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samedi 1 mai 2021

Une pension de famille bien tenue - chapitre 17

Yann se tenait toujours au coin. Derrière lui la menuisière prenait congé des sœurs Johanson.

« Je vous confie mon apprenti. Je sais que vous prendrez bien soin de lui… et de ses fesses. »

La plaisanterie avait fait rire les trois femmes. Yann n’avait pas trouvé cela amusant, mais il s’était bien gardé de le faire remarquer. Il savait qu’il avait encore une fessée à prendre d’ici ce soir, une seule s’il faisait bien attention à ce qu’il faisait et à ce qu’il disait. Les sœurs Johanson étaient tout aussi sévères que sa patronne.

vendredi 30 avril 2021

Une pension de famille bien tenue - chapitre 16

 La matinée était passée à une vitesse extraordinaire. La menuisière avait montré à Yann comment régler la machine et il avait découpé des pièces de bois qui étaient destinées à la fabrication d’une table. Il fallut modifier régulièrement les largeurs de coupe et Yann se trompa à deux reprises, produisant des pièces qui n’étaient pas utilisables. Sa patronne le gronda, mais, au grand soulagement de Yann, elle s’en tint là. Yann dut recommencer les pièces défectueuses et il n’y eut pas d’autres conséquences.

jeudi 29 avril 2021

Une pension de famille bien tenue - chapitre 15

 La menuisière passa son bras autour du buste de Yann et elle fit pression sur son dos. Yann sentit les muscles de sa patronne se nouer et il dut se courber. Il ne chercha pas à résister à la pression qui le plaçait sous le bras de la menuisière et le plaquait contre son flanc. Il aurait peut-être pu le faire, mais il n’en était pas certain et il n’était pas en état d’essayer. Tout allait bien trop vite pour lui. La menuisière le souleva légèrement pour l’éloigner un peu d’elle. Elle le fit sans effort apparent.

samedi 24 avril 2021

Une pension de famille bien tenue - chapitre 13

 Mademoiselle Solveig était inquiète. C’était elle qui avait proposé à la menuisière de prendre son apprenti en pension. C’était prendre le risque de déconstruire le fragile équilibre qui s’était mis en place depuis que la boulangère était venue leur demander de prendre en charge la discipline de Louison et de François.

Il y avait eu quelques jours de turbulence au début, nécessitant un recours régulier à la fessée dont certaines avaient laissé des marques sur les fesses pendant plusieurs jours. Olga et elle avaient dû être très vigilantes aux désobéissances de leurs deux pupilles afin de leur montrer que tout écart serait sanctionné.

vendredi 23 avril 2021

Une pension de famille bien tenue - chapitre 12

 Quand le gant de toilette passa sur ses seins, Louison fut étonnée de ne rien ressentir de particulier. Le geste de Mademoiselle Solveig n’était pas une caresse. La seule chose qui intéressait la logeuse, c’était la propreté de la jeune femme. Il fallait la rendre propre comme un sou neuf. Elle s’y employait avec le sérieux et l’efficacité dont elle faisait preuve en toute chose.

Quand la main descendit sur le ventre, Louison se tendit. C’était le moment redouté. Mademoiselle Solveig la fit pivoter et lui passant le gant sur le dos, elle l’enduisit de savon. Tout cela était fait avec fermeté, mais également avec douceur Mademoiselle Solveig passa aux fesses sans modifier ses façons de faire. Ce fut après avoir remis Louison face à elle que les choses se gâtèrent.

jeudi 15 avril 2021

Une pension de famille bien tenue - chapitre 7

 « Qui t’a donné l’autorisation de partir ? »

François sursauta et se retourna précipitamment. Il avait été surpris et son plan de départ en catimini venait d’être éventé.

« Mais je croyais que c’était fini. J’ai tout fait.

– Et tu crois que je vais te laisser partir aussi tôt ? Ce serait une punition bien légère. Je crois plutôt que tu essayais de filer à l’anglaise. »

mercredi 14 avril 2021

Une pension de famille bien tenue - chapitre 6

 Les deux mains de la boulangère saisirent la culotte de François de chaque côté de ses hanches et d’un mouvement sans précipitation, elle la descendit jusqu’en bas des cuisses. Une rapide sensation de fraîcheur. François sentit les regards converger vers son pénis et ses testicules. C’était encore un spectacle peu commun pour les trois spectateurs. François craignait qu’il ne devint banal. Son sexe commença à se durcir et à se dresser. La honte d’être déculotté en public et d’être vu dans une situation intime furent trop fortes. Il plaça ses mains devant son sexe.

