mercredi 8 janvier 2020

Deux grandes filles à éduquer - chapitre 29

« Bof, pensa Maeva. Un jour de plus, un jour de moins, ce n‘est pas grave. Teva ne se rendra compte de rien. »
C’était le samedi matin. Pas une fessée se profilant à l’horizon. Celles de la veille au soir avaient soldé les comptes et rien n’avait justifié d’y avoir recours pendant toute cette matinée. Marguerite et Maeva s’étaient montrées sages et obéissantes comme il le leur était demandé et avant de sortir faire des courses, Teva les en avait félicitées en déposant un bisou sur le front de chacune.
« Soyez sage, les filles, comme vous l’avez été ce matin. J’en ai pour une petite heure. C’est Fara qui vous garde. Il est dans le bureau. Ne le dérangez pas. Il doit finir un travail. »
Cela faisait un bon quart d’heure qu’elle avait emmené Moana avec elle. Trois quarts d’heure avant son retour.
« J’ai le temps, se dit Maeva. »
Elle regardait son téléphone portable posé sur le meuble de la cuisine d’où il n’avait pas bougé depuis deux semaines. Deux longues semaines. Et il fallait attendre encore un jour avant de récupérer le précieux appareil.
« Ce n’est pas juste ! Il m’a été confisqué plus tôt que celui de Marguerite. Il devrait m’être rendu avant le sien. Teva exagère ! »
Elle prit son téléphone dans sa main. Il lui sembla étranger dans sa main. Elle en avait presque oublié la sensation. Un bruit soudain la fit sursauter. Elle reposa précipitamment l’appareil à sa place.
« Que je suis bête, ce n’est même pas chez nous ! »
Elle se saisit de nouveau du téléphone mais elle ne put pas s’empêcher de regarder autour d’elle comme s’il pouvait y avoir une autre personne dans la cuisine.
« Ridicule, se dit-elle. J’ai peur de mon ombre ! »
Ce n’était pas de son ombre qu’elle avait peur, mais d’être prise avec le téléphone en mains.
« C’est idiot ! Teva n’est pas là et Fara est dans son bureau. S’il ouvre la porte je l’entendrai et j’aurai le temps de remettre le téléphone à sa place. Quant à Marguerite, jamais elle ne me dénoncerait. »
Rationnellement, ça se tenait. Mais il y avait le fort sentiment de faire ce qui était interdit et la culpabilité allait avec.
« Puisque Teva a été injuste, il n’y a aucune raison de lui obéir. Tant pis ! »
Elle reprit le téléphone. L’objet lui paraissait maintenant plus familier. Elle composa le code.
« Tous ces messages auxquels je n’ai pas répondu ! »
Elle commença par les SMS, mais elle n’osa pas y répondre. Cela demanderait trop de temps et elle risquait d’être prise. Elle écouta également les messages laissés sur sa boite vocale.
« J’y répondrait demain. »
Elle reposa le téléphone et sortit de la cuisine.
« Pas si difficile de ne pas se faire prendre. Il suffit de choisir le bon moment. »
Elle souriait, heureuse d’avoir fait preuve d’indépendance.
« Si Teva ne m’en avait pas injustement privé, je n’aurais pas été obligée de désobéir. »
Cette conclusion ne la rassura que partiellement.

