samedi 10 avril 2021

Une pension de famille bien tenue - chapitre 5

 Quand la boulangère était venue la chercher, Louison s’était écroulée en larmes dans ses bras.

« Allons, n’en fait pas une affaire d’état. Après tout, ce n’est qu’une jeune femme qui a été punie comme elle le méritait. Pas de quoi en faire une montagne ! »

Bien qu’elle ne l’exprimât pas, Louison n’était pas d’accord. Elle avait nettement entendu deux personnes commenter sa situation alors qu’elle leur tournait le dos. Elle ne savait pas qui c’était, ce qui en rajoutait à la difficulté de la situation. Il y avait au moins deux personnes qui savaient qu’elle avait été déculottée et fessée, sans qu’elle puisse savoir de qui il s’agissait. Elle pouvait les croiser dans la rue. Ils la reconnaitraient probablement, mais elle, elle ne le pouvait pas.

« Cesse donc ce torrent de larmes. Il est tout à fait injustifié et je n’ai pas l’intention d’admettre dans ma boutique une jeune femme pour servir les clients avec une tête comme la tienne. »

Les larmes de Louison furent absorbées par le tissu qui recouvrait la poitrine de la boulangère. Serrée contre le sein de sa patronne, Louison la laissa faire. Elle obéit sagement quand elle fut mouchée, et ses dernières larmes essuyées sur ses joues.

« Allez, c’est fini ! Cesse de t’apitoyer sur ton sort. Tu avais grand besoin de cette fessée. Tu l’avais méritée, tu l’as eue et il y en aura d’autres. Tout est donc normal. Je ne veux pas te voir avec cette en présence des clients. Je te donne trois minutes pour être présentable ! »

Les trois minutes suffirent largement. Louison reprit son service dans la boutique. Il n’était pas question pour elle d’être euphorique, mais elle arrivait à faire bonne figure. C’était l’essentiel.

 

Le calme régna dans la boutique le reste de la matinée. C’est du côté du fournil que vinrent des imprécations. C’était le boulanger qui laissait éclater sa colère. Ce tintamarre attira la boulangère qui vint voir ce qui provoquait le courroux de son époux.

« Incroyable ! Cela fait au moins trois fois en une semaine qu’il laisse bruler quelque chose ! Aujourd’hui, ce sont les tartes au citron ! Regarde, elles sont invendables.

– Ah ça, c’est sûr ! Il n’est pas question que des pâtisseries aussi roussies entrent dans ma boutique. Il n’y a plus qu’à les jeter. »

François regardait avec détachement le cirque qu’ils faisaient pour une dizaine de petites tartes. Ce n’était pas si grave, il suffisait de recommencer.

« Il n’y a pas mort d’homme, se disait-il ! »

Il signala son exaspération d’un haussement prononcé des sourcils.

« Que de cinéma pour une dizaine de petites pâtisseries. »

Ses patrons ne semblaient pas remarquer qu’il trouvait leur réaction disproportionnée au regard de l’insignifiance de ce qui l’avait provoquée. Il leva les yeux au plafond et il souffla bruyamment. Il réussit enfin à attirer leur attention.

« J’espère qu’ils vont se calmer, se dit-il. »

La boulangère le regardait, incrédule.

« Mais il a l’air de s’en foutre ! »

François était satisfait du résultat qu’il avait obtenu. Elle au moins, avait compris que ce n’était pas si grave et si ce n’était pas le cas, elle s’était rendu compte que, lui, considérait que c’était un incident mineur.

« Pas de quoi en faire un fromage, pensa-t-il. »

Sans trop savoir pourquoi le rapprochement entre les gâteaux et le fromage le fit sourire.

« Et ça l’amuse, en plus ! »

La boulangère semblait maintenant vraiment furieuse.

« On ne peut pas laisser passer ça sans réagir. Il faut que tu sévisses.

– Que je sévisse ? Mais comment ?

