mardi 6 avril 2021

Ces dames aux mains fermes - saison 4 - chapitre 19

 QUI AIME BIEN, FESSE BIEN

LE RITUEL DES FESSEES A L'ESTRADE ;

Rodolphe, pouvait bien se vanter de l'endurance de sa solide paire de fesses, celles de Sébastien, régulièrement entretenues par sa mère et surtout sa sœur, Géraldine, l'étaient largement autant, avec de volumineuses rondeurs tout aussi performantes. Elles emplissaient avec bonheur, la large main de  Madame Defraisses, qui ne manquait jamais d'arguments pédagogique pour justifier les tournées de fessées qu’elles distribuaient généreusement sur tous les postérieurs de la classes.  A chaque début d'année, elle avait d'ailleurs un regard très sélectif sur le volume et la fermeté des fessiers de ses étudiants, qui devaient attester de leur capacité à suivre un enseignement basé sur une pratique intense de la fessée.

 Madame Defraisses descendit de la petite estrade et arriva tranquillement comme elle avait l'habitude de marcher. Le lent claquement de ses talons aiguilles, résonnait souvent comme une menace, annonciatrice de l'arrivée programmée des fessées.   Tous les étudiants avaient sorti leur devoir de leur porte document  et l’avaient soigneusement déposé sur leur table comme leur en avait été donnée instruction ...Tous, sauf, évidemment, Sébastien qui, sachant ce qui l'attendait, avait du mal à contrôler les frémissement d'angoisse de son derrière, à peine remis de la récente fessée de sa mère.  Une goutte de sueur perla dans son dos, dégoulinant le long de sa colonne vertébrale pour s'insinuer sournoisement entre ses fesses.

Respectueux des consignes, tout le monde se leva, au garde à vous, quand Madame Defraisses, déambulant tranquillement entre les tables, commença à ramasser les copies. Ils devaient rester debout, reins cambrés, fesses à portée de sa main, bien arrondies dans les pantalons, disponibles en cas de nécessité punitive pour un devoir non rendu. Les vraies grosses fessées se déroulaient sur l'estrade, selon les barèmes indiqués sur le notice accrochée au mur, .

 

Arrivée à la hauteur de Sébastien, elle le regarda avec un petit sourire narquois et lui ordonna.

«  Alors, monsieur Sébastien, votre copie ?

– Heu , Madame... moi ...heu ...j’ai pas eu...

– Votre copie, vous comprenez le français, ou non ?

– Euuh...  Je n’ai pas eu le temps Madame ...parce que …

– Comment ça, pas eu le temps ? Vous vous moquez de moi ? »

Le malheureux transi de trouille, n'ose pas affronter le regard impérieux de sa prof.   Il sait déjà qu'elle ne va pas manquer l'occasion de doubler la fessée, déjà programmée après son ratage au tableau. Il bredouille un timide :

« Euuh ...C'est parce que ...parce queuuuh..

– Oui Sébastien... parce que quoi ? »

Insiste la maîtresse femme qui le tient déjà à sa merci et s'amuse ouvertement de son désarroi. Il s'embrouille à chercher des explications improbables... Il n'a pas fait son travail et n'a aucune excuse à avancer, un point c'est tout.  Et même s'il en avait, ça ne changerait rien. L'occasion de sévir est trop belle pour madame Defraisses qui n'attend que ça. 

  Il réfléchit à toute vitesse en passant en revue des réponses plus ou moins plausibles. Non, il ne peut pas dire ça... il ne peut pas dire çà non pluscomment continuer sa phrase, alors qu'elle l’a déjà saisi par le bras et le secoue ?

« Euuh, Madame...   C’estMaman qui.

– Quoi maman ?  C'est la meilleure ! Regardez-moi ce pauvre garçon ! Il ne peut pas faire ses devoirs, parce que sa maman ne veut pas !   Elle l'empêche de travailler, bien sûr !  Parce qu'elle lui fait faire des études  mais elle veut qu'il reste un incapable, un bon à rien ! Allez hop, venez par ici ! »

Elle ordonne au reste de la classe de se rasseoir, le saisit par l'oreille et le sort de sa place pour le mettre debout dans l'allée devant sa table. La sentence tombe dans un silence de brouillard à couper au couteau.

