jeudi 15 avril 2021

Une pension de famille bien tenue - chapitre 7

 « Qui t’a donné l’autorisation de partir ? »

François sursauta et se retourna précipitamment. Il avait été surpris et son plan de départ en catimini venait d’être éventé.

« Mais je croyais que c’était fini. J’ai tout fait.

– Et tu crois que je vais te laisser partir aussi tôt ? Ce serait une punition bien légère. Je crois plutôt que tu essayais de filer à l’anglaise. »

François ne sut pas dissimuler son demi-mensonge. Il avait tout l’air d’un coupable. Cela suffit à la boulangère.

« Il me semble qu’il s’agit encore d’une désobéissance. Tu sais ce que cela veut dire ? »

Oui, c’était clair pour tout le monde, surtout pour François. Il ne protesta ni ne supplia. C’était inutile. Une désobéissance, une fessée, c’était désormais la règle. Il s’était changé pour ses vêtements de ville. Il portait un jogging dont la boulangère s’occupa en premier. Quand toutes les attaches du pantalon furent défaites et qu’il avait commencé à descendre lentement sur les cuisses, elle conduisit François vers un petit tabouret sur lequel elle posa son pied.

La scène se déroulait dans un petit hall, sas d’entrée dans la boulangerie, qui donnait sur la cour extérieure. Une porte vitrée l’en séparait. François retrouva la force de supplier, pas pour éviter la fessée, mais pour être emmené dans un lieu plus privatif.

« Pas ici, Madame, s'il vous plait. On va me voir. »

C’était une possibilité à ne pas négliger. En passant dans la cour, il n’y avait aucun obstacle qui empêchait de regarder ce qui se passait derrière la porte vitrée.

« Mon garçon, les fessées, ce sera là où elles sont méritées. Celle-ci, ce sera donc ici ! »

Tout en annonçant la sanction à François, elle l’avait courbé sur sa cuisse. Elle posa sa main au milieu du dos du garçon, lui signifiant ainsi qu’il n’avait pas le droit de bouger de là où elle l’avait mis. C’était une sensation bien différente de la fessée que lui avait donnée le boulanger. Bien qu’il n’ait eu aucune intention de s’en aller, il avait été maintenu en place grâce à la poigne de son patron.

Là, rien de tel. Il aurait pu aisément se relever. Ce n’était pas la main posée sur son dos qui l’en aurait empêché. Mais l’autorité de la boulangère suffisait. Elle le clouait sur place bien plus efficacement que n’auraient pu le faire de quelconques liens.

Son pantalon fut amené sur ses chevilles et la boulangère n’eut pas plus de difficulté à baisser la culotte. La petite litanie de « non, non, s'il vous plait, non » que ne cessait de proférer François n’était pas vraiment une protestation, mais plutôt une vaine tentative pour se convaincre que ce qui se passait n’était pas réel. Hélas !

La main claqua sur les fesses et un échauffement insupportable embrasa l’endroit où elle avait atterri. Ça, c’était bien réel. Puis les claques s’enchaînèrent. Leur accumulation finit par enflammer la peau suffisamment vivement pour que François entame une gesticulation des jambes qu’il ne parvenait plus à maîtriser.

La boulangère le laissa faire. Tant que cela n’entravait pas le bon déroulement de la correction, cela n’avait pas beaucoup d’importance, sauf si on le prenait pour un signe d’efficacité du châtiment. François exprimait ainsi comment il subissait douloureusement la fessée. Compte tenu de la faute commise qui était plus une maladresse qu’une volonté de refuser une sanction, il n’était pas nécessaire d’insister après avoir obtenue une rougeur soutenue et de sincères cris de repentance. La leçon suffirait. François saurait que dorénavant, il ne pouvait décider seul de la fin d’une punition. Un nouveau pas avait été franchi sur son chemin vers l’obéissance.