– Eh bien, de la même façon que nous avons puni Louison. Ce serait très équitable. Quand une bêtise est commise, je ne vois pas pourquoi il n’y aurait qu’elle qui se prendrait une fessée. François en a besoin tout autant qu’elle pour progresser dans son travail.

– Une fessée, tu crois ? »

Le mot était lâché. C’était une nouvelle donne. François se fit plus attentif à la conversation de ses deux patrons.

« Exactement, une bonne fessée déculottée et un bon moment passé au coin. Comme pour Louison ! »

François regarda la boulangère. Visiblement, elle s’y voyait déjà. Il jugeait pourtant qu’il y avait encore un fossé énorme avant qu’il soit puni de cette façon.

« A son âge, on peut le faire ?

– L’âge n’a rien à voir là-dedans ! Il se comporte comme un garçon irresponsable, incapable d’accorder le sérieux nécessaire à son travail. Je t’entends plusieurs fois par jour pester contre ses négligences, n’est-ce pas vrai ?

– Pour ce qui est de rouspéter, c’est, en effet, plusieurs fois par jour, en pure perte. Ça ne change rien du tout ! Mes coups de gueule n’ont aucun effet, ça rentre par une oreille, ça sort par l’autre. Peut-être qu’une fessée… en effet. »

François trouvait humiliant qu’on envisageât ouvertement, qui plus est en sa présence, de le déculotter et de le fesser. Il fallait mettre fin à ce délire de ses patrons avant que cela n’aille trop loin.

« Vous pouvez toujours compter là-dessus ! Vous croyez peut-être que je vais vous laisser faire ? D’abord, vous n’avez pas le droit !

– Si nous te considérons comme notre employé, tu as raison. Mais si tu es une sorte de fils adopté, c’est différent. De toute façon, tu n’as pas ton mot à dire. Crois-tu que nous allons te demander l’autorisation ? Tu as le choix, soit je te mets à la porte tout de suite pour ton incompétence et pour l’insolence dont tu fais preuve, et je te promets que tu ne retrouveras pas de travail dans cette ville, soit c’est la fessée. Alors ? »

François se rembrunit. Il savait qu’elle disait vrai. Il ne pouvait pas se permettre de perdre son emploi. Ce serait donner raison à son père qui l’avait toujours considéré comme un bon à rien. Il ne voulait pas lui faire ce plaisir.

« Non, attendez, je vais faire attention, maintenant. Pas la peine de…

– Oh que si, c’est la peine ! Je vais compter jusque cinq. Quand j’y serai arrivée, si tu es encore là, tu auras une fessée et je peux te promettre qu’elle va être sévère. Un…

– Je vous promets…

– Deux !

– … qu’il n’y aura plus de problème.

–Trois !

– Je vais bien travailler…

– Quatre !

– Vous n’aurez plus de remarques…

– Cinq !

– … à me faire ; Je vais…

– Bon, je constate que tu es encore là. Tu as fait ton choix. C’est donc la fessée. »

La boulangère attrapa le cordon qui tenait le pantalon de travail de François et elle tira dessus, défaisant le nœud qui le retenait sur ses hanches. François prit la taille de son pantalon, une main de chaque côté, pour l’empêcher de tomber.

« Mets-lui les mains en arrière, s'il te plait, demanda la boulangère. »

Cela ne posa aucun souci au boulanger qui était bien plus costaud que son employé. François sentit ses deux mains prises dans l’étau de celles de son patron, ses bras furent inexorablement ramenés dans son dos. Il dut lâcher prise. Il serra les cuisses, mais c’était trop tard. Sa patronne lui avait descendu le pantalon sur ses mollets.

« Non, attendez, vous ne pouvez pas !

– Ne t’inquiète pas de ce que nous pouvons faire on ne pas faire. »

Les mains de la boulangère se dirigèrent vers l’élastique de sa culotte. François se tortillait dans tous les sens pour essayer d’échapper aux mains qui ciblaient son sous-vêtement. Il se plia en deux et releva un genou, coinçant sa culotte.

