Posséder de nouveau un téléphone ne se fit pas tout seul. Teva imposa des règles qu’il n’était pas de question de discuter. Marguerite ne pouvait empocher son téléphone que quand elle était à l’extérieur. Autrement, il devait rester à la place qui avait été la sienne durant ces deux semaines de punition : posé sur le meuble dans la cuisine. Elle pouvait en consulter les messages, mais seulement après en avoir demandé l’autorisation. Et enfin, Teva exigea d’en connaitre le mot de passe, afin de pouvoir contrôler quelles étaient les personnes avec qui Marguerite échangeait, et la nature des conversations.
Marguerite
envisagea de protester contre cette atteinte à sa vie privée, mais elle n’en
fit rien, consciente de l’inutilité d’une telle démarche et des conséquences
qu’elle pourrait avoir. Puis, elle se dit qu’il n’était pas anormal, compte
tenu de l’emprise de Teva sur le reste de son intimité, qu’elle ait également
accès à son téléphone. Elle se résigna, puis rapidement elle oublia ce détail.
Le lundi matin,
avant de partir pour son travail, Teva aborda un dernier point.
« Quand tu
recevras une fessée à ton travail, je préfère que tu viennes le soir-même à la
maison pour y recevoir ta punition. Cela aura bien plus d’effet que d’attendre
le week-end suivant. Est-ce bien entendu ?
– Oui Teva ! »
Cela aurait pu
paraître comme une contrainte supplémentaire, mais Marguerite le prit comme une
nouvelle occasion de passer un moment dans sa nouvelle famille. Certes, ce
serait pour y recevoir une fessée, mais il fallait la recevoir de toute façon.
Un peu plus tôt, un peu plus tard… Par contre, elle disposerait d’un prétexte
pour voir Maeva, Teva, Fara… enfin tout le monde, y compris Hélène avec un peu
de chance.
Fut-ce un acte
manqué ? Cela aurait mérité d’être regardé de plus près. Mardi, en fin de
matinée, Marguerite envoya, comme d’habitude, le tableau de bord hebdomadaire
qu’elle devait remplir pour la réunion qui se tenait en début d’après-midi.
Vers seize heures, sa cheffe pénétra dans le bureau, l’air furieux.
« Qu’est-ce
que c’est que ce travail ? »
Elle jeta une
liasse de documents sur la table de travail de Marguerite.
« Pourquoi
les deux derniers tableaux sont vides ?
– Je ne sais pas,
Madame ! »
Elle feuilleta le
rapport avec précipitation. Il n’y avait aucun doute, sa cheffe avait raison.
Pas un chiffre dans les tableaux incriminés. Fébrilement, elle consulta son
ordinateur. La version informatique était dans le même état que ce que sa
cheffe avait imprimé. Deux tableaux vides !
« Petite
paresseuse, auriez-vous fait exprès pour me mettre en difficulté lors de ma
réunion avec la directrice ?
– Non Madame, je
le jure !
– Ne jurez
pas !
– Oui
Madame !
– J’ai expliqué
votre manque de conscience professionnelle à la directrice et je lui ai promis
que vous seriez sévèrement punie. Elle a approuvé pleinement quand je lui ai
annoncé que vous auriez une fessée ! »
Tenant Marguerite
par l’oreille, elle l’obligea à se lever et à la suivre pour contourner le
bureau. Elle posa ses fesses sur le coin du meuble et fit passer Marguerite
sous son bras. Relever la jupe, baisser la culotte, tout cela alla très vite.
Ses fesses étaient tournées vers ses collègues afin, comme le disait sa cheffe
quand elle fessait l’un deux, que les autres profitent également de la leçon.
Son expérience en
matière de fessée commençait à devenir conséquente. Avec vingt-trois employés
sous sa responsabilité, il était rare qu’un jour se passât sans qu’elle ait à
sévir au moins une fois. Cela ne faisait que deux semaines que la fessée avait
été instituée comme mode principal de sanction pour tous les écarts commis dans
le cadre professionnel, et elle savait comment, immanquablement, conduire ceux
qu’elle fessait au point de douleur qui convenait à la bêtise qui motivait la
correction, et au niveau de repentir qu’elle souhaitait obtenir.
Les fesses de Marguerite
étaient rougeoyantes quand elle vint à bout de ce que sa main pouvait obtenir.
Cela faisait longtemps que la petite fainéante qu’elle avait sous le bras,
pleurait à chaudes larmes et que ses pieds battaient au rythme que la main sur
les fesses lui donnait. C’était cependant insuffisant.
« Qui a la
règle à fesser ?
– Moi Madame,
répondit un collègue. »
Chaque bureau
avait été équipé d’une règle plate en bois qui était sur la table de travail du
dernier qui en avait bénéficié. Le vendredi précédent, elle avait été utilisée
pour corriger le collègue qui venait de se signaler.
« Apportez-moi-la !
– Oui Madame,
dit-il en se dépêchant de satisfaire la demande de sa cheffe. »
La punition qu’il
avait reçue en fin de la semaine précédente était encore bien vive dans son
esprit. Elle lui avait appris les avantages à obéir avec diligence. C’est une
leçon qu’il n’était pas prêt d’oublier.
« Voulez-vous
parier avec moi, Marguerite, que c’est la dernière fois que vous faites ce
genre d’oubli ou plutôt de négligence ? »
Sans attendre de
réponse, elle appliqua la règle sur les fesses de Marguerite. Quatre, cinq, dix
fois. Marguerite hurlait, pleurait, suppliait mais de façon inaudible. Cela
n’impressionnait pas sa cheffe qui avait maintenant l’habitude des cris et des
pleurs des personnes qu’elle fessait. En obtenir était le but de la manœuvre.
