François et Louison avaient été presque trois quart d’heure au coin plutôt qu’une demi-heure comme annoncé quand Solveig leva ses yeux du livre dans lequel elle était plongée depuis un bon moment.
« Dis-moi, Olga, ne
serait-il pas temps de mettre ces deux enfants au lit ? »
Enfants ? Au lit ? Mais il n’était pas plus de vingt-et-une heure quinze, peut-être un peu plus, mais pas beaucoup. Louison faillit se retourner pour protester, mais elle se rappela à temps où elle était. Elle avait prévu une soirée avec des copines. Elles devaient se retrouver vers vingt-deux heures chez l’une d’elles.
« Peut-être qu’en promettant
d’être rentrée tôt, aurais-je le droit d’y aller ? »
Rentrer tôt, qu’est-ce que cela
pouvait signifier pour les sœurs Johanson ? Deux heures ? Une ?
Minuit ? Plus tôt ?
« Comment pourrais-je me
coucher à une heure aussi précoce ? Jamais je ne pourrais
dormir ! »
Louison décida d’attendre le
moment judicieux pour aborder cette question.
« C’est juste, Solveig,
c’est l’heure. Allons les coucher ! François, viens avec moi que je te
prépare pour aller au lit. »
François se retourna et marcha
vers sa logeuse. Son pantalon était descendu sur ses chaussures et il marchait
dessus.
« Pas très pratique de
marcher avec un pantalon baissé. N’est-ce pas mon garçon ?
– Non Madame.
– Monter les escaliers comme ça,
pourrait être dangereux. Attends, je vais arranger cela. Tiens-toi à moi »
François posa une main sur
l’épaule d’Olga.
Elle fit glisser le pantalon,
libérant un pied, puis l’autre.
« Autant enlever la culotte
également. »
Elle la fit glisser le long des
jambes de François. Sur le bas de son corps, il n’avait plus que des
chaussettes, c’était… Comment qualifier ce mélange de nudité en public, et de
normalité ? personne ne faisait cas de l’exposition en pleine lumière des
organes génitaux du jeune homme. Solveig fit la même chose avec Louison, mais
la jupe de la jeune femme retomba sur les fesses, cachant son postérieur nu.
« Allons, vers vos chambres
que nous finissions votre déshabillage ! »
Louison et François comprenaient
doucement que les deux sœurs avaient l’intention de les déshabiller elle-même
et quand elles parlaient de mise au lit, elles entendaient y jouer un rôle
actif. François songea que cela faisait bien plus de dix ans qu’une autre personne n’avait
pas supervisé son coucher. Cela faisait encore plus longtemps qu’il ne s’était
pas promené les fesses nues en présence d’autres personnes. L’un allait
peut-être avec l’autre ?
« Allez, file ! »
La claque sur les fesses servit
d’encouragement, mais aussi de rappel, en cas de désobéissance, de la précarité
de sa situation. François en tête, Olga suivant, puis Louison et enfin Solveig,
ils formèrent un étrange cortège qui monta l’escalier.
Les sœurs ne firent aucun cas de
la réticence de leurs deux pensionnaires à se retrouver totalement nus. Elles
enlevèrent tous les vêtements restants et d’un léger tapotement sur les fesses,
elles les envoyèrent vers la salle de bains, dans ce simple appareil.
Louison et François eurent un
geste de recul quand ils se retrouvèrent l’un face à l’autre dans le couloir.
Mais avec les sœurs qui suivaient chacun d’eux, il n’était pas question de
faire demi-tour.
« Vous allez faire une
rapide toilette ce soir. Nous vous donnerons votre douche demain matin. Ce sera
une grande toilette. Les dents, un coup de gant sur le visage et les mains, ce
sera suffisant pour ce soir. »
Il y avait deux lavabos dans la
salle de bains. Louison et François furent placés côté à côte. Olga laissa
Solveig superviser les opérations. La toilette commença par un lavage de dents
que François voulut expédier trop vite. Après une claque sur les fesses, il
prit le temps nécessaire. Puis, ce fut Solveig elle-même qui les débarbouilla
l’un après l’autre, savonnant un gant, et le passant sur leur visage, les
oreilles et les mains. François qui passa le premier fut renvoyé retrouver Olga
et Solveig finit son travail avec Louison. Le pyjama pour l’un, la chemise de
nuit pour l’autre, ils se retrouvèrent dans leur lit deux minutes plus tard.
