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samedi 20 mars 2021

Madame Caroni - chapitre 50

Il était vingt heures dix. Madame Caroni fulminait.
« Les petits chameaux ! Ils vont me le payer ! »
Ni Véronique, ni Paul ne s’étaient présentés chez Madame Caroni pour y recevoir leur fessée, comme Madame Caroni le leur avait ordonné la veille. La première impulsion de Madame Caroni fut d’aller les chercher.
« Non, se dit-elle, leur punition doit être bien plus spectaculaire. Elle doit leur apprendre qu’on ne peut pas désobéir de la sorte. »
Elle réfléchit quelques minutes, puis elle décrocha son téléphone.

samedi 13 mars 2021

Madame Caroni - chapitre 49

Arthur se tenait debout devant sa compagne. Lorsqu’elle l’avait autorisé à sortir du coin, il avait reçu l’ordre de venir se placer face à Bernadette. Il n’avait aucune tentative pour couvrir sa nudité. Bernadette n'avait pas donné son accord. Son tee-shirt et son sweat tombaient sur sa taille, mais ils ne couvraient que l’extrémité supérieure des fesses, laissant à l’air libre la plus grosse partie du postérieur d’Arthur et surtout son sexe qui pendait entre ses jambes.

vendredi 12 février 2021

Deux grandes filles à éduquer - chapitre 43

Maeva et Marguerite montaient l’escalier. La voisine les suivait. Elle ne les avait pas autorisées à remonter leur culotte, ce qui rendait l’ascension difficile.
« Ne croyez pas vous en tirer à si bon compte. Votre punition n’est pas finie ! »
Ce qu’elles craignaient arriva. Les deux filles s’arrêtèrent au premier, l’étage auquel habitait la dame. Si la punition ne se prolongeait pas dans le hall de l’immeuble, cela devait être certainement au domicile de la dame.

mercredi 8 juillet 2020

Chroniques de confinement - chapitre 5

Aurélie et moi étions maintenant habillés. C’est Maman Marianne qui avait choisi les vêtements que nous portions et elle s’était chargée de nous les passer. Les sous-vêtements un peu frivoles de ma compagne avaient été écartés, mais ma belle-mère avait trouvé ce qui lui convenait.
Aurélie portait maintenant une jupe large sur des jambes nues, si on ne comptait pas les socquettes. Moi, elle m’avait mis un survêtement, tenu par une taille élastique.
« Avec ça, je n’aurai pas de mal à vous déculotter quand il faudra vous corriger. »

mercredi 8 janvier 2020

Deux grandes filles à éduquer - chapitre 29

« Bof, pensa Maeva. Un jour de plus, un jour de moins, ce n‘est pas grave. Teva ne se rendra compte de rien. »
C’était le samedi matin. Pas une fessée se profilant à l’horizon. Celles de la veille au soir avaient soldé les comptes et rien n’avait justifié d’y avoir recours pendant toute cette matinée. Marguerite et Maeva s’étaient montrées sages et obéissantes comme il le leur était demandé et avant de sortir faire des courses, Teva les en avait félicitées en déposant un bisou sur le front de chacune.

mercredi 20 novembre 2019

Deux grandes filles à éduquer - chapitre 22

Fara prit Maeva par le haut du bras. A grandes enjambées, il marcha vers la salle de bain. Maeva le suivait comme elle le pouvait. Ses pieds touchaient à peine le sol. Ses yeux encore brouillés de larmes ne lui permettaient, que vaguement, de voir où on l’emmenait. Elle le savait et elle redoutait la suite de la punition.
« Non Fara, non, pardon, pardon ! »
Cela n’avait aucune chance de faire revenir son beau-frère sur la résolution qu’il avait prise sur une suggestion de Teva.

mercredi 5 juin 2019

Une nouvelle maison pour Clara - chapitre 3

« Venez-ici, mes deux petits menteurs ! »
Le premier regard que jeta Clara, une fois le nez sorti du coin, ce fut à Stanislav qui, lui, la regardait également. Ils rougirent de honte d’être vus dans cette posture. Certes, ils s’étaient déjà contemplés sans aucun vêtement, mais la tenue de ce soir n’avait rien à voir. Quand ils se regardèrent, l’un l’autre, ils virent juste un et une puni qui se dirigeaient lentement vers la personne qui détenait une autorité suffisante pour les corriger quand elle le décidait. La part adulte de leur personnalité était mise entre parenthèses.

