parce que je
n’ai pas lavé le sol dans ma chambre que c’est sale. Et puis, ça ne se voit
pas. »
Encore vingt-deux minutes avant
l’arrivée de Sœur Gabrielle. J’avais le temps. J’avais bien en tête que je
devais me mettre au coin dès que la fin du nettoyage, mais je me rappelais
également la difficulté à tenir la posture que j’avais éprouvé la veille.
J’hésitais, puis la raison l’emporta. Je me mis au coin, croisant mes bras dans
le dos.
Je commençais à compter dès le
début pour ne pas perdre la notion du temps. Cinquante, … soixante. Je
regardais ma montre pour vérifier que j’étais dans le bon tempo. Deux secondes d’avance.
J’allais un peu vite. Je repris la position. Cent-cinquante, … Deux-cent-vingt,
… trois-cent. Je m’ennuyais ferme avec ce temps qui ne passait pas.
« Juste une petite pause,
pensais-je. »
Je quittais le coin, songeais à y
retourner très vite.
« Quel con ! criais-je
tout haut dans ma chambre. »
La pression que me mettait Sœur
Gabrielle avait rouillé mon cerveau. Pas besoin de rester au coin aussi
longtemps. Il suffisait de m’y mettre cinq minutes avant l’arrivée de Sœur
Gabrielle.
« Du temps gagné pour me
détendre. »
Je jugeais que je l’avais bien
mérité. Je m’allongeais sur mon lit, reprit le jeu vidéo là où je l’avais
laissé. Pour plus de précaution, je programmais mon téléphone afin qu’il sonne
cinq minutes avant l’heure fatidique. J’avais dix bonnes minutes.
C’est à ce moment précis que j’ai
entendu du bruit dans le couloir. Précipitamment, je me lève et je cours vers
le coin. Le silence se fait. Pas de Sœur Gabrielle.
« Quel couard, me
morigénais-je intérieurement. »
Encore plus de dix minutes. Pas
question de rester en pénitence aussi longtemps.
« Cinq bonnes minutes de jeu
vidéo de gagnées, pensais-je en me vautrant de nouveau sur mon lit. »
Cela faisait suffisamment de
temps que je jouais pour être absorbé par le jeu, mais pas assez de temps pour
que l’alarme sonne la fin de la pause détente. La porte de ma chambre s’ouvrit.
Sœur Gabrielle entra.
Je sursautais et je me trouvais
sur mes pieds en un clin d’œil. Je courus jusqu’au coin où je pris la pause.
« Tu ne pourras même pas
dire que tu avais oublié que tu devais te mettre au coin, commenta-t-elle.»
Je m’attendais à ce qu’elle
vienne me cueillir au coin pour me donner la fessée. Je l’entendis prendre
place sur mon lit.
« Viens ici ! »
Je marchais vers l’endroit que
son doigt désignait : le sol entre ses pieds.
« Quel crétin, quel
imbécile, quel triple buse. »
Je me sermonnais intérieurement.
« Une fessée que je n’ai pas
volée, pensais-je. »
Ce n’était que la troisième fois,
mais j’avais déjà l’impression d’un rituel bien établi. Sans un mot et sans
précipitation, Sœur Gabrielle déboucla ma ceinture, déboutonna mon pantalon,
fit glisser la fermeture éclair de ma braguette, puis, elle baissa mon
pantalon. Elle lui fit passer l’obstacle de mes genoux pour le laisser tomber
sur mes mollets. Alors, des deux côtés de mes hanches, elle glissa ses pouces
sous l’élastique de ma culotte et la fit glisser le long des mes cuisses pour
l’abandonner à hauteur de mes genoux.
Je n’avais pas esquissé un geste.
Je savais, après l’avertissement d’hier que toute tentative de résistance
serait très mal venue. Je la regardais faire, les mains légèrement écartées,
lui laissant le champ libre. Je me sentis rougir et, une fois la culotte
baissée, je n’éprouvais plus que de la honte avec une pointe d'appréhension à l'idée de ce qui m'attendait.
