mercredi 28 avril 2021

Une pension de famille bien tenue - chapitre 14

 Plus personne ne s’intéressait à Yann. Il lui semblait qu’il était là depuis… il en savait plus estimer depuis combien de temps il était au coin. Au début, il avait prêté l’oreille à la conversation entre la menuisière et les sœurs Johanson.

Tous les détails de son séjour avaient été réglés en quelques phrases, sans qu’il ait eu son avis à donner : le loyer qu’il aurait à payer, mais également l’heure à laquelle il devrait se rendre à la menuiserie le matin, les questions de propreté et d’hygiène corporelle que les trois femmes s’étaient réparties, les points d’attention qu’elles partageraient comme la politesse, le langage utilisé ou le respect dû aux grandes personnes, mais également tout ce qui concernait le contrôle du travail qu’il devait fournir pour passer ses examens théoriques.

On parlait de lui comme s’il n’était pas là, tout en sachant qu’il entendait tout ce qui se disait. C’était étrange comme sensation. Comme si c’était d’autres personnes qui décidaient pour tout ce qui le concernait. Il rectifia dans sa tête. Ce n’était pas « comme si ». En fait il s’était rendu compte que, dorénavant, la plupart des décisions seraient prises soit par sa patronne, soit par les sœurs Johanson.

Les trois femmes avaient ensuite embrayé sur leur conception de la discipline d’où il ressortait un principe qui s’appliquait pour toutes les situations : une bonne fessée déculottée résolvait toutes les situations délicates. Il avait alors cessé d’écouter.

 

« Je pense, affirma Madame Olga, que nous devrions organiser un tuilage avant de vous ne partiez. Une sorte de passage de relais. Afin que votre apprenti comprenne bien que nous procédons de la même autorité.

– Euh oui, pourquoi pas. Comment imaginez-vous procéder.

– Il me semble qu’il serait pertinent que je lui administre une fessée en votre présence. Je pourrai alors le remettre au coin et vous pourriez regagner votre domicile en le laissant à notre charge. Il lui sera alors d’autant plus facile, étant en pénitence, de reconnaître notre autorité sans avoir recours à la vôtre.

– Cela me paraît une excellente idée, mais il y a une condition.

– Une condition ? Et laquelle ?

– Je ne crois pas pertinent de punir Yann s’il n’y a pas de raison, y compris s’il s’agit d’organiser un tuilage. Cela ne me semble pas une raison suffisante. La fessée doit rester une punition.

– Je vois que nous partageons les mêmes vues sur la fessée. Il ne sera jamais question, dans ma maison, de punir qui que ce soit sans une raison évidente.

– Vous me rassurez. J’ai eu, un instant, peur d’avoir placé Yann dans de mauvaises mains. Mais quel sera donc la raison pour laquelle vous pensez le punir ?

– Ne croyez-vous pas qu’il en existe suffisamment pour conduite Yann tous les soirs de cette semaine en travers de mes genoux ?

– Vous avez sans doute raison. Mais il faut que Yann comprenne pourquoi il est puni.

– Bien entendu ! Si je ne me trompe pas, vous l’avez puni pour la colère qu’il a faite.

– C’est exact.

– Je pense que la désobéissance à vos ordres en mérite tout autant. Je ne laisserai jamais passer un tel comportement de l’un de mes pupilles, qui plus est sous mon toit, sans que ses fesses en ressentent les conséquences.

– Cela donne une bonne idée du niveau d’exigence qui sera le vôtre. Je crois que je ne me suis pas trompée en choisissant votre pension. Vous êtes exactement les personnes qu’il faut à Yann pour veiller sur lui. Je n’ai plus rien à rajouter. Je vous laisse prendre la main. »

Madame Olga approuva d’un signe de tête.

« Yann, viens ici ! »

Yann regarda par-dessus son épaule. Il interrogea la menuisière du regard, mais celle-ci resta sans réaction. Il hésita, incertain sur ce qu’il devait faire.

« Faut-il que j’aille te chercher ? Je te promets que si tu m’y obliges, tu le regretteras. »

Le ton de la voix de Madame Olga était devenu sec. Il fit l’effet d’un coup de fouet. Yann fit demi-tour et se dirigea vers la personne qui l’avait convoqué. Il était à mi-chemin quand il se rendit compte que son pénis et ses testicules étaient de nouveau exposés à tous vents. Il plaça ses mains devant son sexe, sans cesser d’avancer. Dès qu’il fut près de Madame Olga, il reçut une claque sur les fesses.

