Avec le retour du beau temps sur ma région, mes amies et moi décidons d’aller faire du cheval. Nous connaissons un centre hippique dont une des monitrices, Lise P., vingt-cinq ans, vit dans notre quartier et est une bonne copine d’Ekaterina. Elles pratiquent toutes les deux de la course à pied dans un club ( l’UAF ).
Ekaterina contacte Lise P. et toutes les deux conviennent d’un Samedi matin pour une promenade équestre. Ekaterina, Iourievna, Olga et moi ayant déjà pratiqué l’équitation, Lise P. nous envoie les formulaires pour l’assurance et les modalités de cette balade.
« Ça
va être super cette balade. Lise va nous emmener dans l’arrière-pays et on
verra des paysages qui ne sont visibles seulement qu’avec des chevaux ou à
pied, car les voitures ne passent pas dans ces coins-là ! » nous
dit Ekaterina, qui a déjà pratiqué ce genre d’activité avec son amie.
« T’as
raison, j’ai déjà hâte d’y être. Tu crois qu’on pourra galoper ? »
demande Olga.
« Oh,
oui, il y a de grands espaces dont la plupart sont des champs, alors on pourra
faire ce que nous voulons, t’en fait pas » lui répond sa sœur.
« Lundi
prochain, on aura plein de truc à raconter à Loïc et peut-être à Nathaniel si
on le croise à la pause-café... ! » dis-je, tout excitée à
l’idée de me promener à cheval.
« Même
si on ne le croise pas, on trouvera bien un truc à lui faire faire dans le
bureau et on lui demandera de passer et on lui racontera »
ajoute Iourievna.
« T’aime
ça, lui reluquer la saucisse ! Petite vicieuse... »
ironisais-je.
« Comme
si toi, t’aimais pas ! ! Hein, Mademoiselle sainte
nitouche ! » me répond-elle du tac au tac, faussement
effarouchée par ma pique.
« Si
Amélie le laisse cul nu, c’est pour que tout le monde en profite, alors ne nous
en privons pas ! » finit par avouer Olga.
Le jour de la promenade, tout
excitées, nous nous rendons dans le haras IFCE ( Institut Français du Cheval et
de l’Equitation ) pour y rencontrer Lise P.
Lorsque les présentations sont
faites, Lise P., très sympathique jeune femme, nous fait faire le tour du
propriétaire et nous présente les chevaux que nous aurons pour la randonnée
équestre. Elle en profite pour nous donner les premiers conseils, car nous
devrons nous occuper de notre cheval avant et après la randonnée, ce qui nous
fera découvrir toute l’étendue du métier.
Il y aura quatre pouliches :
Arsinoé, Athéna, Eclipse, Malva et un pur-sang : Largo pour Lise P. qui se
le réserve, car il faut être habitué pour le monter. Nos pouliches seront plus
douces pour des débutantes comme nous et le but est de nous balader et non pas
de finir par terre parce que le cheval aura été trop fougueux.
Lors du tour du centre
équestre, nous rencontrons d’autres moniteurs, Julien L., Valérie D., également
des lads du haras, Nicolas R., Emmanuel D. et la gérante, Guilaine D. qui vient
discuter avec nous un long moment car en cette période sanitaire compliquée,
les clients se font rares et de ce fait, chaque groupe est particulièrement
choyé. Guilaine D. nous recommande de retirer notre masque qu’une fois dans la
nature, car au sein du centre hippique, les mesures sont les mêmes que partout
ailleurs.
Nous prenons enfin contact
avec notre cheval. Les lads les ont sortis et maintenant, c’est à nous que
revient le privilège de les équiper pour la randonnée, le tout, sous les
conseils de Lise P. qui fait le tour de chacune d’entre nous pour contrôler nos
manipulations. Lise P. me dit de prendre Athéna.
Après avoir équipé notre
cheval de leur Harnais, des rênes, de la couverture et de la selle que nous
serrons correctement plusieurs fois puis nous nous équipons de notre casque et
nous passons à la montée où Iourievna et moi devons-nous faire aider pour
monter. Notre maladresse fait rire Ekaterina et Olga.