samedi 22 septembre 2018

Axel en famille - chapitre 62


Le visage fermé de Tatie Nathalie pendant tout le trajet de retour ne laissait aucun doute : je n’en avais pas encore fini avec la punition pour mon comportement dans le magasin. Je tentais de me faire oublier en restant le plus discret possible, mais c’était sans grande illusion. J’avais à peine mis le pied dans la maison que cela me fut confirmé.
« Axel, au coin en attendant ta fessée ! »

lundi 18 juin 2018

Difficile apprentissage

Résumons : Mademoiselle Julie t'a demandé de défaire sa valise et de ranger ses vêtements dans l'armoire de sa chambre et tu as refusé. Comme elle insistait, tu es devenue vulgaire en portant des jugements sur le désordre qui règne dans sa chambre. Quel mot as-tu utilisé ? "Bordel" si je ne me trompe ?
Tu as même prétendu que tu n'étais pas payée pour passer derrière les "pimbêches qui ne savaient pas ranger leurs affaires et qui se prennent pour qui elles ne sont pas." Ce sont bien tes propres paroles, n'est-ce pas ?

Quand elle t'a informée qu'elle me reporterait cet incident, tu as répondu vertement. Il semblerait que tu penses que comme je t'aime bien et que je te considérais presque comme ma fille, je ne te renverrai pas. C'est tout à fait exact.

mardi 20 mars 2018

Petit précis de pratique de la fessée éducative

Nous nous rendons tous régulièrement coupables de manquements aux règles de la vie sociale, qu’elles soient formelles ou informelles. C’est même une caractéristique de l’âge adulte de pouvoir décider quelles sont les obligations que nous prenons en compte et quelles sont celles qui nous paraissent superflues et dont on s’émancipe. De ce point de vue, les exigences en direction des enfants sont bien plus grandes que celles qui s’imposent aux adultes.
Chacun se donne des passe-droits sur des sujets qui lui semblent secondaires. Qui n’a jamais traversé une route au feu vert ou en dehors des passages piétons ; ou bien forcé un feu orange ou dépassé une limite de vitesse ? Qui n’a jamais négligé de ramasser un papier qu’il venait de laisser tomber ou confié le soin au suivant qui passerait par-là, de ranger la tasse de café ou un autre objet qu’il venait d’utiliser ? Qui n’a jamais menti ou proféré un gros-mot pour marquer son dépit ? Qui n’a jamais remis à demain ce qu’il aurait été préférable de faire aujourd’hui, ou médit avec la plus parfaite mauvaise foi sur son voisin ou son collègue de travail ? … Il serait possible de continuer la liste presque à l’infini.

mardi 18 juillet 2017

Chambre chez l'habitante - chapitre 27

Je me réveillais le lendemain encore furieux de ce qui s'était passé la veille. Je fulminais du traitement que Madame Tolbois m'avait imposé. Je ne m'habituais pas à mon sexe et à mes fesses épilées. J'avais l'impression d'avoir perdu une partie importante de ma virilité en même temps que mes polis pubiens. J'avais vraiment l'impression d'être redevenu un enfant.
Je n'avais pas osé protester. Madame Tolbois aurait pris cela pour un caprice dont les conséquences pour mes fesses étaient prévisibles. Persuadée d'avoir agi pour mon bien, elle aurait pris mes récriminations comme une nouvelle irresponsabilité qu'il convenait de corriger au plus vite.

mercredi 12 juillet 2017

Chambre chez l'habitante - chapitre 26

Dès le début de mon séjour chez Madame Tolbois, mes écarts de langage faisaient partie de ce qui l'horripilait au plus haut point.
Je n'utilisais pas un parler ordurier, mais, depuis que j'étais enfant, je n'hésitais pas à ponctuer mes phrases d'un "merde" ou de conclure par un "quel con" ou encore de m'exclamer "bordel". Suivant les circonstances et les lieux dans lesquels je me trouvais, ils pouvaient être plus ou moins sonores et parfois je les faisais très discrets.
Bien sûr, cela m'avait valu quelques ennuis épisodiques, notamment à l'école. Les réactions des adultes qui m'entouraient se limitaient à des remarques qui parfois avaient tourné à l'engueulade en règle. J'écoutais ces récriminations d'une oreille distraite. En aucun cas elles ne m'avaient paru dissuasives.

jeudi 20 avril 2017

Quand la bonne s'en charge

"Madame m'a dit : "Pendant mon absence, Mathilde, Vous surveillerez Monsieur. Vous serez attentive à son comportement, à ce qu'il rentre bien à l'heure du travail. Veillez à ce qu'il soit bien poli et bien élevé avec les voisins.Je ne veux pas qu'il regarde la télévision ou qu'il reste sur son ordinateur tard le soir. Vous le mettrez au lit dès vingt-et-une heure trente.
Je ne tiens pas à ce qu'il perde, pendant la semaine où je ne serai pas là, toutes les bonnes habitudes que j'ai eu tant de mal à lui faire adopter depuis que nous sommes mariés.

