QUI AIME BIEN, FESSE BIEN
LA VISITE INATTENDUE DE TANTE ASTRID.
A plat ventre sur son lit , Sébastien attendait avec résignation que l’effet de la fessée reçue s’atténue. Il s’était bien gardé de remonter son slip qui n’aurait fait que maintenir et aggraver la cuisson de ses fesses dont l’armoire à glace lui renvoyait l’image de deux gros ballons rouges ...écarlates plutôt . Il se serait bien mis en pyjama …mais il n’osait pas. Il avait évité le martinet et se félicitait d’avoir calculé le temps de son retour de façon à ce qu’il précède de peu celui de ma mère.
C'était à peu près son seul motif de
satisfaction, vu la cuisante déculottée qu'il venait de recevoir et aussi, les
sarcasmes qu'il devait endurer de sa sœur quand elle y assistait . Même s'il
devait bien reconnaître éprouver le même sentiment de satisfaction à la voir se
faire corriger lorsque c'était son tour. Ils se rendaient ainsi la politesses à
la différence, non négligeable, qu'elle avait maintenant le pouvoir de le
fesser comme bon lui semblait. Il trouvait donc là de bonnes raisons de lui en
vouloir, d'autant plus qu'elle ne cachait pas le plaisir qu'elle prenait à lui
claquer le derrière, et n'en ratait jamais l'occasion.
Mais les événements allaient bientôt lui
apporter une petite compensation. L'histoire de la correction d'Andrew à
laquelle Géraldine avait participé, sans l'autorisation de leur mère, chez
Bettina, n'était pas terminée. Sébastien avait cru comprendre, qu'Il avait été
question avec Walter le mari, d'une séance de fessées exceptionnelle,
commune. Le jour fixé était justement ce
samedi-là, c'est à dire le lendemain. Il était donc à
peu près certain que sa charmante sœur devait s’attendre à une nouvelle fessée
maternelle, en complément de celle qu'elle avait déjà reçue. Et il souhaitait qu’elle en reçoive une très
sévère qui le vengerait un peu de celle qu'il avait reçue de sa mère en sa
présence et qui lui paraissait
partiellement injuste. Le sentiment d’injustice, causé par la déclaration de
Madame Defraisses, l’avait même emporté sur le sentiment que l’oubli de son
devoir avait justifié qu'il reçoive une bonne déculottée.
Il en voulait à sa mère de ne pas avoir voulu
le croire et d’avoir, de cette manière, donné raison à cette prof injuste et tyrannique, sans même consentir à
écouter ses explications . Et il ne se faisait aucune d’illusion. Un jour
ou l’autre, peut-être même le demain matin, elle lui flanquerait une fessée au martinet comme annoncé ou chargerait
Géraldine de la lui mettre. Ce que la charmante sœur se ferait un plaisir de lui
administrer avec toute la sévérité dont elle était capable. Il espérait bien
qu’elle en recevrait une bonne, celle-là, le lendemain, sur ses
grosses fesses de vicieuse !
Alors qu'il arrivait à peine à cesser de pleurer depuis quelques
minutes … Il reconnut en bas la voix de sa tante
Astrid qui passait, sans doute, prendre des nouvelles, bien qu'elle vit
Géraldine tous les jours au magasin. Elle venait souvent papoter avec sa sœur
et s'échanger les dernières petites histoires et rumeurs de fessées. Étant
donné le nombre de clientes qui
défilaient dans son magasin avec leur mari, pour acheter des martinets, ou
autres instruments de discipline, elle
avait de quoi alimenter les conversations de croustillantes anecdotes sur le
sujet.
Tout se savait rapidement dans le quartier et
les frasques d'Andrew lui était évidemment
revenues aux oreilles, comme l'initiative de Géraldine et Bettina, de le punir,
pratiquement '' clandestinement'' comme la rumeur le laissait entendre. Il
ne fallait tout de même pas exagérer. Astrid venait donc s'informer à la
source. Ce n'est pas Géraldine qui allait lui en parler au magasin. Elle
demanda ce qu'il en était. Margaret lui expliqua la séance de fessées prévue
chez Bettina et la conversation dévia naturellement sur l'histoire du billet de
fessée de Sébastien. Astrid demanda où
il était, et celui-ci, caché sur le palier à
écouter la conversation, se rendit alors
compte que l'arrivée de sa tante risquait de ne pas arranger ses affaires. Ce
n'était sûrement pas elle qui allait tempérer les ardeurs punitives de sa mère.
