mardi 27 avril 2021

Ces dames aux mains fermes - saison 4 - chapitre 22

 QUI AIME BIEN, FESSE BIEN

LA PUNITION DE BETTINA ET GERALDINE. 1ère partie

Walter et Bettina étaient arrivés chez Margaret en fin d'après-midi. La punition commune avec Géraldine pour régler , une bonne fois pour toute, l'histoire de la fessée administrée à Andrew, était prévue depuis le samedi précédent. La maîtresse de maison les fit aussitôt entrer dans le salon. Sur la table basse, à côté de l'Aberlour douze ans et des verres à Whisky, martinet, battoir en cuir, tube de Dolpic et bâtons de gingembre, bien en vue, annonçaient une soirée cuisante et inventive.

– «  Ne perdons pas de temps, dit Margaret  en approchant la chaise à fessée et un tabouret pour le même usage. Bettina, Géraldine, vous savez pourquoi vous allez être punies ensembles... »

Géraldine proteste une peu pour la forme. La correction est prévue depuis longtemps, mais forte de son esprit rebelle, elle veut montrer qu'elle n'est pas totalement résignée.

à son sort.

– « Mais maman... On a déjà été punies avec une fessée tous les soirs !  

  Et, alors ! Justement, comme ça vous n'avez même pas besoin de préparer vos fesses, on vous les a assouplies pendant toute la semaine ! »

Elle se tourne vers Sébastien sagement assis dans un fauteuil près du canapé, prêt à se régaler du spectacle.

– « Toi tu ne bouges pas de là, tu restes tranquille, et je ne veux pas t'entendre. Je t'ai autorisé à regarder pour que ça te serve d'exemple. La prochaine fois ça pourrait bien être tes fesses à la place des leurs. »

Géraldine, assise dans l'autre fauteuil, en face de son frère attend maintenant  l'air indifférent, un petit sourire en coin, pour montrer, par bravade, qu'elle ne craint pas la correction à venir. Il y aurait pourtant de quoi. Walter a enlevé sa veste et commence à retrousser la manche. de sa chemise.

– «  Vous avez raison, Margaret, ne faisons pas attendre ces dames plus longtemps. Elles savent très bien pourquoi on est là ! 

Il se tourne vers son épouse et lui ordonne d'un ton sec qu'il n'a pas l'habitude d'employer.

– « Bettina, tes fesses tout de suite ! »

Celle-ci fait semblant de ne pas avoir entendu. Elle s'est postée devant la glace et soulève sa jupe pour contempler ses plantureux volumes fessiers dont la rougeur de sa dernière,  fessée est nettement visible sous la transparence de son slip de nylon. Elle se déculotte carrément et les trémousse vers l'assistance en s'amusant à jouer la victime d'un vilain mari fesseur. Ce qui est loin d'être le cas 

– «  Les voilà mes fesses, elles sont encore toutes rouges de la fessée qu'il m'a mise juste avant de partir de la maison ! Et ça va recommencer alors qu' on vient à peine d'arriver! »

Avec un petit rire espiègle, elle se reculotte en faisant bruyamment claquer l'élastique de son slip sur ses hanches.

– « Comme ça elles n'auront pas eu le temps de refroidir... prêtes à claquer ! Hi, Hi ! »

Géraldine ne peut s'empêcher de sourire, Margaret se reteint, Walter ronge son frein. Sébastien se réjouit intérieurement et se dit qu'à force de faire son petit numéro  la Bettina va finir par s'en prendre une monumentale... Et c'est d'ailleurs ce qu'elle cherche, et ça tombe bien, de toute évidence,  c'est ce qui est prévu.

Les préparatifs de la correction se déroulent dans une atmosphère assez trouble, sans que les intéressées semblent, pour autant, aussi impressionnées qu'elles devraient l'être. Ça sent pourtant la fessée à pleine main, à défaut du plein nez. Bettina s'attendait  à recevoir le maximum de fessées sévères et Géraldine, contrairement à son attitude désinvolte, estimait en avoir besoin et les mériter de la main maternelle. Elles avaient toutes les deux, l'avantage d'un volumineux fessier, de parfaite rondeur, bien charnu et mobile dont elles étaient fières, sans complexe. Elles aimaient le mettre en valeur et trouvaient tout à fait naturel de s'appliquer à le faire, puisqu’elles pensaient qu’il était juste et absolument nécessaire de se faire corriger quand elles le méritaient. Surtout Bettina, pour les nombreuses désobéissances et “ bêtises” qu’elle commettait !