Une claque sur les fesses sanctionna ce geste déplacé.

vendredi 9 avril 2021

Une pension de famille bien tenue - chapitre 4

 « Puisque tu ne sais pas obéir quand on ne t’a pas sous les yeux, tu vas aller au coin, mais chez moi. »

Les larmes coulaient encore sur les jours de Louison. Ses fesses avaient été copieusement meurtries par sa patronne. Elle s’était juré qu’elle retiendrait la leçon. Elle suivit la boulangère qui la conduisait par le bras vers la sortie de la boulangerie.

« Mais, Madame, où va-t-on ? Je ne peux pas aller dehors comme ça ! On va voir ma culotte ! »

jeudi 8 avril 2021

Une pension de famille bien tenue - chapitre 3

 Les deux baguettes en bois, souples, fines mais pas trop, attendaient sur la table. François et Louison avaient cueilli chacun la sienne, puis ils étaient retournés au coin. La boulangère n’avait plus de doute sur l’attention que les deux sœurs porteraient désormais à ses deux employés.

Elles avaient demandé quelques conseils à leur amie, puis elles avaient décrété qu’elles sauraient se débrouiller pour la prochaine fessée, celle qui, le soir-même, devait punir le mensonge de la fin d’après-midi.

mardi 27 octobre 2020

La SFID - saison 3 - chapitre 22 bis

 La rencontre

J’étais remonté de Lyon satisfait et heureux. Madame Leroy allait être contente de ce que j’allais lui raconté. J’avais défini une stratégie de diversification, j’avais identifié une entreprise cible et cette entreprise était prête à se marier avec nous.

Madame Séverine était charmante, son entreprise une pépite et en plus elle était fan des produits de la SFID. Bingo sur toute la ligne.

samedi 1 août 2020

Fini la liberté - chapitre 12

Trois jours plus tard bien que les stigmates des corrections précédentes restassent présents, Jérôme et Laurent ont pu souffler grâce à leur grande docilité. Sans moufter, lundi matin, Laurent a été complètement épilé à la maison par la jeune esthéticienne spécialement venu pour lui. Il faut dire que comme l’a remarqué Jérôme, celui qui est comme son grand frère est très obéissant. Il a été élevé ainsi par sa mère et en garde les habitudes.

mercredi 17 juin 2020

Juliette fait des siennes

Juliette réveille toi ! Tu vas être en retard!  Oh mais c’est pas vrai!  Dépêche-toi! Vite , file à la douche!
Elle allait être en retard c’est sur ! Oh non mon dieu ...
Amélie savait pourquoi elle avait si peur , il y a deux semaines, elle avait dû sauver sa fille d'un renvoi à cause notamment de ses retards répétés. Elle avait dû promettre et punir sa fille d’une fessée déculottée mais surtout elle avait elle même dû être punie . Elle aussi avait reçue la même fessée déculottée sur les genoux de Roxane comme une petite fille prise en faute.

samedi 18 avril 2020

Madame Caroni - chapitre 42

« As-tu fini de manger, Camille ? »
L’atmosphère était glaciale. Camille avait exécuté à la lettre toutes les consignes de Madame Daurent, le plus vite et le plus scrupuleusement possible. Elle avait soigneusement évité toute provocation même dans ses mimiques et ses regards. L’ambiance était à la fessée, elles le savaient toutes les deux et Camille s’était surprise à regretter qu’elle ne soit pas punie tout de suite afin que sa patronne et elles puissent retrouver un peu de convivialité dans leurs rapports.

samedi 11 avril 2020

Madame Caroni - chapitre 41

Camille se préparait à aller au coin. C’était dans la logique des choses. Elle avait déjà fait deux pas dans cette direction, quand Madame Daurent la rattrapa.
« Une seconde, jeune fille ! Tu iras au coin dans quelques instants, mais ne sois pas trop impatiente. Nous avons encore deux ou trois choses à régler ici. »
Camille se retourna.
« Une autre fessée, pensa-t-elle ? »
C’était bien de cela qu’il s’agissait, mais pas comme Camille l’envisageait.

