A La Villeneuve sur Horto, petite ville moyenne française entourée d’une campagne agricole, depuis que Tatie Nathalie a montré comment il convenait de punir les adultes désobéissants et que Madame André, la cheffe de magasin du supermarché local, a emboité le pas, l’usage de la fessée se répand comme une traînée de poudre.
Tout se passe comme s’il avait suffi de leur donner l’exemple pour que
des parents, des sœurs, des responsables en tout genre ou même des voisins
adoptent cette méthode si efficace. La plupart des corrections sont, bien
entendu, administrée au domicile des punis. Mais, peu à peu, voir un ou une
adulte, culotte baissée, recevant une fessée dans des lieux les plus divers,
est devenu une situation commune.
Ce récit est l’histoire de quelques-unes des personnes qui se sont retrouvées soumises à ce régime disciplinaire… pour leur plus grand bien et de quelques-unes de celles qui ont accepté de prendre en mains leur éducation.
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La boulangère tenait ses deux
jeunes employés par le coude. Elle les forçait à marcher devant elle, ce qu’ils
faisaient, mais avec toute la réticence possible.
« Mais Madame, je vous
assure que tout est… enfin que c’est rangé... assez bien. »
La boulangère avait noté l’hésitation.
« Je tiens à la vérifier par
moi-même, François. Quand tu es au travail, tu es loin d’être un modèle d’ordre
et de propreté. Je serais très surprise que tu sois aussi soigné dans ta
chambre que tu le dis. Et toi, Louison, tu es tellement tête en l’air que le
travail que j’ai entrepris à la boulangerie pour que tu sois plus concentrée,
ne donnera de résultat que si tu es plus attentive à tous les moments de ta
vie. »
Madame Caroni poussa ses deux
jeunes employés devant elle pour les obliger à franchir le portail du jardinet
qu’il y avait devant une grande maison bourgeoise dont la construction ne
datait pas d’hier. C’était à que logeaient ses deux salariés : la pension
de famille Johanson.
Les deux sœurs Johanson, Olga et
Solveig, qui avaient de lointains ancêtres suédois ce que la tradition
familiale aimait à rappeler, tenaient cette pension dans une maison qui était
bien trop grande pour elles. Les cinq chambres du premier étage ne leur avaient
servi à rien jusqu’au jour où, sur les conseils de la boulangère, elles avaient
accueilli de jeunes gens en mal de logement.
Elles avaient fait, ainsi, d’une
pierre deux coups. Elles avaient agréablement complété leurs revenus et trouvé
une occupation qui avait été la bienvenue dans cette vie monotone qu’elle
menaient depuis le décès du conjoint d’Olga, Solveig ne s’étant jamais mariée et
surtout, elles avaient rendu service à leur amie, la boulangère, qui cherchait
un hébergement bon marché pour François, son apprenti boulanger qui avait été
rapidement rejoint par Louison qui secondait la patronne dans la boutique.
C’est ainsi qu’était née, il y avait six mois, la pension de famille Johanson.
Il n’y avait personne dans le
hall d’entrée. La boulangère dirigea directement ses deux employés vers
l’escalier. Leur chambre était à l’étage. François occupait la chambre qui
était à droite, juste en haut de l’escalier. C’est donc dans celle-là que le
trio pénétra en premier.
A première vue, la chambre était
rangée. Il n’y avait rien qui traînait. Le lit était à peu près bien fait.
Madame Caroni ouvrit le placard et, même si ce n’était pas impeccablement
rangé, il y avait un souci de ne pas laisser trop de désordre évident. C’est en
arrivant devant la table qui était placée sous la fenêtre, que tout se gâta.
« Qu’est-ce que c’est que
ça ? »
La boulangère montrait deux
cartons de pizza dont le gras avait un peu marqué le plateau de la table sur
lequel ils avait été laissés.
« Et ça ? »
Sur l’appui de la fenêtre, il y
avait un papier d’emballage d’un sandwich. A l’intérieur, il y avait encore le
crouton de pain quelque peu séché et un peu moisi.
« C’est donc comme cela que
tu te nourris le soir. Des pizzas, des sandwichs dont les reliquats restent à
pourrir dans ta chambre. »
François savait que les reproches
de sa patronne étaient justifiés.