Ce n'était pas la première fois que Sébastien allait voir corriger sa sœur et il s'en réjouissait. Pas autant, par contre, que de pouvoir enfin assister à une punition de Bettina qu'il détestait cordialement.  Il s'amusait à comparer le physique des deux punies. Certes, Géraldine, avait sans doute un volume de fesses légèrement moins important que celui de Bettina, quoique tout de même très généreux, mais avec un tour de taille plus mince. Bettina compensait cela avec de larges ceintures alors que Géraldine portait des guêpières, non pas par nécessité, mais pour rendre sa croupe plus provocante. Toujours est-il que soit grâce à un artifice ou à la nature, les deux jeunes femmes offraient à égalité à sa vue, deux magnifiques paires de fesses à claques, de forme plantureuse, bien rebondies et charnues à souhait.

 

Bettina, même pas peur de la fessée, recommence son petit numéro d’exhibition.

– «  Pour ceux qui n'ont pas bien vu la première fois ! »

Campée au milieu du salon, elle retrousse à nouveau sa courte jupe sur ses reins et se met à tortiller du derrière devant tout le monde. Il apparaît, enluminé d'un beau rouge éclatant, débordant d'un slip de nylon transparent tendu à craquer et , manifestement,  trop petit pour contenir la totalité des volumineux hémisphères charnus. 

– «  Voyez comme mon Walter a déjà bien préparé mes fesses ! S'exclame-t-elle par-dessus son épaule. Pour qu'elles soient prêtes en arrivant ici ! J'ai bien dérouillé, ça a claqué fort, mais c'était bon ! »

Géraldine sourit devant la comédie de sa copine. Walter n'apprécie pas la nouvelle provocation.  .

– «  Attends un peu ! je vais te faire voir ! Tu vas en avoir des fessées et je te garantis que ça va claquer !”

Bettina ne parut pas impressionnée. Remuant insolemment son fessier enluminé, elle lui  rétorque, par-dessus son épaule.

– « Oh oui ...une bonne fessée bien claquante sur mon gros derrière, culotte baissée , c’est bien ce que je méritedes bonnes fessées à la main et avec le martinet comme tu veuxcorrige moi bien comme j’en ai besoin ! »

Et  s’adressant à Géraldine qui ne semblait pas vraiment affectée par cette cuisante perspective. 

– «  A toi aussi, hein Géraldine ! C’est ce qu’il te faut, des bonnes fessées bien claquantes sur tes belles grosses fesses déculottées ! ? On les mérite bien , hein ? c’est ce qu’il nous faut à toutes les deux ! Des bonnes fessées sans pitié les fesses déculottées devant tout le mondeà la main ! au martinet ! avec tout ce qui punit bien ! »

Fessée déculottée


Elle avait à peine fini son petit numéro de provocation, destiné à mettre son mari en colère, qu'elle commençait déjà à presque le regretter. C'est elle qui allait faire l'ouverture du bal des derrières avec la première danse des fesses. Walter l'avait faite s'installer courbée en deux sur le dossier de la chaise, son opulent fessier déculotté en l'air, bien déployé, et lui introduisait déjà,  sans trop de douceur malgré sa supplication, une grosse racine de gingembre dans le derrière. Elle pousse alors un  cri plaintif qui se prolonge en plainte larmoyante.

– « Aahrrrr chéri... déjà... tu aurais pu prévenir... rooooaiiiié !!! vas y doucem... »

Walter, indifférent aux supplications, enfonce le rondin plus profondément en le poussant  de l'index entre les deux grosses fesses ou il disparaît presque entièrement. Seule  l'extrémité plus épaisse, reste à dépasser, manifestant la présence de la racine chauffante.

– «  Avec ça dans le derrière, et la fessée au martinet qui va avec, gronde – t-il,  tu vas peut-être moins faire ta fière et en rabattre un peu du caquet, ma jolie ! »!

Maintenant, agenouillée, slip aux cuisses, sur la chaise, les coudes en appui sur le dossier  Bettina tortillait son postérieur écarlate et s'était mise à pleurer en gémissant.

