Les premiers
coups, le plus fortement possible et bien détachés les uns des autres, puis une
avalanche continue, avec un rythme endiablé qui provoqua les mêmes contorsions
de Marguerite sous le bras d’Hélène que celles qui avaient animé Maeva quelques
minutes plus tôt.
Marguerite, entre
deux sanglots, regrettait maintenant d’avoir pensé qu’elle pouvait s’affranchir
des règles sans qu’Hélène le sache. Elle se promettait maintenant d’obéir
strictement, surtout en ce qui concernait le comportement au coin. Cela
n’empêchait pas la fessée de se poursuivre.
Hélène dégagea un
deuxième coin en bougeant un fauteuil.
« Il
vaudrait mieux que je dispose en permanence de deux coins disponibles. Je pense
que je vais en avoir désormais régulièrement besoin. »
Marguerite, sur
un simple geste alla s’y positionner.
« Je pense
qu’aucune de vous deux n’a plus envie de papoter. J’espère que ça va
durer. »
Le silence était
de rigueur pour les deux jeunes femmes. Aucune question directe ne leur avait
été posée. Hélène n’attendait donc pas de réponse.
« Je laisse
la règle à portée de main au cas où l’une de vous deux en aurait encore
besoin. »
Puis Hélène
retourna à ses occupations, laissant les deux punies à leur pénitence. Elle fut
observée aussi scrupuleusement qu’il était possible. Chacune veillait à rester
parfaitement silencieuse et quand peinant à conserver l’immobilité, elles se
décalaient un tant soit peu de la posture requise, on voyait leurs muscles se
contracter pour revenir aussitôt à la position d’origine.
Discrètement,
Hélène vint jeter un œil sur ses deux demoiselles. Elle veilla à ne pas se
faire entendre. C’était important que ces deux grandes gamines s’obligent à
respecter les règles du coin sans qu’on ait besoin de les surveiller. Elles ne
devaient pas savoir qu’Hélène était venue voir comment elles se comportaient.
Elle sourit en
les voyant chacune le nez enfoncé dans son coin et les fesses nues encore d’un
rouge soutenu, exposées à qui passait par là.
« Heureusement
pour elle qu’il n’y a que moi. J’aurais peut-être dû les mettre sur le palier.
Trop tard, restons-en là. »
Elle songea que
ce serait bientôt le moment où, honteuses et repentantes, ces deux chipies
viendraient lui demander pardon. Elle pourrait alors les prendre dans ses bras.
C’était, sans doute, de tout le processus d’une fessée, le moment qu’elle
préférait. Le reste, elle le faisait par obligation et par devoir.
« Ah, non,
c’est vrai ! Maeva n’y aurait pas le droit. Elle est encore punie et il y
a une autre fessée à lui donner bientôt. Dans combien de temps ? »
Elle regarda sa
montre.
« Une bonne
demi-heure. Je vais laisser Marguerite au coin jusque-là. J’ai le temps
d’avancer dans mon travail. »
Rassurée par
l’efficacité et la pertinence de la punition qu’elle avait administrée, elle
retourna travailler dans son bureau avec le sentiment du devoir accompli.
Maeva fit face à
Hélène.
« Je crois
qu’il est l’heure de ta fessée. »
Maeva regarda
craintivement la règle posée sur la table basse. Hélène n’aurait qu’à étendre le
bras pour s’en emparer.
« Allons,
approche !
– Ce sera avec la
règle ? »
Une seule fessée
avait suffi à Maeva pour craindre l’utilisation de cet instrument. Il ne
provoquait pas une cuisson très prolongée, mais sur le moment, elle était d’une
grande intensité.
« Bien
sûr ! Si c’était Teva qui te l’avait donnée, ce serait avec le martinet,
n’est-ce pas ? »
Maeva hocha la
tête. C’était incontestable.
« Chez moi,
c’est avec la règle. Cela te fera une fessée dont tu te souviendras. »
Maeva en était
persuadée elle aussi. Elle se souviendrait de chacune des fessées de cette
funeste journée afin d’être certaine de ne plus se retrouver dans la situation
de devoir recevoir une nouvelle fois une telle punition. Maeva soupira. Il
fallait aller au bout de la punition, même si elle doutait que ses fesses le
supportassent.
