mercredi 22 janvier 2020

Deux grandes filles à éduquer - chapitre 31

La fessée fut à la hauteur des craintes de Marguerite. Contrairement à ce qu’elle avait cru, Hélène avait mesuré la force de ses coups de règle la dernière fois qu’elle l’avait utilisée. Là, ce n’était plus le cas. Marguerite put le mesurer dès les premières applications de la règle sur ses fesses. Hélène, toute à son souci d’équité, répéta le plus exactement possible la fessée qu’elle avait donnée à Maeva qui sanglotait silencieusement dans le coin.

Les premiers coups, le plus fortement possible et bien détachés les uns des autres, puis une avalanche continue, avec un rythme endiablé qui provoqua les mêmes contorsions de Marguerite sous le bras d’Hélène que celles qui avaient animé Maeva quelques minutes plus tôt.
Marguerite, entre deux sanglots, regrettait maintenant d’avoir pensé qu’elle pouvait s’affranchir des règles sans qu’Hélène le sache. Elle se promettait maintenant d’obéir strictement, surtout en ce qui concernait le comportement au coin. Cela n’empêchait pas la fessée de se poursuivre.
Hélène dégagea un deuxième coin en bougeant un fauteuil.
« Il vaudrait mieux que je dispose en permanence de deux coins disponibles. Je pense que je vais en avoir désormais régulièrement besoin. »
Marguerite, sur un simple geste alla s’y positionner.
« Je pense qu’aucune de vous deux n’a plus envie de papoter. J’espère que ça va durer. »
Le silence était de rigueur pour les deux jeunes femmes. Aucune question directe ne leur avait été posée. Hélène n’attendait donc pas de réponse.
« Je laisse la règle à portée de main au cas où l’une de vous deux en aurait encore besoin. »
Puis Hélène retourna à ses occupations, laissant les deux punies à leur pénitence. Elle fut observée aussi scrupuleusement qu’il était possible. Chacune veillait à rester parfaitement silencieuse et quand peinant à conserver l’immobilité, elles se décalaient un tant soit peu de la posture requise, on voyait leurs muscles se contracter pour revenir aussitôt à la position d’origine.
Discrètement, Hélène vint jeter un œil sur ses deux demoiselles. Elle veilla à ne pas se faire entendre. C’était important que ces deux grandes gamines s’obligent à respecter les règles du coin sans qu’on ait besoin de les surveiller. Elles ne devaient pas savoir qu’Hélène était venue voir comment elles se comportaient.
Elle sourit en les voyant chacune le nez enfoncé dans son coin et les fesses nues encore d’un rouge soutenu, exposées à qui passait par là.
« Heureusement pour elle qu’il n’y a que moi. J’aurais peut-être dû les mettre sur le palier. Trop tard, restons-en là. »
Elle songea que ce serait bientôt le moment où, honteuses et repentantes, ces deux chipies viendraient lui demander pardon. Elle pourrait alors les prendre dans ses bras. C’était, sans doute, de tout le processus d’une fessée, le moment qu’elle préférait. Le reste, elle le faisait par obligation et par devoir.
« Ah, non, c’est vrai ! Maeva n’y aurait pas le droit. Elle est encore punie et il y a une autre fessée à lui donner bientôt. Dans combien de temps ? »
Elle regarda sa montre.
« Une bonne demi-heure. Je vais laisser Marguerite au coin jusque-là. J’ai le temps d’avancer dans mon travail. »
Rassurée par l’efficacité et la pertinence de la punition qu’elle avait administrée, elle retourna travailler dans son bureau avec le sentiment du devoir accompli.