– «  Ooooh la, la... le Gingembre... ça brûle ! Ça brûle ! Hoooou, ça chauffe dur ! »

Margaret avait choisi de déculotter Géraldine dans une position humiliante, à genoux sur son tabouret, penchée en avant, la tête coincée entre ses cuisses. Elle s'était laissé faire sans broncher, affichant un petit sourire méprisant comme pour manifester son indifférence à la fessée, qu'elle redoutait tout de même intérieurement . Elle accentua même volontairement l'arrondi de son  postérieur pour faciliter le passage du slip sur ses volumineux hémisphères, sans que cela impressionne pour autant sa mère, habituée à ce genre d'attitude provocatrice. Elle y répond avec ironie.

– Et toi ma chérie, qu'est-ce que tu préfères pour recevoir tes fessées, un bon gros rondin de gingembre ou le manche bien dur de ton martinet dans le derrière ? » 

Géraldine, tout en prenant appui des deux mains sur le sol, répond d'une voix à demi étouffée d'entre les cuisses de sa mère .

– « Je m'en fiche ! Le martinet si tu veux, mais en fait ... ça m'est complètement égal ! »

Margaret, réplique, un brin cynique pendant qu'elle lui descend son slip sur les cuisses.

– Je reconnais bien là ma petite vicieuse, toujours en recherche de nouvelles sensations fortes ! Même si je pense que tu préfères le manche du martinet plus long et plus épais. Comme je te comprends... Aller mets-toi en position sur mes genoux, et tends bien tes fesses ! »

Placé à bonne distance derrière son épouse, Walter avait commencé à lui balayer  les fesses d’un grand coup de martinet, puis d’un autre coup en sens inverse qui lui avait cinglé la totalité du postérieur en le prenant à revers. Il prenait son temps, espaçant les coups  afin qu'elle ait le temps de bien déguster la cuisson des lanières sur ses fesses, déjà bien sensibilisée par la fessée précédente.

Agrippée au dossier de la chaise, les dents serrées sous les cinglées qui lui claquaient aux fesses, Bettina affichait déjà un peu moins de morgue que quelques instants auparavant. Elle ponctuait même les cinglées de quelques pleurs et gémissements  pour donner le change.

Le martinet, évidemment, tout droit sorti des ateliers Delaniaires, avait été fabriqué sur mesure de façon que les lanières enveloppent à chaque coup, toute la surface du derrière du bas de reins jusqu’au haut des cuisses.

Sébastien, qui ne perdait pas une miette de la raclée,  se disait que la voisine aurait bien du mal à s’asseoir pendant plusieurs joursElle aurait le temps de regretter de s'être mêlée de ce qui ne la regardait pas, en prenant l'initiative de corriger elle-même Andrew, avec la complicité de Géraldine, qui ne s'était pas fait prier.  Au moins  elles reconnaissaient mériter cette bonne séance de fessées. Il jubilait presque. Pour ces deux petite garces, si fervente partisane de cette punition...c’était BIEN FAIT !

A sa grande déception Bettina, qui le déroutait de plus en plus, ne réagissait pas comme il s'’y attendait . Bien calée sur sa chaise, son fessier plantureux,  mais de forme parfaite tendu provocant sous les lanières, elle ne semblait pas du tout redouter la fessée. Dans son hostilité à son égard il l’avait imaginée avec un gros derrière mou sans muscles mais il était bien obligé de constater qu’elle avait d’aussi belles fesses que Géraldine. Celle-ci allongée en travers des cuisses de sa mère encaissait sa fessée dans une attitude semblable de relative inertie à la correction. Du moins pour le moment.

Margaret, rageuse, avait entrepris de lui claquer sa fessée de toutes ses forces , sa large main s’abattait rapidement sur les fesses bondissantes avec des sonorités sèches et éclatantes qui semblait résonner dans toute la maison. Sa large main n’était quand même pas suffisante pour couvrir une seule des fesses charnues. Il fallait plusieurs allers et retours pour bien corriger une seule fesse ! Mais la puissance des claques était telle que   Sébastien, spectateur attentif, se doutais bien que le volumineux fessier de sa sœur  allait devenir rapidement aussi cuisant que celui de la voisine, qui tortillait le sien en cadence sous les cinglées de martinet.