Olga borda François bien serré
dans le lit. Elle éteignit les lumières et elle revint déposer un bisou sur le
front du garçon.
« Tu dors maintenant,
dit-elle d’une voix douce, c’est l’heure. J’espère qu’il ne sera pas nécessaire
que je revienne te le dire.
– Non Madame. »
François se retrouva seul dans sa
chambre. Les événements de la journée lui revenaient à l’esprit. Ce n’était pas
tant les fessées reçues de la boulangère. C’était maintenant une habitude et
François intégrait peu à peu son niveau d’exigence et de sévérité. Le temps
passé dans la boutique était confondu avec le risque de punition. Ce n’était
pas avec enthousiasme, mais il se pliait à la discipline qu’imposaient la
boulangère et son mari. Malgré ses efforts, il n’arrivait pas à éviter de
fréquentes corrections et il ne pouvait que convenir qu’elles étaient
systématiquement méritées.
En dehors de son temps de
travail, il avait, jusqu’à maintenant, retrouvé ses espaces de liberté de jeune
adulte et il pouvait se laisser aller sans risque de correction. Tout cela
était bien fini. Ses logeuses prendraient le relais de ses patrons dès qu’il
serait arrivé chez elles. Il ne restait plus que les brefs moments entre les
deux, ce qui ne faisait pas beaucoup.
François se retourna
machinalement dans son lit, mais il se remit au plus vite sur le ventre. Ses
fesses le brûlaient bien trop pour supporter le poids de son corps. Compte tenu
de la sévérité dont faisaient preuve les deux sœurs, cela se produirait
d’autres fois. Il passa sa main sous l’élastique de son pyjama et il massa
doucement son postérieur. Un frison parcourut son dos. Même ainsi, le contact
était douloureux.
Malgré tout, François n’arrivait
pas à en vouloir ni au boulanger, ni à sa femme, ni aux deux sœurs Johanson. Il
était persuadé qu’elles pensaient agir pour son bien et il n’était pas loin de
partager leur avis sur la nécessité de lui imposer des règles. S’il faisait
autant de progrès dans sa vie personnelle qu’il en avait fait en quelques
semaines dans sa vie professionnelle, l’intervention de ses logeuses serait
amplement justifiée. Etre surveillé et fermement recadré avait beaucoup
d’inconvénients, mais cela comportait également de nombreux avantages.
« N’empêche que la fessée,
surtout déculottée et encore plus quand c’est en public, ce n’est pas
agréable ! Comment faire pour l’éviter ? »
Il songea brièvement à partir
loin d’ici, mais il écarta rapidement cette solution. Cela aurait également
signifié quitter le cocon que la boulangère tissait autour de lui et dans
lequel, si l’on exceptait les fessées, il ne se trouvait pas si mal. C’était la
première fois de sa vie où il était épaulé ou plutôt fermement conduit sur un
chemin dont la direction lui apparaissait clairement. C’était rassurant. Il
pressentait que les deux sœurs feraient pareil.
Il aurait fallu que sa conduite
fût irréprochable. Situation inenvisageable ! Il y avait tellement de
points qu’on pouvait lui reprocher, à juste titre, aussi bien au travail que
dans sa chambre. Et encore n’avait-il qu’une vague idée des exigences de ses
logeuses. C’était pourtant la seule solution, mais cela prendrait du temps et
il y aurait un nombre considérable de fessées en attendant qu’il se soit
notablement amélioré.
Faute de pouvoir se retourner
dans son lit, François remuait la tête d’un côté puis de l’autre. Il était
tendu. Il ne trouvait pas d’autre solution et celle-ci n’était pas du tout
satisfaisante. Que faire d’autre ? Préoccupé par cette situation sans
issue satisfaisante, il n’arrivait pas à s’endormir. Il faillit se mettre sur
le dos, mais il se retint à temps.
Cela faisait plus d’une heure que
François s’agitait dans son lit sans arriver à trouver le sommeil. Il avait
brièvement ouvert son téléphone pour regarder l’heure. Cela n’avait pas pris
plus de quatre à cinq secondes, le temps d’ouvrir l’horloge en grand pour
réussir à lire dans cette pénombre.
Bien que cela fît un moment qu’il
n’entendait plus d’autre bruit que la télévision au rez-de-chaussée, les
battements de son cœur était monté à un rythme endiablé. La peur d’être pris.