« Et dans ta chambre, en
plus. Je croyais qu’il était interdit d’y amener de la nourriture ? »
Ça aussi c’était vrai.
« As-tu demandé
l’autorisation à Mesdames Johanson ? »
La boulangère amenait François
sur un terrain glissant.
« Non, mais je… enfin oui,
je pense… elles ne m’ont rien dit…
– Tu ne sembles pas très sûr de
toi. »
Solveig Johanson arriva sur ces
entrefaits.
« Ah, Elisabeth, c’est vous
qui êtes là, bonjour.
– Bonjour Solveig ! »
Elle laissa un petit blanc s’installer,
semblant attendre quelque chose qui ne venait pas.
« Eh bien, tous les deux,
dites bonjour à Madame Johanson ! »
François et Louison semblèrent
sortir de leur torpeur.
« Bonjour Madame
Johanson !
– Faut-il donc que je vous donne
une fessée pour vous apprendre la politesse ? »
Les deux jeunes adultes n’étaient
pas ravis de la réplique de leur patronne. Effectivement, au travail, quand il
y avait quelque chose à leur reprocher, ils recevaient tous les deux la fessée,
mais ils avaient réussi à le contenir dans ce cadre précis. Il leur était
arrivé de la recevoir là où des clients pouvaient en entendre les éclats, mais
c’était resté dans un cadre plutôt restreint. Le patron, et surtout la patronne
sévissaient, avec eux deux, cela faisait quatre personnes à être véritablement
au courant des punitions, pas plus. L’allusion de la boulangère venait d’en
rajouter une cinquième. Cela n’allait pas dans le bon sens.
« Solveig, vous tombez
bien ! Ce jeune homme me disait, au moment où vous êtes arrivée, qu’il
avait votre l’autorisation pour amener de la nourriture dans sa chambre. »
La panique se lut dans les yeux
de François.
« Ce n’est pas comme cela
que je verrais l’affaire. Nous avons effectivement abordé la question et je lui
ai rappelé l’interdiction, mais il n’en a pas tenu compte. Il m’a dit de
m’occuper de mes affaires, dans un langage peu amène.
– Tiens donc, je ne savais pas
que tu désobéissais et que tu étais insolent en dehors de ton travail.
Rappelle-moi, qu’arrive-t-il aux garçon qui travaillent chez moi et qui
désobéissent et qui se permettent d’être insolents ? »
Ils étaient trois à connaître
cette réponse et François que sa patronne attendait qu’il prononce lui-même la
sentence, mais il y avait une quatrième personne qui n’était pas au courant et
François aurait volontiers évité de la mettre dans la confidence, mais il n’y
avait pas moyen de l’éviter.
« Une fes… Madame.
– Parle plus fort, mon garçon, je
suis sûre que Solveig ne t’a pas entendu.
– Une fessée, Madame.
– Voilà qui est mieux ! Une
fessée, exactement. Une bonne fessée déculottée ! »
La boulangère attrapa François
par la ceinture de son pantalon et elle l’approcha d’elle tout en s’asseyant
sur le lit.
« Eh bien, dit-elle en
dénouant le lacet qui retenait le pantalon de jogging de François, je crois que
tu as besoin d’un sérieux rappel à l’obéissance. »
Elle baissa le pantalon,
l’abandonnant quand il fut descendu en dessous des genoux du garçon. Ses mains
se portèrent aussitôt sur l’élastique de la culotte. Ses intentions étaient
évidentes.
« Oh non, Madame, pas ici,
supplia François en regardant désespérément du côté de sa logeuse !
– Et pourquoi donc, pas
ici ? A cause de la présence de Solveig ? Mais comme c’est à elle que
tu as désobéi et avec elle que tu as été insolent, il est bien normal qu’elle
assiste à ta punition. »
Tout en s’expliquant, elle avait
baissé la culotte, mettant les fesses de François et ses organes génitaux à
l’air libre. C’était un geste naturel dont ils avaient maintenant tous les deux
l’habitude. La fessée était devenue courante à la boulangerie. Elle
sanctionnait le moindre comportement inapproprié ou le plus petit relâchement
dans le travail. François avait appris, à ses dépens, à ne pas résister quand
il était question de le déculotter. La présence de Louison était gênante, mais
ce n’était pas la première fois qu’il se trouvait la culotte baissée en sa
présence. A l’évidence, la soumission à l’autorité de sa patronne s’étendait à
cette chambre, y compris en présence de Solveig.