Hélène prit les
choses en main dès qu’elle fut assez proche. Tenant Maeva par le bras, elle la
fit passer sur son côté droit, puis elle l’obligea à incliner le buste
au-dessus des cuisses d’Hélène qui attendaient la jeune femme. Quand son buste
y reposa, Hélène passa sa main entre les jambes de Maeva pour la positionner
correctement, la tête sur le coussin du canapé et les jambes pendant de l’autre
côté. Seul le bout de ses pieds touchait le sol. Elle sentit sa jupe glisser
sur le haut de ses cuisses, puis sur ses fesses nues pour finir retroussée sur
ses reins. Le petit mouvement d’Hélène lui indiqua quand elle prit la règle.
Elle se raidit. Tout était prêt pour la fessée.
Le claquement de
la règle sur ses fesses et l’onde de douleur qui suivit lui confirma le début
de la correction. Elle laissa un premier cri sortir de sa gorge. Il y en aurait
d’autres. La faible persistance de la cuisson aigue suite à la dernière fessée,
était trompeuse. Les contusions provoquées par les précédentes corrections
n’avaient pas disparues. Quelques coups de règle et elles étaient revenues avec
la même virulence.
Maeva avait
l’impression qu’Hélène poursuivait la précédente punition là où elle l’avait
arrêtée il y avait une petite heure. En quelques secondes, toute la précédente
douleur avait été réveillée par la règle qui arrivait à en rajouter sous
l’impulsion résolue d’Hélène.
Elle fut contente
d’être renvoyée au coin, mais il lui fallut quelques minutes pour que le plus
acéré de la douleur lui laisse un peu de temps pour penser à autre chose qu’aux
élancements émanant depuis ses fesses.
« Viens-ici,
Marguerite ! »
La jeune femme se
retourna et elle chercha dans les yeux d’Hélène qu’elles étaient ses
intentions. Devait-elle s’attendre à recevoir, elle aussi, une fessée ?
Hélène était-elle encore en colère contre elle ? Elle s’avança malgré
tout.
« Est-ce que
cette fessée et ce moment au coin t’ont été salutaires ? As-tu encore
envie d’enfreindre les règles du coin, que ce soit toi qui y soit ou quelqu’un
d’autre ?
– Non Hélène, je
te demande pardon. Je ne le ferai plus.
– Cela fait deux
fois. S’il y en a une troisième, je m’arrangerai pour que la fessée que je te
donnerai, soit mémorable. Est-ce bien compris ?
– Oui
Hélène. »
Elle avait un tel
air contrit qu’Hélène avait envie de la consoler. Elle la prit par la main et
elle l’amena sur ces genoux.
« Allez,
c’est fini. »
Elle la serra
dans ses bras et Marguerite se mit à pleurer. C’était des larmes de
soulagement. Hélène ne s’y trompa pas. Elle posa le visage de la jeune femme
sur son épaule, laissa ses larmes se tarir.
« Chut,
petite fille, chut. »
Elle la berçait
dans ses bras et elle passait doucement sa main sur les fesses de la jeune
femme. Elle la laissa dans cette position pendant quelques minutes, puis, les
larmes de Marguerite s’étant taries, elle la redressa.
« Bon,
plutôt que de te laisser là avec la tentation de parler à Maeva, ce qui te
vaudrait une nouvelle fessée, tu vas venir dans mon bureau. J’ai du travail à te
donner. »
Maeva les
entendit sortir toutes les deux de la pièce.
Dès leur arrivée
dans le bureau, Hélène se révéla une donneuse d’ordre exigeante.
« Range dans
la bibliothèque tous ces livres qui sont sur cette table. Il faut les classer
par ordre alphabétique à l’intérieur de chaque catégorie. »
Hélène était
journaliste. Elle s’occupait du secteur culturel de son journal et sa
spécialité couvrait tous les aspects du patrimoine. Elle possédait une
bibliothèque abondante sur tous les aspects de ce domaine : architecture,
métiers traditionnels, artisanat, culture religieuse, patrimoine industriel,
mobilier… Marguerite avait du mal à en faire le tour. Elle s’acquitta cependant
de sa tâche aussi bien qu’elle le put. Hélène n’en fut que modérément
satisfaite.