Il savait ce qu’il risquait si l’une des deux sœurs le surprenait alors qu’il
consultait son téléphone au lieu de dormir.
« Mais puisque je ne dors
pas ! »
C’était une raison insuffisante,
il en était conscient. Pas moyen de trouver le sommeil ! Il était fatigué
de tourner toutes ces questions sans réponse dans sa tête.
« C’est de la faute de
Madame Olga ! Elle m’a mis au lit bien trop tôt ! »
D’habitude, il ne se couchait
jamais avant minuit, mais il s’endormait tout de suite. Que c’était désagréable
de rester dans son lit sans dormir et sans avoir rien à y faire. Il prit encore
son téléphone, tendit l’oreille… la télévision toujours, mais rien d’autre. Il
ouvrit son smartphone. Il avait plein de messages.
« Pas étonnant, les copains
doivent se demander ce que je fous. Je ne leur ai pas répondu de la soirée. Ce
n’est pas dans mes habitudes. »
Il reposa son téléphone, étonné
par son audace. Il se glissa de nouveau sous la couette. Toujours pas moyen de
dormir. Le temps s’étirait. C’était vraiment long.
« Que peuvent bien penser
les copains ? Il faudrait peut-être que je les rassure. »
Il regarda son téléphone. Il
était à portée de la main et les deux sœurs devaient être devant leur télé. En
général Mademoiselle Solveig s’endormait dans son fauteuil. Elle ne se
réveillait que quand Madame Olga éteignait le poste.
« Je devrais bien entendre
quand elles en seront là. La plupart du temps on les entendait marmonner quand
elles vont se coucher. »
Il tendit l’oreille. Tout était
normal. Il prit son smartphone, composa le code… ça y est ! Il y
était ! Il se cacha sous la couette et il prit connaissance des messages.
Vingt-deux. Il y en avait vingt-deux ! Il était temps d’y répondre.
La couette glissait. Rien de
grave, il faisait trop chaud de toute façon.
« C’est bien ce que je
pensais ! Je me demandais d’où pouvait venir cette lueur bleue qui
filtrait sous la porte. »
Madame Olga se tenait tout près
du lit. Elle était entrée sans que François ne l’eût entendu. Il ne fit pas un
geste quand elle s’approcha.
« Alors, c’est comme ça que
tu obéis ? Mon garçon, si tu t’y prends de cette façon, j’ai bien peur que
tes fesses soient mises à contribution bien plus souvent que tu le
souhaiterais. Crois-moi, tu te fatigueras avant moi ! »
Elle tendit la main.
« Donne-moi ce
téléphone ! »
Il disparut dans la poche de
Madame Olga qui rabattit la couette sur le pied du lit. Elle attrapa alors
François par le bras et elle le fit sortir du lit. Elle s’assit sur le bord et
baissa le pantalon du garçon qu’elle avait placé entre ses jambes.
« Tu sais ce qui se produira
désormais quand tu désobéiras ? »
Il n’y avait pas besoin de
réponse. Ce qui se produisit ensuite fut suffisamment éloquent. Madame Olga
allongea François sur sa cuisse gauche, elle passa son bras autour de sa
taille, le temps de relever la veste de pyjama pour bien dégager la zone dont
elle allait s’occuper et la fessée commença.
François ne songea pas à
protester. Il était vrai qu’il avait désobéi. Qu’avait-il mérité d’autre qu’une
bonne fessée ? Ces punitions feraient immanquablement partie de sa vie
chez les sœurs Johanson, comme elles étaient devenues une habitude à la
boulangerie. Il n’avait pas en se plaindre d’un traitement injuste, étant, à
chaque fois, responsable de la correction qui lui était donnée.
Il n’empêchait que c’était vexant,
à vingt-quatre ans, que sa logeuse lui baissât la culotte. Depuis qu’il
recevait régulièrement la fessée à la boulangerie, il avait compris que ces
punitions étaient dues à l’irresponsabilité de ses actes, mais il n’arrivait
pas à s’autodiscipliner. Il ne savait plus quel était le pire moment d’une
fessée. Quand on lui baissait la culotte ? Quand ses fesses chauffaient
sous une averse de claques ? Quand il devait se tenir au coin, les fesses
nues, en sachant que d’autres risquaient de l’y apercevoir ?