Les interrogations existentielles
de François s’arrêtèrent là. Sa patronne le fit avancer d’un pas pour le placer
entre ses jambes. Elle le courba sur sa cuisse gauche et elle ceintura son
buste de son bras, le coinçant contre sa hanche. Ses genoux se refermèrent sur
les jambes de François. Les fesses de François étaient maintenant disposées
commodément pour lui donner la fessée.
La main de la boulangère
s’abattit sur les fesses nues. Cela claqua, sèchement. Puis elle recommença de
l’autre côté. Elle mit quelques secondes à prendre un rythme régulier, puis
elle put donner tout son éclat à la punition.
François tenta de retenir ses
cris. Il ne le faisait presque jamais à la boulangerie, seulement quand il
était corrigé dans l’arrière-boutique et qu’il savait qu’il y avait des clients,
de l’autre côté de la cloison, qui pouvaient l’entendre. La présence de Solveig
l’incitait à contenir les manifestations extérieures de la douleur qui
embrasait ses fesses. Cela ne dura pas bien longtemps. Il passa la présence de
sa logeuse au second plan de ses préoccupations. La cuisson sur ses fesses
retenait maintenant toute son attention.
Solveig Johanson n’en revenait
pas. Jamais elle n’aurait pu imaginer que la fessée pouvait être un remède
souverain aux problèmes que posait un adulte de vingt-quatre ans. C’était l’âge
de François si elle s’en souvenait bien. Elle n’était pas fâchée qu’il reçoive
une correction en punition des difficultés qu’il leur causait à sa sœur et
elle.
« Quand Olga va savoir
ça ! »
Tenir une pension de famille et y
accueillir de jeunes adultes n’était pas une sinécure. Elles en avaient fait
l’expérience. Cohabiter avec ces jeunes gens qui n’avaient pas grand-chose en
commun avec les valeurs et les habitudes qui étaient leur quotidien à elles
deux, n’était pas aussi simple qu’elles l’avaient pensé en se lançant dans
cette entreprise. Il leur serait difficile de revenir en arrière, ne serait-ce
que vis-à-vis des engagements de loger ses employés qu’elles avaient pris avec Elisabeth.
Intérieurement, Solveig l’avait pourtant envisagé et si elle connaissait aussi
bien sa sœur qu’elle le prétendait, elle était certaine que celle-ci n’était
pas loin de partager ses interrogations.
Solveig ne savait pas encore ce
qu’elle ferait de la scène qui se déroulait sous ses yeux, mais elle avait
l’intuition que cela ouvrait de nouvelles perspectives.
« Je pense qu’il fera
désormais preuve de beaucoup plus d’humilité en ma présence. Il se rappellera
toujours, et moi aussi, qu’il a été déculotté et fessée devant moi. Cela laisse
des traces. »
Elle regardait avec curiosité
comment son amie s’y prenait. Cela ne semblait pas bien difficile. Pas de
doute, la fessée n’était pas une partie de plaisir pour François dont les
fesses accusaient le coup en prenant une couleur rouge sombre de plus en plus
prononcée.
« Va te mettre au coin
pendant que nous jetons un œil sur la chambre de Louison. Je viendrai m’occuper
plus tard du mensonge à propos de l’autorisation de Solveig. Tu peux préparer
tes fesses ! »
Louison faisait grise mine. Ce
qui venait d’arriver à François n’était pas de bon augure. Elle savait que
l’état de sa chambre ne contenterait pas sa patronne et elle avait négligé les
rappels à l’ordre d’Olga Johanson. Comment pourrait-elle passer entre les
gouttes ? Il était plus que probable que la justice de son employeuse
allait la rattraper.
« J’avais justement
l’intention de ranger ma chambre ce soir. Peut-être que je peux le faire
pendant que vous…
– Tes atermoiements m’inquiètent.
