« Maeva, va
chercher le martinet. Il doit être resté sur le canapé ! »
Quand elle
revint, Teva la bascula à plat-ventre sur ses genoux. Maeva se mit à gémir.
Cela ne fit pas reculer Teva qui releva la jupe, puis baissa la culotte, mais
la fessée ne commença qu’à main nue. C’était bien suffisant pour Maeva qui
accusa le coup immédiatement. Les deux fessées au martinet du matin avaient
laissées les fesses tellement sensibles qu’il ne fallait pas mettre une grande
énergie pour provoquer une cuisson qui devint vite insupportable.
Ce fut une courte
fessée que Teva conclut par une vingtaine de coups de martinet sur chaque côté
du postérieur largement enflammé. Les pleurs de Maeva redoublèrent. Remise sur
ses pieds, elle réintégra aussitôt le coin.
« Le coin,
pour les grandes filles désobéissantes, c’est ce qu’il y a de mieux, non ?
On y prend le temps de réfléchir à son comportement, surtout quand les fesses
brûlent. Tu as encore une après-midi à y passer. Pour demain, nous verrons en
fonction de la façon dont tu te comportes. »
Bien sûr,
recevoir la fessée aussi souvent et être mise aussi longtemps au coin
consistait une punition à prendre en compte, mais par-dessus tout, c’était de
ne pas pouvoir demander pardon et être consolée dans les bras de Teva qui accablait
Maeva. Elle sentait qu’elle avait déçu sa sœur et elle aurait eu besoin de
savoir que celle-ci ne lui en voulait pas. Mais elle devait rester dans
l’incertitude. Bien que sachant que cela faisait partie de la punition, cela
lui pesait. Elle devait patienter jusqu’à ce soir.
« J’espère
que ce ne sera pas pour demain. »
Elle prit la
pause au coin. Elle se prépara à y rester très longtemps.
D’entendre la
sonnette de la porte d’entrée était toujours une mauvaise nouvelle pour celle
qui était au coin. Elle ne savait jamais de qui il s’agissait et si, étant
amené dans le séjour, il aurait l’occasion de la voir dans une aussi délicate
position, sans pouvoir savoir avec certitude qui était dans son dos, sauf à
reconnaître la voix.
Ce fut un soulagement
relatif quand elle reconnut celle d’Hélène. C’était un moindre mal. Hélène
l’avait déjà vu en aussi mauvaise posture. C’était toujours vexant qu’une
personne de plus constate que vous aviez été corrigée, mais il était préférable
que ce soit quelqu’un qui soit déjà au courant.
Après avoir
embrassé les deux filles qui s’étaient précipitées à sa rencontre, Hélène fut
conduite dans le séjour par Teva.
« Et voilà
la troisième. Le crois-tu ? A une journée près ! Elle n’a pas pu
attendre ! Elle savait pourtant parfaitement ce qu’elle risquait !
J’ai décidé de lui donner une leçon dont elle se souviendrait. Autant que cette
désobéissance lui serve à quelque chose !
– Je vois à
l’état de ses fesses, que la punition ne sera pas oubliée de si tôt.
– Oui, je l’espère
bien. Et ce n’est pas fini ! Elle va durer toute l’après-midi : le
coin entrecoupé de plusieurs fessées. Jusqu’à ce soir. Je verrai demain si cela
a suffi.
– Je n’imaginais
pas comment cela pouvait être prenant que de s’occuper d’une grande fille. Elles
te prennent plus de temps que Moana, non ?
– C’est sûr que
si les deux grandes étaient aussi sages que la petite, ce serait bien plus
simple.
– Oui, d’un autre
côté, si elles sont là, c’est parce qu’elles ne savent pas, ni l’une ni
l’autre, s’autodiscipliner.
– Tu as raison.
Si elles étaient aussi sages que Moana, la question ne se poserait pas.
– Tu dois
toujours prendre en compte une possible punition quand tu organises ton temps.
– C’est vrai.
Heureusement qu’il y a Fara. Il prend sa part du travail. Mais vois-tu, comme
cet après-midi, ça change nos projets.
– Ah ?
– Nous voulions
aller voir l’exposition de peinture qui vient d’ouvrir au musée. Je vais devoir
y renoncer pour que cette demoiselle puisse passer cet après-midi au coin.