« Eh,
les filles... vous avez l’cul trop lourd et vous n’arrivez pas à monter, c’est
ça ? » ironise Olga
« Je
suis pas une amazone, moi ! J’ai pas l’habitude d’enjamber des grandes
bestioles comme ça » lui répondis-je un peu jalouse de voir la
facilité avec laquelle elle s’est hissée sur sa monture.
« T’inquiète,
Lena, ça vient assez vite, tu t’en sors pas si mal que ça... » tente
de me rassurer Lise P. en me donnant la technique pour me hisser sur mon
cheval.
« Il
te manque plus qu’un arc et des flèches pour que tu ressembles à une
amazone ! » me charrie une nouvelle fois Olga.
Lorsque nous sommes toutes en
selle, Lise P. nous fait faire quelques tours dans la cour pour nous habituer à
notre cheval, avant de sortir du haras, en direction des champs et des forêts.
Les grands espaces s’offrent à nous.
Le temps est très printanier
et l’air pur est agréable à respirer. Ça nous change des promenades pédestres
que nous pouvons faire dans le centre-ville. Au moins, ici, nous faisons corps
avec la nature.
Le début de la randonnée se
passe bien, nous traversons les champs et en chemin, nous voyons la nature de
plus près, les animaux sauvages et les beaux paysages.
Lise P. nous initie au trot et
chacune notre tour, sous son commandement, nous trottons sur un terrain dégagé
pour ne pas nous faire mal, si d’aventure, nous chutions. Avec les conseils
avisés de notre monitrice, la séance de trot se passe bien et Lise P. devinant
qu’elle a des élèves douées, décident de nous faire faire du galop.
Toujours avec ses consignes de
positionnement sur le cheval et de la prise des rênes, chacune notre tour, nous
partons au galop sur une courte distance pour commencer, mais Lise P. nous dit
qu’après, nous pourrons galoper sur une plus grande distance.
Encouragées par nos réussites,
nous prenons confiance en nous et nous n’hésitons pas à braver les consignes de
Lise P. qui est obligée de nous reprendre pour éviter un possible accident.
« Ne
faites pas les folles, les filles. Ce serait trop bête de vous blesser, ici, au
milieu de nulle part... » nous avertit Lise P.
La randonnée continue et nous
alternons les phases de trot, de galop et de pas lorsque nous sommes sur les
chemins de sous-bois, car nous croisons des randonneurs à pied. La cohabitation
doit se respecter de toutes parts.
« Ah
zut, j’ai pas vu l’heure, il faut penser à rentrer » nous
dit Lise P. en regardant sa montre.
« Déjà !
C’est vrai que lorsqu’on s’amuse bien, le temps passe vite ! » Confirme
Ekaterina.
« Nous
allons devoir couper à travers les prés pour ne pas être en retard au haras,
car il va falloir de chacune s’occupe de son cheval, le brosser avant de le
rentrer dans son box, avant de partir » ajoute Lise P.
A contrecœur, nous suivons
notre guide pour prendre la direction du haras, car il nous reste encore une
bonne heure pour arriver à destination.
En passant dans un pré, nous
voyons des vaches y sont. Nous entrons dans la propriété.
« Bon,
les filles, nous sommes dans un pré privé, il va falloir faire vite pour le
traverser et rejoindre le chemin de l’autre côté. Ça nous fera gagner un peu de
temps sur le parcours » nous dit Lise P.
Nous nous engageons dans le
pré et nous suivons Lise P. jusqu’au moment où nous croisons des vaches qui
broutent l’herbe. Iourievna se détache du groupe et lance son cheval au galop
pour rejoindre les bovidés. Elle se prend pour une cowgirl !
« Eh,
Ioura, revient, va pas faire peur aux vaches ! » crie
Lise P.
« Attend,
on va la rejoindre et lui ordonner de revenir. Elle en rate pas une,
celle-là ! » dit Olga en parlant de sa sœur.
Olga et moi galopons pour
rejoindre Iourievna, qui ne s’arrête pas malgré nos appels. Iourievna est bien
trop contente de courir après les vaches.