Margaret mit Astrid au courant de la fessée
qu’elle avait été “obligée” de lui administrer en punition de son inconduite et
de sa paresse, en brandissant le fameux billet de fessée qu'il avait rapporté de Saint-Joseph. Et elle
n’arrangeait pas les choses.
– « Tu te rends compte …il ne fait même plus ses
devoirs ...et il dit que c’est de ma faute... le petit salopard ! »
Il entendit rire sa sœur.
– « Au
moins il a de la ressource ton fils ! »
Margaret n'est pas d'humeur à plaisanter.
– C'est ça, donne lui raison tant que tu y es.
Et, ça te fait rire en plus !
– Mais non voyons Margaret... je plaisante.
Telle que je te connais, tu as dû lui en mettre mis une bonne !
– Évidement ! Et d'ailleurs j'en n'ai pas
encore fini avec lui ! »
Elle s'approche de l'escalier et l'interpelle
en levant la tête en direction de sa chambre.
– « Sébastien ! Viens dire bonjour à ta tante, et en même
temps ramène tes fesses ... immédiatement ! »
Sébastien prit à peine le temps de se
reculotter. Il se précipita dans l'escalier qu'il descendit, le slip rentré entre ses fesses
rouges et cuisantes, et se présenta, penaud devant sa mère et sa tante. Celle-ci prit l'initiative et
commença, d'emblée, à le sermonner.
– « Si je comprends bien, mon neveux n'est
qu'un petit paresseux, bon à rien et ingrat vis à vis de ses parents qui lui
payent ses études ! »
Il ne
disait rien, dans une attitude toute de modestie, les mains croisées derrière
le dos tripotant nerveusement les élastiques de son slip coincé entre ses
fesses. Il remarqua, avec un soulagement tout relatif, que Géraldine devait
être sortie. Ça faisait toujours une de moins à avoir sur le dos ou plutôt sur
les fesses ! Astrid insiste en le menaçant.
– « S'il faut te faire marcher à la
fessée, ce n'est pas compliqué. Ta mère et moi on sait comment
faire ! »
Elle balaye d’un air sévère son volumineux
fessier encore flamboyant. Sa mère scandalisée l’enfonce davantage.
– «
Le plus grave, c’est qu'il se met à ne pas faire ses devoirs ! Et en plus il raconte que c’est moi qui
l'empêche de travailler... tu te rends compte ! »
Sébastien vexé, ne peut s'empêcher de protester vigoureusement.
– « Alors ça, c’est même pas vrai
...j’ai rien dit de tout ça …c’est …
– Et que tu n’as pas fait ton devoir... c’est
pas vrai ,non plus ? L'interrompt Margaret .
– Si maman, j'ai... …j’ai ...oublié ... »
Astrid, qui sent l'arrivée imminente d'une nouvelle
fessée, interroge sa sœur avec un petit sourire en coin.
– « Je te fais confiance là-dessus... tu l’as déjà bien
corrigé je suppose ? Montre-moi ses fesses ! »
Margaret s’approche de son fils qui ne résiste
pas, mais recule instinctivement. Elle l'attrape par le poignet, le prend sous
son bras et le déculotte d'une seule
main, exposant son volumineux fessier écarlate sous les yeux de sa tante, ravie
du spectacle offert.
– « Ah oui ! Bien ! Belle fessée
effectivement !
– Oui, en général je lui en mets des bonnes...
– Tu m'étonnes, il y a de quoi se régaler, avec
une pareille paire sous la main, … il a un de ces fessiers le garçon...
Comme sa sœur, c'est de famille, elle est songeuse quelques seconde et déclare
avec emphase. Eh bien moi tu vois, je lui en
remettrais une autre. Aller, encore une bonne fessée sur ses grosses fesses
déculottées !
– Tu veux la lui mettre ? propose alors
Margaret. Profites en, c'est l'occasion,
elles devraient bien claquer, il s'en est déjà pris deux aujourd'hui. Tu
as les fesses de Géraldine sous la main, toute la journée, pourquoi pas un
petit extra sur celle son frère ? C'est bon les fessées en
famille ! »
Astrid ne répond pas sur le moment mais
acquiesce du regard avec un large sourire. Elle ordonne à son neveux d'un ton péremptoire.
–
« Va voir dans mon sac, et ramène-moi le martinet que j'ai apporté en
prévision. Je me doutais bien qu'il allait servir ! Elle déplace son regard vers Margaret. C'est un de nos derniers modèles, ça tombe
bien, je vais l'essayer sur ses fesses. Il devrait être fier, d'habitude c'est
celles de sa sœur qui les inaugurent !