Il n’eut pas le temps de trouver
la réponse à ses questions. La main de Madame Olga tombant sur ses fesses le
ramena à des préoccupations plus immédiates. Même à main nue, cette fessée
était à prendre en considération. Bien qu’elle ne fut pas très longue, François
ne put retenir quelques cris et il espérait à chaque claque que ce fût la
dernière. Ses fesses étaient redevenues cuisantes quand Madame Olga lui ordonna
de se lever.
« Juste de quoi te rappeler
que l’obéissance sera la règle, désormais. Si je dois revenir, ce sera avec la
badine que tes fesses connaissent déjà. A toi de choisir ! »
Elle profita qu’il fût debout
devant elle pour lui remonter la culotte de pyjama et d’une petite claque sur
les fesses elle le renvoya au lit. Elle n’eut pas besoin d’éteindre la lumière,
tout cela s’était passé dans la pénombre, par contre elle prit soin de le
border de nouveau.
Des larmes coulaient sur les
joues de François. Madame Olga s’assit sur le lit, à toucher la joue du garçon.
Elle passa sa main dans ses cheveux, jouant avec les mèches courtes qui
entouraient son oreille.
« Allons, allons, ce n’est
pas si grave ! Il y aura d’autres fessées tu en as besoin ! »
Sa main descendit dans le dos du
garçon.
« Tu as fait une bêtise, tu
en as été puni. Une fessée, rien d’irréparable ! Tout est normal et comme
tu vas être un grand garçon bien sage, il n’y a plus de raison que tu en aies
une autre… pour ce soir. »
La présence de la logeuse était
apaisante. La main dans le dos massait ses épaules et il se détendit. Il sentit
le sommeil venir. Il eut vaguement conscience du mouvement de Madame Olga quand
elle se leva et qu’elle quitta la chambre.
Louison avait entendu tout ce qui
se passait dans la chambre qui se trouvait en face de la sienne. Elle ne
dormait pas non plus. Elle ne comprit pas les paroles qui étaient échangés
entre Madame Olga et François, mais elle entendit distinctement la main qui
claquait sur les fesses. Cela incitait à rester discrète si elle ne voulait pas
être la suivante sur la liste.
Elle fit le tour des consignes
qui lui avaient été données par Mademoiselle Solveig. Elle pensait les avoir
toutes respectées, sauf une : elle ne dormait pas encore. Comme pour
François, cette première soirée de punitions reçues de la main de ses logeuses,
avait été un choc.
Elle n’avait pas trouvé
l’occasion de demander à sortir, comme elle l’avait prévu, et elle s’était
retrouvée au lit avant d’avoir pu aborder cette question. A la réflexion, elle
se disait que ce genre de demande était tout à fait hors sujet dans la situation
dans laquelle elle se trouvait maintenant. Elle se demandait si elle pourrait
aborder le sujet le lendemain. Pas sûr. Sa vie sociale, ses relations avec les
copines, allait changer du tout au tout.
Elle entendit Madame Olga sortir
de la chambre bien qu’elle n’eût fait quasiment aucun bruit. Il lui sembla que
le frottement des chaussons se rapprochait de sa porte. Elle tourna le dos,
ferma les yeux et s’efforça de prendre une respiration régulière, imitant le
sommeil. Tous ses sens étaient tendus pour comprendre ce qui se passait
derrière la porte.
Elle l’entendit s’ouvrir. Une
personne s’approcha. Cela ne pouvait être que Madame Olga. Louison se crispa.
Elle sentit le poids de sa logeuse qui prenait place sur son lit.
« Tu ne crois pas qu’il
serait temps de dormir ? »
Les deux mains de Madame Olga se
posèrent sur ses épaules et elle sentit un léger massage circulaire qui se
prolongea. Louison sentit que les muscles du haut de son dos se dénouèrent un
par un. La main descendit le long du dos et le frisson qu’elle provoqua acheva
de détendre la jeune fille. Louison n’eut pas une réaction quand furent ses
fesses que les doigts de sa logeuse caressèrent doucement. Un geste maternel.
Comme quand elle était une petite fille. Elle retrouvait cette sensation qu’elle
croyait avoir oublié, tant cela faisait longtemps qu’elle ne l’avait pas
éprouvée. Elle poussa un profond soupir. Elle s’endormit.