Lorsque nous la rattrapons
enfin, nous voyons deux quads venir à notre rencontre venant en sens inverse.
Il s’agit de l’agriculteur et de sa femme, nous ayant vu galoper après leur bétail.
Lorsqu’ils nous ont rejoint,
Imre H., un solide hongrois et sa femme Annelise H. nous injurient de faire
peur à leurs vaches. Pour se disculper, Iourievna raconte que son cheval s’est
emballé et qu’il s’est précipité vers les vaches, version à laquelle Imre H. et
Annelise H. ne croient absolument pas.
Imre H. est en rage et nous
insulte sur notre irresponsabilité d’effrayer les vaches et sur le fait de nous
être introduit sur son pré, qui est une propriété privée.
Pendant que nous nous faisons
enguirlander, Lise P. et Ekaterina arrivent. Lise P., en colère contre Iourievna,
s’excuse vis-à-vis du fermier.
« Vous
pourriez tenir vos élèves, Mademoiselle. Elles font n’importe
quoi ! » hurle Annelise H.
Lise P. réitère ses plus
plates excuses.
Etant près de leur ferme, le
fermier nous ordonne de l’accompagner à la ferme pour régler les comptes. Ne
sachant pas à quoi il fait allusion, nous l’accompagnons sans faire d’histoire,
ne voulant pas aggraver notre cas.
« Vous
trois, descendez de cheval ! ! » nous
ordonne Imre H. en désignant Iourievna, Olga et moi.
Nous nous exécutons, ne
sachant pas trop ce qui va se passer. Izia H., leur fille, de notre âge, sort
de la maison et vient voir ce qu’il se passe, ayant entendu ses parents crier.
« Je
vais vous flanquer une fessée, vous vous en rappellerez ! Mettez-vous
entièrement nues ! ! » nous menace Annelise H.
« Mais,
vous ne pouvez pas faire ça, on vous dit qu’on est désolées » dit
Iourievna à Annelise H.
« Vous
préférez qu’on prévienne les gendarmes pour les différentes
infractions ? »
« Euh...Non ! »
« Alors,
à poil et tout de suite ! toutes les trois. Izia, va chercher les
sangles pour les corriger »
« On
va se faire fesser encore un coup ? » se
plaint Olga
« Ça
vous apprendra, jeunes femmes... »
Avec beaucoup de réticence,
nous nous déshabillons et lorsque nous sommes totalement nues, les mains en
protection de notre pubis et de nos seins, Imre H., sans ménagement nous prend
les poignets et nous attachent, puis enroule les cordes à la poutre, de sorte
que nous soyons toutes les trois les bras au-dessus de la tête, totalement
exposées, sans défense et le corps offert. Lise P. et Ekaterina, sur leur monture
ne bronchent pas, de peur de s’en prendre une également.
Imre H. nous fait la leçon
tout en examinant notre corps de près, les mains nous tapotant la croupe, il
nous soupèse les seins et joue avec nos tétons dressés par ses palpations qui
nous faisant grogner et râler de désaccord. Imre H. va même jusqu’à nous
caresser l’entrecuisse pour nous rabaisser complètement.
« Mais !
c’est qu’elles mouillent, ces petites chiennes quand on les caresse ! »
S’exclame
Imre H. d’un ton méprisant. Réflexions qui nous font rougir davantage.
« On
va vous fesser à l’ancienne, c’est-à-dire comme on fessait de notre temps. Vous
nous en direz des nouvelles ! Izia, prend une sangle, tu vas participer
aux corrections avec ta mère ! » annonce le chef de
famille.
Saisies d’angoisse, Iourievna,
Olga et moi avons le cœur qui bat fort dans notre poitrine. Nous nous excusons
encore et encore, pour tenter d’amadouer les deux femmes, mais voyant que nos
excuses n’ont aucun effet, je leur dis que nous porterons plainte pour ces
traitements révoltants.
« Quoi
la greluche ? tu veux porter plainte alors que c’est toi qui t’es
introduit sans autorisation dans le pré pour faire peur aux vaches ? » me
dit Annabelle H.
