lundi 12 avril 2021

Les rebelles - chapitre 56

Le Lundi matin qui suit notre chevauchée fantastique et la très sévère fouettée qui s’en est suivie, nous retournons aux services techniques de notre Mairie, puisque notre premier stage n’est pas encore terminé.

En arrivant, Loïc L., notre tuteur de stage, voit bien que notre entente n’est pas au top :

« Alors, les filles ! Ça va pas, ce matin ? Vous avez l’air toutes chagrinées et vous avez une drôle de démarche, que se passe-t-il ? »

« Oh, Samedi, nous sommes allées nous promener à cheval dans la campagne et Iourievna n’a pas trouvé mieux que de faire emballer son cheval et de nous faire tomber et du coup, nous avons mal partout ! » ment Olga, pour ne pas avouer que nous nous sommes fait corriger.

« Ah, je vois, faire une chute de cheval fait toujours souffrir, surtout si le cheval est grand ! »

« Ouais, c’était des juments, mais de grands gabarits et lorsque ça nous est arrivé, nous étions presque au galop, ce qui a amplifié les chocs lorsque nous sommes tombées »

« Je vous plains, les filles. Je suppose que vous allez passer la journée au bureau ? »

« Oui, le fait de marcher réveille les courbatures que nous avons »

« Je comprends mieux la soupe à la grimace que vous faite à Iourievna... C’est de sa faute ce qui est arrivé ! »

« Elle a pas intérêt à trop la ramener durant quelques temps, sinon elle va se faire secouer » dis-je, en colère, pour lui rappeler les reproches. A cause d’elle, nous avons passé le weekend, couchées, avec des brulures sur tout le corps et deux nuits presque blanches dues à la douleur lancinante.

A ma réflexion, Iourievna, qui n’en mène pas large, baisse la tête et rougit, le nez sur son ordinateur. Elle sait qu’elle a fauté et que sa sœur et son amie ont payé pour sa grosse bêtise.

Pour travailler, nous allons devoir rester assises durant tout le temps et nos fesses et l’arrière de nos cuisses vont nous faire un mal de chien !

Pour ma part, je n’ai même pas mis de culotte, tant le contact avec le tissu serré me chauffe l’entrecuisse et les fesses. Avec ma robe longue, le fait que je sois les fesses nues ne se verra pas. Je serais plus à l’aise comme ça. Mes amies ont aussi des vêtements amples, ce qui en dit long sur ce qu’elles ressentent et sans leur poser la question, je me doute que leur sous-vêtements sont restés à la maison...

Soudain, Nathaniel T., toujours les fesses et la saucisse à l’air, entre dans le bureau pour récupérer des formulaires qu’Amélie B. lui a demandé.

« Bonjour Mesdemoiselles ! Avez-vous passé un bon weekend ? » nous lance-t-il.

« Bonjour Nathaniel » nous contentons nous de répondre, sans vraiment prêter attention à lui.

« Ben alors, ça va pas ? » s’étonne-t-il

« Bon, Nathaniel, c’est vraiment pas le jour. Fiche-nous la paix ! Prend ton document et va-t’en ! » lui répond Iourievna qui a besoin de passer ses nerfs sur quelqu’un.

« Ouh la la ! Elles ont leurs règles, les trois stagiaires ? » se contente de dire Nathaniel T. en regardant Loïc L. qui ne répond pas à son interrogation, puis Nathaniel quitte la pièce.

« Vous êtes pas sympa avec lui ! il voulait juste vous demander si ça allait ! Je vous ai déjà connu plus aimables » dit Loïc L.

« Eh ben, on n’est pas d’humeur... ! » dit sèchement Olga.

Loïc L. ne relève pas ce que dit Olga, voyant que l’atmosphère est déjà très électrique.

Dans le bureau d’à côté, nous entendons Timothée C. de V., le premier adjoint au Maire, qui demande des comptes à Jean-Bernard V., sur des platebandes de fleurs représentant le blason de la ville et en fait, l’harmonie des couleurs n’est pas respectée, on ne reconnait pas du tout l’emblème de la ville.

« Mais qu’est-ce qu’ils fabriquent, vos jardiniers ? » s’emporte Timothée C. de V., hors de lui.

« En effet, le blason de la ville n’est pas du tout respecté dans les tons et même la forme n’est pas symétrique. Je vais arranger ça, avec la responsable du motif ! Amélie, amenez-moi Gwénola S., j’ai deux mots à lui dire ! Et qu’elle rapplique au plus vite ! » s’emporte Jean-Bernard V., le directeur des services techniques.