Dans quel état vais-je trouver ta chambre ?
– Ça je peux te le dire,
Elisabeth. Ça fait bien quinze jours que la chambre n’a pas été rangée. Olga
lui en a fait la remarque, mais en pure perte. Elle promet toujours de la
faire, mais ça ne vient jamais. Tiens, ce n’est pas compliqué, la dernière
fois, c’était hier matin. Elle a promis de remettre sa chambre en état le
soir-même. A l’heure à laquelle elle est rentrée, évidemment qu’il n’en était
pas question.
– Comment ça ? A quelle
heure es-tu rentrée et où étais-tu ? »
Les choses s’engageaient bien mal
pour Louison.
« Oh j’étais chez une
copine, chez Lili. On a papoté et je n’ai pas vu l’heure. Il devait être
minuit. Peut-être un peu plus. je n’ai pas fait attention.
– Minuit ? Certainement
pas ! Il était presque deux heures et on ne peut pas dire que ton arrivée
ait été discrète. Tu as réveillé tout le monde.
– Deux heures ! Je comprends
mieux pourquoi tu a baillé toute la journée et que tu as mis aussi peu
d’entrain à ton travail. Tu étais chez Lili ? Et sa mère vous a laissé
discuter aussi tard ?
– On n’est pas resté tout le
temps. On est sorties. En boite.
– Sorties en boite un mardi
soir ! Tu plaisantes, j’espère ? »
Louison ne se faisait plus de
doute sur le sort qui lui était réservé. La colère de sa patronne était
rentrée, mais pour qui la connaissait, cela devait bouillir à l’intérieur. La
boulangère avait pris le bras de sa vendeuse et elle la poussait vers la porte
de sa chambre.
« Eh bien, je vois !
Bravo ! »
Le lit n’avait pas été fait et il
y avait des vêtements qui jonchaient le sol, d’autres avaient été négligemment
jeté sur une chaise. Du maquillage, pots ouverts et sticks non refermés, était
dispersé sur la table.
« Visiblement, tu n’as pas
le temps de ranger. Pas étonnant si tu rentres à des heures aussi tardives. »
Toujours poussant Louison devant
elle la boulangère fit deux pas à l’intérieur de la chambre. Elle manqua de
marcher sur une culotte qui traînait sur le sol. Elle la ramassa et l’examina
de près.
« Qu’est-ce que c’est que
cette tâche ? »
Elle brandissait le fond de la
culotte sous le nez de Louison.
« J’ai déjà eu l’impression,
en te donnant une fessée, que tu n’étais pas irréprochable question hygiène
corporelle, mais là, ça dépasse l’entendement. Tu ne sais pas t essuyer
après avoir fait pipi ? Ni te laver correctement les fesses quand tu
passes à la douche ? Décidemment, tu dépasses les bornes ! »
La boulangère fit pivoter Louison
afin qu’elle se trouvât face à elle. Elle entoura ses reins de son bras gauche
et, pesant sur le dos de la jeune fille, elle la courba sous son bras. Louison
se laissait faire. Elle avait pris l’habitude de se retrouver dans cette
position après avoir été grondée pour avoir commis une bêtise. Une fessée était
au programme et, compte tenu de ce qui était arrivé à François, elle ne
garderait pas longtemps sa culotte pour couvrir ses fesses.
Sa patronne releva la jupe et
elle la coinça sous son bras pour éviter que dans les mouvements de Louison qui
ne manqueraient pas, elle retombe et gêne le bon déroulement de la correction.
Les doigts de la boulangère fouillèrent sous l’élastique de la culotte. Louison
sentit le frôlement du tissu et de la main sur ses fesses et ses cuisses. La
petite sensation de froid sur son entrejambe lui confirma, s’il en était
besoin, qu’elle était maintenant déculottée. Elle pensa brièvement à la vue de
son intimité qu’elle offrait, pour la première fois à Madame Johanson. Elle
avait bien peur que ce ne fusse pas la dernière.
La première claque réorienta ses
pensées vers des préoccupations plus immédiates. On avait beau s’y attendre,
cela faisait toujours aussi mal. Elle tenta de se rétracter, de disparaître, en
vain. Il fallait subir la fessée jusqu’au bout.