Accompagnant le geste à la
parole, à mains nues, Annabelle H. me claque fermement à plusieurs reprises,
chacun de mes seins, les faisant tressauter ce qui me fait hurler de
douleur :
« AAAAAH !
ASSEEEZ ! AAAAAH ! CA FAIT MAAAL ! AAAAAH ! »
hurlais-je en trépignant.
La série de claques que je
reçois sur chaque sein ont pour effet de faire taire Olga et sa sœur,
pétrifiées par ce qu’elles voient !
Les instruments de punition
que tiennent Annabelle H. et Izia H., sont deux larges sangles de cuir. Avec
ça, il va nous en cuire pour un moment...
Les premières cinglées nous
fait déjà crier de douleur. Les sangles embrasent notre chair. Une fois l’une,
une fois l’autre, les fesseuses distribuent leurs corrections à toutes trois
sur le bas du corps. Sans aucune précision, les sangles claquent là où ça tombe.
Tantôt sur les fesses, sur les cuisses ou sur le bas du dos.
Nos premières larmes coulent,
tant la douleur est intense. Uniquement attachées par les poignets, nous
tournons sur nous même au gré de nos trépignements et autres contorsions. De ce
fait, les fesseuses peuvent même nous cingler le devant de notre corps, selon
l’angle que nous avons vis-à-vis d’elles. Les hurlements que nous poussons sont
également en rapport avec la partie de notre cinglée, car les deux femmes ne
prennent aucune précaution. Seule leur colère guide leurs fouettées.
Ayant déjà pris de nombreuses
cinglées sur le ventre et les seins, je tente d’éviter de me retrouver face aux
fesseuses, mais mes contorsions me font prendre n’importe quelle position, sans
que je n’y puisse rien faire. L’intégralité de mon corps me brule affreusement et
ça n’en finit pas. Olga et Iourievna ne sont pas en meilleur état que moi.
Elles braillent et se contorsionnent de façon très impudique, se secouant, les
cuisses grandes ouvertes et les seins ballotant.
« Alors
les pétasses, vous faites moins les fières ! On va vous apprendre à
faire peur aux vaches » ironise Izia H.
« Tournez,
mes jolies ! qu’on vous claque tout le corps ! » nous incite
Annabelle H. en nous voyant tourner sur nous-même, au gré des bruyantes
cinglées.
Lorsqu’enfin les claquements
cessent, seuls nos sanglots et nos gémissements brisent le silence. Izia H. et
sa mère ont en face d’elles trois jeunes femmes pendantes au bout de leurs
liens. Elles nous détachent et nous nous écroulons à genoux, les mains sur les
parties meurtries de notre corps en fusion. Nous voyons que les sangles ont
laissé de larges marques rouges, ce qui fait que peu de zone de notre corps
restent immaculée...
« Maintenant,
les pétasses, remontez à cheval et disparaissez de la propriété. On ne veut
plus nous voir ! » nous ordonne Imre H. qui, vu
la bosse qu’il a sur le devant du pantalon à une sacrée érection d’avoir vu
trois jeunes femmes se faire fouetter devant lui, sous des posent très
érotiques.
Toujours nues, tout zébrées de
longues marques et moites de sueur de la raclée que nous venons de prendre,
nous remettons notre casque et nous remontons à cheval. En posant les fesses
sur la selle, nous crions de douleur, tant les brulures reprennent, étant en
contact avec une partie dure. Notre position sur le cheval est assez burlesque
à voir, car nous tentons de monter sur nos étriers pour avoir les fesses décollées
de la selle. Lise P. et Ekaterina récupèrent nos vêtements qu’elles mettent
dans un grand sac, voyant que nous ne supporterons pas le contact du tissu sur
notre peau rendu hyper sensible par les coups reçus, car l’effet ressenti de la
flagellation sur notre corps est tout à fait comparable à de bons coups de
soleil. Pas grave en soi, mais terriblement douloureux !