– « Bonne idée tiens, répond Margaret en
se dirigeant vers la cuisine. Pendant ce temps
je vais chercher des glaçons pour le Whisky... tape fort que j’entende bien
claquer ses fesses ! Que ça lui passe l’envie de recommencer ! »
Le pathétique,
– « Oh mon...noooon...maman... pitiéééé !
de Sébastien, passa totalement inaperçu.
Il décela même une tonalité de satisfaction dans la réponse de sa tante.
– « Compte sur moi... je vais me
gêner ! Une bonne fessée ...déculotté ...au martinet …il va s’en souvenir …une belle grosse fessée
au Dolpic …ça va claquer , crois-moi ! »
Ainsi, la ruse qu'il avait cru efficace en calculant le moment de son
arrivée à la maison se révélait inutile
... elle se retournait même contre lui . C'est sa tante, qui n'était pas prévue
au programme, qui allait avoir tout le temps de lui donner la fessée au
martinet, avec, qui plus est, la recommandation pressante de sa mère.
Évidemment Astrid n'allait pas s'encombrer de
principes pour profiter de la situation. Elle le conduisit vers la chaise à
fessées, en le tenant sans ménagement par la ceinture élastique de son slip qui
lui entrait entre les fesses. Il savait qu'il n’avait aucune indulgence à
espérer de sa redoutable tante. Sa mère lui avait livré ses fesses et elle
n’allait pas se priver du plaisir de les lui rougir et cuire à volonté. Après
l’avoir fait agenouiller sur la chaise à fessée, elle le déculotta de nouveau
entièrement, descendant son slip jusqu’au milieu des cuisses . Trouvant sa position pas encore assez
pratique, et ses fesses pas suffisamment bien exposées, elle lui entoura la
taille de son bras gauche pour le soulever, jambes pendantes. Il plia
machinalement les genoux et se retrouva les pieds en l’air, prêts à pédaler
dans le vide.
D’une voix dans laquelle perçait de la
jubilation, elle le menaça.
– « Ta mère avait dû te dire que tu ne
perdrais rien pour attendre ...tu vas l’avoir ta bonne fessée au martinet …et crois moi je vais le
faire danser ton derrière !!! Je vais
t’apprendre à te moquer du monde moi ! »
Il n’eut même pas le temps d’esquisser une
tentative de démenti quant à cette accusation . Les multiples lanières du
martinet, manié de maîtresse main, lui avaient enveloppé la totalité des fesses
comme autant de flammes brûlantes, avivant encore plus le brasier de son
derrière. Un derrière encore rouge et cuisant de la grosse fessée à la main,
reçue peu de temps auparavant !
Il avait l’impression que les lanières lui
étaient entrées dans la chair en déchirant la peau …mais il savait qu’il n’en
était rien : le Dolpic empêcherait même que le lendemain matin les zébrures
soient encore visibles. La pommade miracle permettait de donner les fessées
aussi longuement qu’il était décidé …et cette sensation de
déchirure n’était que superficielle . A peine aurait-il quelques marques sur le
haut des cuisses ,là où cette crème infernale
n’avait pas été appliquée...
.Quelques dixièmes de seconde après – juste le
temps qu’il lui fallut pour bien “savourer”
l’effet de la première cinglée, la seconde lui arracha un nouveau cri et de
nouvelles larmes ...Les coups de martinet , tous parfaitement ajustés ,
continuèrent à lui enflammer le postérieur. Comme le l’avait annoncé sa tante.
Il offrait à son regard une danse de ses grosses fesses rouges , totalement
désordonnée et désespérée, rythmée par les claquements sonores des lanières et
accompagnée de pleurs incontrôlables et parfaitement inutiles ! Imperturbable
et infatigable, Astrid, forte de sa pratique régulière au magasin,
notamment sur les fesses de Géraldine, maniait le martinet avec dextérité.
– « Alors ?... c’est bon la fessée
? ça chauffe bien le derrière hein ? Tu regrettes maintenant, ou il t'en faut
encore ? Alors je veux t'entendre le dire ! Oh oui ma tante, s'il vous
plaît, il me faut encore la fessée au martinet …la bonne fessée déculottée
que j’ai bien méritée ! »
Mais il était incapable d’articuler un mot
intelligible. Il ne savait que crier et sangloter en trémoussant le derrière et
en battant des jambes en l’air. Astrid fessait atrocement dur et ne s'arrêta
que lorsque ses fesses furent parfaitement reluisantes d'un magnifique rouge
écarlate, strié aux lanières sur toute la surface, jusqu'en haut des cuisses.
.