Teva ne mit pas plus d’un quart d’heure après son retour pour découvrir le pot-aux-roses.
« Maeva, viens-ici ! »
Ici, c’était dans la cuisine, devant le meuble où patientaient les téléphones des deux jeunes femmes depuis deux semaines.
« Oui Teva ? »
Maeva essayait de prendre un air innocent. Ce n’était pas si facile quand on ne l’était pas.
« Que s’est-il passé avec ce téléphone ?
– Rien je t’assure… en fait je ne sais pas.
– Y as-tu touché ?
– Non, je ne crois pas…ou plutôt j’en suis sûre !
– Si tu y as touché, ce sera une sérieuse fessée, mais si tu me mens, cela en fera deux. Alors ? »
Une fessée certaine ou deux hypothétiques. C’était le moment de se décider. Après il n’y aura pas de retour en arrière. Maeva déglutit. Cela lui demanda un effort. Teva pouvait-elle savoir ? Non, c’était impossible. Elle disait cela, mais sans aucun élément tangible pour l’étayer.
« Non, Teva, je ne vois pas. Tu as dit pas avant demain. J’attends donc que tu m’en donnes l’autorisation.
– Comme tu veux petite peste ! Nous irons donc jusqu’au bout. Nous sommes bien d’accord qu’il n’y a que toi et moi qui avons le code pour débloquer l’appareil ? »
Comment dire le contraire ?
« Euh… oui.
– Alors compose-le ! »
Il n’y avait plus moyen de reculer. Maeva composa le code.
« Que lis-tu ?
– Rien. Il n’y a rien en attente.
– Exact. Je viens de regarder. Ce qui a attiré ma curiosité, c’est que le téléphone avait changé de place pendant mon absence. Quelqu’un y avait touché. De quand date le dernier SMS ?
– Ce matin, je ne vois…
– A quelle heure ?
– Dix heures deux.
– Dix heures deux ! Et ce SMS a déjà été lu ? Ce n’est pas moi qui l’ait fait… il ne reste plus que toi. Faut-il que je fasse la même démonstration avec les messages vocaux ? »
Maeva baissa la tête. Elle était prise sur le fait sans le moindre doute possible. Teva allait lui donner la fessée, c’était certain ! Mais avec quelle rigueur ? Elle n’eut pas longtemps à attendre. Teva posa un pied sur un petit marchepied dont l’utilité principale était de donner accès aux accessoires placé dans les placards du haut de la cuisine. Il pouvait avoir une fonction secondaire.
C’est sur la cuisse placée à l’horizontale que Teva hissa Maeva. Une main sous le buste, une autre entre les jambes et le tour était joué. Pliée en deux sur la cuisse de sa sœur, Maeva se sentait dans un équilibre précaire qui lui interdisait tout mouvement. Ce n’était, de toute façon, pas le moment de contrarier Teva par des gestes intempestifs.
Bien qu’elle n’en ait nulle envie, Maeva s’efforçait de coopérer. Elle savait qu’elle n’était pas au bout de cette punition. Désobéir volontairement à une consigne ferme, tenter de le dissimuler en mentant… ses fesses allaient en payer le prix. Elle n’arrivait pas à s’en indigner. La jupe retroussée sur les reins, la culotte baissée aux genoux, le terrain était libre. La main de Teva pouvait entrer en action.
Maeva s’y attendait. Et pourtant c’était toujours une surprise. La force de l’impact de la main sur ses fesses la fit sursauter malgré la situation de stabilité incertaine dans laquelle elle se trouvait. Il fallut une bonne dizaine de claques sur ses fesses pour que, n’en pouvant plus, elle retrouve ses réflexes habituels quand elle recevait une fessée.
Elle commença par crier son infortune, mais c’était aussi exprimer son repentir. Cela ne suffit pas à atténuer la cuisson qui embrasait ses fesses de plus en plus sûrement. Ses jambes remuèrent faiblement, puis de plus en plus brusquement jusqu’à ce qu’elle ne les maîtrise plus du tout.
Prudemment, Teva avait posé une main sur les reins de Maeva, ce qui l’empêchait de choir du perchoir sur lequel elle était juchée. L’autre main n’interrompait pas son travail : rougir les fesses de Maeva. Elle y réussissait très bien.
« Il ne faudrait pas que cette petite peste tombe. Je ne voudrais pas qu’elle se fasse mal. La fournaise sur ses fesses doit lui suffire pour le moment, pensa Teva. »
La fessée continua sur ce rythme, mais cela ne suffisait pas aux yeux de Teva. La fessée s’arrêta brusquement et Maeva se retrouva sur ses deux jambes. Elle n’eut pas le temps de se demander ce que cela signifiait. Teva lui fit faire le tour de la table. Elle avait l’impression que ses pieds ne touchaient pas terre. C’est quand sa sœur prit le martinet, qu’elle comprit. Teva ne pouvait se contenter de sa main, aussi experte soit-elle dans son maniement pour donner la fessée.
Courber Maeva sous son bras, relever la jupe, ce ne fut l’affaire que de quelques secondes. Le martinet pouvait entrer en action. Il était maintenant à portée de main. Teva tenait à ce que ses lanières laissent des marques sur les fesses de Maeva. Il fallait donc y mettre la plus grande énergie. C’était dans ses cordes.
Maeva sentit tout de suite l’implication de sa sœur dans cette fessée. Les lanières arrivaient sur le milieu de ses fesses y provoquant un échauffement soudain, puis elles s’étalaient jusque sur le haut de ses cuisses et c’était une cruelle piqure là où leurs extrémités claquaient avant de repartir une nouvelle fois. Un côté, puis l’autre, le premier de nouveau et cela recommençait sans fin.
Maeva aurait voulu rester immobile pour bien montrer à Teva qu’elle comprenait la nécessité de cette correction, mais c’était impossible. Il fallait que sa sœur la tienne fermement pour qu’elle reste en place. Elle dansait d’un pied sur l’autre, puis de temps en temps, ses deux pieds décollaient du sol, laissant à Teva le soin de supporter son poids. Ses fesses se dérobaient autant qu’elles le pouvaient pour éviter les lanières, mais la prise de Teva sur sa taille était ferme et cela n’empêchait pas le martinet de trouver sa cible à chaque fois.
Quand la totalité du postérieur fut strié par les traces laissées par les lanières du martinet, Teva cessa la punition.
« Au coin et en vitesse ! »
Maeva comprenait l’urgence d’obéir à cet ordre avec la plus grande diligence. Elle marcha vers le coin aussi vite qu’elle le put et que sa culotte le lui permit. Elle ravala ses sanglots pour s’y tenir le plus silencieusement et le plus immobile possible. L’indignation de Teva était suffisamment forte sans qu’elle ait besoin d’en rajouter en laissant supposer une quelconque mauvaise volonté. Maeva ne pouvait imaginer quelle terrible fessée Teva lui réserverait alors.