Telles trois « Lady
Godiva » au corps marqué, nous rentrons au pas, car le trot est
insupportable compte tenu des sursauts que nous faisons sur la selle lorsque
notre cheval avance.
Ekaterina en veut terriblement
à Iourievna, car, non seulement, elle s’est fait punir mais elle a fait
punir sa sœur et moi, qui n’étions pour rien dans sa bêtise. Iourievna a beau
s’excuser, rien ne pardonne son indiscipline et son manque de discernement.
« Bon,
essayez d’accélérer un peu, car on va rentrer super tard ! Il nous
reste dix kilomètres à faire » nous demande Lise P. en
regardant l’heure.
« Ah
non ! on peut pas aller plus vite... si tu savais ce que ça fait
mal ! On a le corps en feu ! Ça se voit que c’est pas toi qui es
reçu la flagellation ! » Me plaignais-je pour
justifier la lenteur.
Dans cette fin d’après-midi,
sous l’œil, tantôt médusé, tantôt moqueur des promeneurs qui nous voient
passer, nous parcourons les chemins pour rentrer au haras.
En arrivant, les lads, les
autres moniteurs et la directrice nous accueillent.
« Ah,
vous êtes dans un bel état, les filles ! Aider les à descendre de
cheval » dit Guilaine D.
C’est Nicolas R., un lad, qui
m’aide à descendre. Il ne se gêne pas pour bien me palper, faisant croire qu’il
ne peut pas faire autrement lorsque je lui fais remarquer qu’il me pelote les
seins...
« Il
faudra laver les selles, car regardez, elles ont mouillé dessus ! » fait
remarquer Nicolas R.
En effet, une auréole est bien
visible à l’endroit de la selle où nous étions assises. L’humiliation d’être
nue en public, le corps brulant, zébré de marques nous a créé une réaction
proche d’une excitation sexuelle.
Entourées du personnel du
haras qui nous reluque de haut en bas, Olga, Iourievna et moi sommes dans nos
petits souliers d’être la cible des regards lubriques.
« Bon,
c’est plus trop la peine de vous cacher, on a déjà tout vu ! On a aussi vu
que vous aviez les tétines dressées... » dit en riant Nicolas
R. de façon assez goujate, ce qui fait se moquer les autres lads.
Le visage aussi écarlate que
le corps, avec cette réflexion blessante, je baisse la tête, les larmes au bord
des yeux et le menton tremblant.
« Nicolas
et les autres, ne restez pas là ! Allez-vous occuper des chevaux. Dans
l’état de fatigue où elles sont, ces demoiselles ne feront plus rien pour ce
soir ! » dit Guilaine D. qui nous invite à rentrer dans
le bureau.
Reprenant un peu de force,
nous écoutons Lise P. raconter à Guilaine D., comment nous en sommes arrivées à
cette punition.
Guilaine D. nous conseille de
ne pas porter plainte, car Imre H. est un ami personnel du préfet et en
s’arrangeant bien, nous serions inquiétées d’avoir pénétré sur sa propriété et
d’avoir fait peur aux vaches. Le préfet a le bras long et il sait manœuvrer
pour se sortir ou faire sortir ses amis de guêpiers.
Guilaine D. reproche à lise P.
le fait d’être entré par effraction dans le champ, même si ce n’est pas ce fait
qui a déclenché le courroux du fermier et les ennuis que nous avons eu par la
suite. Guilaine D. va réfléchir à une punition, car Lise P. connait les chemins
de randonnées et sait le temps qu’il faut pour faire le tour, sans pour autant
à prendre des raccourcis. Indirectement, elle, aussi est responsable de ce qui
nous est arrivé, car elle était responsable de son groupe d’élèves.
« Bon,
les filles, vous êtes encore toutes moites de sueur ! Lise, donnez-leur du
savon et emmenez-les se laver à l’ère de douche pour les chevaux ! » dit Guilaine
D., voulant nous donner une leçon de bonne conduite.
« On
va pas se laver là où vous lavez les chevaux, quand même ! »
dis-je, outrée, n’en croyant pas mes oreilles
« Et
on va se gêner ! tiens ! Hop, allez-y tout de suite »
réplique Guilaine D.