Dix minutes plus tard, Gwénola S. se présente chez le directeur.

« Bonjour Monsieur, vous m’avez fait appeler ? » demande poliment Gwénola S., sans se douter de ce qui l’attend.

« Regardez ces photos, il n’y a rien qui vous choque, Mademoiselle ? »

« Euh, si, c’est l’entrée de la ville, mais le blason, c’est n’importe quoi ! »

« Exactement, c’est du n’importe quoi ! Vous vous fichez de moi, avec votre composition florale ! »

« C’est mon apprenti qui a géré la plantation et je n’ai pas revérifié derrière lui, mais par rapport à ce qu’il m’avait dit, il n’avait pas eu de problème particulier... » tente de se disculper Gwénola S.

« Le résultat, c’est que je viens de me prendre une soufflante de la part du premier adjoint ! C’est inadmissible que vous ne recontrôliez pas le travail de vos subordonnés ! »

« Oui mais même, l’erreur ne peut se voir qu’au moment de la pousse, à la semence, les graines sont toutes pareilles et les erreurs ne peuvent pas être décelées ! » renchérit Gwénola S., bien décidée à ne pas endosser la responsabilité et sauver ce qui peut encore l’être.

« J’en ai rien à faire, le résultat est que le parterre de fleurs est à refaire entièrement ! » hurle le directeur.

« Ne vous inquiétez pas, je m’en charge personnellement » promet Gwénola S.

« Mais avant, jeune femme, vous et votre apprenti allez recevoir une correction que vous allez retenir, c’est moi qui vous le dis ! »

« Mais ! Monsieur le directeur, vous ne pouvez pas faire ça, l’erreur est humaine et il y a tellement de chose à faire que mon employé a fait selon le temps qu’il lui était imparti... »

« Je vais me gêner ! Amélie ! Sortez-moi les lanières, elles vont servir. Et vous Gwénola, amenez votre satané employé, car il va s’en prendre une aussi ! Vous serez fouettés tous les deux, entièrement nus, dans la cour devant les autres employés »

« Je suis une femme et je ne peux pas être mise toute nue devant tout le monde ! Déjà que les fois passées, tout le monde a vu mes fesses et mon sexe... » se plaint Gwénola.

« Et ben là, tout le monde verra vos nichons, en plus ! La prochaine fois, vous contrôlerai mieux ! »

Assez en colère contre elle de n’avoir pas su contrôler le travail de Luis M., son jeune apprenti de vingt-deux ans, elle va le chercher dans la salle de pause.

« Eh ! Gamin, viens ici, j’ai deux mots à t’dire ! »

« Oui ! Qui a-t-il, cheffe ? » s’inquiète Luis M., voyant sa responsable en colère.

« T’as vachement merdé sur la plantation du blason de la ville, sur la place de la république ! Elle est toute moche. De plus, les couleurs sont pas respectées, qu’est t’as foutu, p’tit trou du’c »

« Ah bon, j’ai pas vu ! » s’étonne Luis M.

« On va s’faire fouetter, par ta faute ! Et à poil, dehors, devant tout le monde »

« Se faire fouetter ? vous blaguez, cheffe ! »

« Tu vas me le payer, ça, crois-moi. En attendant, met toi à poil, ils nous attendent dehors ! »

« Je peux pas me déshabiller, ça se fait pas, ça ! »

« Ah ouais ! T’étais bien content de m’voir vu me faire fesser ! Hein ? Maintenant, c’est ton tour, p’tit con ! Allez, à poil ! »

Gwénola S. et Luis M. se déshabillent dans le vestiaire. Luis M. est déjà tout rouge de honte, mais il sait qu’il n’a pas le choix, car en cas de refus, ce sera la porte et le chômage à suivre, avec peu de perspective de retrouver un travail comme celui qu’il a. Quant à Gwénola S., qui n’en est pas à sa première correction, elle se retrouve nue la première, mais n’est pas plus à l’aise pour autant.

Lorsque Luis M. est nu, Gwénola S. lui dit :

« Prend la tondeuse et rase tout ça, car si tu ne le fais pas ici, ce seront les fesseuses qui le feront, dehors et devant tout monde »

« Mais, je vais ressembler à un petit garçon ! »

« Justement, c’est ce qu’elles veulent, idiot ! »

Contraint et forcé, sous la supervision de sa cheffe, Luis M. prend la tondeuse et se rase entièrement les poils, acte qui le fait rougir davantage, car il s’imagine déjà comme ça, devant tous ses collègues, dont certaines sont des femmes et ça va le ridiculiser pour un bon moment.