Maeva fit face à Hélène.
« Je crois qu’il est l’heure de ta fessée. »
Maeva regarda craintivement la règle posée sur la table basse. Hélène n’aurait qu’à étendre le bras pour s’en emparer.
« Allons, approche !
– Ce sera avec la règle ? »
Une seule fessée avait suffi à Maeva pour craindre l’utilisation de cet instrument. Il ne provoquait pas une cuisson très prolongée, mais sur le moment, elle était d’une grande intensité.
« Bien sûr ! Si c’était Teva qui te l’avait donnée, ce serait avec le martinet, n’est-ce pas ? »
Maeva hocha la tête. C’était incontestable.
« Chez moi, c’est avec la règle. Cela te fera une fessée dont tu te souviendras. »
Maeva en était persuadée elle aussi. Elle se souviendrait de chacune des fessées de cette funeste journée afin d’être certaine de ne plus se retrouver dans la situation de devoir recevoir une nouvelle fois une telle punition. Maeva soupira. Il fallait aller au bout de la punition, même si elle doutait que ses fesses le supportassent.
Hélène prit les choses en main dès qu’elle fut assez proche. Tenant Maeva par le bras, elle la fit passer sur son côté droit, puis elle l’obligea à incliner le buste au-dessus des cuisses d’Hélène qui attendaient la jeune femme. Quand son buste y reposa, Hélène passa sa main entre les jambes de Maeva pour la positionner correctement, la tête sur le coussin du canapé et les jambes pendant de l’autre côté. Seul le bout de ses pieds touchait le sol. Elle sentit sa jupe glisser sur le haut de ses cuisses, puis sur ses fesses nues pour finir retroussée sur ses reins. Le petit mouvement d’Hélène lui indiqua quand elle prit la règle. Elle se raidit. Tout était prêt pour la fessée.
Le claquement de la règle sur ses fesses et l’onde de douleur qui suivit lui confirma le début de la correction. Elle laissa un premier cri sortir de sa gorge. Il y en aurait d’autres. La faible persistance de la cuisson aigue suite à la dernière fessée, était trompeuse. Les contusions provoquées par les précédentes corrections n’avaient pas disparues. Quelques coups de règle et elles étaient revenues avec la même virulence.
Maeva avait l’impression qu’Hélène poursuivait la précédente punition là où elle l’avait arrêtée il y avait une petite heure. En quelques secondes, toute la précédente douleur avait été réveillée par la règle qui arrivait à en rajouter sous l’impulsion résolue d’Hélène.
Elle fut contente d’être renvoyée au coin, mais il lui fallut quelques minutes pour que le plus acéré de la douleur lui laisse un peu de temps pour penser à autre chose qu’aux élancements émanant depuis ses fesses.

« Viens-ici, Marguerite ! »
La jeune femme se retourna et elle chercha dans les yeux d’Hélène qu’elles étaient ses intentions. Devait-elle s’attendre à recevoir, elle aussi, une fessée ? Hélène était-elle encore en colère contre elle ? Elle s’avança malgré tout.
« Est-ce que cette fessée et ce moment au coin t’ont été salutaires ? As-tu encore envie d’enfreindre les règles du coin, que ce soit toi qui y soit ou quelqu’un d’autre ?
– Non Hélène, je te demande pardon. Je ne le ferai plus.
– Cela fait deux fois. S’il y en a une troisième, je m’arrangerai pour que la fessée que je te donnerai, soit mémorable. Est-ce bien compris ?
– Oui Hélène. »
Elle avait un tel air contrit qu’Hélène avait envie de la consoler. Elle la prit par la main et elle l’amena sur ces genoux.
« Allez, c’est fini. »
Elle la serra dans ses bras et Marguerite se mit à pleurer. C’était des larmes de soulagement. Hélène ne s’y trompa pas. Elle posa le visage de la jeune femme sur son épaule, laissa ses larmes se tarir.
« Chut, petite fille, chut. »
Elle la berçait dans ses bras et elle passait doucement sa main sur les fesses de la jeune femme. Elle la laissa dans cette position pendant quelques minutes, puis, les larmes de Marguerite s’étant taries, elle la redressa.
« Bon, plutôt que de te laisser là avec la tentation de parler à Maeva, ce qui te vaudrait une nouvelle fessée, tu vas venir dans mon bureau. J’ai du travail à te donner. »
Maeva les entendit sortir toutes les deux de la pièce.