Voyant que nous n’aurons pas
gain de cause, nous accompagnons Lise P. vers l’ère de lavage des chevaux où
les lads sont déjà en train de laver les chevaux que nous avions durant la
randonnée. Les garçons nous voient arriver en riant.
« Allez
les pouliches ! à la douche ! » dit
un des lads
« Fermez-la,
les mecs, elles sont déjà assez humiliées comme ça ! » Tente
de nous défendre Lise P.
Toutes les trois dans le fond
de l’espace de douche, nous sommes arrosées copieusement par Lise P. et par les
lads qui ne se gênent pas pour participer à l’arrosage.
Olga, Iourievna et moi crions
car l’eau est froide et nous tentons de nous protéger des jets d’eau en nous
contorsionnant, ce qui nous fait prendre des pauses plus qu’érotiques.
« Savonnez-vous
bien partout et on vous rincera après » nous dit Lise P.
Dégoulinantes d’eau froide du
premier rinçage, nous nous savonnons sans rechigner et lorsque nous sommes
entièrement enduites de savon, Lise et les lads nous rincent de nouveau
copieusement, nous arrachant une nouvelle fois des cris en nous faisant prendre
des positions que des jeunes femmes ne devraient pas avoir en public !
A la sortie de la douche, Lise
P. nous donne des serviettes et avec mille précaution, nous nous séchons tant
bien que mal. C’est à ce moment que nos parents, prévenus par la directrice du
haras arrivent.
« Vous
vous êtes encore fourrées dans de beaux draps, les filles ! » dit
Irina S., la mère des jumelles.
« C’est
à cause de Ioura, tout ça. Si elle n’avait pas été jouer les cowboys, on en
serait pas là, maintenant ! » Dit Olga, furieuse contre sa
sœur.
Maman me prend dans ses bras,
pour me consoler, car elle sait que je n’y suis pour rien dans cette sombre
affaire.
Chacune rentre avec ses
parents et la soirée est passée, nue, avec des linges humides sur le corps pour
tenter de calmer les brulures causées par les marques, encore bien visibles.
Dans les jours qui suivent,
mes relations avec Iourievna sont très froides, car que je paye pour des fautes
que j’ai commises, passe encore, mais pour des fautes qui ne me sont pas
imputable, alors là, c’est le bouquet...
Une série écrite par Elena
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Amis de la poésie et de la grange aux fessées... bonjour,
RépondreSupprimerElena d'humeur cavalière, bonjour aussi...
Mais quelle mouche, de celles qui vibrionnent autour de la tête des bovins, a donc piqué Lourievna, pour aller faire du rodéo près d'un troupeau de vaches dans un champs privé. L'amour est peut être dans le pré , la fessées aussi.
Le problème c'est que la cow-girl en herbe fait payer sa bêtise à ses deux copines. Dans le genre tour de vache on ne fait pas mieux.
Le fermier Imre, (quel nom à brouter dehors!) une vraie peau de vache celui là, leur fait regretter la pratique de l'équitation dans ses verts pâturages. La propriété c'est sacré! Les demoiselles, dont deux malheureuses innocentes, se retrouvent livrées en pâture au proprio furibard, qui leur fait faire la toupie à coup de sangle ( en cuir de vache, on n'en sort pas) accrochées a une poutre de la grange...La vache, ça fait mal!!!
Autant dire que le retour à cheval à la maison, en tape cul nu sur la selle, n'arrange pas les affaires des fessiers en pleine cuisson des cavalières de l'apocalypse ! Humiliées une deuxième fois lors d'un rafraîchissement au jet d'eau près des boxes des canassons... La petite ballade à cheval a vite tourné à un véritable parcours d'obstacle.
La faute à qui? On peut comprendre que les copines de Lourievna, victimes de son irresponsabilité et d'un injuste châtiment pour une histoire de troupeau de vaches, ruminent quelque légitime rancœur à son égard..
Pour une fois la fessée n'est pas équitable... à l'étable!
Vachement cordialement.
Ramina