« Baissez votre pantalon ! »

 Il s’empresse  d'obéir sans discuter. Ce n'est pas le moment. Elle le courbe au-dessus de sa table et le force à s'y allonger à plat ventre. Bras tendus il s'agrippe aussitôt des deux mains au bord opposé pour lui offrir une paire de fesses  bien en place et à sa main. Il y a vivement intérêt . Elle tape très fort et remet systématiquement une fessée au moindre relâchement de position.

« Tendez bien vos fesses pour que tout le monde les voit et les entende bien! »

Elle tire sur la ceinture élastique de son slip pour le lui ajuster sur le derrière, jusqu'à ce que la couture placée au bon endroit, s'enfonce dans la raie des fesses qui s'en trouvent sculptées avec une provocante précision.  Le nylon tendu à craquer brille sur les volumineuses rondeurs charnues qui offrent une provocante surface à claquer.

La fessée très sévère, est brève mais intense, et terriblement retentissante dans le silence de la classe. Elle crépite sèchement, à travers son slip, et lui incendie les fesses dont on peut voir la rougeur montante sous la transparence du nylon. 

«  Eh bien voilà une excellente entrée en matière ! 

Commente madame Defraisse en ponctuant sa phrase d'un superbe aller et retour sur chaque fesse. Elle est manifestement  enchantée de cette trépidante fessée administrée à la volée sur une table, au milieu de la classe, parmi tous les élèves. 

«Relevez-vous maintenant, il est temps de passer aux choses sérieuses,»

 Dans un silence pesant, annonciateur de la sévérité de la correction qui va suivre, Sébastien  se retrouve propulsé vers l'estrade surélevée, les fesses crépitantes sous la main ferme de Madame Defraisses. Elle y installe la chaise à fessée et s'y assied face aux élèves et ordonne à son puni de venir se positionner à genoux entre ses cuisses, les fesses en l'air, orientées vers la classe. Sitôt installée,  et sans avoir besoin de le demander, elle obtient immédiatement, l'attention respectueuse de toute l'assistance.  C'est dans une atmosphère lourde d'une crainte palpable que le rituel préparatoire à la séance de fessées peut commencer.

 Menton levé, reins cambrés, poitrine en avant, la forte femme, balaye, d'un regard impérieux l'ensemble de la classe, pétrifiée. On entendrait une demi-mouche voler.  Pour bien montrer qu'elle en a déjà pris possession, elle a saisi entre ses mains, le fessier de son puni, à genoux, prosterné entre ses talons aiguilles. Sûre de son autorité, sereine et  détendue, elle savoure l'exaltante sensation de pouvoir qu'elle exerce sur les viriles paires de fesses, soumises à sa cuisante autorité. C'est par la menace permanente des fessées , qu'elle obtient d'aussi bons résultats. De sa position haute sur l'estrade, elle entame alors un jeu de questions réponses, qu'elle orchestre comme un humiliant rituel, à chaque correction. Et gare aux fesses de celui qui ne participe pas. Il vient prendre la place du puni sitôt la raclée de celui-ci terminée.

«  Tout le monde est bien attentif... Est-ce que la fessée que je vais administrer à Sébastien est méritée. ?

Dociles, et obéissants, les élèves n'ont d'autre choix que de répondre à l'unisson . 

– OUI MADAME DEFRAISSES, IL A MERITE SA FESSEE

– Une cuisante fessée alors ?

– OUI MADAME DEFRAISSES, UNE CUISANTE FESSEE !!

Elle s'amuse à en rajouter pour augmenter la pression sur sa victime en attente entre ses cuisses.

– Une grosse fessée même ?

– OUI MADAME DEFRAISSES ? UNE GROSSE FESSEE !!

– Est ce que Monsieur Sébastien présente bien ses fesses pour la recevoir ?

– OUI MADAME DEFRAISSES IL PRESENTE BIEN SES FESSES !


fessée déculottée en public



– Très bien ! Nous allons pouvoir commencer dans de bonnes conditions! Sébastien va nous rappeler le tarif pour un devoir non rendu.

Une voix larmoyante remonte du sol d'entre les cuisses de la terrible femme.

– C'est... c'est deux fessées Madame …

– Oui, et deux fessées comment jeune homme ? »

D'un mouvement autoritaire du menton elle invite toute la classe à répondre avec le puni.

Dix-neuf voix ânonnent en même temps que lui.

 « DES FESSEES DECULOTTEES MADAME DEFRAISSE !! 