– Il y a une
autre solution.
– Dis voir.
– Je peux la
mettre au coin chez moi. Cela ne me gênera pas. Il a peu de chance qu’elle
fasse beaucoup de bruit et j’ai un dossier à lire. Je n’avais, de toute façon,
pas prévu de sortir.
– Oui bien sûr,
mais ça me gêne que tu te charges de ce travail qui me revient.
–
Billevesées ! Entre voisine, on peut bien se rendre ce genre de petits
services.
– Je suis tentée.
– Si tu as prévu
de lui donner une fessée en milieu d’après-midi, je peux même m’en charger.
Cela ne me prendra pas énormément de temps.
– Tu crois ?
– Allez, c’est
décidé. Je te la garde cet après-midi. Au coin et une fessée vers… disons seize
heures, ça te va ?
– Je te remercie,
c’est vraiment très sympa. Seize heures ce sera parfait, si je ne suis pas
revenue.
– Prends ton
temps. Je m’occupe de tout. Donner une fessée à Maeva, ce ne sera pas un
problème. »
Maeva ne
partageait pas cette idée, mais on ne lui demandait pas vraiment son avis.
C’était encore une nouvelle personne qui trouvait normal de la corriger. Teva,
Fara et sa cheffe au travail, c’était déjà beaucoup. Il fallait rajouter la
voisine du dessus et maintenant Hélène. Où cela s’arrêterait-il ?
« Tu me
l’envoies dès que vous êtes prêts à partir. »
Marguerite
n’avait pas très envie de suivre ses parents adoptifs dans leur visite de
l’exposition. Elle prévoyait de s’y ennuyer. Quand elle apprit que Maeva
passait l’après-midi chez Hélène, elle entrevit une possibilité. Elle alla se
nicher dans les bras de Teva, sollicitant un câlin. Puis elle aborda le sujet.
« Je
peux rester chez Hélène, moi aussi ? »
Teva
la regarda, les sourcils froncés.
« C’est
pour ça que tu es venue de coller dans mes bras ? Pour avoir
l’autorisation de rester ?
–
Non, mais… »
La
claque sur les fesses n’était pas pour rire.
« Ne
mens pas ! Alors ?
–
Si, finit par avouer Marguerite. Aussi pour ça, mais pas seulement. J’aime bien
être dans tes bras. Mais si tu veux bien…
–
Tu t’en sors plutôt pas mal. Heureusement que je t’ai arrêtée. Tu étais sur le
point de mentir et j’aurais dû t’en punir. »
Marguerite
passa ses bras autour du buste de Teva et se serra contre elle.
« Tu
sais faire ce qu’il faut pour obtenir ce que tu veux, dit Teva en souriant et
en caressant les cheveux de la jeune femme qu’elle tenait dans ses bras. Mais
je préfère comme cela à des désobéissances et des mensonges, n’est-ce
pas ? »
La
claque sur les fesses ne pouvait passer, cette fois-ci, pour une fessée.
« Oui,
Teva. »
Et
après un petit moment de silence.
« Alors,
je peux ?
–
Tu ne perds pas le nord, toi. C’est d’accord si Hélène veut bien. »
Marguerite
se serra encore plus fort contre Teva, puis elle déposa un bisou sur sa joue.
« Merci
Teva. Tu es un amour ! »
Puis
elle partit dans sa chambre.
« Eh,
jeune fille, Hélène n’a pas encore dit oui !
–
Je sais répondit Marguerite en disparaissant dans sa chambre.
–
Quelle gamine, commenta Teva ! »
Elle
souriait, contente qu’une aussi petite chose puisse faire autant plaisir à sa
grande fille.
Teva
sonna à la porte d’Hélène. Derrière elle se tenait Marguerite et Maeva.
Celle-ci avait la culotte à hauteur des genoux et elle tenait sa jupe relevée
au-dessus de sa taille. Teva avait exigé qu’il en soit ainsi, bien qu’il faille
traverser un lieu où de nombreuses personnes pouvaient passer en empruntant
l’escalier. Maeva avait hâte que la porte s’ouvre et qu’elle puisse aller
placer ses fesses nues dans un coin du séjour chez Hélène. Cela faisait bien moins
de monde à pouvoir l’apercevoir dans cette tenue impudique.