« Où t’a-t-on dit que devaient se trouver tes mains ? »

Malgré une deuxième claque, il ne bougea pas ses mains.

« Je vois que tu as décidé de désobéir. Nous allons régler cela. »

Madame Olga plaça Yann debout entre ses jambes et elle emprisonna ses jambes entre ses cuisses. Maintenant placé de profil, ses fesses étaient bien plus accessibles. Madame Olga les claqua une première fois et Yann laissa échapper un cri entre ses lèvres. Il avait été surpris de la force que sa logeuse y avait mis. La fessée continua, mais il retint les cris qu’il aurait dû laisser aller.

« Je n’arrêterai cette fessée que quand tes mains seront là où elles devraient être ! »

Les claques devenaient de plus en plus fortes. Yann arrivait à ravaler ses cris, mais il dut se rendre à l’évidence : il ne tiendrait pas très longtemps. Mais il ne pouvait pas non plus exposer son sexe au regard de ces trois personnes étrangères. Il ne savait plus comment faire.

« Attendez, aïe…attendez Madame, aïe… je vais enlever, aïe… enlever mes mains, aïe… si vous arrêtez, aïe… la fessée, aïe… »

Madame Olga n’arrêta pas la fessée pour lui répondre.

« Ici, mon garçon, ce n’est pas comme ça que ça marche. Quand tu auras obéi, tu pourras te dire que la fin de cette fessée approche, mais ce ne sera pas pour tout de suite. »

Ce fut une série de claques que Madame Olga lui donna au même endroit qui décida pour Yann. Il poussa un cri quand il ne put en supporter plus et ses mains se portèrent sur ses fesses pour les protéger de la main punitive. Madame Olga prit alors le haut de ses cuisses pour cible.

« Ça, c’est interdit ! Nous en reparlerons plus tard. Tes mains ne sont toujours pas à leur place ! »

Yann finit par céder.

« Aïe ! Aïe, pardon, aïe ! »

Il mit ses mains sur sa tête. Toute honte bue, il ne pouvait tenir plus longtemps. La fessée continua malgré tout. Il se mit à geindre tout en assurant Madame Olga de son obéissance future. Quand la fessée cessa, il se crut au bout de sa peine.

« C’est désobéissance sur désobéissance ! Refuser d’obéir à un ordre explicite, c’est inadmissible. Il va falloir que tu apprennes qu’ici ce n’est pas possible. Nous verrons cela après le dîner. Contentons-nous, pour l’instant, de punir cette première désobéissance. Tu verras ce soir ce qu’il en coûte de s’opposer à une fessée que j’ai décidé de te donner. »

Madame Olga le replaça face à elle et elle posa une main de chaque côté de ses hanches. Elle y appuya vers le bas.

« A genoux, ordonna-t-elle ! »

Yann avait compris qu’il était préférable d’obéir. Il tomba à genoux entre ses pieds. Aussitôt Madame Olga entoura son buste de son bras, l’obligeant à se courber sur la cuisse gauche de sa logeuse. Elle le souleva légèrement jusqu’à ce que son ventre soit bien en équilibre sur l’étroite plateforme sur laquelle elle l’avait allongé. Il n’y avait plus que ses pieds qui touchaient le sol. La position dégageait parfaitement ses fesses. Elle ne lui disait rein qui vaille.

« François, dans la salle de bains, au rez-de-chaussée, sur le petit meuble à côté du lavabo, tu vas trouver une brosse à cheveux en bois qui a un dos bien plat. Tu me la ramènes. »

Elle asséna une formidable claque sur les fesses de Yann.

« Quant à toi, mon garçon, je te conseille de tenir ta main éloignée de tes fesses »

Yann comprenait l’urgence à respecter cette consigne. Il ne maîtrisait plus rien de la situation et il se doutait qu’il était loin d’être au bout de la punition que Madame Olga avait décidé de lui administrer. Sa voix lui laissait penser qu’elle était profondément fâchée contre lui et ses fesses nues à disposition de sa main allaient en payer le prix.

La fessée commença à main nue. La petite pause dont il avait bénéficié ne lui avait pas permis de récupérer de la cuisson de la première correction. Madame Olga n’eut pas besoin de plus de trois ou quatre claques sur les fesses pour qu’il ait retrouvé la douleur intacte, qui était encore imprimée dans ses terminaisons nerveuses.