La boulangère avait maintenant
l’habitude de fesser Louison. Elle connaissait parfaitement ses réactions, son
seuil de tolérance et les signaux corporels qu’elle émettait en fonction de la
cuisson qu’elle ressentait. Il fallait que la fessée soit démonstrative, autant
pour Louison en raison des graves écarts qui l’avait motivée, que pour Solveig
qui y assistait. Elle commençait à formuler dans son esprit ce qu’il fallait
changer dans l’environnement de ses deux employés. Nul doute que les deux sœurs
Johanson y auraient un rôle à jouer.
Quand la fessée cessa, Louison
avait donné tous les signes de la demoiselle qui avait été sévèrement punie. La
boulangère était arrivée au résultat qu’elle escomptait. Sur l’instant, Louison
se promettait d’être bien plus attentive au rangement de ses vêtements, à son
hygiène personnelle, à ses horaires de coucher et aux demandes de ses logeuses.
Il aurait été possible de lui en demander bien plus si sa tutrice, ou même
Madame Johanson l’avaient suggéré. Afin de faire cesser la fessée, elle aurait
promis tout ce qu’on lui aurait demandé.
« File au coin, toi aussi,
pendant que je discute avec Solveig ! »
Ce n’était pas le moment de
discuter. Louison ne s’y essaya pas. Elle trottina aussi vite qu’elle le put
vers l’angle du mur dans lequel elle n’aurait jamais imaginé se retrouver en
pénitence. De se faire corriger au travail cela suffisait. C’était déjà
difficile à admettre. Malheureusement, les punitions venaient de faire une
entrée tonitruante dans sa vie privée et elle ne savait pas où cela
s’arrêterait.
« Tu restes silencieuse.
Es-tu choquée par ce que tu viens de voir ? »
L’heure était aux questions.
Solveig regarda longuement le dos, les fesses rougies et les cuisses nues de
Louison. La jeune femme était parfaitement immobile dans son coin et, le gros
de ses sanglots calmés, elle y était maintenant parfaitement immobile.
« Non, ce n’est pas ça, mais
je n’avais jamais imaginé qu’on puisse corriger un adulte de cette façon.
Qu’elle démonstration ! Et quelle efficacité ! Je comprends que Louison
n’ait pas envie d’y revenir une autre fois. »
Ses pensées tournaient à une
vitesse folle dans sa tête.
« Ce n’était pas la première
fois que tu… enfin que tu la punissais comme cela ?
– Tu peux dire « fesser ».
Ce n’est pas un gros-mot.
– Oui, je m’en doute, mais c’est
d’associer le mot à cette jeune femme et au jeune homme qui nous attend dans la
chambre d’à côté, qui me semble incongru. Je ne pensais pas que c’était
possible.
– Eh bien tu vois, c’est tout ce
qu’il y a de possible et d’utile. Qu’en dis-tu ? Tu vois comme cela leur
fait du bien. Je peux te promettre que depuis que je leur donne régulièrement
la fessée, ils ont fait des progrès énormes. Oh, il en reste beaucoup à faire,
mais ils ont déjà fait pas mal de chemin. »
La boulangère raconta comment la
fessée qu’elle avait été amenée à donner à un voisin lui avait entrouvert les
yeux sur la façon de maintenir la discipline dans la boulangerie. La première
fois, il avait fallu insister un peu, mais depuis c’était devenu le mode de
punition habituel auquel son mari et elle recouraient au moindre écart.
« Je suis d’ailleurs
surprise qu’ils puissent bénéficier d’autant de liberté ici et d’en abuser sans
que vous ne réagissiez. Cela ne me semble ni normal, ni souhaitable.
– Mais que veux-tu que nous fassions ?
Tu ne veux pas dire… »
Il y eut à ce moment-là du bruit
au rez-de-chaussée.
« C’est Olga qui rentre.
– Ça tombe très bien, allons en
discuter avec elle. Elle est aussi concernée que toi. »
Il y a une suite ?
Oui, bien sûr, la semaine prochaine.
Bonjour, c'est vraiment bien de découvrir le début d'une nouvelle histoire en série avec de nouveaux personnages....j'ai hâte de connaître les suites !
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