« Regarde !
Tu as classé celui-là en artisanat alors qu’il n’est question que de mobilier.
Tu dois le mettre ici ! »
Une petite claque
sur les fesses, heureusement recouvertes par la jupe, souligna cette remarque.
« Tu dois
faire plus attention ! »
Marguerite trouvait
cela difficile, mais elle ne voulait pas renoncer. Elle était trop fière
qu’Hélène lui ai proposé un travail qui l’amenait à rester auprès d’elle et qui
aidait Hélène dans son activité professionnelle.
« Rectifie
tes erreurs et classe-moi également tous ces documents dans ce classeur, par
ordre alphabétique. Et fais un peu attention ! »
Hélène lui
désignait une haute pile de papiers sur le coin du bureau. Marguerite s’y
attaqua. Le silence s’installa dans la pièce. Hélène était concentrée sur son
travail et ne faisait pas attention à ce que faisait Marguerite. Dépitée par
cette indifférence, Marguerite ouvrit les tiroirs de plus en plus bruyamment et
elle les refermait en faisant tout autant de bruit.
« Je préférerais, Marguerite, que tu fasses moins de bruit. Cela me gêne dans mon
travail. »
Marguerite cessa
de se manifester, mais elle était toujours aussi frustrée de l’indifférence
d’Hélène qui ne s’occupait toujours pas d’elle, alors qu’elle avait cru qu’en
travaillant ensemble, elle pourrait se rapprocher de sa voisine. Si elle
travaillait en silence, sa contrariété l’amenait à effectuer des mouvements
brusques, signes résiduels de sa colère rentrée.
« Fais plus
attention, Marguerite, tu vas casser quelque chose ! »
Le cadre, dans
lequel il y avait une photo d’un groupe de personnes qu’elle ne connaissait
pas, en fit les frais. En se détournant pour prendre une nouvelle série de
documents, elle le heurta du coude et il finit son vol plané sur le sol,
dispersant des morceaux de verre dans toute la pièce. Il y eut une seconde de
silence pendant laquelle Hélène et Marguerite se regardèrent. Puis, Hélène
fronça les sourcils et elle se leva, fondant sur Marguerite.
« Je vois
que tu ne comprends rien d’autre que cela ! »
Elle ploya Marguerite
sous son coude, releva sa jupe dans son dos et baissa sa culotte. La main
s’abattit sur les fesses suffisamment longtemps pour les rougir et pour que Marguerite
exprime sa douleur par ses cris. Ce n’était pas une grosse fessée comme elle en
avait eu une en début d’après-midi, mais une correction pour lui apprendre à
tenir compte des avertissements qu’on lui donnait.
« Est-ce que
ça suffit comme cela, ou faut-il que je sois un peu plus persuasive ?
– Oui, oui, ça
suffit ! Pardon, pardon, je vais faire attention.
– Va te mettre un
peu au coin pendant que je vérifie le travail que tu as fait. »
C’est dans
l’angle du bureau qu’Hélène lui désignait que Marguerite alla caler son nez.
Elle ne le savait pas encore, mais c’était un lieu qui lui deviendrait bientôt
très familier. Hélène vérifiait le classement que Marguerite venait
d’effectuer. Par deux fois elle soupira, puis elle s’exclama :
« Ce n’est
pas vrai ! Viens-ici Marguerite ! »
Malgré sa culotte
encore baissée, Marguerite se hâta.
« Qu’est-ce
que c’est que ce classement ? Les K se mettent avant ou après les
L ? »
Sa main claqua le
haut de la cuisse de la jeune femme qui se tenait à côté d’elle.
« Et il y en
a d’autres ! Que des fautes d’étourderie. Tu n’es pas à ton
travail ! »
Marguerite
reconnaissait les griefs qu’on lui faisait également à son travail. Elle avait
réellement du mal à se concentrer sur une activité quand elle devait le faire
seule.
« Et
là… »
Hélène montrait
un autre dossier.
« Crois-tu
que classer ce document, signifie le froisser comme tu l’as fait ? »
Une nouvelle
claque sur la cuisse.