– C'est bien ! Je vois que tout le monde a lu mon panneau d'information. Vous savez maintenant ce qui attend vos fesses !  Pour vous Sébastien, la petite claquée que je viens de vous mettre ne compte pas, c'était juste histoire de me faire la main ;

Avec Madame Defraisses, pas de préparation du derrière, ni de préchauffage, ni de montée en puissance progressive. Sitôt, surélevé le fessier en pénitence, orienté face à la classe, le slip descendu au milieu des cuisses pour bien dégager la surface à corriger, la fessée démarre  immédiatement. Elle est dure, cuisante, à plein régime.  Immédiatement réactif, le postérieur du puni se met aussitôt en mouvement et se tortille en cadence sous les rafales de claques qui s'abattent sans pitié.

Indifférentes aux sanglots, hurlements et supplications de son puni, Madame Defraisses, en démonstration, fesse avec une spectaculaire énergie, devant une classe statufiée. Chacun sait, qu'à un moment ou une autre, et peut être même avant la fin de la journée, il risque de se retrouver déculotté à la place de Sébastien, soumis à la même humiliante correction. Le claquement de la fessée est si fort  que madame doit hausser la voix pour faire entendre distinctement ses harangues. Elle reprend l'avilissant dialogue.

– « Est ce que tout le monde voit bien rougir les fesses de monsieur Sébastien ? »

 Toute la classe, bien dressée, répond en cœur. 

–«  OH OUI MADAME DEFRAISSES, ON LES VOIT BIEN ROUGIR  !!

– Bien ! Et on entend bien ma main claquer sur ses fesses' ?

– OH OUI MADAME DEFRAISSES ON L'ENTEND BIEN CLAQUER SUR SES FESSES !!

– A la bonheur ! Notre ami à un derrière si retentissant !On ne se lasse pas de l'entendre claquer ! J'ai bien envie de continuer cette fessée plus longtemps pour faire durer le plaisir ! Est-ce que tout le monde est d'accord ? »

Chacun s'imaginant à la place de Sébastien, la réponse, moins tranchante, arrive après une seconde d'hésitation, dans un grondement de murmures embarrassés

«  Oui madame Defraisses...

– Je n'ai pas bien entendu dit celle-ci, avec de l'impatience dans la voix. »

Ce qui n'est pas étonnant puisqu'elle tape de plus en plus fort , arrachant à sa victime, des pleurs et des hurlements désespérés .

« OUI MADAME DEFRAISSES !! »

Hurle cette fois l'assistance impressionnée par l'ampleur de la correction à laquelle la terrible femme les contraint d'assister. Elle s'offre le luxe d'ironiser.

« Vos fesses font l'unanimité, mon cher ! Rien de tel qu'une longue fessée bien cuisante pour mettre un derrière en valeur. Le vôtre mérite amplement de jouer les prolongations » ;

«  Oh non … non  !! Roooahhhh non pas ça !!! Vous tapez tellement fort !!! S'écrie le malheureux en tapant des mains sur l'estrade. Pitié non !! »

Sa voix émerge, caverneuse de dessous le tabouret, sur lequel rebondit le lourd fessier de madame Defraisses, au rythme des claques qu'elle lui abat sur les fesses. 

«  S'il... s'il vous plaîîîîîît … madame Defraiiiiisse !!  »

Pour toute réponse, c'est une averse de claques, semblables à des coups de battoir qui lui font furieusement sauter le derrière. Ses genoux rebondissent douloureusement sur l'estrade.   Madame Defraisses, friande de bonnes sensations  aime fesser à la main. Elle l'a si ferme, que la cuisson de ses fessées est semblable à celles administrées avec une palette en cuir. Sébastien, plus ou moins consciemment, ne peut s'empêcher de comparer avec les fessées de sa mère.

 Contrairement à la manière de Margaret, madame Defraisses fesse toujours au même endroit, en plein milieu des deux fesses à la fois, toujours au même rythme rageur, sans pause  ni ralentissement. La cuisson qu'il ressentait était celle de claques puissantes, répétées à la même cadence, comme si elle voulait lui faire rebondir le derrière comme un ballon. Il était d'une telle souplesse qu'il semblait renvoyer la main en l'air pour lui redonner de l'élan et claquer, à chaque fois, plus fort en retombant. .

 Sa honte décuplée, d'être ainsi sévèrement corrigé devant ses copains par une représentante du sexe, soi-disant, faible, il hurlait et sanglotait sans retenue  !

Brusquement, elle le lâcha et le fit tomber de l’estrade au pied de laquelle il se retrouva à quatre pattes, le slip tendu entre les cuisses, le pantalon en accordéon  sur les chevilles.