Chercher à subir la fessée sans émettre la moindre plainte lui sembla quelque chose de déraisonnable. Il avait besoin d’extérioriser la douleur, même si ses cris avaient peu d’effet sur la cuisson de son épiderme. Il cria de tout son saoul. Il eut un bref espoir, vite déçu, quand il y eut un arrêt de la correction.

« Merci mon garçon. »

Yann hurla. Ce n’était plus la main de sa logeuse qui venait de frapper ses fesses, mais un objet bien plus dur, appliqué avec plus de force. Une deuxième fois, le même objet vint claquer sur ses fesses. il ne pouvait en supporter plus. Il tenta de se relever mais il fut bloqué par le bras de Madame Olga et il n’osa pas aller plus loin, les mouvements de ses jambes lui faisant perdre ses appuis.

La brosse tombait sur ses fesses encore et encore, cherchant des endroits qu’elle n’avait pas encore marqués et qu’elle transformait, en quelques coups appliqués au même endroit, en une zone d’où n’émanait plus que des signaux de douleur. Il pleurait depuis bien longtemps quand il sentit des larmes couler le long de ses joues et tomber sur le sol, au pied de la chaise.

Il n’avait plus la force de supplier ni de se relever. Ses jambes réagissaient encore quand la brosse trouvait un endroit qu’elle avait insuffisamment meurtri. Il commençait à sentir un fourmillement constant qui englobait toute la surface de son postérieur et dont émergeait de temps en temps une douleur brève mais aigue qui parcourait ses fesses sans logique identifiable, quand la fessée cessa.

Il continua à pleurer sans bouger de la position dans laquelle il avait été placé. Ce n’était plus seulement la douleur et le désespoir de ne jamais connaître la fin de la fessée qui faisait couler ses larmes. Certes, la fournaise qui emportait son postérieur était difficile à supporter, mais il était reconnaissant à Madame Olga d’avoir mis fin à sa punition.

 

Yann ne souhaitait pas bouger. Ce n’était pas que la position soit particulièrement confortable. Plié en deux sur la cuisse de sa fesseuse, il devait contracter ses abdominaux pour que ses hanches ne reposent pas trop douloureusement sur la jambe de Madame Olga. Mais là où il se trouvait, il était à peu près certain de ne pas pouvoir contrevenir aux ordres de sa logeuse. Bien que ses fesses soient en parfaite position si la correction devait reprendre, il s’y sentait plus en sécurité que s’il devait de nouveau prendre décider par lui-même, avec la crainte de faire de mauvais choix qui amènerait de nouveau Madame Olga à le punir.

« Retourne te mettre au coin ! Prends-y le temps de réfléchir à l’attitude que tu devras adopter lors de ta prochaine fessée. Tu sais que ce sera ce soir et qu’elle sera sévère, encore plus que celle que je t’ai donnée. »

Yann n’avait pas vraiment le temps de penser aux implications de ce que Madame Olga venait de lui dire. Il était surtout soucieux de se conformer au plus vite à la consigne qui lui avait été donnée et de montrer sa bonne volonté à obéir. Il se dépêchait de rejoindre le coin qu’il n’avait quitté que peu de temps auparavant. Dans sa précipitation, il en oubliait que ses organes génitaux brinqueballaient entre ses jambes à la vue de tout le monde. Cela ne lui paraissait plus avoir autant d’importance qu’avant.

Il cala son nez dans le coin, remonta son sweat-shirt et son polo et croisa ses bras dans son dos. Ce n’était que la deuxième fois où il se trouvait dans cette position, mais il anticipait déjà la honte de montrer ses fesses nues et l’ennui de devoir y rester aussi longtemps que ce que Madame Olga déciderait.

Il avait enfin le temps de souffler. Malgré ses fesses qui le brûlaient, il avait l’impression d’un calme qu’il n’avait pas ressenti depuis qu’il était parti de chez ses parents pour se rendre à La Villeneuve sur Horto. C’était surtout l’incertitude d’un nouveau départ qui lui avait pesé. Il ne savait pas où il allait quand il avait quitté le domicile familial.

Il ne voulait pas retomber dans les ennuis dans lesquels son oisiveté l’avait conduit. Il avait conscience qu’en l’envoyant à La Villeneuve sur Horto, ses parents lui avaient donné une dernière chance de repartir pour une nouvelle vie. Il ne voulait pas la gâcher.

