Maman s'en mêle

"Et bien vois-tu, pour moi rien n'a vraiment changé. Tu as presque quarante-et-un an et quand je te vois comme cela, j'ai l'impression d'avoir devant moi le petit garçon que tu étais ou le grand adolescent que tu étais devenu. Tu as toujours les mêmes réactions : une tendance certaine à bouder et à pigner quand la réalité ne se conforme pas à tes désirs.

Hélas, la vie nous réserve toujours des surprises, et parfois des mauvaises. Je suis bien contente que ta femme ait suivi mes conseils. J'ai tout de suite vu que ma suggestion retenait son attention. C'est pourtant assez rare qu'une belle fille prenne avis auprès de sa belle-mère

Je dois avouer que j'ai été agréablement surprise quand elle m'a demandé de recommencer à te fesser comme je le faisais avant que tu ne te maries avec elle. Ce n'était pas, à l'époque, que j'aie considéré que tu n'en aies pas besoin. Depuis ton mariage, ma main m'a bien souvent démangé et je ne sais pas ce qui m'a retenu, plus d'une fois, de te corriger.

Sans doute ai-je considéré que ce rôle revenait à ta femme et que je devais m'effacer. Cela a mis du temps mais nous y sommes revenus.
Toutes ces années n'ont rien changé, tu as toujours eu besoin d'une personne qui te punissait pour que tu comprennes que tu venais de dépasser les bornes. Je suis persuadée qu'au fond de toi, cela t'a manqué et que toutes ces extravagances auxquelles tu t'es livré, depuis que j'ai cessé de te fesser, n'avait pour but que de rechercher qui allait y mettre le holà. J'ai bien songé le faire à plusieurs reprises mais ...

Maintenant, tout à changé. Les choses sont revenues dans l'ordre. Ta femme m'a expliqué qu'elle te punissait quand tu en avais besoin. Je ne l'ai réellement crue que le jour où elle t'a déculotté et fessé devant moi. J'ai vraiment compris qu(elle prenait tes enfantillages au sérieux quand elle m'a dit qu'elle avait demandé à tes domestique de prendre le relais pendant ses absences. Je suis certaine que l'atmosphère à la maison a maintenant changé du tout au tout. Tes caprices doivent être plus rares.
Elle préfère également que tu sois ici pendant certaines de ces absences, en particulier lorsqu'elles sont trop longues. J'ai accepté quand elle m'a expliqué comment elle entendait te faire suivre le droit chemin: une bonne fessée déculottée à chaque bêtise.

Cesse de te plaindre tu sais parfaitement que je t'avais dit que je te punirai si tu disais encore une fois un gros-mot. C'est inutile de répéter que tu es trop grand pour recevoir la fessée. Arrête de gémir que je n'ai pas le droit de te baisser la culotte.
Tu vois bien que tout cela est hors de propos et tout à fait décalé par rapport au traitement que je te réserve.
Comme si moi, ta mère, je n'avais pas le devoir de te punir quand tu le mérites. Comme si je n'avais pas vu depuis longtemps tes fesses nues. Comme si il y avait un problème à ce que tu te retrouves devant moi, les fesses nues. Tu devrais plutôt avoir honte que je sois encore obligée de de donner la fessée pour te faire passer l'envie d'être aussi impoli.

Je sais bien qu'en te punissant ici, devant la baie vitrée, Les voisins qui passent sur le chemin peuvent t'apercevoir. Je t'ai toujours donné la fessée là où elle avait été méritée, je n'ai pas l'intention de déroger à cette règle. C'est une vieille habitude qu'il va falloir reprendre. c'est ici que tu as commis la bêtise, c'est ici que tu vas recevoir la fessée.
Le risque principal que tu prends est que Marinette, la voisine - te souviens-tu d'elle? - puisse te contempler en aussi mauvaise position. Cela ne devrait pas l'offusquer. Elle t'a bien trop souvent pris sur ses genoux pour te donner une sérieuse fessée déculottée. Je parie qu'elle n'hésiterait pas à recommencer, tu sais comment elles est !

Bon, allez, mets-toi à plat-ventre en travers de mes genoux, sans discuter ou je te donnerai une deuxième fessée avec une badine. Il y en a toujours autant qui poussent dans la haie. De plus, tu devras aller la cueillir dans ta tenue actuelle. Tu risques de montrer tes fesses à bien plus de monde, comme quand tu étais petit !
Je ne sais pas pourquoi j'ai arrêté de te fesser. C'était céder aux convenances et à la mode en négligeant ce dont tu avais réellement besoin. Je remercie ma bru d'avoir remis les choses dans le droit chemin. Des fesses rougies par une fessée t'ont toujours fait le plus grand bien aux garçons désobéissant quel que soit leur âge.

En parlant de fesses rougies, il est temps de renouer avec cette tradition familiale qui a failli tomber dans l'oubli. Mets-toi en position, celle que je te faisais adopter quand tu étais plus petit !"

L'histoire a commencé là ...

          Tea Time                                                                      En cuisine                           

         

          Une fessée et au lit                                              Que Monsieur m'excuse

               

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