« Levez-vous et au coin ! S'écrie-t-elle.  Puisque vous ne daignez pas rendre vos devoirs vous n' aurez pas  besoin de savoir quelle note je vais mettre aux autres quand je vais rendre les copies du travail précédent! Je ne vais pas raccourcir la durée de mon cours pour un jeune homme dans votre  genre  ! Mais ne vous tracassez pas, vous allez rester ici pendant la pause et je vais avoir tout le temps de m’occuper à nouveau de vos fesses ! Ne croyez pa      s vous en tirer comme çà.  Il y a une deuxième tournée qui vous attend ! Et vous allez vous en souvenir, je vous le garantis ! Je vais vous apprendre moi, ce qu'il en coûte de ne pas rendre ses devoirs !!! »

 C’est dans une quasi-terreur que Sébastien attendit la fin du cours ... Il l'avait mise d’une humeur massacrante ! Elle sermonnait tout le monde en passant toutes les copies au peigne fintrouvant des reproches à faire, même aux bons élèves habituels. Rodolphe qui n'en faisait pas partie, essayait de rétrécir pour passer le plus inaperçu possible, mais c'était difficile au premier rang. Abonné aux mauvaises notes, il s’entendit gratifier d’un ironique .

«  Tiens  !!!! qu’est-ce qui vous arrive ?  Presque la moyenne !!!! Vous vouliez sans doute écrire le contraire de vos réponses ...l'interpelle madame Defraisse d'une ton sarcastique. Elle s'assied sur le bord de sa table en y écrasant son imposant fessier, qu'elle étale délibérément sur sa copie, à quelques centimètres de lui. Il entend crisser ses bas nylon sur ses cuisses qu'elle exhibe sous son nez, haut croisées jusqu'aux jarretelles. Les effluves de son capiteux parfum trouble l'atmosphère autour d'eux. Elle se penche vers lui, son opulente poitrine en avant, et plonge un regard moqueur dans ses yeux, troublés par la vue imprenable sur son décolleté.

« Vous vous êtes trompé et vous êtes tombé juste ? C’est ça …ou alors  ? Ah je comprends : Monsieur a fait son devoir à coups de martinet sur les fesses !... Évidemment, il n'y a rien de mieux qu'une bonne fessée pour stimuler les paresseux, ça aide ! Et maman sait y faire, hein mon garçon ? »

Rodolphe a un mouvement de recul et lève instinctivement son bras en protection de son visage, s'attendant à se prendre une gifle qui n'arrive pas. Madame pratique exclusivement la fessée, plus efficace, plus spectaculaire, et plus jouissive. 

L'angoisse de Sébastien s’accroissait à mesure que le temps passait . Le cours allait finir. Il devinait  la terrifiante créature, allant et venant derrière lui, en faisant claquer ses talons aiguille. Elle l'avait fait asseoir, les fesses douloureuses débordantes de sa chaise, qu'elle reluquait d’un air féroce. Elle allait les lui cuire un maximum, c’était sûr !!!

 La porte refermée sur le dernier élève sorti, son supplice recommença, sans fioriture.  Sans un mot, elle le fit remonter sur l'estrade, s'installa de nouveau sur la chaise à fessées, et retroussa sa jupe en haut de ses cuisses gainées de nylon. Les boucles métalliques de ses jarretelles brillaient sous la lumière des néons de la classe. Il n'eut guère le temps de s'en émouvoir, elle le repris sur ses genoux pour lui flanquer sa deuxième fessée. La troisième en réalité, puisqu'elle avait décidé que la première ne comptait pas. Elle se fendit d'un compliment perfide avant de commencer. 

 «  Sébastien, je me dois de vous féliciter pour l'excellente tenue de vos fesses. C'est très stimulant de constater à quel point elles encaissent bien les fessées !  s'exclame-t-elle en lui appuyant sur les reins pour obtenir un plein arrondi du derrière et l'avoir bien ferme sous la main. Et comme tout le monde le sait, j'aime en mettre des cuisantes.   On voit tout de suite que ce sont des fesses habituées à s'en prendre des sévères à la maison...

Sébastien émet un gémissement de désolation, la tête relevée par-dessus son épaule.

– «  Just... Justement madame... pas...pas trop fort s'il vous plaît. Ma mère m'avait déjà flanqué une fessée ce matin avant de partir. Il renifle ses larmes. Avec ma sœur, ça... ça n'arrête pas... à.… à la moindre occasion...