Heureusement
la porte s’ouvrit avant que ne surgisse une autre personne.
« Hélène,
je t’amène Maeva. Marguerite a quelque chose à te demander.
–
Est-ce que je peux rester chez toi, moi aussi ?
–
Es-tu punie, toi aussi ?
–
Oh, pas pour être punie. S'il te plait !
–
C’est d’accord, ma chérie.
–
Merci Hélène !
–
Je ne suis pas certaine, rajouta Teva, que nous ne cédions pas un peu trop
facilement à ses caprices. Et toi, ne cherche pas à en profiter !
–
Oh non, je te le promets.
–
Ne t’inquiète pas, Teva, si elle n’est pas sage, elle sait que cela finira par
une bonne fessée. Je n’hésiterai pas ! »
Tout
en proférant cette menace, Hélène attira Marguerite dans ses bras et elle
tapotait doucement ses fesses à travers sa jupe. Cela rendait la promesse bien
moins effrayante.
« Toi,
tu vas au coin ! Et je te conseille d’y être sage. Je te dirai quand ce
sera le moment de ta prochaine fessée. »
Hélène
conduisit Maeva dans le coin où Marguerite avait déjà passé pas mal de temps. A
part la couleur du mur, Maeva ne trouva pas de changement notable. Tous les
coins se ressemblent une fois qu’on y est en pénitence.
« Marguerite,
tu as tous les livres que tu veux. Tu peux prendre celui que tu souhaites.
Soyez sages toutes les deux. Je travaille dans mon bureau, mais je laisse la
porte ouverte. »
Marguerite
parcourut des yeux d’alignement des livres. Elle finit par en choisir un et
s’installa dans un fauteuil. Elle avait lu une trentaine de pages quand elle
leva les yeux. Elle avait, devant elle, les fesses de Maeva, sur lesquelles se
dessinaient encore distinctement les marques des lanières du martinet. Elle
regarda furtivement dans la direction où Hélène avait disparu.
« Maeva,
dit-elle en chuchotant ?
–
Oui, répondit cette dernière sur le même ton.
–
Tu as encore mal ?
–
Bien sûr, qu’est-ce que tu crois. C’est le martinet ! Et pas un
petit !
–
Oh tu sais, moi j’ai eu les orties, alors…
–
Chut ! Pas si fort. Si Hélène nous entend !
–
Non, je ne crois pas si on fait attention. »
Il
y eut un petit moment de silence. Chacune devait jauger des risques pris si
Hélène surgissait en pleine conversation.
« Si
tu voyais tes fesses !
–
Je m’en doute ! Rien qu’à l’incendie que je ressens venant de là, je sais
qu’elles doivent être toutes rouges.
–
Oui, rouges tellement sombres qu’elles paraissent violettes par endroit.
–
Un festival de couleurs !
–
C’est plus des fesses, c’est une peinture abstraite ! Teva aurait dû
t’emmener à l’exposition. Tu y aurais montré tes fesses et personne n’aurait vu
que du feu. »
Les
deux femmes pouffèrent de rire. Puis, retrouvant leur sérieux.
« Teva
sait bien se servir du martinet et je…
–
Et moi, c’est de la règle dont je me sers très bien ! »
Toute à leur conversation, aucune des deux n’avaient entendu Hélène approcher. Les
murmures parvenaient difficilement jusqu’à son bureau, mais elle avait tendu
l’oreille plusieurs fois, en ayant l’impression d’avoir entendu un bruit
qu’elle ne parvenait pas à identifier. Ces sont les rires étouffés qui
l’avaient définitivement alertée.
Maeva
se retourna. Un réflexe malheureux.
« Et
puis quoi encore ! Remets-toi au coin ! »
Maeva
s’y replaça, mais le mal était fait.
« Qu’est-ce
que c’est que ces libertés prise avec les règles du coin ? »
La
claque sur les fesses résonna dans la pièce. Elle répondait à l’interrogation
d’Hélène sans qu’il eût été besoin de prononcer un seul mot.