samedi 10 décembre 2016

Fabien - chapitre 18

- »Allons, debout, petit paresseux ! »
Je sentis que les draps de mon lit étaient rabattus sur mes pieds, puis une claque atterrit sur mes fesses. Pas bien forte, mais suffisamment pour qu’un petit cri m’échappe, mon postérieur, encore douloureux du traitement qu’il avait subi la veille me faisait réagir à la plus petite irritation.
Encore un peut somnolent, je levais la tête et commençais à protester.
- »Mais ça ne va pas, non, qui … »
Le reste de ma phrase resta en suspend. La fin de la soirée d’hier me revint en mémoire et mon œil à moitié ouvert me permit d’apercevoir Lucie qui se tenait debout à coté de mon lit. Elle qui, habituellement, restait souvent au lit une bonne partie de la matinée, avait trouvé la ressource pour être debout avant moi et venir me réveiller brusquement, assurée de sa nouvelle autorité sur moi.

Fabien - chapitre 15

La fin des vacances de Noël me ramena chez Madame Leblanc. J’y retournais sans appréhension. Les fessées s’espacèrent, autant pour moi que pour mes compagnes. Je n’en reçus qu’exceptionnellement plus d’une par semaine. Mes difficultés d’anglais m’amenaient, par contre, régulièrement sur les genoux de Carole qui prenait son rôle très au sérieux. Alternant encouragements et punitions, elle me permit d’obtenir un niveau suffisant pour ne pas dépareiller sur mon livret scolaire. Je rejoignis, petit à petit, la tête de la classe, pour ne plus la quitter de toute l’année.

Il était de tradition que j’aille passer un mois des vacances d’été avec Tante Maud et ses filles dans une villa sur la côte d’azur qui lui était prêtée par une amie. J’y allais depuis que j’étais tout petit. J’y retrouvais des amis que je connaissais depuis de nombreuses années. Cette année encore, je m’y préparais avec un plaisir anticipé.
Dès les premiers jours, je compris qu’un changement durable était intervenu. Le laxisme notoire de Tante Maud envers ses enfants avait laissé place à une sévérité à laquelle celle de Maman ou de Madame Leblanc n’avait rein à envier. Le martinet était à portée de main et Tante Maud n’hésitait pas à s’en servir.

Fabien - chapitre 12

Je me tenais devant Maman, la lettre à la main. Que disait-elle ? Comment Maman allait-elle réagir ? Je lui tendis le courrier et, les yeux foncés, elle se mit à lire. La lettre était longue, cela lui prit un petit moment.
Je ne savais pas exactement ce qu’il y avait dans la missive, mais je me doutais qu’il ne s’agissait pas de louanges.
Quelques jours plus tôt Madame Leblanc, m’avait donné une fessée quand elle avait lu mon bulletin scolaire.
- »Tes résultats sont très insuffisants, m’avait-elle dit. Il est urgent que tu travailles mieux à l’école. »
Si je comparais avec mes notes obtenues les années précédentes, à mon sens, c’était plutôt en progrès. Je n’avais plus de notes en dessous la moyenne que de temps en temps. Je commençais à n’être pas mauvais dans certaines matières. Madame Leblanc attendait un niveau de performance plus élevé, cela m’avait clairement été annoncé.

Fabien - chapitre 8

Durant mon année passée chez Madame Leblanc, certaines exigences m’étaient particulièrement difficiles à tenir. Je n’avais pas été habitué, chez mes parents, à être attentif à tout ce qui importait dans ma résidence estudiantine. Madame Leblanc entreprit de rectifier mon éducation dans les plus brefs délais. Ces périodes d’apprentissages mirent mes fesses à contribution. Elle considérait qu’une chose dite une fois devait être intégrée dès ce moment. Toute nouvelle faute dans ce domaine, justifiait une punition.


Fabien - chapitre 6

En descendant le lendemain, je n’osais toujours pas regarder mes congénères en face. Madame Leblanc régla la question en quelques instants.
- »Fabien, viens me voir; »
Elle me courba sous son bras et me baissa le pantalon de pyjama.
- »Bon, fit-elle, je crois qu’il va encore falloir un peu de pommade sur ces fesses. Après déjeuner, je viendrai t’en mettre dans ta chambre. Tout le monde déjeune, maintenant ! » Elle me reculotta.