– Elles ont bien raison ! Résultat, une magnifique paire de fesses à toutes épreuves. Sans compter que ce rouge écarlate leur va à merveille ! »

– Ooooh ? Madame... s'il vous pl...

Elle ne lui laisse pas le temps de finir. 

– «  C'est moi qui décide jeune homme ! »

Des claques , des claques et des claques toujours au même endroit , de toutes ses forces avec sa main-battoir. Elle le jeta dehors, toujours déculotté, les fesses fumantes et cramoisies, cinq minutes avant la fin de la deuxième pause, pour qu'il rejoigne ses camarades au cours suivant . Il traversa la cour en se reculottant , les yeux brouillés de larmes . Rodolphe pour une fois, compatissant, l’avait attendu et lui souffla sur  un ton dégoûté, méprisant.

«  Pfff !!!!! elle sait même pas donner la fessée, elle se contente de taper comme une malade, sans doser !

– C'est toi qui es malade !   On dirait que tu n'es jamais passé sur ses genoux ! Quand ça va t'arriver tu verras si elle ne sait pas fesser. Tu dis n'importe quoi ! 

Sébastien n'a pas plus envie de discuter. Il se détourne de la conversation, davantage préoccupé par sa difficulté à marcher, avec l’impression que ses fesses étaient complètement incandescentes. Il préférait ne pas anticiper sur le moment il devrait s'asseoir.  Mais son souci principal était surtout, que cette fessée reçue allait lui en valoir une seconde le soir à la maison, çà c’était acquis. Et  puisqu’il lui faudrait obligatoirement rapporter le lendemain, le '' compte-rendu de punition''  signé par sa mère, il y avait beaucoup de risques pour qu'elle y ajoute une troisième fessée, dès le matin, juste avant d’aller à l’école. Elle le faisait lever une demi-heure à l’avance, pour avoir le temps de lui en mettre une longue et bien sévère.  Bon mais c’était trop tard pour éviter quoi que soit. 

Juste avant le départ du car les ramenant en ville , une surveillante lui tendit une enveloppe  en lui  disant laconiquement.

«  De la part de madame Defraisse, à rapporter ,signé , demain matin …et avec un sourire goguenard, sinon vous savez  ce qui vous attend... »

Le car démarra. Sébastien  savait  ce qu’il y avait dans l’enveloppe mais il voulut vérifier, , le motif de la punition. Sa gorge se serra de nouveau. Madame Defraisses, ne faisait aucune concession sur le respect des règles de travail et la discipline. Elle avait donc écrit avec la plus grande rigueur.

  Sébastien n’a pas jugé utile de faire le devoir que tous ses camarades m’ont remis sans difficulté. Il a prétendu que sa mère l’avait empêché de le faire par manque de temps suffisant pour cela . Ceci ne peut ,évidemment , n’être qu’un mensonge éhonté dont d’ailleurs il est coutumier.  Le comportement de cet élève est inadmissible et pose un sérieux problème . Nous vous connaissons assez pour être convaincue que les allégations dont il est question sont totalement dénuées de tout fondement crédible . Vous saurez j’en suis certaine agir en conséquence pour redresser cette situation déplorable –

 Effondré, Sébastien montra le '' billet'' à Rodolphe. Il explosa.

 « Oh la garce de prof !  T’as pas dit tout ça !!!!! Moi, je vais aller lui dire à ta mère  que t’as pas dit ce qu’elle dit que t’as dit ! »

 Echaudé par les précédentes interventions de Rodolphe et sceptique quant au résultat sur sa mère, Sébastien déclina l’offre. Il se renfrogna et ayant réfléchi deux secondes  il finit par reconnaître.

 «  De toutes façons , il faut que rentre directement à la maison ….sinon …ma mère...ou presque pire, ma sœur … oh là là  !»



Et après la saison 3... vient la saison 4!

Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.

Que s'est-il passé précédemment ? Un trou de mémoire ? Ce n'est pas grave vous retrouverez ici la saison, précédente le chapitre 1, et le dernier en date de la saison 4, c'est le chapitre 18

La suite, c'est très bientôt.

Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.

Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.