Sœur Gabrielle me prit le poignet
et elle le tira vers elle. Elle me montrait ainsi la position qu’elle
souhaitait que je prenne. C’était la même que la veille. Je me courbais pour
suivre son mouvement et je tombais doucement en travers de sa cuisse gauche, le
nez enfoui dans le drap de mon lit.
C’est alors que l’alarme de mon
téléphone retentit.
« Je vois que tu avais tout
prévu. C’est donc bien une désobéissance préméditée. La fessée n’en sera que
plus sévère. »
La main de Sœur Gabrielle frappa
une première fois sur le sommet de ma fesse droite, puis une deuxième de
l’autre côté. Je les ponctuais d’un grognement que je réussis à étouffer. Elle
y mettait toutes ses forces. Cela résonnait dans la pièce comme un coup de
fouet. Je songeais un instant à ce que mes voisins pouvaient entendre, puis il
y eut une autre claque à la jonction avec mes cuisses. Ce n’était plus un
grognement, mais un cri qui se termina en un premier sanglot. Le suivant fut
déclenché par la claque qui me fut aussitôt administrée sur l’autre cuisse. Mes
sanglots se succédèrent alors sans interruption, s’y superposaient des
cris à chaque fois que je recevais une claque sur les fesses.
Ce fut une longue et vigoureuse
fessée. Non seulement Sœur Gabrielle rougit la totalité de mes fesses, mais
elle continua en fessant le haut de mes cuisses, ce qui me fit redoubler de
sanglots et émettre des cris encore plus perçants.
Je pleurais encore quand Sœur
Gabrielle me releva et me conduit au coin. Une fois positionné, elle compléta
la fessée par une dizaine de claques sur chaque fessier.
« Je ne veux pas te voir
remuer ne serait-ce qu’un petit doigt avant que je t’y autorise ! »
Je n’avais aucune intention de me
faire remarquer. Finalement, le coin était un endroit bien plus confortable que
les genoux de Sœur Gabrielle.
« Bon, fit-elle, une bonne
chose de faite. Voyons ce que ce garnement a fait comme ménage. J’espère, pour lui, qu’il est irréprochable. »
Je l’entendis faire le tour de la
pièce. Je craignais le pire.
Pour suivre le fil de cette histoire :
Pour comprendre le contexte : introduction
Le premier épisode : chapitre 1
L'épisode précédent : chapitre 11
Le prochain épisode : chapitre 13.
L'épisode précédent : chapitre 11
Le prochain épisode : chapitre 13.
Axel est totalement sous l'emprise de Sœur Gabrielle et, en plus, il semble malgré lui y prendre un certain goût!
RépondreSupprimerBonsoir Jeancla,
SupprimerJe ne sais pas si j'emploierais les mêmes terme que vous pour commenter la situation.
Il est clair qu'Axel est sous l'emprise de Sœur Gabrielle, comme un enfant peut l'être avec une personne qui, s'occupant de lui, représente à la fois l'autorité mais également un repère indispensable ayant pour tâche de punir, mais également de consoler. C'est un rôle ambivalent, une relation parentale.
De là à dire qu'il y prend goût ... je ne sais pas. L'expression ne me semble pas décrire la relation qui s'est établie entre Axel et sa professeure.
Il ne s'agit pas de fessées érotiques. Il n'y a aucune ambiguïté sur ce sujet. Dans ces situations, on peut imaginer y "prendre goût."
Ce sont des punitions, plutôt sévère, qui lui sont administrées par Sœur Gabrielle. C'est elle qui en décide. Axel n'a pas le choix de s'y soumettre ou non. Elles constituent, à chaque fois, une épreuve dont il sent les effets dans sa chair. Il est donc difficile d'y prendre goût.
Etre pris en charge par une tierce personne comble, par contre, un manque certain que la lecture des prochains épisodes devrait éclairer.
L'attention dont il fait l'objet jusque dans les moments les plus intimes, l'obligation d'avoir une plus grande exigence vis à vis de lui-même, les comportements enfantins dont il est obligé de se défaire ... et les fessées qu'il reçoit de la main de la personne représentant une autorité légitime, constituent un tout dans lequel il trouve une certaine satisfaction.
Peut-être, finalement, avez-vous raison.
Au plaisir de vous lire,
JLG.