Contrairement à Géraldine qui pleurait, sans rien dire, Bettina poussait un gémissement sourd à chaque claque reçue et, comme à son habitude, commentait bruyamment sa fessée

– «  Oh la la  ! la fesséeoohhr ! oohhrr!  ça claque dur, oohhrr ! oh oui ,chéri  ! Tu me les claques bien mes fesses déculottées ! ohhh oui ! C'est ça, fort ! Fort sur les fesses ! , comme  je le mérite  ! Roooaiiiiiie...la fessée avec le gingembre,  oh , la la la ! ça cuit ! Ça cuit dehors et ça chauffe dedans ! ! »

– «  Eh bien, en voilà une qui profite bien de sa fessée, s'exclame Margaret entre deux claques bien sonores sur les fesses de sa fille. Et qui le fait savoir en direct !

– Oui, elle est toujours comme ça ! Au moins on est au courant du déroulement, répond

Walter en reprenant de l'élan pour une nouvelle cinglée.

 Bettina la regarde arriver par-dessus son épaule, les yeux écarquillés .

– «  Ouille, ouille, ouille, mes fesses !  ! Elle va bien claqueeeeer celle làààààà  !!! »

Sssslaaaaaac !... Effectivement elle claque fort.

Placées comme elles sont, chacune des deux punies a en vue, presque sous le nez, le postérieur corrigé de sa voisine. Et l’une et l’autre gardent les yeux fixés sur le derrière de l’autre .

Sébastien connaissait bien ce comportement : quand il recevait la fessée en même temps que Gérôme, Rodolphe, ou Robin, à l'Institut, quand  Madame Defraisses les fessait ensemble avec la Directrice, dans son bureau. Ils faisaient de même quand elles les mettaient dans la même position pour bien les humilier pendant toute la durée de leur déculottée. Contraints de voir, en gros plan à quelques centimètres du visage,  le derrière d’un autre prendre sa fessée, en sentir l'intensité de la cuisson, rendait plus impressionnante celle qu’ils étaient en train de recevoir. Ils avaient un aperçu de l'état de leurs propres fesses en voyant rougir sous leurs yeux, le derrière du copain d'à côté. Ça leur donnait la terrible impression d’être spectateur de leur propre fessée !

Il supposait qu’il en allait de même pour Géraldine et Bettina. Celle-ci, intarissable, n’arrêtait pas de parler en s'adressant à sa partenaire de punition, qui, tout en pleurant, savourait sa fessée malgré l'atroce cuisson qui lui incendiait le derrière.

– « Et toi, Géraldine, tes fesses te cuisent aussi ? … Oh là là ! qu’est-ce qu’elles sont rouges  ...On n’aurait pas punir nous-même Andrew, alors maintenant c’est notre tour ...On le mérite bien , dis  Géraldine ? »

Géraldine, les fesses tressautant sous la main de sa mère, hoquette d'un  Ouiiiii !!! plaintif. 

entrecoupé de larmes.

…– «  On la mérite !!!  la bonne fessée ! Elle est bonne mais quand même ça cuit,  ça fait mal ! »

Bettina, que la fessée conjuguée avec la chaleur intense du gingembre dans le derrière semblait manifestement exciter de plus en plus, continuait à jacasser, tandis que Walter lui cinglait son gros derrière à toute volée.

– «  Oooooh Walter, ouiiii, continue ! Tu me la mets bien ma fessée  au martinet !  Tu me corriges comme il fautet tu ne vas pas arrêter, hein ? Et  toi aussi, Géraldine, tu en reçois une bonne de  fessée ... on est bien déculottées toute les deux ... Oh , la, oui , c’est ce qu’il nous faut hein !  et moi…rooooh qu'est-ce que ça cuit fort avec le gingembre ...»

Géraldine, concentrée sur la cuisson de ses fesses, encore épargnée de la présence d'un manche de martinet planté entre les deux, commence tout de même à ressentir  de voluptueuses sensations.  Comme entraînée par le délire de Bettina, elle s'épanche à son tour sans retenue.