La cuisson sur ses fesses était encore très présente. Le plus douloureux du feu était passé, mais des élancements aigus lui rappelaient qu’elle était dans une position délicate. Ses sanglots s’étaient apaisés. Elle s’attendait à un long temps de pénitence. Le retour de Teva la surprit.
« Maeva, viens-ici ! »
Le ton était sec. La colère de Teva n’était pas encore retombée. Cela n’annonçait rien de bon. Quand elle se retourna, Teva désignait le sol devant elle. Maeva s’y présenta sans délai.
« Ne t’imagine pas que nous allons effacer cette désobéissance avec cette simple fessée, aussi sévère qu’elle ait pu être. Tu es punie pour toute la journée. D’abord, nous allons revenir sur le mensonge. Tu sais ce que cela veut dire. Tu connais la punition qui est réservée, dans cette maison, aux grandes filles qui mentent. »
Maeva s’imaginait très bien. En plus d’une fessée, elle ferait de nouveau connaissance avec le goût du savon.
« Tu vas passer toute la journée au coin. Tu n’en sortiras que pour manger et prendre ton bain et, bien entendu, pour recevoir les fessées qui vont jalonner toute ta journée. La plupart te seront données au martinet. Je compte bien que tu te souviendras de cette correction pendant longtemps et qu’elle laissera des traces sur tes fesses pendant plusieurs jours. »
Maeva ne se faisait pas d’illusion. Teva arriverait à ses fins. Toute une journée !
« Encore une chose avant que nous passions à la correction pour le mensonge, tu es privée de téléphone une semaine de plus. Tu ne le reverras que dimanche dans une semaine. »
Maeva ouvrit la bouche pour protester, mais elle se retint à temps. Cela n’avait, cependant, pas échappé à Teva.
« Oui, as-tu quelque chose à dire ? Peut-être ne trouves-tu pas ça juste ?
– Si, si Teva. C’est juste. Je n’ai rien à dire.
– Je préfère cela. Je ne suis pas d’humeur à supporter tes jérémiades. En route ! »
Teva la saisit par le haut du bras et direction la salle de bain. Elle passa le savon sous le jet d’eau pour l’humidifier.
« Ouvre la bouche ! »
Les précédentes expériences de Maeva avec le savonnage de sa bouche, lui avaient appris qu’il était inutile de résister. Maeva saurait la fesser jusqu’à ce qu’elle cède. Ce n’était qu’une question de temps. Elle ouvrit la bouche. Teva y introduisit la savonnette. Elle frotta suffisamment fort pour déposer des petits morceaux de savon le long de la gencive, après en avoir enduit toute la cavité buccale.
Maeva eut un haut-le-cœur. C’était amer, astringent. Le goût saturait les papilles gustatives, se répandait dans la gorge et l’odeur emplissait son nez. Elle tenta de reculer, mais Teva la tenait par la nuque, lui interdisant tout mouvement de retrait. Quand le savonnage eut contenté Teva, elle retira le savon. Le réflexe de vomissement de Maeva fut stoppé net par une claque sur le haut des cuisses.
« Non ! La moindre goutte par terre et je double la punition ! »
Maeva rentra la langue, maîtrisa péniblement le réflexe de rejet de ce goût insupportable, mais elle garda dans la bouche la salive imbibée de savon.
« Avale ta salive ! »
Une autre claque sur l’autre cuisse. Il n’y avait pas le choix. La goulée passa difficilement, mais elle passa. Maeva la sentit descendre au fond de se gorge, puis dans son œsophage. C’était horrible.
« J’espère que j’ai pu nettoyer cette bouche de tous les mensonges qui y étaient encore. Je recommencerai s’il en reste encore à nettoyer. Et maintenant, la fessée ! »
Maeva fit le trajet inverse, mi traînée, mi portée par Teva. Il y eut un petit détour par la cuisine pour que Teva se munisse du martinet.
« Non Teva, s'il te plait, pas le martinet !
– Ma chérie, il fallait y penser avant. Cela va te faire du bien. Quelques bonnes fessées au martinet aujourd’hui et on verra demain s’il y a lieu de poursuivre la punition.
– Demain ? Oh non ! »
C’était une donnée nouvelle qui inquiétait Maeva. Elle n’eut pas de réponse à son interrogation. Bien qu’il fût bref, le temps de cet échange suffit pour arriver au canapé.
« A genoux, ordonna Teva en montrant l’espace au sol entre ses pieds ! »
Courber Maeva sur sa cuisse gauche, enserrer sa taille en prévision des inévitables mouvements de sa sœur pendant la correction, relever la jupe, tout cela était habituel et attendu. Teva sentit Maeva se raidir quand tous les préparatifs furent achevés.
« Même en anticipant la morsure du martinet, pensa Teva, cela n’aura pas grand effet sur l’efficacité de la fessée ! »
Il ne s’était pas passé plus de quarante-cinq minutes depuis la dernière fouettée au martinet. Si la douleur la plus vive s’était atténuée, elle était encore sous-jacente. Il ne fallut pas attendre longtemps avant qu’elle reprenne toute sa place sur les fesses de Maeva.
Cette deuxième fessée ne fut pas moins sévère que la première. Jamais encore Maeva n’avait eu à subir deux punitions aussi rigoureuses dans un temps aussi réduit. Cela se révéla redoutable. Elle n’eut bientôt plus d’autres sensations que les lanières qui fouettaient inlassablement son postérieur. Elle croyait à chaque fois avoir atteint le summum de la douleur, mais il n’en était rien. Aux sursauts que faisait Maeva, Teva savait que la fessée construisait, petit à petit, les futures obéissances de sa sœur et son repentir de s’être laissé aller à la défier.
« Quel comportement de gamine ! Tenir treize jours et tester ma résolution le dernier. Quand grandira-t-elle donc ? »
Quand le martinet ne provoqua plus que des réactions modérées de Maeva, Teva estima qu’elle en avait assez eu pour le moment. Les fesses étaient rouges carmin, striées par des marques plus sombres. Les lanières de cuir avaient produit l’effet qu’on en attendait.