« Alors, vous êtes prêts ? Dépêchez-vous ! Quand vous sortirez, mettez les mains sur la tête et si j’en vois un qui se cache, c’est dix coup de martinet supplémentaire, vous êtes prévenus. Et vous, Luis, retroussez votre peau, vous défilerez le gland à l’air, ça vous apprendra » ordonne Amélie B., qui sort du vestiaire pour reprendre sa place avec les autres spectateurs.

Iourievna, Olga et moi, sommes aux premières loges pour assister à la correction. Avec notre corps qui nous fait encore souffrir de notre récente fouettée du weekend, nous plaignons presque les deux punis qui vont être corrigés devant nous. Mais malgré tout, une certaine excitation nous envahie toutes les trois, heureuses de voir les deux employés se faire cingler, et surtout que ça ne soit pas nous.

Devant obéir aux ordres d’Amélie B., les deux punis sortent du bâtiment, les mains sur la tête, ce qui exhibe largement leur nudité. Devant los moqueries et les rires des spectateurs, Gwénola S. et Luis M. sont en pleurs. L’humiliation fait que luis M. se trouve en érection et nous voyons les tétons de Gwénola S. se dresser, ce qui rend les deux punis encore plus ridicules. Par contre, aucun des deux punis ne baissent les mains pour cacher son intimité. Nous les trouvons assez courageux, car les spectateurs ne sont pas avares de quolibets avec eux.

« Regarde sa longue saucisse ! Ça ressemble à un long champignon ! » Raille Olga.

« Ah ouais, t’as raison, c’est encore plus ridicule comme ça. Sa copine doit être explosée de rire à chaque fois qu’elle le voit à poil. Et pis, la Gwénola, avec ses longues tétines, elle n’est pas mieux, non plus ! » dis-je.

« Elle manquera pas de lait, celle-là ! » Rajoute Iourievna

« T’as vu les tiens, Ioura ? Toi non plus, tu manqueras pas de lait et pis quand t’es corrigée, tes tétines sont pas moins dressées qu’les siennes ! » dis-je sur un ton de reproche, car la colère de sa dernière bêtise, qui nous a impactée, Olga et moi, n’est pas encore retombée. On finira par lui pardonner, mais pour le moment, ce n’est pas encore le cas. Quand on peut la rabaisser, nous ne nous en privons pas.

 « Je suppose que tout le monde sait pourquoi vos deux collègues sont là aujourd’hui ! Il y a eu une faute qui ne pourra être corrigée qu’après une replantation totale du parterre à l’entrée de la ville. En attendant, Monsieur le maire, ici présent réclame une punition exemplaire, car le blason de la ville ne sera pas disponible pour la fête du printemps » annonce Amélie B. qui laisse de longues minutes Gwénola S. et Luis M. face à nous, totalement exhibés et rouge de honte.

Totalement épilé, Luis M., seulement vingt-deux ans, a vraiment l’air d’un petit garçon...

Comme à son habitude, la femme du maire, Sandrine R., est à la première place pour bien profiter de cet excitant spectacle. Etant première Dame de la ville, elle est entourée de courtisanes qui gloussent en regardant les deux punis, en piteuse situation. Leurs réflexions méprisantes n’ont rien à envier à celles des ouvriers municipaux.

Même Nathaniel, les fesses encore à l’air car sa période de pénitence n’est pas finie, se moque de ses deux collègues, qui n’en mènent pas large. Pour un coup que ce n’est pas lui qui va être corrigé devant tout le monde, il en profite pleinement.

Gwénola S. et Luis M. sont attachés, de façon à ce qu’ils ne puissent pas se protéger, les bras au-dessus de la tête et les cuisses écartées. Leur corps est offert aux longues lanières de cuir des martinets de discipline de chez DELANIAIRES, martinets réputés pour infliger des souffrances à la hauteur des fautes commises. Rien que leur vue provoque l’angoisse chez les punis.

Deux hommes doivent attacher Luis M., tant celui-ci se débat en suppliant, affolé à l’idée de se faire fouetter, tandis qu’Amélie B. et Agathe S. sont à l’œuvre pour la correction des deux jardiniers municipaux.

Les deux fesseuses s’en donnent à cœur joie pour corriger les fesses et les cuisses deux employés. Comme à son habitude et avec grand courage, Gwénola S. reçoit les fouettées sans broncher, on la voit serrer les poings et les dents tout de même, tandis que Luis M. hurle comme un damné en se secouant dans tous les sens, ce qui provoque des moqueries de la part des spectateurs qui lui reprochent son manque évident de courage. Ses contorsions lui font ballotter son long pénis, à notre plus grande joie.