François fut surpris d’être
réveillé quand Mademoiselle Solveig entra dans sa chambre.
« Il est cinq heures,
François. Dépêche-toi, il est temps de se lever. »
D’habitude, il lui fallait un
temps fou pour émerger de son sommeil. Avec les événements de la veille, il
n’avait pas mis son réveil à sonner et il était tout de même réveillé à
l’heure. De plus, il n’avait plus envie de dormir, ce qui était une nouveauté.
« Debout ! Plus
question de traîner au lit. Il est temps de te préparer pour aller au
travail ! »
Mademoiselle Solveig lui donna
une petite claque sur les fesses. Elle suffit pour que François gémisse
sourdement.
« Oh, oh, ces fesses sont
encore bien sensibles. Je vais regarder cela. Tu sors du lit tout de suite. Le
petit-déjeuner t’attend ! »
Un petit-déjeuner ? Mais
d’habitude il n’en prenait jamais. Il se contentait, dans la matinée de manger
un morceau de pain et de boire un café à la pause.
« Dis-moi, François, faut-il
que je te donne une fessée pour que tu te lèves ? »
Il y avait urgence. François se
leva précipitamment.
« Je ne veux pas plus de
comédie pour se lever le matin que pour se coucher le soir. La prochaine fois,
je ne préviendrai pas. Ce sera la fessée ! »
Mademoiselle Solveig le regardait
d’un air sévère, mais elle ne semblait pas bien fâchée. Il eut tout de même le
droit à une claque sur la culotte de pyjama, ce qui lui arracha un nouveau
gémissement, mais il accéléra le pas.
« Montre, fit Mademoiselle
Solveig dès qu’ils furent entrés dans la cuisine ! »
Elle plaça François sous son bras
qui ne put s’empêcher d’avoir un petit moment d’angoisse. Une fessée ?
Mademoiselle Solveig baissa son pantalon de pyjama. La main entra en contact
avec les fesses, mais c’était tout en douceur. Elle passa ses doigts sur les
marques rouges qui zébraient encore ses fesses.
« J’espère que nous ne
serons pas obligées de te punir aussi sévèrement chaque soir. Cela laisse des
traces. Je vais te mettre de la pommade après ta douche. »
François ne savait quelle
contenance prendre. Mademoiselle Solveig s’était emparé de ses fesses comme si
se retrouver dans cette position à vingt-quatre ans, était naturel. Elle le traitait
comme un petit garçon qui ne peut avoir d’intimité pour la personne qui prend
soin de lui. C’était… il ne trouvait pas de mot pour exprimer l’ambivalence
qu’il ressentait entre le plaisir que cela lui provoquait et la gêne qu’il
ressentait.
Deux petites claques sur les
fesses qui étaient plutôt des caresses et il sentit que Mademoiselle Solveig
lui remettait son pyjama en place.
« Le petit-déjeuner.
Assieds-toi !
Il prit place devant une table
bien garnie. Qu’allait-il choisir dans tout cela ? Il se découvrait une
faim de loup.
Il y a une suite ?
Oui, bien sûr, ça va venir. En attendant, si vous avez loupé l'épisode précédent : chapitre 9. Et pour ceux qui voudraient reprendre au début : le premier chapitre
Amis de la poésie et de la fessée à endormir... Bonjour.
RépondreSupprimerBonjour JLG;
Ah , gourgandine la logeuse qui profite de sa situation dominante pour déshabiller François dans l'escalier, au prétexte qu'il est difficile de marcher le pantalon sur les chevilles. C'est pas faut, sauf que c'est elle qui l'a déculotté pour lui flanquer sa fessée.
Une fessée, trois quart d'heure de coin et au lit de bonne heure ! Comme des gamins, ça fait partie de la démarche d'infantilisation. Mais voilà, à moins de tomber de sommeil, ou d'hiberner comme les ours, devoir se coucher si tôt, pas sûr de s'endormir rapidement. Malheur au désobéissant qui passe le temps avec son téléphone sous la couette. L'éducation des enfants passe par une attention de tous les instants. Madame Olga veille dans l'ombre comme un ange gardien fesseur, et fatale, inévitable...c'est la fessée !!
Preuve supplémentaire des dangers de l'addiction au portable ! On n'arrête pas le progrès, mais on peut le ralentir... avec une bonne fessée!
Cordialement
Ramina