Maeva resta tout le reste de la matinée au coin. Cela faisait plus d’une heure, mais elle ne songea pas un instant à s’en plaindre. Dans les critères qui régnaient chez Fara et Teva, c’était une suite logique de ce début de punition. Maeva avait bien compris que ce n’était pas fini. Elle savait que l’après-midi serait tout aussi difficile que la matinée.
Elle crut un instant que le déjeuner se déroulerait sans elle. Tout le monde était dans la cuisine depuis un bon moment et Teva ne l’appelait pas. Dans un sens cela lui convenait. Venir à table, c’était faire face à la honte de la désapprobation générale. Il lui faudrait regarder chacun dans les yeux, faire bonne figure, alors qu’elle n’en était encore qu’à peine à la moitié de sa punition.
Elle verrait, dans le regard des autres, ses fesses nues ballottées par la main de Teva. Elle sentirait l’opprobre de la part de Fara, mais le plus difficile à supporter serait peut-être la curiosité de Moana qui avait la capacité de poser les questions les plus innocentes qui étaient également les plus vexantes.
Malgré cela, Maeva ne voulait pas être laissée dans son coin, oubliée pendant que les autres partageaient le déjeuner. Ces temps de repas étaient des moments de rassemblement de la famille qu’ils constituaient tous les cinq et Maeva ne voulait pas en être exclue. Qu’importe la honte qu’il faudrait supporter en se montrant encore entièrement dans sa condition de punie. Elle fut soulagée quand Teva l’appela.
« Maeva, viens à table ! »
Quand elle pénétra dans la cuisine, tous les regards étaient tournés vers elle. Elle n’en tira aucune gloire, bien au contraire. Elle n’avait pas osé remonter sa culotte. Teva ne l’avait pas explicitement autorisé.
« Viens-ici ! »
L’invitation de Teva ne se refusait pas. Sa sœur lui remit sa culotte à sa place normale. Au passage, elle jeta un œil sur les fesses et elle eut une moue approbatrice. Maeva se rapprocha de Teva, sollicitant un moment dans ses bras. Elle avait besoin de sentir physiquement la tendresse de sa grande sœur. Teva la prit brièvement dans ses bras, puis elle l’écarta.
« Pour ce qui est des câlins, nous verrons ça ce soir. Pour l’instant, tu es toujours punie. »
Une petite claque sur les fesses vint confirmer cette sentence.
« Assieds-toi sur ta chaise. Profite-en. N’oublie pas que tu passes l’après-midi au coin, non sans avoir reçu quelques fessées dont je ne chargerai. »
Maeva baissa la tête. Elle n’avait obtenu qu’une miette de réconfort, alors qu’elle en espérait une charrette pleine. Cela viendrait sûrement, mais après la punition.