samedi 4 avril 2020

Madame Caroni - chapitre 40

Maïlis sursautait à chaque bruit qui surnageait sur brouhaha qui venait de l’atelier. Elle guettait le bruit de pas qui lui indiquerait la présence d’un collègue. Il lui semblait que d’être aperçue dans cette tenue serait la déchéance ultime. Si son ouïe ne l’avait pas trompée, la porte des toilettes était restée ouverte. Elle ne pouvait donc pas compter sur le petit couinement qu’elle faisait pour l’avertir d’une présence indésirable.

samedi 28 mars 2020

Madame Caroni - chapitre 39

Madame Daurent déverrouilla la porte de la boutique. C’était l’heure d’ouvrir et elle n’était jamais en retard. Si tôt, il n’y avait pas un flot continu de visiteurs, mais il n’y avait pas de matin où personne ne venait faire un tour.
Camille s’agita dans le coin. C’était assez discret. Elle se contenta de serrer les poings plus fort qu’auparavant et elle port son poids sur sa jambe gauche, puis sur la droite. C’était tout ce qu’elle avait le droit de faire sans encourir une nouvelle fessée. Aller plus loin aurait été prendre un risque inconsidéré.

samedi 21 mars 2020

Madame Caroni - chapitre 38

C’est Ludovic qui était arrivé en premier. Lorena l’avait conduit au toilettes, elle avait vérifié son hygiène corporelle, puis elle l’avait assis sur les toilettes. La consigne à laquelle il était habituée avait clos cette séquence.
« Tu fais pipi ! quand tu as fini, tu m’appelles. »
Ludovic était assis depuis deux ou trois minutes sur le siège des toilettes quand Maïlis et Camille arrivèrent. Elles avaient toutes les deux revêtues leur jupe plissée écossaise et un corsage blanc. Le tout, sous leur manteau bleu marine faisait « petites filles sages ». Madame Caroni se lança dans une inspection minutieuse qui comprit un regard attentif de leur culotte qui obligea les deux filles à soulever leur jupe.

samedi 8 février 2020

Madame Caroni - chapitre 32

« Si je m’attendais à ça ! »
La dame du magasin n’en revenait pas. Elle regardait alternativement Madame Caroni et Camille qui, au coin, tournait le dos, et dont le bas de la robe, tenu dans son dos, montrait ses fesses dont les rougeurs les plus prononcées s’atténuaient rapidement.
« Je n’aurais jamais cru cela possible !

lundi 2 décembre 2019

Les rebelles - chapitre 22

Près de notre domicile, se trouve une blanchisserie à l’ancienne où le lavage et le repassage sont effectués le plus soigneusement possible. Clorinde C., une bourgeoise autoritaire, d’une soixantaine d’années, issue d’une grande famille de la région, tient son commerce d’une main ferme. Elle emploie trois employés camerounais, deux jeunes femmes : Evenye, vingt-quatre ans et Nayah, vingt-deux ans et un jeune homme, Mbe, vingt-deux ans. Les jeunes sont en situation de régularisation vis-à-vis de leurs papiers, ce qui donne beaucoup de pouvoir à Clorinde C., car elle n’aurait qu’un mot à dire pour que leurs papiers définitifs leur soient refusés, de plus, Clorinde C., assez pingre, les paie à coup de lance-pierres. En contrepartie, elle les loge et les nourrit.

lundi 28 octobre 2019

Les rebelles - chapitre 18

Durant nos études, nous avons obligation de faire quelques stages en entreprise. Sandrine R., notre professeur d’informatique, nous présente un listing avec les entreprises de la région qui prennent des stagiaires et nous lançons notre curriculum vitae et notre lettre de motivation. C’est une période de stress pour nous, car à notre examen nous aurons une soutenance et la note obtenue lors du stage comptera dans la moyenne. Nous devons bien évidemment obtenir un stage mais celui-ci devra être de qualité et les entreprises qui prennent des stagiaires pour les former sont peu nombreuses, les autres se contentent d’utiliser les étudiants comme personnel bon marché à faire le travail que les autres rechignent à faire.