« Pas question que tu partes aussi tôt ! Puisque tu n’as plus rien à faire, tu vas passer le reste du temps au coin. Allez, file ! »

François ne demanda pas son reste. Il avait eu peut que la boulangère eût de nouveau recours à la spatule. Se retrouver au coin, même la culotte baissée, était un moindre mal. Le moment le plus délicat fut quand il fallut traverser l’espace que l’on voyait, à travers la porte ouverte, depuis la boutique, alors qu’il y avait du monde à l’intérieur.

Inévitablement, la boulangère dut répondre à quelques questions.

« Mais dites-moi, ce n’est pas votre jeune ouvrier que j’ai vu passer dans l’arrière-boutique il y a quelques instants ? J’ai eu l’impression qu’il avait la culotte baissée.

– Vous ne vous êtes pas trompée. C’était bien lui. Vous savez, quand je donne la fessée, c’est toujours après avoir déculotté le contrevenant. N’est-ce pas Louison ? »

La jeune fille rougit jusqu’aux oreilles et bredouilla une vague réponse.

« Votre jeune vendeuse également ?

– Bien sûr. Cela lui fait beaucoup de bien. Je ne la fesse que depuis hier, mais j’ai déjà vu la différence. Elle est considérable. Quelques semaines à ce régime et j’en ferai une vendeuse presque parfaite.

– Y’a pas à dire, commenta une autre personne, la fessée, c’est d’une efficacité. N’est-ce pas jeune fille ? »

La conversation continua quelques minutes, passant d’une cliente à une autre, chacune racontait son anecdote. Louison et François purent ainsi se rendre compte qu’ils n’étaient pas les seuls adultes à subir cette punition. Dans un premier temps, ils en furent satisfaits, puis ils se rendirent compte que d’avoir des collègues en matière de fessée ne les consolait pas du tout.

François s’était calé dans le coin, le plus profondément possible. Il était suffisamment éloigné de l’espace visible depuis la boutique pour espérer que plus personne ne le verrait. Plus exactement, plus personne à part Louison et la boulangère, bien entendu.

 

François resta au coin jusqu’à la fermeture de la boutique. Il avait entendu plusieurs personnes aller et venir dans l’arrière-boutique en espérant qu’il ne s’agissait que de la boulangère ou sa collègue. L’absence de réaction de surprise l’avait conforté dans cette idée. Cela faisait longtemps qu’il s’ennuyait ferme et qu’il commençait avoir du mal à tenir l’immobilité que la boulangère exigeait de lui quand il était au coin, quand il reçut l’autorisation de sortir de son lieu de pénitence.

La boulangère l’attendait au milieu de la pièce. François jeta un regard par la porte qui donnait dans la boutique. A part Louison qui finissait le rangement, il n’y avait plus personne et le rideau était baissé. Aucun risque d’être vu de ce côté-là. Pour ce qui était de la boulangère, il n’y pouvait rien. Il se présenta devant elle, ne cherchant pas à dissimuler sa nudité.

Elle le prit par la main et elle l’approcha d’elle, l’enfermant dans ces bras.

« Ça fait du bien une bonne fessée, quand on l’a méritée, n’est-ce pas ?

– Oui Madame… euh, non… enfin, si…

– Allez, ce n’est pas si grave. Tu as fait des bêtises, et tu en as été puni. Recommenceras-tu ?

– Oh non, Madame !

– Moi, je ne suis pas si sûre. Mais tu auras la fessée à chaque fois. Tu vas voir comment cela va t’aider à devenir un boulanger compétent. C’est le prix à payer. J’espère ne plus avoir à te punir parce que tu te comportes mal pendant une fessée.

– Non Madame, plus jamais.

– C’est ça qui est important : que tu comprennes que quand mon mari et moi te punissons, c’est pour ton bien, parce que ce que tu vas devenir nous importe. Nous avons, tous les deux, envie que tu deviennes un boulanger très compétent. La fessée aidera, tu verras ! »

La réponse de François s’apparenta plus à un grognement qu’à autre chose. La boulangère le serra plus fortement contre elle.