7 commentaires:

  1. Bonjour Ramina,

    C'est "Poigne de fer et séduction" !
    -"Prenez votre stylo rouge et recopier les bonnes réponses.
    Gérome, cessez de bavarder avec Robin. Et vous, Peter, arrêtez de griffonner vos petits dessins. Soyez tous attentifs ! Sinon ce sera double correction pour chacun !". Fayots par contrainte !
    Ca risque de chauffer pour Gérome si Maman Térèze est convoquée chez la Directrice.
    "il devinait la terrifiante créature, allant et venant derrière lui, en faisant claquer ses mâch... euh... ses talons aiguille...."
    Quel suspense insoutenable ! "Vade retro, créature des ténèbres !
    Vite, une gousse d'ail ! Rires. Excellent !
    Amicalement. Peter.

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  2. Amis de la poésie et de la fessée punitive en mode diesel, bonsoir !
    Le Rodolphe qui n'a pas son devoir, à cause de Maman... Et bien voilà une excuse bidon qui vaut bien une fessée carabinée devant un parterre d'élèves bien élevés, en mode chorale où l'ensemble est harmonieux, tout comme le bruit des claques sur la peau tendue du punie, un peu comme un tambour. Rien à voir avec l'enfant au au tambour, mais on s'en approcherait.
    Avec Mme DEFRAISSE qui tape toujours sur deux fesses, tout comme lors de l'apéro, il y a toujours une seconde tournée, pour la plus grande joie des camarades du puni. Dommage qu'il n'y ait pas de jeunes femmes. Elles ne demanderaient pas mieux que de regarder cet excitant spectacle...
    Les élèves sont pris entre deux sensations, la première la panique de la voir leur faire des reproches et le second le bonheur d'avoir sa poitrine juste sous leur nez... De quoi créer l'émoi chez ces jeunes hommes.
    Amitiés.
    Elena.

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  3. Bonjour Peter

    Jolie la parodie des Mâchoires à la place des talons aiguille ! Bien vu, l'allusion à "Poigne de fer et séduction" tout à fait pertinent concernant le personnage de la sulfureuse madame Defraisses.
    C'est toujours savoureux de découvrir l'inventivité des tes commentaires par rapport à mes propres récits. Encore du petit délire Peteresque, sorti tout droit d'un imaginaire foldingue à la Gotlib, cette fois par le texte.
    Quant à l'ami Gérôme, ses fesses sont pour le moment en RTT! Mais Il est fort probable qu'elles finissent par reprendre du service.
    Amicalement
    Ramina

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    1. Bonsoir Ramina et vous tous...

      En effet, Gérome ne devrait pas tarder à reprendre du service.
      Ce devoir désastreux se soldera pour lui par un RV avec Madame Defraisses et Mam'e Bellebourge. Et ça risque de chauffeeer ! Ah les fameuses réunions Parents Professeurs, après les cours. Où l'on ne voyait que les "bons" élèves aux dires de nos enseignants.
      Votre remarque sur mes parallèles filmiques me rappelle un camarade de Collège qui avait fait une liste dans laquelle chaque moment de la vie scolaire était souligné par un titre de film dont en particulier le bulletin trimestriel dénommé "le salaire de la peur" et d'autres qui m'ont échappé. C'était plutôt pépère comme blague, au final. L'insouciance de la jeunesse. Belle époque. (Oncle Peter a terminé sa minute de nostalgie. rires).
      Amicalement. Peter.

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  4. Bonjour Elena,

    Dans le genre démarrage de fessée à froid, l'allusion au diesel est plutôt bien vue. Analyse,synthèse,conclusion, tout y est dans ce commentaire bien ficelé.
    Les références filmiques de Peter se répandent comme un virus (je ne vois pas le rapport avec une certaine actualité )"L'enfant au tambour" illustre assez bien l'effet de la main de Madame Defraisses sur les fesses de son puni. D'autant mieux que l'enfant en question dans le film met à hurler en tambourinant.
    Remarque pertinente sur l'absence de jeunes femmes dans les classes de l'institut. Ce doit être à une époque avant la mixité, où les écoles de filles ressemblaient à des couvents, et celles des garçon à des casernes!! (rire) On ne mélangeait pas les petites culottes avec les caleçons!
    Amicalement
    Ramina

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  5. Hello Peter,
    Tiens tu me vouvoies maintenant !
    Glups!
    Ramina

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    Réponses
    1. Hello Ramina,

      C'est juste. Emporté par mon verbiage, je ne m'en suis même pas rendu compte !!! Das ist ein Kolossale Katastrofe !! Mein Gott !!! Ich bin confus ! Ach !
      Amicalement. Peter

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