« Tu
ne bouges pas de là ! »
Puis
se tournant vers Marguerite :
« Et
toi non plus ! Je suis à toi dès que j’en ai fini avec cette grande fille
désobéissante ! »
Hélène
sortit de la pièce. Elle revint presque aussitôt. Elle tenait une règle plate
en bois, celle dont elle avait eu l’usage sur les fesses de Marguerite la
semaine précédente.
« Voyons
si je sais me servir de la règle aussi bien que Teva se sert du martinet ! »
Elle
attrapa Maeva par le bras et celle-ci dut la suivre jusqu’au milieu de la
pièce, là où l’espace était dégagé. Un bras autour de la taille, puis pesant
sur le dos de Maeva, elle l’obligea à se courber. Cette dernière ne montrait
aucune résistance. Que dire qui puisse atténuer sa punition ? Que faire
qui ne l’aggravât pas ? Le droit d’Hélène à la fesser ne souffrait aucune
contestation. Il ne restait qu’à ôter la jupe du chemin. Ce n’était pas un gros
obstacle.
Hélène
prit de l’élan et elle abattit la règle en travers des fesses avec le plus de
vitesse possible. Sur les fesses généreusement meurtries par le martinet, cela
fit des ravages. Maeva lança ses deux jambes en arrière en poussant un cri
inhumain. Hélène supporta le poids sans difficulté et elle amortit la ruade de
Maeva en serrant la jeune femme contre son flanc. La règle trouva une autre
zone tout aussi sensible, à côté de la première. La ruade de Maeva fut moins
forte, mais son cri était teinté de désespoir.
Hélène
asséna au moins une trentaine de fois le plat de la règle avec le maximum de
force, en détachant bien les coups l’un de l’autre. Il était important, dans le
début de cette fessée, que Maeva sente bien la cuisson qui montait
progressivement sur ses fesses, et qu’elle l’attribue à la règle que manipulait
Hélène.
Maeva
répondait à merveille à la correction qu’elle recevait. Tout en restant
positionnée pour qu’Hélène puisse lui administrer facilement la fessée, elle
gigotait tant qu’elle pouvait, accusant vivement l’application de la règle.
Puis
Hélène accéléra soudainement le rythme. Le tempo qu’elle obtint se fit au
détriment de la force qu’elle y mettait, mais la règle frappait si souvent la
peau et assez fort pour que Maeva ne sache plus où était exactement le siège de
la douleur qu’elle ressentait. La cuisson sous le dernier impact de
l’instrument que manipulait Hélène, n’avait pas le temps de se diffuser avant
qu’un nouveau coup se rajoutait au premier. Cela dura.
Maeva
poussait un long cri continu qui ne lui laissait pas le temps de reprendre son
souffle. Ses jambes tétanisées ne bougeaient plus, n’arrivant plus à suivre le
rythme que la règle leur imposait. Elle fit silence, deux gros hoquets, un
premier sanglot, puis un flot de larmes qui ne s’interrompirent pas jusqu’à la
fin de la fessée.
Quand
les marques rouges laissées par la règle eurent dilué les traces sombres des
lanières du martinet, Hélène cessa la fessée. Les jambes de Maeva cédèrent
quand elle voulut la remettre sur ses pieds. Elle dut l’attraper par le bras
pour la soutenir pendant quelques instants. Quand elle lui sembla assez
vaillante pour reprendre son autonomie, elle la renvoya au coin.
« N’imagine
pas que cela t’épargnera la fessée de seize heures. Au contraire ! »
Marguerite
avala sa salive avec difficulté. Recevoir la fessée était impressionnant, mais
regarder Hélène la donner l’était tout autant. Marguerite avait noté la
résolution d’Hélène et sa concentration. Les cris de Maeva en avaient confirmé
l’efficacité. Hélène se tourna vers elle. C’est alors qu’elle se rendit compte
qu’elle était la prochaine sur la liste.
« Oh,
non, arriva-t-elle à bredouiller.
–
Trop tard Mademoiselle ! Il ne serait pas juste que ta camarade ait eu une
fessée et que, pour le même motif, tu n’aies pas sa copie conforme. Certes,
elle était au coin et pas toi, mais tu savais tout autant qu’elle, qu’elle
n’avait pas le droit de te parler et que toi tu n’en avais pas le droit non
plus. Cette désobéissance, vous l’avez construite à deux, il est juste que vous
en soyez équitablement punies toutes les deux.