– « Ah que c'est agréable de corriger un
derrière aussi solide que celui-là ! S’exclame-t-elle, satisfaite, en le laissant
tomber par terre. Elle garde le martinet en main, les lanières brûlantes
pendantes le long de sa jambe gainée de nylon. Je lui en ai mis plein les
fesses, à ton petit salopiaud...que du bonheur ! »
Margaret s'approche et contemple les fesses
cramoisies recouvertes de marques de lanières imprimées en rouge plus foncé sur
toute la surface. Du travail bien fait !
– Astrid, ma chérie, tu as bien
fait ! Il faut toujours lui en
mettre plein les fesses, pour lui c'est la dose normale, sinon il ne comprend
pas ! Tiens à propos de dose. Elle lui tend un verre en faisant joyeusement
teinter les glaçons qui rafraîchissent le pur malt. Une fessée comme celle-là, ça s'arrose, n'est-ce pas ! »
Les deux sœurs échangent un clin d’œil
complice, et trinquent au-dessus de Sébastien, à genoux par
terre, gémissant, en train de se frotter les fesses à pleines mains. Sa mère savoure
une petite gorgée et lui ordonne de se relever.
– Allez, maintenant cela suffit ! File dans ta
chambre ! Un bout de pain sec et au lit ! je ne nourris pas les
feignants, moi !
– C'est ça, ajoute la tante en riant. Il
dormira mieux les fesses rouges et l'estomac léger ! »
Elle
boit une gorgée de Whisky, et repose son verre sur la table basse.
– Dis donc, tu n'aurais pas quelques
amuse-gueule avec ça ? demande-t-elle en allant ranger son
martinet dans son sac. Les lanières encore chaudes témoignent de la sévérité de
la fessée.
Sébastien, avait remonté son slip en haut de
ses cuisses, et foncé dans l’escalier, à la fois content que cette déculottée
infernale soit finie, mais ulcéré par les paroles de sa mère. Il faudrait qu'il lui dise quand il pourra ,
qu’elle sera prête à l’écouter. Que non il n'est pas paresseux , que oui il veut travailler pour lui donner satisfaction. Que
ce n'est pas vrai que qu'il a dit du mal d'elle... Mais pourtant en pleurs, à
plat ventre sur son lit, maltraitant son oreiller, il rageait contre elle et
Géraldine aussi qui ne faisait qu'envenimer les choses. Ah comme il voulait
qu’elle en reçoive une de fessée celle-là ! Comme elle en avait déjà
reçu souvent et non, pire encore !
Ce bout de pain sec ridicule l’énervait. Il ne
voulait pas le manger ...et pourtant il lui était interdit de gaspiller. Il
ouvrit sa fenêtre et de toutes ses forces le jeta le plus loin possible …il passa par-dessus le grillage et tomba dans
un coin reculé du jardin des voisins …il serait bon pour les
corbeaux , les fourmis ou il ne savait
quelle bestiole ...
Mais son souci
essentiel le lendemain matin, était de se “tenir à carreaux “ après les fessées
reçues la veille aussi bien à l’Institut qu’à la maison …Une autre fessée d’ici le lendemain et,
selon le règlement en vigueur, cela lui
vaudrait automatiquement un passage dans le bureau de la nouvelle
Directrice , une certaine madame Baufaissiers. récemment nommée, à la
place d'un directeur jugé un peu trop laxiste. Une femme à poigne dont la
réputation d'intransigeance, impitoyable à faire respecter la discipline, et dure
sur les fessées, avait déjà fait le tour de l'Institut. Rien qu’à y penser il
sentait son postérieur devenir aussi cuisant que si on l'asseyait sur des charbons
ardents .
Et ce ne serait pas seulement une seule fessée qui
l’attendrait mais, en additionnant celles prévisibles à l'Institut, déjà sûr et
certain, par madame Defraisses, et leur
quasi doublement à la maison, c'était pas moins d’une demi-douzaine et pas de quelques minutes seulement
!! Il s'appliqua tant à faire profil bas, docile et, obéissant, qu'il réussit à éviter le pire. Mis à part
deux magistrales fessées déculottée à l'estrade, sur les genoux de madame
Defraisses l'une pour être arrivé en retard à son cours, après avoir raté son
bus, l'autre pour avoir oublié de la remercier de l'avoir bien corrigé, la
semaine s'écoula sans trop de dommage pour ses fesses.