« Ne sois pas inquiet. Il y aura, c’est certain, d’autres fessées. Mais une fois que tu auras été puni, si tu nous laisse faire, tout sera oublié… jusqu’à la prochaine bêtise. »

François ne trouva rien à répondre. Ce que lui annonçait la boulangère était dans la droite ligne de ce qui s’était passé aujourd’hui. Il en comprenait la logique, même s’il aurait préféré revenir en arrière. Enfin, pas pour tout. Il n’aurait pas renoncé à l’attention dont il était l’objet, ni à la main qui caressait ses fesses nues. C’était apaisant.

« Rhabille-toi. Il est temps de rentrer dans ta chambre. Tu vas pouvoir faire la route avec Louison. A ce sujet, je pense qu’il serait bon que les sœurs Johanson adoptent un même niveau de sévérité qu’ici. J’ai l’impression qu’elles sont bien trop laxistes. Il faudra que je leur en parle. »

François ne trouvait pas que c’était une bonne idée, mais ce n’était pas le moment de le dire. De toute façon, la boulangère ne lui demandait pas son avis.

 

A compter de ce jour, la fessée entra dans les habitudes à la boulangerie. Louison comme François savaient que toute remarque qui leur était faite était accompagnée d’une correction dont la sévérité dépendait de la gravité de la faute commise et de sa récurrence.

A la demande de la boulangère, son mari avait fabriqué une petite palette à fesser dans un morceau de bois plat. Il était accroché en bonne place dans l’arrière-boutique de façon à être tout le temps disponible. Les deux jeunes gens craignaient, à chaque fois qu’une fessée s’annonçait, qu’on leur demande d’aller la chercher ou que leur fesseur ou leur fesseuse se pointe l’instrument à la main.

La palette à fesser ne servait pas très souvent. La plupart des corrections étaient données à main nue et c’était déjà bien assez douloureux comme ça. La palette laissait des marques qui étaient encore visibles le lendemain, parfois le surlendemain et son application promettait une nuit à dormir sur le ventre.

Le boulanger et sa femme donnaient la fessée tous les deux. Si François la recevait régulièrement de son patron, pour Louison, c’était assez rare, mais elle craignait ces moments. La différence de force et de stature entre elle et son employeur gommait tout sentiment d’être dans un contexte professionnel. Elle avait l’impression de se trouver alors entre les mains d’un papa sévère qui lui imprimait sur les fesses la déception qu’il avait ressenti suite à l’écart de sa fille. Elle n’aimait pas le décevoir et elle recevait alors la fessée comme une juste expiation à la déconvenue qu’elle avait provoquée.

La boulangère ne faisait pas de différence entre les deux. En plus des questions de qualité de travail qui concernait surtout Louison, c’était le boulanger qui s’occupait le plus souvent de ce qui concernait François en ce domaine, elle avait pris la main sur tout ce qui était le comportement domestique : le rangement, le langage, la propreté, la politesse… autant de sujets qui étaient souvent maîtrisés de façon approximative pas les jeunes gens ou auxquels ils n’accordaient qu’une attention minimale.

L’un comme l’autre se retrouvaient donc souvent courbé sous le bras de leur patronne ou allongé en travers de ses genoux, la culotte baissée. Ils ne s’y rendaient jamais de bonne grâce, mais ils ne trouvaient pas, non plus que ces fessées étaient injustes. Etre déculotté en présence des trois autres membres de ce cercle d’intimité fit rapidement partie des habitudes. Cela faisait partie de la norme et s’ils trouvaient la situation gênante, ils l’acceptaient comme un mal nécessaire.