« S’il continue à se tortiller comme ça, il va s’en prendre une sur la queue ! » dis-je à Olga, car on voit les lanières s’enrouler autour des hanches des deux punis et l’extrémité venir cingler le bas ventre.

La première à pousser un long gémissement aigue est Gwénola S., car elle vient de se prendre quelques cinglées appuyées sur le pubis et avec ses cuisses écartées, aucun moyen de le protéger. C’est bien la première fois qu’on l’entend émettre un son lors d’une fessée... Mais vu la façon dont elle trésaille et transpire, on sait qu’elle en bave.

Le second à pousser un hurlement strident est Luis M., qui vient de s’en prendre une sur la verge. On le voit secouer son sexe pour tenter d’apaiser la douleur, ce qui n’empêche pas les fesseuses de continuer et à force de se contracter ses fesses et son bas ventre, il finit pas éjaculer à deux reprises.

« Waouh ! regarde Olia, quels jets il a fait, celui-là ! » Dis-je à mon amie.

« Ce sera un bon étalon ! ... Il devait avoir les testicules bien remplis pour gicler comme ça ! » me répond Olga.

Lorsque l’un et l’autre ont reçu quarante coups de martinet, Amélie B. et Agathe S. les laissent récupérer quelques minutes, avant la seconde partie qui sera donnée sur les dos des punis.

« Alors, jeune gens ! Qu’en dites-vous de cette première partie ? » ironise Amélie B.

Le bas du corps en feu, Gwénola S. et Luis M. ne répondent rien, ils reprennent leur souffle. Luis M. est en pleurs, tout tremblant.

« Amélie, ne nous faites plus languir, continuez... Vous voyez bien que tout le monde souhaite voir ces manants se faire punir comme ils le méritent » réclame Sandrine R., la femme du Maire.

Amélie B. vient examiner le pénis de Luis M., qui porte quelques traces rouge sombre, ce qui prouve que les cinglées reçues ont été douloureuses. Elle en profite pour bien lui palper et se régale en le faisant.

« Avec ça, tu pourras plus honorer qui que ce soit durant quelques temps... » Raille Amélie B.

Reprenant sa place, Amélie B. et Agathe S. décochent chacune une cinglée sur le dos de Gwénola S. qui se raidie, surprise par l’intense douleur. Elle se maitrise avec peine et réussit à ne pas hurler. Quant à Luis, il pousse un hurlement déchirant dès la première fouettée reçue. De belles traces se forment sur le dos des punis.

« Par contre, on peut pas dire qu’il soit super courageux, le Luis. Ecoute le brailler, le gars ! » Me fait remarquer Olga

« S’il braille à la première cinglée, qu’est-ce que ça va être à la quarantième ? »

Nous voyons les punis se contorsionner à chaque fouettée et réagir assez fortement lorsque les lanières les cinglent.

Voyant que Gwénola S. encaisse bien les fouettées, Amélie B. décide d’enrouler ses lanières autour du buste de la jeune femme, pour aller lui cingler les seins et voir sa réaction, car l’absence de cris la vexe, car elle a l’impression que Gwénola S. la nargue.

En effet, lorsque Gwénola S. reçoit la première cinglée du bout des lanières sur la poitrine, Gwénola S. s’abandonne et lâche un hurlement de douleur.

« Eh bien, voilà, elle la quand même fait hurler, cette greluche ! » Dit une amie de Sandrine R.

Voyant le résultat encourageant, Amélie B. et Agathe S. enchainent les cinglées au niveau de ses seins et Gwénola S., qui ne cherche plus à résister, se met à hurler autant que Luis M., ravissant tous les spectateurs que l’on entend acclamer les fesseuses.

Lorsque les deux femmes cessent les cinglées, elles laissent les deux punis, en larmes et en sueur, pleurnichant de douleur.

« J’espère que vous aurez retenu la leçon, jeunes gens ! » Demande Amélie B. aux deux punis qui ne répondent rien, se contentant de pleurer.

L’assistance est heureuse d’avoir entendu Gwénola S. hurler, car ses deux fessées précédentes avaient été reçues sans un seul cri. Maintenant, Amélie B., la responsable de Gwénola S. sait comment s’y prendre pour la faire brailler et contenter les spectateurs.

« Elle nous avait habitué à mieux, cette garce de Gwénola, mais je suis ravie d’avoir entendu sa voix mélodieuse... » Ironise Sandrine R.