–
Oui, mais je…
–
Il n’y a pas de mais qui tienne. Viens ici ! »
Ses
jambes obéirent sans qu’elle s’en rende compte. Hélène tenait toujours la règle
dans sa main. Elle avait visiblement l’intention de s’en servir. Hélène poussa les
similitudes jusqu’au bout. Elle plaça Marguerite dans la position qui avait été
celle de Maeva il y avait quelques minutes. Elle releva l’arrière de la jupe
dans le dos de Marguerite. La culotte glissa le long des cuisses de la jeune
femme.
Marguerite
frissonnait. Elle avait déjà goûté de la règle, mais il lui avait semblé
qu’Hélène en avait usé bien plus rigoureusement à l’égard de Maeva qu’elle ne
l’avait fait la dernière fois avec elle. Et il lui était promis la même chose.
Elle aurait fait n’importe quoi pour éviter la correction qui s’annonçait, mais il
n’y avait rien à faire.
« Je
te soupçonne même d’être celle qui a profité de ce que je n’étais pas là pour
inciter Maeva à discuter avec toi. Je pense que tu as été celle qui considérait
qu’on pouvait, sous mon toit, faire fi des règles qu’on doit observer au
coin. »
Hélène
administra une claque monumentale, de la règle, sur les fesses de Marguerite.
« C’est
la deuxième fois que tu te donnes le droit d’enfreindre les règles qu’on doit
observer au coin. C’est au moins une fois de trop et je veux que ce soit la
dernière fois. La fessée de la semaine dernière n’a pas suffi. Je peux te
promettre que celle-là aura les effets que je recherche. »
Un
nouveau coup de règle accompagna cette sentence.
« Il
va bien falloir que tu comprennes qu’être sous ma responsabilité implique
d’être aussi obéissante que quand tu es avec Teva, voire peut-être plus. Si tu
n’arrives pas à l’intégrer, je me chargerai de te le faire comprendre. »
C’était
de voir son autorité bafouée qui mettait Hélène tant en colère. Cela ne devait
pas se reproduire. C’est Marguerite qui en avait été à l’origine. Elle devait
en payer le prix. Il s’agissait de marquer les esprits en marquant les fesses.
Voyons, voyons, Maeva, Teva... ça me dit quelque chose
Eh bien oui ! Nous les avons déjà croisées. Rappelez-vous c'était dans le chapitre 93 d'Axel au supermarché que nous avons fait la connaissance de la jeune fille et, dans le chapitre 98, de sa sœur si sévère.Il faut suivre si l'on veut comprendre, donc avoir lu ce qui a précédé
Voici le début du récit : le chapitre 1
L'épisode précédent : le chapitre 29
Mais, ce n'est pas fini
Y a-t-il une suite ? Bientôt, bien sûr c'est le chapitre 31.
Un commentaire, deux commentaires, trois... n'en jetez plus !
Si, si, au contraire, ne vous restreignez pas. Abondance de commentaire ne nuit point.
Amis de la poésie et des fessées en règle... Bonjour.
RépondreSupprimerMaintenant les fessées c'est sur rendez vous... ou presque. Il y en a tellement qu'il faudrait à Téva un agenda spécial pour en noter les horaires... C'est un peu comme une ordonnance. Epidémie de rougeole aux fesses! Vous prendrez une fessée déculottée toutes les heures. Malheureusement pour Maeva, les fessées ne se prennent, pas en tube, ni en poudre, ni en gélule, ni en cachet, encore moins en comprimés effervescents...la seule effervescence c'est sur les fesses et à la main et règle plate... Comme ça l'affaire est réglée!
Le virus de la déculottée, se répand très vite. Marguerite enfreint les règles. Atteinte par la contagion, elle s'en prend une bonne aussi, en piqûre de rappel.
Heureusement il y a le petit câlin réparateur, mais il ne suffit pas à faire redescendre la température des derrières soumis au traitement de choc de Téva et Hélène.
Avec un tel régime on se demande comment ces Dames osent encore des désobéissances et autres écarts de comportement...
Amicalement
Ramina