L’autorité qu’il rencontrait depuis qu’il était arrivé lui pesait. Il avait bien trop l’habitude de disposer de son temps comme bon lui semblait, sans contrainte puisque ses parents assuraient sa subsistance, bien qu’il ne travaillât point. Pour la première fois de sa vie, il devait gagner de quoi subvenir à ses besoins. C’était nouveau et inconfortable. L’incertitude que représentait le lendemain avait été une source d’angoisse depuis que ses parents lui avaient annoncé les nouvelles dispositions qu’ils avaient prises. Il était venu à La Villeneuve sur Horto sans savoir ce qui l’y attendait, mais en craignant le pire.

Il aurait voulu y trouver la liberté d’action et d’inaction qu’il avait connue jusque-là, tout en sachant que cette époque était révolue. Il voulait cette absence de contrainte, tout en sachant que c’était elle qui l’avait conduit là où il était. Il voulait les avantages de la situation, sans ses inconvénients, c’est ce que sa mère appelait ses attitudes puériles et c’était justement ce qu’elle voulait éradiquer en l’envoyant vivre sous la responsabilité de la menuisière.

Il avait mollement protesté quand sa mère lui avait annoncé que, comme elle, sa nouvelle patronne aurait le droit de le corriger. Il avait argué de son âge, argument que sa mère avait balayé en faisant état de son comportement qui laissait supposer un nombre d’années bien inférieur à celui qui était inscrit sur sa carte d’identité.

« Tu seras traité en fonction de la façon dont tu te comportes, pas en fonction de ton âge. »

 

La menuisière avait tout de suite mis les choses au point.

« C’est à cette heure-ci que tu arrives ? »

Il n’y avait pas eu un mot de bienvenue avant que ne tombât le premier reproche. Il songea que c’était un peu exagéré.

« Si elle s’arrête à ce genre de détails, songea-t-il, elle n’a pas fini de rouspéter. »

Il n’avait qu’un peu plus de vingt minutes de retard sur l’horaire prévu. Ce n’était donc rien. Il devait le lui faire comprendre dès le premier jour, autrement, ce serait des sujets de discussion qui reviendraient tous les jours. Il n’avait pas l’intention de s’astreindre à des horaires précis. Il ne l’avait jamais fait.

« Oui, c’est vrai, je suis un peu en retard. Ce n’est pas si grave que ça. Tu ne vas pas en faire un plat pour si peu ! »

Les yeux de sa patronne avaient lancé des éclairs.

« Tout d’abord, tu vas me dire « vous ». Ici, tu es un apprenti, tout en bas de l’échelle. Tu dois le respect à tout le monde. Il n’est pas question que tu te permettes la moindre familiarité avec qui que ce soit et encore moins avec moi. La prochaine fois, tu en seras puni. Est-ce bien compris ? »

Il s’était contenté d’un vague grognement qui pouvait passer pour un assentiment. La menuisière ne s’était pas contentée de cette désinvolture.

« Je t’ai posé une question. Tu me réponds poliment ! »

Il s’était dit que ça commençait bien mal, mais il avait choisi de ne pas ouvrir les hostilités.

« Oui Madame, c’est compris. Je vous vouvoierai. »

Il y avait un petit ton ironique qui pointait derrière le sérieux apparent du ton.

« Je l’espère bien. En ce qui concerne ton heure d’arrivée, vingt-cinq minutes, ce n’est pas un peu de retard, c’est un retard scandaleux que je ne peux pas laisser passer sans réagir. »

Yann se dit qu’elle avait un peu tendance à de l’exagération. Un peu plus de vingt minutes qui venaient de se transformer en vingt-cinq !

« Oui, bon, mais j’avais des choses à faire ce matin. »

En réalité, il s’était tout simplement levé à son heure habituelle, ce qui ne lui avait pas permis d’être à l’heure.

« Des choses plus importantes que d’arriver à l’heure pour travailler ?

La conversation ne prenait pas la tournure qu’avait prévue Yann. Il hésita sur ce qu’il devait répondre. La menuisière avait déjà pris sa décision.

« Eh bien, je vais te monter ce qui arrive ici aux apprentis qui ne savent pas consacrer toute l’attention nécessaire à leur travail. »

Elle l’avait pris par le bras et, pour la première fois, il avait pu mesurer la force de sa poigne. Les doigts de la main de la menuisière s’étaient refermés sur son biceps et il aurait été bien en peine s’il avait voulu s’en défaire. Quand elle avait tiré sur son bras, il s’était senti emporté par une force à laquelle il n’avait pas pu résister. Il serait tombé si elle ne l’avait pas soutenu quand la soudaineté du déplacement qui lui était imposé l’avait fait trébucher.