Dès leur arrivée dans le bureau, Hélène se révéla une donneuse d’ordre exigeante.
« Range dans la bibliothèque tous ces livres qui sont sur cette table. Il faut les classer par ordre alphabétique à l’intérieur de chaque catégorie. »
Hélène était journaliste. Elle s’occupait du secteur culturel de son journal et sa spécialité couvrait tous les aspects du patrimoine. Elle possédait une bibliothèque abondante sur tous les aspects de ce domaine : architecture, métiers traditionnels, artisanat, culture religieuse, patrimoine industriel, mobilier… Marguerite avait du mal à en faire le tour. Elle s’acquitta cependant de sa tâche aussi bien qu’elle le put. Hélène n’en fut que modérément satisfaite.
« Regarde ! Tu as classé celui-là en artisanat alors qu’il n’est question que de mobilier. Tu dois le mettre ici ! »
Une petite claque sur les fesses, heureusement recouvertes par la jupe, souligna cette remarque.
« Tu dois faire plus attention ! »
Marguerite trouvait cela difficile, mais elle ne voulait pas renoncer. Elle était trop fière qu’Hélène lui ai proposé un travail qui l’amenait à rester auprès d’elle et qui aidait Hélène dans son activité professionnelle.
« Rectifie tes erreurs et classe-moi également tous ces documents dans ce classeur, par ordre alphabétique. Et fais un peu attention ! »
Hélène lui désignait une haute pile de papiers sur le coin du bureau. Marguerite s’y attaqua. Le silence s’installa dans la pièce. Hélène était concentrée sur son travail et ne faisait pas attention à ce que faisait Marguerite. Dépitée par cette indifférence, Marguerite ouvrit les tiroirs de plus en plus bruyamment et elle les refermait en faisant tout autant de bruit.
« Je préférerais, Marguerite, que tu fasses moins de bruit. Cela me gêne dans mon travail. »
Marguerite cessa de se manifester, mais elle était toujours aussi frustrée de l’indifférence d’Hélène qui ne s’occupait toujours pas d’elle, alors qu’elle avait cru qu’en travaillant ensemble, elle pourrait se rapprocher de sa voisine. Si elle travaillait en silence, sa contrariété l’amenait à effectuer des mouvements brusques, signes résiduels de sa colère rentrée.
« Fais plus attention, Marguerite, tu vas casser quelque chose ! »
Le cadre, dans lequel il y avait une photo d’un groupe de personnes qu’elle ne connaissait pas, en fit les frais. En se détournant pour prendre une nouvelle série de documents, elle le heurta du coude et il finit son vol plané sur le sol, dispersant des morceaux de verre dans toute la pièce. Il y eut une seconde de silence pendant laquelle Hélène et Marguerite se regardèrent. Puis, Hélène fronça les sourcils et elle se leva, fondant sur Marguerite.
« Je vois que tu ne comprends rien d’autre que cela ! »
Elle ploya Marguerite sous son coude, releva sa jupe dans son dos et baissa sa culotte. La main s’abattit sur les fesses suffisamment longtemps pour les rougir et pour que Marguerite exprime sa douleur par ses cris. Ce n’était pas une grosse fessée comme elle en avait eu une en début d’après-midi, mais une correction pour lui apprendre à tenir compte des avertissements qu’on lui donnait.
« Est-ce que ça suffit comme cela, ou faut-il que je sois un peu plus persuasive ?
– Oui, oui, ça suffit ! Pardon, pardon, je vais faire attention.
– Va te mettre un peu au coin pendant que je vérifie le travail que tu as fait. »
C’est dans l’angle du bureau qu’Hélène lui désignait que Marguerite alla caler son nez. Elle ne le savait pas encore, mais c’était un lieu qui lui deviendrait bientôt très familier. Hélène vérifiait le classement que Marguerite venait d’effectuer. Par deux fois elle soupira, puis elle s’exclama :
« Ce n’est pas vrai ! Viens-ici Marguerite ! »
Malgré sa culotte encore baissée, Marguerite se hâta.
« Qu’est-ce que c’est que ce classement ? Les K se mettent avant ou après les L ? »
Sa main claqua le haut de la cuisse de la jeune femme qui se tenait à côté d’elle.
« Et il y en a d’autres ! Que des fautes d’étourderie. Tu n’es pas à ton travail ! »
Marguerite reconnaissait les griefs qu’on lui faisait également à son travail. Elle avait réellement du mal à se concentrer sur une activité quand elle devait le faire seule.
« Et là… »
Hélène montrait un autre dossier.
« Crois-tu que classer ce document, signifie le froisser comme tu l’as fait ? »
Une nouvelle claque sur la cuisse.
« Aïe !
– Oui, aïe, mais c’est un peu trop tard pour s’en rendre compte. Je préfère que tu arrêtes. Si c’est pour me faire un travail négligé, je préfère le faire moi-même.
– Oh non, s'il te plait Hélène, je voudrais continuer à travailler pour toi.
– Tu voudrais, mais tu ne fais pas les efforts nécessaires.
– Je vais faire attention, je te le promets !
– Si tu fais ce travail, c’est sérieusement, comme un vrai travail. Ce n’est pas quelque chose qu’on peut faire à moitié.
– Je te promets.
– Si c’est un travail sérieux, je serai exigeante. Si le travail n’est pas bien fait, tu en seras punie. Tu sais comment. »
Hélène laissa un court silence s’installer, comme pour donner le temps de la réflexion à Marguerite.
« Veux-tu continuer ?
– Oui Hélène.
– Bien. Alors tu as mérité d’être punie ! »
Hélène replaça Marguerite sous son bras. Elle n’eut qu’à relever la jupe qui était retombée dans le mouvement. La culotte qui n’avait pas bougé depuis la dernière fessée, était placée comme il le fallait. Cette fois-ci il fallait une vraie fessée. Hélène se mit à la tâche. Il fallut y mettre un peu plus d’application que la dernière fois. Les fesses de Marguerite devaient finir écarlates et ses sanglots devaient indiquer son repentir. Cela prit quelques minutes, mais Hélène arriva à ce qu’elle désirait sans trop de difficulté.
« Donner la fessée devient une habitude, se dit-elle. J’arrive maintenant à la doser exactement comme je le souhaite. »
Elle administra une dernière série également répartie sur les deux côtés du fessier et elle s’en tint là.
« Je crois que ça suffira pour punir cette inapplication. Va au coin ! »
Marguerite, retenant difficilement ses sanglots, revint à son point de départ. La fessée avait été sévère. Pas des plus cuisantes, mais suffisamment pour qu’elle fasse bien plus attention la prochaine fois. Elle était consciente que travailler pour Hélène aurait des inconvénients, mais elle y tenait malgré tout.
Hélène regarda les fesses de Marguerite rosir peu à peu. Ce n’était qu’une fessée à main nue, cela ne laisserait pas de trace visible bien longtemps. Elle était agacée d’avoir dû fesser Marguerite une nouvelle fois.
« Quand cette gamine se comportera-t-elle donc comme une personne de son âge, pensa-t-elle ? »
Elle reprit la lecture du document qu’elle avait interrompue pour corriger Marguerite. Mais son exaspération l’empêchait de se concentrer sur son travail. Elle leva les yeux vers Marguerite qui se tenait au coin, parfaitement comme elle l’exigeait. Elle sourit et se détendit.
« Il y aura d’autre fessée, se dit-elle. A quoi croyais-je m’attendre en acceptant de prendre, de temps en temps, la responsabilité de cette grande gamine ? A la voir là, personne ne penserait qu’elle a plus de trente ans ! »
Marguerite avait encore du mal à retenir tous ses sanglots qui lui soulevaient encore la poitrine, mais sans faire de bruit.
« N’empêche, je suis bien contente d’avoir sa compagnie, même si elle se résume, pour l’instant, à une paire de fesses bien rouges. »