« Aïe !
– Oui, aïe, mais
c’est un peu trop tard pour s’en rendre compte. Je préfère que tu arrêtes. Si
c’est pour me faire un travail négligé, je préfère le faire moi-même.
– Oh non, s'il te
plait Hélène, je voudrais continuer à travailler pour toi.
– Tu voudrais,
mais tu ne fais pas les efforts nécessaires.
– Je vais faire
attention, je te le promets !
– Si tu fais ce
travail, c’est sérieusement, comme un vrai travail. Ce n’est pas quelque chose
qu’on peut faire à moitié.
– Je te promets.
– Si c’est un
travail sérieux, je serai exigeante. Si le travail n’est pas bien fait, tu en
seras punie. Tu sais comment. »
Hélène laissa un
court silence s’installer, comme pour donner le temps de la réflexion à Marguerite.
« Veux-tu
continuer ?
– Oui Hélène.
– Bien. Alors tu
as mérité d’être punie ! »
Hélène replaça Marguerite
sous son bras. Elle n’eut qu’à relever la jupe qui était retombée dans le
mouvement. La culotte qui n’avait pas bougé depuis la dernière fessée, était
placée comme il le fallait. Cette fois-ci il fallait une vraie fessée. Hélène
se mit à la tâche. Il fallut y mettre un peu plus d’application que la dernière
fois. Les fesses de Marguerite devaient finir écarlates et ses sanglots
devaient indiquer son repentir. Cela prit quelques minutes, mais Hélène arriva
à ce qu’elle désirait sans trop de difficulté.
« Donner la
fessée devient une habitude, se dit-elle. J’arrive maintenant à la doser
exactement comme je le souhaite. »
Elle administra
une dernière série également répartie sur les deux côtés du fessier et elle
s’en tint là.
« Je crois
que ça suffira pour punir cette inapplication. Va au coin ! »
Marguerite,
retenant difficilement ses sanglots, revint à son point de départ. La fessée
avait été sévère. Pas des plus cuisantes, mais suffisamment pour qu’elle fasse
bien plus attention la prochaine fois. Elle était consciente que travailler
pour Hélène aurait des inconvénients, mais elle y tenait malgré tout.
Hélène regarda
les fesses de Marguerite rosir peu à peu. Ce n’était qu’une fessée à main nue,
cela ne laisserait pas de trace visible bien longtemps. Elle était agacée
d’avoir dû fesser Marguerite une nouvelle fois.
« Quand
cette gamine se comportera-t-elle donc comme une personne de son âge,
pensa-t-elle ? »
Elle reprit la lecture
du document qu’elle avait interrompue pour corriger Marguerite. Mais son
exaspération l’empêchait de se concentrer sur son travail. Elle leva les yeux
vers Marguerite qui se tenait au coin, parfaitement comme elle l’exigeait. Elle
sourit et se détendit.
« Il y aura
d’autre fessée, se dit-elle. A quoi croyais-je m’attendre en acceptant de
prendre, de temps en temps, la responsabilité de cette grande gamine ? A
la voir là, personne ne penserait qu’elle a plus de trente ans ! »
Marguerite avait
encore du mal à retenir tous ses sanglots qui lui soulevaient encore la
poitrine, mais sans faire de bruit.
« N’empêche,
je suis bien contente d’avoir sa compagnie, même si elle se résume, pour
l’instant, à une paire de fesses bien rouges. »
« Une
demi-heure au coin, ça doit suffire pour prendre de bonnes résolutions, se dit
Hélène. »
Elle regarda Marguerite
qui avait parfaitement tenu sa position en pénitence.
« Approche, Marguerite,
je t’attends ! »
Marguerite
regarda Hélène, puis elle baissa les yeux, sans vraiment bouger.
« Approche,
je t’ai dit. Jusqu’ici ! »
Marguerite
approcha, mais elle ne savait pas comment se comporter. Hélène était-elle
encore fâchée ? Voudrait-elle encore lui confier du travail auprès
d’elle ? Hélène lui prit la main et elle l’obligea à s’allonger sur ses
genoux où elle avait ménagé une petite place entre son corps et le bureau sur lequel elle travaillait. Elle releva la jupe, découvrant les fesses nues.