Le boulanger força sur ses bras, l’obligeant à se redresser. La torsion sur ses épaules et ses poignets l’obligea à se mettre sur la pointe des pieds.

« Non, je vous en prie ! »

La boulangère ne tint pas compte de la prière de son employé. Elle baissa la culotte, mettant les fesses et les organes génitaux de François à l’air libre. A sa grande honte, il eut un début d’érection. Elle était évidente, mais personne ne semblait en faire grand cas.

François tira sur ses bras en une vaine tentative pour se libérer. Il réussit à se faire mal aux épaules et aux bras, mais il ne bougea pas d’un pouce. Son patron le tenait sans grand effort.

« C’est à toi de le fesser. Il était sous ta responsabilité quand il a été négligeant.

– Oui, c’est logique. »

Sans qu’il pût rien y faire, François sentit le bras de son patron qui entourait sa taille tout en le retournant. Il avait maintenant les bras libres, mais il était courbé sous le coude du boulanger qui passa le bras gauche de François derrière son dos. Puis il serra son étreinte et François se dit qu’il ne pourrait pas s’en libérer quelle que soit la force qu’il y mettrait. Plus rien n’empêcherait la fessée d’aller au bout.

François se rappelait les propos de son père.

« Mon garçon, tu vas avoir une fessée ! »

Il promettait souvent, mais il n’était jamais passé à l’acte, même quand François le provoquait sciemment, même quand il faisait les pires bêtises à l’école. Ses menaces n’étaient que du vent. François avait continué ses provocations quand il était arrivé à la boulangerie, perpétuant les habitudes qu’il avait prises dans son enfance. Il n’y avait jamais été menacé d’une fessée, mais cela ne l’empêcherait pas de la recevoir, à la différence de ce qu’il avait connu dans sa famille.

La main du boulanger s’abattit sur ses fesses. C’était un véritable battoir. François hurla, indifférent à qui pouvait l’entendre. Le boulanger eut le temps de le fesser une deuxième fois. Les fesses de François étaient en feu. Il ne pourrait supporter une troisième fessée. La main de François vint couvrir ses fesses, autant qu’il le pouvait. Le boulanger suspendit son geste., puis, se ravisant, il administra une claque sur le haut de la cuisse que François ne pouvait pas couvrir avec une seule main.

« François, tu vas enlever ta main. Tu as besoin de cette fessée, tu vas donc me laisser te l’administrer. »

Le garçon ne bougea pas. Il ne pouvait se passer de la relative protection que lui permettait sa main. Comment imaginer laisser son patron continuer à lui embraser les fesses sans rien faire ?

« Si tu n’enlèves pas ta main, tu auras une deuxième fessée ce midi et tu passeras ta coupure au coin, insista la boulangère.

– Non, s'il vous plait, j’ai compris, je ne le ferai plus. Je vais faire attention.

– François, ta main !

– Non, ça fait trop mal.

– C’est exactement pour cela qu’est prévue une fessée. »

Le boulanger ôta la main et il la prit dans la sienne, celle qu’il avait placée sous le ventre de François pour le maintenir en place. Le terrain était maintenant dégagé. La fessée pouvait reprendre. Elle reprit et les échos en furent entendus dans toute la boutique.

La main du boulanger qui claquait sur les fesses résonnait dans toute la pièce. Elles étaient suffisamment grandes pour couvrir la presque totalité de la surface d’un fessier. L’effet sur la peau de François en était remarquable, d’autant plus que le boulanger ne ménageait pas sa peine.  Il disposait maintenant d’une méthode imparable pour châtier les insolences de son employé.