« Une demi-heure au coin, ça doit suffire pour prendre de bonnes résolutions, se dit Hélène. »
Elle regarda Marguerite qui avait parfaitement tenu sa position en pénitence.
« Approche, Marguerite, je t’attends ! »
Marguerite regarda Hélène, puis elle baissa les yeux, sans vraiment bouger.
« Approche, je t’ai dit. Jusqu’ici ! »
Marguerite approcha, mais elle ne savait pas comment se comporter. Hélène était-elle encore fâchée ? Voudrait-elle encore lui confier du travail auprès d’elle ? Hélène lui prit la main et elle l’obligea à s’allonger sur ses genoux où elle avait ménagé une petite place entre son corps et le bureau sur lequel elle travaillait. Elle releva la jupe, découvrant les fesses nues.
« Bon, plus de marque ! »
Elle toucha la peau.
« Bon, elles ne sont plus chaudes. »
Marguerite esquissa un mouvement pour se relever. Une petite claque sur les fesses l’arrêta.
« Reste là et je ne veux plus t'entendre ! »
Hélène avait écarté les jambes, ce qui donnait une place confortable pour poser son buste sur les deux cuisses. Elle reprit le document qu’elle n’avait pas fini de lire, elle posa sa main sur les fesses de Marguerite et elle les massait tout doucement. Quand elle en avait besoin, elle abandonnait la caresse pour prendre des notes. Puis, elle recommençait son massage sur les fesses.
Au début, Marguerite avait été un peu tendue. La position dans laquelle l’avait placée Hélène évoquait une fessée imminente. Elle fut rassurée quand ce fut une caresse qu’elle sentit. Elle se détendit. Elle se sentait la petite fille sur les genoux de sa Maman. Elle mit son pouce dans sa bouche et elle ferma les yeux. Hélène sourit quand Marguerite se mit à faire un petit ronflement venu du fond de la gorge.
« Un gros chat sur mes genoux, pensa Hélène. »
Elle se reconcentra sur son travail.