Ils avaient l’impression de former une famille : le père, la mère et les deux enfants. Il y avait deux parents sévères mais justes auxquels il fallait obéir sans discuter et qui, quand ils prenaient une décision, le faisaient pour le bien de leurs enfants d’adoption. Tous les deux punissaient quand il le fallait, mais ils savaient aussi consoler et réconforter ainsi qu’encourager. Ils passaient un temps non négligeable en position disciplinaire ou au coin, mais ils étaient tout aussi souvent pris dans les bras de l’un ou de l’autre. Le plus souvent, c’était toutefois la boulangère qui tenait ce rôle, celui de la Maman.

Ils appréciaient la douceur de ces moments qui leur semblait compenser les moments de sévérité. Il se confiaient de plus en plus à cette Maman d’adoption sur des sujets très différents. Elle pouvait être de bon conseil, mais ses arrêts étaient sans appels.

L’interdiction de fumer leur fut notifiée et la simple possession d’un paquet de cigarette ou la détection d’une odeur buccale suspecte suffit à les conduire, à trois reprises pour Louison et quatre pour François, à plat ventre, en travers des genoux de leur patronne. Les dernières fois, ce fut avec le renfort de la palette à fesser. Ils jugèrent alors plus sage de renoncer à la cigarette, sauf quand ils étaient bien loin du contrôle parental, et encore prenaient-ils de grandes précautions.

Les culottes affriolantes ou comportant trop peu de tissu furent interdites à Louison. Elle respecta strictement cette consigne, la boulangère pouvant trop facilement en contrôler l’application. François pris l’habitude de ne plus porter que des vêtements propres, ceux qui portaient des tâches indélébiles furent jetés. François arriva à cette conclusion après avoir fait quatre séjours, quatre jours de suite, en travers des genoux de la boulangère. La dernière utilisation de la palette à fesser pour ce motif, laissa des marques qui persistèrent pendant deux jours. Il prit également l’habitude de se coiffer. Deux fessées suffirent à le convaincre que c’était une bonne idée.

Ils apprirent rapidement à ne plus mentir, quitte à ce que leurs aveux leur valussent une fessée. Ils préféraient maintenant confesser une faute quand ils couraient le risque d’être confondus. Ils recevaient la correction inhérente au comportement coupable, mais pas celle découlant du mensonge. Avec l’expérience, ils avaient vite appris que c’était un risque qu’il était préférable de ne pas prendre.

Contrairement à ce qu’ils avaient cru en se couchant les premiers soirs après avoir reçu une fessée, l’atmosphère à la boulangerie étai loin de s’être alourdie. Au contraire. Ils étaient devenus bien plus proches de leurs parents adoptifs et, quand aucune fessée ne pointait son nez à l’horizon, ils se sentaient en sécurité. Les repas se déroulaient maintenant dans un atmosphère plus joyeuse.

Les éclats de voix avaient quasiment disparu. Ni le boulanger, ni la boulangère n’élevaient plus le ton. C’était d’une voix calme mais ferme qu’ils grondaient celui de leurs enfants adoptifs qu’ils avaient pris en faute. Bien évidemment, celui-ci n’aurait pas osé répondre, en aucune circonstance. Quand il y avait un bruit qui dépassait le niveau sonore habituel, c’était celui de la main qui claquait des fesses nues. Celui-là s’entendait sans difficulté et il n’était pas si rare que cela.

Les premiers temps, il y eut plusieurs fessées chaque jour, tantôt l’un, tantôt l’autre.

Ce que redoutaient le plus les deux jeunes adultes, c’était de devoir recevoir la fessée devant des tiers ou d’être au coin en leur présence. Si les fessées données par le boulanger étaient administrées le plus souvent dans le fournil, elles avaient peu de risque d’avoir des témoins, il en allait tout autrement pour celles dont la boulangère prenait l’initiative. Elle fessait là où elle constatait la faute, indifférente à qui pouvait survenir. Ce qui devait arriver arriva.