« Bon, plus
de marque ! »
Elle toucha la
peau.
« Bon, elles
ne sont plus chaudes. »
Marguerite esquissa
un mouvement pour se relever. Une petite claque sur les fesses l’arrêta.
« Reste là
et je ne veux plus t'entendre ! »
Hélène avait
écarté les jambes, ce qui donnait une place confortable pour poser son buste
sur les deux cuisses. Elle reprit le document qu’elle n’avait pas fini de lire,
elle posa sa main sur les fesses de Marguerite et elle les massait tout
doucement. Quand elle en avait besoin, elle abandonnait la caresse pour prendre
des notes. Puis, elle recommençait son massage sur les fesses.
Au début, Marguerite
avait été un peu tendue. La position dans laquelle l’avait placée Hélène
évoquait une fessée imminente. Elle fut rassurée quand ce fut une caresse
qu’elle sentit. Elle se détendit. Elle se sentait la petite fille sur les
genoux de sa Maman. Elle mit son pouce dans sa bouche et elle ferma les yeux.
Hélène sourit quand Marguerite se mit à faire un petit ronflement venu du fond
de la gorge.
« Un gros
chat sur mes genoux, pensa Hélène. »
Elle se reconcentra
sur son travail.
Quand Teva revint,
elle demanda des nouvelles de ses deux filles.
« Alors,
on-t-elles été sages ?
– Viens voir par
toi-même. »
Hélène la
conduisit dans le séjour. Maeva se tenait toujours au coin. Elle n’avait pas
bougé depuis la fessée qu’elle avait reçue en milieu d’après-midi.
« Bien, elle
est toujours au coin, comme prévu. A-t-elle eu sa fessée de quatre
heures ?
– Oui, bien sûr,
mais j’ai dû lui en donner une autre. Figure-toi que ces deux chipies avaient
décidé… »
Hélène raconta
comment les deux jeunes femmes avaient fait fi des règles à observer au coin et
comment elles en avaient été punies.
« Et mon
autre petite peste, où est-elle ?
– Suis-moi, je
vais te montrer. »
Marguerite se
tenait debout, au coin dans le bureau.
« Elle non
plus n’a pas été sage ?
– Au début de
l’après-midi quand elle a décidé de papoter avec sa camarade qui était au
piquet, oui. Maintenant il s’agit… comment dire… d’un apprentissage compliqué.
Je lui ai proposé de travailler pour moi. Elle y tient absolument, mais elle
n’est pas suffisamment consciencieuse. Je l’en ai donc punie. Elle va devoir
faire les efforts nécessaires ou subir de nombreuses corrections, si elle veut
continuer. A elle de choisir.
– C’est bien. Je
vois que tu as les choses en mains, mais je n’en doutais pas. Excuse-moi, je récupère
les filles et je file. J’ai encore une fessée à donner à Maeva et le bain aux
trois filles avant le repas. J’ai tout juste le temps.
– Pour ce qui est
de la fessée, c’est à toi de t’y mettre. Je pense que Maeva a besoin que ce
soit toi qui sévisse. Mais si tu le veux, je peux donner le bain aux deux
autres pendant que tu fesses Maeva.
– Si tu es
disponible, ce n’est pas de refus. »
C’est donc Hélène
qui donna le bain aux trois filles ce soir-là.
Voyons, voyons, Maeva, Teva... ça me dit quelque chose
Eh bien oui ! Nous les avons déjà croisées. Rappelez-vous c'était dans le chapitre 93 d'Axel au supermarché que nous avons fait la connaissance de la jeune fille et, dans le chapitre 98, de sa sœur si sévère.Il faut suivre si l'on veut comprendre, donc avoir lu ce qui a précédé
Voici le début du récit : le chapitre 1
L'épisode précédent : le chapitre 30
Mais, ce n'est pas fini
Y a-t-il une suite ? Bientôt, bien sûr, c'est le chapitre 32
Un commentaire, deux commentaires, trois... n'en jetez plus !
Si, si, au contraire, ne vous restreignez pas. Abondance de commentaire ne nuit point.
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