Les deux punis sont détachés et menés à la douche, car ils sont couverts de marques et trempés de sueur. Marchant les cuisses écartées, les deux punis disparaissent dans les vestiaires.

Le directeur des services techniques demande à Amélie B. de remettre les deux jardiniers au travail le plus rapidement possible et de réparer les erreurs qu’ils ont fait et cette fois, sans fausse note, sinon, la punition sera pire, car en plus de la correction, il y aura une période de nudité complète.

Après la correction publique, Iourievna, Olga et moi rentrons dans notre bureau, l’entrecuisse mouillé de l’excitation procurée en regardant les deux ouvriers se faire corriger et même Loïc L., notre tuteur de stage est dans un état d’exaltation.

En passant, nous voyons que Nathaniel T. a clairement une puissante érection d’avoir vu Gwénola S. se faire corriger. Sans pantalon, son excitation ne passe vraiment pas inaperçue !

Dans l’après-midi, Gwénola S. et Luis M., toujours nus, sont convoqués chez le directeur pour définir les modalités de réparation des préjudices subies par la ville.

Durant quinze jours, dès que leur journée en ville sera terminée, les deux ouvriers devront se présenter au bureau du directeur, nus et les mains sur la tête et faire un compte-rendu complet de leurs activités. Cette étape d’humiliation a pour but de les faire réfléchir avant de fauter. Le directeur ayant été mis en demeure de reprendre son personnel en main.



Une série écrite par Elena

Elle nous revient pour quelques épisodes, un, c'est sûr, deux, très probable, plus ? ça semble le cas ! L'aventure continue !
Dans l'entourage d'Iourevna d'autres fessées ont déjà été administrées, lisez-les ici : le chapitre 1, début de la série et l'épisode précédent, le chapitre 55

Retrouvez-les tous sur la page des auteurs invités

Vous souhaitez réagir ?

Laissez un commentaire en bas de l'article, Elena vous répondra. Quelque chose de plus privé ? Adressez-moi-le, je transmettrai

2 commentaires:

  1. Amis de la poésie et de la fessée municipale... bonjour,
    Bonjour Eléna.

    Bon, on ne sait pas si cette charmante petite ville figure sur les guides touristiques des sites à visiter, en tous cas, les amateurs de numéros de claquettes sur les fesses devait y faire un petit séjour. La municipalité, très dynamique, propose un programme d'animation pas piqué des hannetons, avec des représentations pas loin de concurrencer le festival d'Avignon. Il n'y a pas de pont, mais on y danse des fesses dans la cour de la mairie.
    Spectacle de nu artistique intégral avec la participation des employés municipaux sans culotte, fessés en public devant les conseillés du même nom, madame la première Dame, bille en tête... de noeud! Décors Roger Hard Spanking , costumes, il n'y en a pas, les acteurs se font étriller à poil à coup de martinet. Concert de cris et lamentations, sponsorisé par la maison DELANIAIRES des martinets qui ne s'usent, même quand on s'en sert.
    Une petite ville qui honore son blason florale en faisant flanquer des dérouillées aux responsables du non respect des couleurs! Résultat des festivités , deux salariés hauts en couleur, rouge, tout partout même sur les parties géniales. Concours éjaculatoire réservé aux participants mâles. Les dames se débrouillent toutes seules sous la jupe en regardant les saucisses, chauffer au larde-cul à coup de lanières. Que des numéros exceptionnels !
    Mais où va t elle trouver des petites villes aussi pittoresques...Eléna... dans le guide Michelin du châtiment dernier, pardi!
    Amicalement
    Ramina

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Amis de la poésie ... Bonjour,
      Il est clair que dans ce canton, il ne fait pas bon fauter car on se fait fouetter. Nos rebelles qui n'ont pas la vie belle, même s'ils n'habitent pas AVIGNON se font astiquer le trognon !
      Même en dehors de Ste CROIX, les corrections sont distribuées de fort belles manières à coups de lanières.
      Pour désengorger les prisons et autres tribunaux, la discipline corporelle doit être solennelle pour être dissuasive mais surtout pas évasive et agressive pour éviter la récidive.
      Mes idées puisées dans le Michelin, pourquoi pas ou dans le GAULT et MILLAU, pour plus de brio !
      Amitiés.
      Elena.

      Supprimer

Un commentaire, une réaction, une proposition ? C'est ici. Une fois validé, le commentaire sera visible par tous les lecteurs du blog.
Si vous le souhaitez et pour des raisons de confidentialité, nous pouvons échanger par courriel. Seuls Huguette et moi verrons le message. Il vous suffit de cliquer dans le champ "pour nous contacter" en haut à droite de cette page.