 

Cela faisait presque une semaine que Louison avait pris sa première fessée. Elle y était maintenant habituée, même si elle ne se faisait pas à l’idée d’être dorénavant corrigée de cette façon à chaque faute qu’elle faisait. Elle ne contestait pas la légitimité de la boulangère à la déculotter à lui rougir les fesses, mais elle en avait honte à chaque fois et elle détestait encore plus la déception qu’elle percevait dans la voix de sa patronne quand celle-ci la grondait et pointait ses lacunes avant de sévir.

Louison s’était couché fort tard… ou plutôt ce matin. Cela faisait deux soirs de suite qu’elle sortait et elle aurait volontiers été se coucher plutôt que d’assurer la responsabilité de la boutique en ce début d’après-midi, pendant que la boulangère était occupée à des tâches administratives dans l’arrière-boutique. Louison se traînait et était de mauvaise humeur. La petite chose qui la fit sortir de ses gonds fut provoquée par une cliente.

« Mademoiselle, vous vous êtes trompée en me rendant la monnaie.

– C’est vous qui ne savez pas compter. Cinq Euros soixante-dix sur dix Euros, ça fait quatre Euros trente. C’est ce que je vous ai rendu. Apprenez à compter !

– Je vous en prie, Mademoiselle, ce n’est pas la question. Je suis d’accord avec votre compte, mais ce n’est pas ce que vous m’avez rendu.

– Comment ça, pas ce que je vous ai rendu ? Deux pièces de deux Euros, une de vingt centimes et une de dix. Ça fait le compte ! Vous devriez vérifier avant d’accuser les autres !

– Sauf que celle-là, dit la cliente en montrant une pièce, n’est pas une pièce de deux, mais une d’un Euro. Et je ne crois pas vous avoir accusée. J’ai simplement fait remarquer que vous vous êtes trompée. Ça arrive à tout le monde. »

Il y eut un blanc. Louison vérifia la monnaie et elle dut se rendre à l’évidence. Elle avait fait une erreur. Elle échangea la pièce d’un Euro contre une de deux.

« Voilà, c’est bon, vous n’allez pas en faire un plat.

– Mais Mademoiselle, c’est vous qui en faites une affaire. Si vous aviez vérifié du premier coup, il n’y aurait pas eu d’histoire. Vous auriez reconnu votre erreur et nous en serions restées là. Au lieu de cela, vous avez été à la limite de la correction avec moi. Pour une vendeuse…

– Bon, ça va. Vous l’avez votre Euro, vous pouvez me lâcher la grappe maintenant ! »

La cliente ouvrit de grands yeux stupéfaits.

« Je trouve, Mademoiselle, que vous dépassez les bornes !

– Je suis bien d’accord avec vous ! »

La boulangère avait discrètement pointé son nez à la porte de la boutique derrière Louison qui ne l’avait pas vue arriver. Louison se retourna, paniquée. Qu’avait entendu exactement sa patronne ?

« Que tu te trompes en rendant la monnaie, cela peut arriver à tout le monde. Je ne t’aurais pas punie pour cela, sauf si ça devient une habitude. Mais que tu refuses de vérifier quand une cliente te le demande, c’est par contre une faute grave. Mais que tu deviennes insolente et impolie au lieu de reconnaître tes torts, c’est inadmissible ! »

Louison était catastrophée. Elle savait ce qui l’attendait. La cliente, elle, se méprit sur les intentions de la boulangère.

« C’est effectivement inadmissible, mais je ne voudrais pas que mon intervention provoque le renvoi de cette jeune fille. Ce n’est pas si grave que ça.

– Ne vous inquiétez pas, Madame, je n’ai pas l’intention de mettre Louison à la porte. Dans un autre endroit, c’est certainement ce qui se serait produit, mais ici, nous avons d’autres méthodes que je considère bien plus efficaces. »

La boulangère saisit Louison par le bras et elle la poussa devant elle. Elles contournèrent le comptoir. Louison comprit à cet instant qu’elles étaient les intentions de sa patronne.

« Oh non, Madame, je vous en prie, pas ça, pas ici ! »

Ses supplications ne l’empêchaient pas d’avancer. La boulangère s’arrêta au milieu de la boutique et elle courba Louison sous son coude.