C’était ce qui lui pesait le plus. Alors qu’il était prêt à transmettre tout ce qu’il savait, il avait eu en face de lui un jeune homme indifférent qui ne cherchait pas à progresser. Il craignait de ne former qu’un boulanger médiocre qui ferait du pain comme il ferait autre chose. Faire du pain était un art qui demandait qu’on s’y investît.

Il avait bien souvent pensé que si e jeune homme avait été plus jeune de quelques années et s’il avait été son fils, une bonne fessée paternelle l’aurait remis dans le droit chemin. Il ne l’aurait jamais fait de son propre chef. Les punitions que Louison avait reçues la veille, et en particulier celle qu’il lui avait donnée, l’avait conforté dans la certitude que c’était également ce dont François avait besoin.

Il n’avait donc pas été nécessaire que sa femme insistât beaucoup pour qu’il passât à l’acte à la première occasion. Les promesses d’amendement, les supplications et maintenant les cris de son ouvrier lui confirmaient qu’ils étaient tous les deux sur la bonne voie.

François s’était visiblement résigné à l’inévitable. Il recevait la correction paternelle qui lui avait été si souvent promise par son propre père, mais jamais donnée. Finalement ses provocations avaient abouti à ce qu’il cherchait inconsciemment. Il n’aurait jamais pensé que cela ferait si mal. Il aurait volontiers fui cette situation, mais son patron ne lui en laissait pas la possibilité.

Le bras passé autour de sa taille le maintenait en place et le pantalon autour de ses chevilles limitait ses mouvements. Il ne pouvait s’empêcher de se tortiller, mais il n’y avait que son bassin qui avait un peu de liberté, mais pas suffisamment pour éviter de se trouver sur le chemin de la main qui s’abattait sur ses fesses, y laissant une fournaise qui ne cessait de croître.

Il ne s’occupait pas de savoir qui pourrait entendre les cris qu’il poussait. La sévérité de la fessée ne lui en laissait pas la possibilité. La porte du fournil ouverte ne facilitait pas la discrétion. Ses plaintes étaient entendues jusque dans la boutique et une cliente que Louison servait voulut s’en assurer.

« N’est-ce pas le bruit d’une fessée qu’on entend là ?

– Oui Madame, répondit la jeune femme tout en rougissant. C’est bien ça.

– Eh bien, je n’aimerais pas être à la place de la personne qui la reçoit. Rien qu’aux bruits, j’ai l’impression qu’il s’agit d’une sérieuse correction. »

La cliente ne semblait pas trouver étonnant qu’une fessée soit en cours dans la boulangerie. Qu’imaginait-elle ? Qui croyait-elle qui était la personne qui recevait une correction ?

« Moi non plus, je n’aimerais pas être à sa place, se dit Louison, mais il y a de fortes chances que cela m’arrive quand même. »

 

François avait été envoyé au coin le temps de récupérer un peu de la fessée. Il s’y était réfugié aussi vite qu’il l’avait pu. Que sa la culotte soit baissée ne lui paraissait plus un problème. Le plus important était que, pour l’instant, la fessée fût terminée et que le feu qui emportait ses fesses, diminue peu à peu.

Il y avait en arrière-fond l’humiliation d’avoir été déculotté, qui plus est en présence d’une personne de sexe féminin, de n’avoir pu retenir ni ses cris, ni ses larmes et le sentiment d’avoir été puni d’une façon qui laissait supposer qu’il n’était qu’un garçon irresponsable, imperméable à la raison. François devait admettre que ce n’était pas entièrement faux. C’était même plutôt vrai.

Par-dessus tout, restait la douleur de la fessée et la certitude qu’il n’en voulait pas une autre… mais qu’il y en aurait d’autres. L’exemple de Louison était édifiant. Une fois l’habitude prise de donner la fessée et de la recevoir, il n’y avait plus de retour en arrière possible.