Quand Teva revint, elle demanda des nouvelles de ses deux filles.
« Alors, on-t-elles été sages ?
– Viens voir par toi-même. »
Hélène la conduisit dans le séjour. Maeva se tenait toujours au coin. Elle n’avait pas bougé depuis la fessée qu’elle avait reçue en milieu d’après-midi.
« Bien, elle est toujours au coin, comme prévu. A-t-elle eu sa fessée de quatre heures ?
– Oui, bien sûr, mais j’ai dû lui en donner une autre. Figure-toi que ces deux chipies avaient décidé… »
Hélène raconta comment les deux jeunes femmes avaient fait fi des règles à observer au coin et comment elles en avaient été punies.
« Et mon autre petite peste, où est-elle ?
– Suis-moi, je vais te montrer. »
Marguerite se tenait debout, au coin dans le bureau.
« Elle non plus n’a pas été sage ?
– Au début de l’après-midi quand elle a décidé de papoter avec sa camarade qui était au piquet, oui. Maintenant il s’agit… comment dire… d’un apprentissage compliqué. Je lui ai proposé de travailler pour moi. Elle y tient absolument, mais elle n’est pas suffisamment consciencieuse. Je l’en ai donc punie. Elle va devoir faire les efforts nécessaires ou subir de nombreuses corrections, si elle veut continuer. A elle de choisir.
– C’est bien. Je vois que tu as les choses en mains, mais je n’en doutais pas. Excuse-moi, je récupère les filles et je file. J’ai encore une fessée à donner à Maeva et le bain aux trois filles avant le repas. J’ai tout juste le temps.
– Pour ce qui est de la fessée, c’est à toi de t’y mettre. Je pense que Maeva a besoin que ce soit toi qui sévisse. Mais si tu le veux, je peux donner le bain aux deux autres pendant que tu fesses Maeva.
– Si tu es disponible, ce n’est pas de refus. »
C’est donc Hélène qui donna le bain aux trois filles ce soir-là.


Voyons, voyons, Maeva, Teva... ça me dit quelque chose

Eh bien oui ! Nous les avons déjà croisées. Rappelez-vous c'était dans le chapitre 93 d'Axel au supermarché que nous avons fait la connaissance de la jeune fille et, dans le chapitre  98, de sa sœur si sévère.

Il faut suivre si l'on veut comprendre, donc avoir lu ce qui a précédé

Voici le début du récit : le chapitre 1
L'épisode précédent : le chapitre 30
Et tous les autres sur la page "mes récits"

Mais, ce n'est pas fini

Y a-t-il une suite ? Bientôt, bien sûr, c'est le chapitre 32

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