« Non, je vous jure, je ne le ferai plus. »

La cliente regardait la boulangère préparer son employée à recevoir ce qui semblait bien être une fessée. La position de Louison maintenue ployée sous le bras de sa patronne, les fesses bien dégagées ne laissait que peu de doute sur ce qui allait suivre. Il y en eut encore moins quand la jupe de Louison fut retroussée et qu’elle laissa voir la culotte qui couvrait des fesses tremblantes.

« Je serai sage, toujours, je le jure ! »

Une deuxième dame entra dans la boutique. Elle fit un arrêt sur le pas de la porte, mais comme personne ne lui demandait de ressortir, elle pénétra dans la boutique.

« Mais que se passe-t-il ?

– Cette jeune vendeuse s’est permis quelques insolences envers moi. La boulangère va la punir.

– Ah bon, je vois.

– Vous me laissez quelques instants que j’en finisse avec cette jeune insolente et je suis à vous.

– Prenez votre temps. Je comprends. Il faut donner la punition quand elle est méritée. Je sais ce que c’est, j’en ai deux à la maison, à peu près du même âge. »

La boulangère baissa la culotte de Louison. La première cliente poussa un petit cri d’étonnement, mais la deuxième ne sembla pas s’en émouvoir Sans doute pratiquait-elle de la même façon avec les deux jeunes adultes qu’elle venait d’évoquer.

La main claque sur les fesses. Depuis que sa culotte avait été baissée, Louison ne disait plus rien. La fessée réveilla ses cris. Prenant bien garde à répartir la correction, la boulangère alternait : une fesse, puis l’autre. Elle continua jusqu’à ce que, toute retenue envolée, Louison se mît à sautiller sur place et à pousser des cris sonores. Elle accompagna cette démonstration de quelques bonnes fessées, puis elle relâcha Louison.

« A chaque fois que tu seras désagréable avec une cliente, tu auras la fessée devant elle, dans la boutique. J’espère que ça t’apprendra à avoir une attitude plus commerçante. Va donc te mettre au coin pour réfléchir à tout ça ! »

Louison se plaça dans l’angle de la boutique qui lui était désigné. Là, toute personne qui entrerait acheter un pain ne pourrait pas rater ses fesses. elle ne chercha pas à remonter sa culotte, mais elle laissa la jupe qui était retombée, dissimulant ses fesses.

« Louison ! Ta jupe ! Faut-il que je vienne te donner une autre fessée ? »

La jeune fille se hâta de remonter le vêtement qui couvrait ses fesses. Elle montrait maintenant ses fesses nues aux deux clientes. Une troisième entra dans la boulangerie. Louison enfonça son nez plus profondément dans le coin. Malheureusement, cela n’aidait pas à dissimuler ses fesses.



Il y a une suite ?

Oui, bien sûr, ça va venir. En attendant, si vous avez loupé l'épisode précédent : chapitre 6. Et pour ceux qui voudraient reprendre au début : le premier chapitre

2 commentaires:

  1. Bonjour
    Manifestement François se comporte comme un gamin....A essayer notamment de filet a l anglaise ...
    Comme disait mon père tu te comportés comme un gamin je vais considérer que tu en es un ....donc fessée bien sûr et culotte courte pour toi jusqu a nouvel ordre.....je veux avoir tes cuisses nues à disposition...très pratique pour les rapides claquees...

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  2. Bonjour Josip,

    Tout d’abord sachez que j’apprécie beaucoup votre blog ces récits et ce depuis plusieurs années.

    Je suis un jeune homme de 20 ans habitant rennes et je souhaiterais recevoir une fessee de la part d’une femme (comme Axel a Ste marie). Savez vous vers qui je pourrais me tourner ?
    Contactez moi à cette adresse mail svp :
    yanisss3535@gmail.com
    Bien cordialement

    Yanis

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