Jusqu'à ce fameux samedi, prévu pour en finir avec la
punition commune de Géraldine et Bettina, rendues coupables d'avoir pris
l'initiative de corriger Andrew sans en référer à qui que ce soit. Il était
bien content de pouvoir assister à cette séance de fessées en double, sans que personne ne songe à le lui
reprocher. Sans doute pour rendre la punition plus exemplaire, Margaret, sa mère lui en avait donné
l'autorisation. Pour d'obscure raison d'emploi du temps il avait été décidé que
la punition se déroulerait chez eux
plutôt que chez Walter, ce qui ne changeait pas grand-chose à son déroulement. Sauf pour lui qui pouvait donc en être témoin.
Il tenait là une
petite revanche sur sa sœur
qui l'humiliait régulièrement. Forte de la décision de Margaret de lui laisser
désormais l'initiative de le corriger quand il le méritait, elle prenait un malin plaisir à lui flanquer
des fessées à la moindre occasion. Il se disait qu'à se croire tout permis et
n'en faire qu'à sa tête, elle avait bien mérité cette correction publique, et
qu'elle était suffisamment adepte de la fessée pour ne pas lui inspirer de la
commisération. Pour Bettina, qu'il n'aimait pas beaucoup pour la réputation
qu'elle avait d' inciter à administrer des fessées toujours plus sévères, il
souhaitait que celles qu'il allait la voir recevoir, soit les plus cuisantes possible.
Et puis leur volumineux derrière charnu, à l’une et l’autre, pouvait bien
encaisser une correction maximale.
Et après la saison 3... vient la saison 4!
Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerDeux druidesses de la chopine, Maman et Tantine !!! (J'la replacerai)
Séb' va ruminer sa vengeance. Tout comme Gérome avec Maman et Tante Madeleine, dit Mado. Ah les grandes sœurs !!! Redoutables pour le fessiers masculins, en particulier. J'aurais bien imaginé Gérome à sa place... Ca ne saurait tarder. Dessin au top. Géraldine, prends garde !!! Talaaaam !
Amicalement. Peter.
Amis de la poésie et de la fessée inattendue ... Bonsoir !
RépondreSupprimerPauvre Sébastien, qui pleurniche sur son lit, en regardant son gros fessier tout rouge. Il a cru berner tout le monde avec son timing mais c'était mal connaître le hasard qui a mis le grain de sable Astrid dans les rouages de la machine.
Belle description des marques laissées par le martinet DELANIAIRES sur les fesses de Séb. Il s'en rappellera durant un moment et fera ses devoirs au lieu de faire l'école buissonnière.
Décidément, je suis en accord avec Peter, CDAMF sont assez déterminées pour faire payer les garçons qui les entourent.
Une douce revanche sur la gente masculine venant du sexe dit "faible".
Par contre, pour Bettina et Géraldine, la roue va tourner et leur bon postérieur va cuire, en n'en pas douter....
Amitiés.
Elena.
Chers amis bonjour, ;
RépondreSupprimerCe n'est pas le crépuscule des Dieux , ni la chute de l'empire romain, mais un peu la fin des haricots... Semblerait que nos jours soient comptés... Déjà, pas de "Les Rebelles " ce lundi dernier!!! ben alors, allo, Elena ! Y a quelqu'un ?
Douce revanche... c'est vite dit, pas si douce ma douce! Ces dames pourtant bien équipée en fanfreluches, n'ont pas l"habitude de faire dans la dentelle en matière de corrections!
En attendant, baroud d'honneur à venir sur les belles fesses de nos sulfureuses Bettina et Géraldine qui vont finir par payer l'addition au prix fort! Andrew, ou pas, les fessées c'est Margaret qui décide, où , quand comment et par qui... Non mais!
Amicalement
Ramina
Amis de la poésie et de la décadence... Non, mais allo quoi ! Vous me recevrez ? mais allo, quoi !
SupprimerPour mes rebelles, le texte a été envoyé à temps, mais pas diffusé. Une fausse manip, surement. Il le sera Lundi prochain.
Par contre, pour les suivants, il faut que je me remette à chercher des sujets innovants, établir le plan et écrire. Voilà pour la suite. Peut être un peu de latence entre chaque épisode...
Quelle joie de voir les fesseuses aux mains fermes se faire rougir le postérieur. Comme on dit, la roue tourne et la chance change de camp.
Amitiés.
Elena.
La fessée déculottée sur les genoux j adore ca jai une jolie paire de fesses imberbes et douce j adore recevoir la fessée genre fessée pour mauvaise notes a l école pour manque de respect et au devoirs pour avoir fait une grosse bêtise comme un enfant de 5 ans je suis proche de Paris ci intéressé laisser un message svp merci je la donne aussi très bien a homme femme trav trans fessée soft ou punitive selon les demandes annonce très sérieuse
RépondreSupprimer