– « Ouiiiila fessée déculottée... Moi aussi  je suis bien punie, ça cuit... Roooooh, ça cuit bien, c'est bon comme  ça chauffe ! Elle fesse bien maman, elle claque fort !  La bonne fessée méritée, sur mes grosse fesses déculottées !

Bettina continue, à moitié hystérique, stimulée par les cuisantes cinglées de martinet et le rondin de gingembre vibrionnant, qui lui chauffe la raie des fesses.  

– «  On recommencera pas hein Géraldineon va être bien fesséestoute la soirée hein ? Mais on ne recommencera pas  !!! On sera obéissantes et bien dociles ! »

Géraldine, entre deux gémissements arrachés par les formidables claques de sa mère sur son postérieur qui a rattrapé la couleur de celui de Bettina.

– «  Noooon ! ......siiiii ! … je sais pasmais si...  il faut la fesséetoujours .......sur mes grosses fesses déculottées, ...c’est bien fait ...je le mérite…la fessée déculottée devant tout le monde ! »

Bettina  saute sur l’occasion des propos irraisonnés et confus de sa copine. La voix hoquetante au rythme des cinglées de martinet que Walter lui allonge sur les fesses, elle s’adresse maintenant à Margaret qu'elle harangue sans retenue comme à son habitude.  

– «  AAAh Margaret, vous entendez, il faut lui donner  la fessée plus fort  ...oohhhrrr .... plus fort ....aaaahhrrr ...elle mérite ....comme moi .....une bonne fessée  ooohhhrrr  .....regardez son gros derrière ....ses grosses fesses déculottées ...aïeeeee ! Allez-y,  plus fort.... la claquer plus fort ! aaaaahrrrrrrr ....! Elle vous obéis jamais ....s’en fiche des fessées ....faut taper plus fort ....comme moi ....déculottée  aaaahhhrrr ....la fessée ,la fessée ! »

 Margaret entend plus qu'elle n'écoute. Sa main, infatigable, s'abat sans relâche sur les fesses de Géraldine, qu'elle fait rebondir rageusement sur ses cuisses.

– «  Vous entendez ça Walter,  il paraît qu'elles s'en fichent des fessées ! 

– Oui, bien sûr, elles disent toujours ça pour faire leur intéressantes,  mais quand elles commencent à avoir le cul bien rouge et brûlant, c'est une autre chanson !

  C'est  bien mon avis aussi, n'est-ce pas Géraldine ! Mademoiselle qui ne veut jamais obéir et mérite les claquées sur ses grosses fesses ....je vais te le mater, moi, ton derrière d'insolente ! »

La voix saccadée de Géraldine, dont les fesses commencent à cuire sérieusement,  émerge difficilement, à moitié couverte sous le tonnerre de claques retentissantes.

– « Ouiiiii ! Nooooon, m'en fiche pas...Siiii je vais obéir... rahhh oui, la fessée...déculottée Roooouiiii ....sur mes grosses fesses ....toutes rouges !! » 

Brusquement, sans un mot,  Margaret interrompt la fessée à la main  pour s'emparer du battoir en cuir posé sur la table basse. Elle repositionne Géraldine sur ses genoux en passant la main sous son ventre pour lui faire relever les fesses bien en l'air. Elle a à peine le temps de réaliser, qu'une pluie de claques avec la palette en  cuir s’abat sur sa croupe enflammée qui se tortille en vain. Cette fois, fini les bravades, Géraldine se met à brailler... sans espoir  !

– Aaaah elle fait moins de manières maintenant, l'arrogante, s'exclame la mère en claquant  chaque fesse l'une après l'autre avec ardeur. Finies les petites provocations ! Tu la sens bien ta fessée là hein ! Et tu les entends tes fesses comme elles claquent  bien avec le battoir !! »

  Walter, qui trouve la formule intéressante, décide de suivre l’exemple de Margaret, prend  l'autre battoir, prévu pour la circonstance , et s’en sert de toutes ses forces sur le derrière écarlate de Bettina. Elle ne commente plus rien ....ses gémissements deviennent des sanglots de plus en sonores ....et ça y est... les deux punies renonçant à toute résistance  pleurent à chaudes larmes sans discontinuer.



Et après la saison 3... vient la saison 4!

Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.

Que s'est-il passé précédemment ? Un trou de mémoire ? Ce n'est pas grave vous retrouverez ici la saison, précédente le chapitre 1, et le dernier en date de la saison 4, c'est le chapitre 21

La suite, c'est très bientôt.

Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.

Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.

5 commentaires:

  1. Bonjour Ramina,

    Dolpick Prods présente : "L'arrière train sifflera trois fois"! "Walt et Margie" ! (à l'instar de "Bonnie and Clyde" -1968- W. Beatty et F. Dunaway). les comptes vont être réglés et apurés.
    Séb' savoure sa vengeance. "Men Power" ? Et mister Andrew (Mac Habane Ô'Kanada) que devient-il ?
    Amicalement. Peter.

    RépondreSupprimer
  2. Amis de la poésie et de la fessée "Apéro", Bonjour,
    Décidément, tout est prêt pour servir l'apéro à Bettina et Géraldine ( qui rime avec Badine ). Trinquons à leur santé ! En attendant, c'est elles qui vont trinquer avec tous les instruments mis à disposition et qui vont être largement utilisé.
    Avec le rondin de gingembre, la cuisson intérieure va produire ses effets. Ca cuit de façon équivalente exter/inter, comme un bon roastbeef ( et rien à voir avec Andrew... ).
    Bettina et Géraldine s'est prenne une bonne quand même. CDAMF n'y vont pas avec le dos de la cuillère à pot pour corriger ces dames qui ne cherchent qu'à attiser le feu.
    Après avoir fièrement entamé la fessée, les deux punis finissent par abandonner la partie et se laisser à pleurer comme deux gamines.
    Finalement, la leçon aura surement porté ses fruits ( mais pas sûr ).
    Allez, Walter et Margaret, un petit Aberlour pour reprendre des forces avant la seconde mi-temps ?
    Amitiés.
    Elena.

    RépondreSupprimer
  3. Bonjour Peter,
    Ambiance et références cinématographiques habituelles... Tous les chemins de croix de la discipline passent par ta filmographie!
    Pour Bettina et Géraldine, les deux Bonnies sans clyde, en ce moment c'est plutôt: " Le pont de la lanière Ouaiiiiie! ..." Oui je sais , c'est un peu tiré par le manche, mais promis je ne recommencerai pas !

    Quant à Andrew, il est cantonné dans sa chambre. Manquerait plus qu'il assiste à une séance de fessées dont il est finalement responsable, car à l'origine, sa beuverie au Pub!
    Amicalement
    Ramina

    RépondreSupprimer
  4. Fine lanière notre amie Elena .

    Commentaire tout en toucher. C'est que la fessée à la main à l'apéro constitue un excellent hors d'oeuvre avant le plat de résistance au martinet. En l'occurrence pour la suite, dessert flambé au battoir !

    Après de nombreux chapitres consacrés à rougir d'abondance les fessiers de ces messieurs, il fallait bien un retour de martinet sur " Ces Dames Aux Fesses Fermes " Nos deux arrogantes, Bettina et Géraldine n'ont pas froid aux yeux et par conséquent encore moins aux fesses!
    Walter et Margaret à la manœuvre vont se charger de clore la séance avec éclat. La seconde mi-temps s'annonce en effet pique, épique, et ratatame, sous le regard attentif d'un Sébastien revanchard! !

    Amicalement
    Ramina

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Amis de la poésie et du bourre et bourre au dolpic et ratatame au battoir, bonsoir ( ça rime ).
      La lectrice que je suis, attendait que ces dames aux fesses fermes s'en prennent une et carabinée, par un sniper de préférence... C'est ce que l'on pourrait appeler le jeu de la vie ( CHEVALIER et LASPALES n'auraient pas dit mieux ). Elle est changeante, incertaine ou fuyante, mais lorsque le vent est contraire, il faut s'apprêter à changer de cap avant que ça ne soit trop tard. Hissez haut matelots !
      Dans le cas présent, punissez bas mesdames !
      Amitiés.
      Elena.

      Supprimer

Un commentaire, une réaction, une proposition ? C'est ici. Une fois validé, le commentaire sera visible par tous les lecteurs du blog.
Si vous le souhaitez et pour des raisons de confidentialité, nous pouvons échanger par courriel. Seuls Huguette et moi verrons le message. Il vous suffit de cliquer dans le champ "pour nous contacter" en haut à droite de cette page.