Elle l’avait relâché trois pas plus loin alors qu’il n’eût retrouvé qu’un équilibre approximatif, mais ce fut pour déboucler sa ceinture.

« Mais que faites-vous ? »

Il avait mis ses mains sur les siennes, mais cela n’évita pas que la ceinture défaite libérât l’accès au bouton qui retenait son pantalon sur ses hanches.

« Que crois-tu que je fasse ? Je te baisse la culotte pour te fesser. Ce sera comme ça à chaque bêtise »

Elle avait fait sauter le bouton du pantalon et elle le tira vers le bas. Quand Yann réussit à attraper le haut du pantalon pour empêcher qu’il ne descendît plus bas, il était déjà à mi-fesses. Sa culotte était bien apparente. La menuisière tira d’un coup sec et le pantalon descendit. Quand Yann se baissa pour le relever, il reçut une claque sur le haut de la cuisse. Sur la peau nue, cela claque très fort et une intense brûlure enflamma son épiderme.

« Tu laisses le pantalon là où il est ! »

Il sentit qu’il y avait une sérieuse menace derrière cette phrase prononcée d’une voix sèche. Elle dégageait une telle assurance, et elle l’avait amenée là où elle le souhaitait avec une telle facilité que Yann devait reconsidérer l’opinion qu’il avait d’elle. C’était une personne à prendre au sérieux.

« Je conçois que ce n’est pas facile d’être déculotté à plus de quarante ans pour prendre une fessée. Il va cependant falloir que tu t’y habitues. Tant que tu seras sous ma responsabilité, ce sera comme ça. Que j’aie une petite dizaine d’années de moins que toi n’y change rien. Ce n’est ni ton âge, ni le mien qui comptent. Ta mère m’a donné la mission de te remettre dans le droit chemin et de t’apprendre un métier, c’est ce que je vais faire. »

Yann ne trouvait rien à répliquer à ce qui apparaissait comme une évidence. Se tenant le pantalon aux chevilles et la culotte au vu de sa patronne, ne l’aidait pas à trouver des arguments pertinents. La menuisière ne lui en laissa pas le temps. Ce n’était pas une discussion avec lui qu’elle entamait, mais elle lui expliquait les nouvelles réalités auxquelles il devrait se conformer.

« Je me suis mise d’accord avec ta mère. Comme elle, je n’hésiterai pas à recourir à la fessée pour que tu comprennes bien quand tu as fait une bêtise. Tu vas recevoir ta première fessée de ma main tout de suite. »

Yann aurait dû s’insurger, mais il y avait une telle certitude dans les propos de la menuisière qu’il n’osa pas. La référence à l’autorité de sa mère acheva de vaincre ses dernières résistances.

« Pour bien te faire comprendre que ton comportement n’est pas celui d’un adulte, je te baisserai la culotte à chaque fois, et tu me laisseras le faire. Tu dois faire le choix maintenant. Si tu t’y opposes, je te renvoie chez toi immédiatement. »

Yann voulut ouvrir la bouche pour convaincre sa patronne de changer d’avis. Elle ne lui en laissa pas le temps.

« Non ! Tu écoutes et tu te tais ! »

Une claque sur la cuisse finit de le convaincre que l’obéissance était la meilleure attitude à adopter.

« Tu n’as pas besoin de parler. Je vais te baisser la culotte maintenant. Soit tu me laisses faire, soit tu t’en vas. »

Joignant le geste à la parole, elle prit le bas de la culotte entre ses doigts. Elle laissa quelques secondes à Yann pour réfléchir, puis elle tira vers le bas. Les doigts de Yann se resserrèrent sur l’élastique de son sous-vêtement.

« Yann, gronda la menuisière ! »

Il lâcha la culotte qui descendit le long de ses cuisses. Son sexe était érigé et il le cacha précipitamment de ses deux mains.



Il y a une suite ?

Oui, bien sûr, ça va venir. En attendant, si vous avez loupé l'épisode précédent : chapitre 13. Et pour ceux qui voudraient reprendre au début : le premier chapitre

1 commentaire:

  1. Amies des pension de famille, bonsoir ! Que de débuts prometteurs et de succulentes fessées, la boulangère, son mari, Solveig, la menuisière, Olga...
    Que de fessées en perspective et j'espère que ca va claquer fort. Continuez c'est parti sur de bonnes bases !

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