Maeva prit place sur sa chaise. Cela ne se fit pas sans difficulté. Le contact de ses fesses sur l’assise de son siège était bien plus délicat qu’elle ne l’avait anticipé. Chaque petit mouvement qu’elle effectuait sans y penser lui rappelait douloureusement, les fessées reçues et celles qui étaient à venir. Quelques grimaces qu’elle fit au début lu attirèrent un regard noir de Teva. Tout gémissement dut à sa condition de jeune femme fessée ne serait pas le bienvenu.
C’était ainsi, la condition de punie sous la houlette de sa sœur et de son beau-frère. Maeva ne songeait pas à s’en plaindre.


Voyons, voyons, Maeva, Teva... ça me dit quelque chose

Eh bien oui ! Nous les avons déjà croisées. Rappelez-vous c'était dans le chapitre 93 d'Axel au supermarché que nous avons fait la connaissance de la jeune fille et, dans le chapitre  98, de sa sœur si sévère.

Il faut suivre si l'on veut comprendre, donc avoir lu ce qui a précédé

Voici le début du récit : le chapitre 1
L'épisode précédent : le chapitre 28
Et tous les autres sur la page "mes récits"

Mais, ce n'est pas fini

Y a-t-il une suite ? Bient sûr, le chapitre 30

Un commentaire, deux commentaires, trois... n'en jetez plus !

Si, si, au contraire, ne vous restreignez pas. Abondance de commentaire ne nuit point.

1 commentaire:

  1. Amis de la poésie et de la savonnette, fond dans la bouche, pas dans la main... Bonjour!
    Nous savons maintenant que Teva et Marguerite savent que nous savons que le savon peut faire usage de produit à nettoyer les mensonges! Ou comment se faire passer un savon avant de se prendre une fessée.
    Tout ça à cause d'une insupportable histoire de portable. Teva a bien raison d'en réglementer l'usage et d'essayer d'en enrayer l'aliénante addiction. ( Quel magnifique pléonasme... je le garde!! Rires )
    Les fessées se suivent et ne se ressemblent pas, du moins les positions. Maéva expérimente la petite dernière, pliée en deux sur la cuisse relevée à l'horizontale de sa soeur, pour lui offrir ses fesses sous un nouvel angle de frappe. Il faut bien éviter de tomber dans la monotonie. Surtout à l'allure ou les fessées se multiplient.
    La sévérité de la discipline est toujours compensée par le pardon, avec le câlin rédempteur, sécurisant. Plaisante description de l'invitation par sa soeur, au retour à table de Maeva, dans le cercle de famille réconfortant... Même si elle y revient toujours déculottée!
    Amicalement
    Ramina

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