Il avait été promis une deuxième correction à François pour avoir tenté de s’opposer à sa correction. Quand et où se déroulerait-elle ? Et surtout en présence de qui ? Serait-ce encore le boulanger qui le punirait ? François, compte tenu de la douleur qui irradiait encore ses fesses, ne savait pas s’il le souhaitait. Mais si ce n’était pas lui, qui alors ? La boulangère ? Elle avait semblé donner la fessée à Louison de façon tout à fait efficace. Serait-ce une bonne idée ? François se résigna. Il y avait fort peu de chance qu’on lui demandât son avis.

Une vague de douleur parcourut ses fesses.

« Quand est-ce que ça va s’arrêter ? »

 

François avait recommencé la fabrication des tartelettes. Sous la menace d’une nouvelle fessée, il les avait parfaitement réussies. Il travaillait sous la surveillance étroite du boulanger, mais il ne songeait pas à s’en plaindre. Il ravalait toutes les protestations qu’il aurait émises habituellement, se doutant qu’elles auraient été sanctionnées par une fessée. Le boulanger était à l’affut de la moindre bévue, ce n’était pas le moment de se laisser aller. François se découvrit une capacité de concentration sur son travail qu’il ne se connaissait pas.

Il jugea miraculeux d’arriver au déjeuner sans avoir été de nouveau fessé. Cela lui avait demandé une attention constante. Le boulanger le félicita pour la qualité de son travail lors de la deuxième partie de la matinée. François en conçut une fierté nouvelle. Cela devait être la première fois que son patron lui disait qu’il était content de ce qu’il avait fait.

« Ce que tu as fait en fin de matinée, c’est bien, mais cela ne fait pas oublier le début de la journée. Tu dois recevoir une fessée. Il n’y a aucune raison que tu y échappes. »

La remarque de la boulangère refroidit l’atmosphère. Dans la satisfaction du moment, François l’avait presque oubliée. La boulangère, elle n’avait pas perdu de vue que l’attitude de son employé pendant la correction qu’il avait reçue, nécessitait une deuxième fessée. Il lui sembla que ce rappel redonnait une nouvelle vigueur à la cuisson sur ses fesses qui n’était pourtant quasiment plus perceptible quelques minutes auparavant.

Bien que personne ne fît de nouveau allusion à cette fessée à venir, elle fut suspendue dans l’air durant tout le repas. Louison se demandait si elle pourrait y assister, afin de rendre la pareille à son collègue. François se demandait comment elle se déroulerait et s’il pourrait la subir stoïquement. Le dessert avalé, les deux jeunes gens reçurent l’ordre de ranger la table et de remettre de l’ordre dans l’arrière-boutique. Alors qu’habituellement ils traînaient des pieds pour le faire, il n’y eut aucun geste de mauvaise humeur. La boulangère y vit les effets induits des fessées qui avaient été généreusement distribuées depuis la veille. Décidément, c’était un vrai miracle. Elle regrettait de ne pas y avoir eu recours plus tôt.

« C’est l’heure, François, viens ici. »

La boulangère n’avait pas bougé de sa chaise. Elle y convoqua son employé. Sans attendre, ni donner plus d’explication, elle tira sur la cordelette qui retenait le pantalon.

« C’est donc ici que cela va se dérouler, se dit François. Devant tout le monde ! »

Il était au centre de l’attention. Le boulanger regardait d’un œil distrait tout en lisant son journal. Il devait certainement vérifier que sa femme n’avait pas besoin de son aide, ce qui avait l’air d’être le cas. Louison attendait qu’apparût le sexe de François. C’était l’occasion de voir quelle allure il avait. Elle n’avait pas souvent eu l’occasion de voir les fesses nues d’un garçon de son âge et encore moins des organes génitaux masculins d’un adulte. Et puis, ce n’était qu’un juste retour des choses. La veille, il ne s’était pas privé de reluquer ses fesses.



Il y a une suite ?

Oui, bien sûr, ça va venir. En attendant, si vous avez loupé l'épisode précédent : chapitre 4. Et pour ceux qui voudraient reprendre au début : le premier chapitre

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