Marguerite resta
au coin une bonne demi-heure qu’elle dut rattraper le soir-même par une durée
équivalente en retenue. C’est pourquoi il était presque dix-huit heures trente
quand elle sonna à la porte de l’appartement de Teva. Elle avait fait le trajet
avec un sentiment d’euphorie mêlé d’inquiétude : la joie de retrouver sa
famille et de passer la soirée avec eux, et la crainte de la correction qu’elle
y recevrait sans faute.
Marguerite avait
à la main l’enveloppe que lui avait remise sa cheffe avant qu’elle ne parte,
quand Teva vint lui ouvrir. Elle fut accueillie par un concert d’exclamations.
« Mais c’est
Marguerite, que fais-tu là ? … On est mardi, pas vendredi … Ah, mais tu as
une lettre ! … Hélène, viens voir, c’est Marguerite ! … »
Hélène, venant du
séjour, regardait Marguerite. Son visage montrait qu’elle était sur le point de
se fâcher.
« Tu as été
punie au travail, c’est cela ? »
Marguerite avala
difficilement sa salive. Il fallait faire face à ce qui l’attendait. Elle ne
ressentait plus aucune satisfaction à se trouver là où elle était. La punition
était imminente.
« Oui
Hélène, mais je n’ai pas fait exprès.
– Donne-moi la
lettre ! »
Hélène lu le
courrier. Son visage s’assombrissait au fur et à mesure de la lecture. Quand
elle l’eut achevée, elle leva des yeux noirs vers Marguerite. Une ferme
résolution s’y lisait.
« Si tu n’as
pas fait exprès, comme tu le dis, c’est que c’est une nouvelle étourderie, un
manque de concentration sur ton travail. Je me trompe ?
– Non Hélène,
c’est ça.
– Donc la même frivolité
que quand tu as travaillé pour moi ?
– Oui.
– Je crois qu’il
va falloir insister un peu plus sur la sévérité des fessées à ce sujet pour que
tu prennes ton travail un peu plus au sérieux.
– Je suis
d’accord avec toi, intervint Teva. Mais cette demoiselle va devoir attendre un
peu que j’ai fini le bain de mes deux autres filles.
– Je peux m’en
occuper si tu veux. Marguerite et moi pourront ainsi continuer la conversation
que nous avons commencée ce week-end.
– Si tu le veux…
Je sais qu’en matière de punition, je peux te faire confiance. »
Marguerite
n’avait pas eu le temps de pénétrer dans l’appartement de Teva dont la porte
était restée ouverte. Tout c’était passé entre le pallier et l’entrée. Hélène
se tourna vers Marguerite. Une claque sur le haut des cuisses.
« Va te
mettre au coin là-bas ! »
Là-bas, c’était
sur le palier, près de la porte de l’appartement d’Hélène. Marguerite y avait
déjà passé un temps de pénitence particulièrement pénible, à se demander
combien de personnes, en empruntant l’escalier, l’apercevraient dans cette
position peu valorisante.
« Pourvu
qu’Hélène ne me demande pas de baisser ma culotte, pensa-t-elle en se plaçant
en pénitence. »
Heureusement, il
n’en fut rien.
« Si tu as
quelque compassion pour tes fesses, je ne te conseille pas de bouger de
là ! »
Marguerite
entendit qu’on fermait la porte de l’appartement. Puis le silence. Elle était
seule.
Le calme qui
régnait dans l’escalier dura moins longtemps qu’elle l’avait espéré. Une porte
qui de ferme à l’un des étages du dessus. Des pas qui descendaient l’escalier.
Des bruits de voix. Au moins deux personnes. Un homme et une femme à n’en pas
douter. Ils se rapprochaient, sans doute plus qu’un étage.
« Mais,
qu’est-ce que c’est, dit la voix masculine ? »
Marguerite
enfonça son visage plus profondément dans le coin.
« Ah, fit la
voix féminine, c’est la demoiselle qui habite là de temps en temps.
Apparemment, elle est punie.
– Punie ?
Mais quel âge a-t-elle ?
– A peu près le
même que toi. J’ai entendu dire qu’elle recevait la fessée. Culotte baissée. Si
ses fesses ne sont pas encore rouges, ça ne saurait tarder.
– La
fessée ? Mais… mais… mais… ce… elle est trop grande !
– Trop
grande ? Je ne crois pas que ce soit l’âge qui compte, mais plutôt la
façon dont on se comporte. Tiens, regarde, toi par exemple.
– Quoi moi ?
– Je me demande
souvent si une bonne fessée ne te ferait pas le plus grand bien.
– Quoi ? Une
fessée… mais… je… je…
– Quand tu fais
des caprices, comme ce matin.
– Un
caprice ? Mais non, je ne voulais pas salir mon pantalon, c’est
tout !
– En descendant
la poubelle ? Un caprice, c’était bien cela. La prochaine fois,
j’essayerai la fessée. Il paraît que c’est un remède souverain.
– Mais tu ne peux
pas. Tu n’as pas le droit.
– Crois-tu ?
Veux-tu que j’essaye maintenant ? Juste pour voir.
– Mais tu n’y
songes pas.
– Si justement
j’y songe. Alors ? J’essaye ?
– Non, attend,
non. Ce n’est pas la peine. Je… je…
– Bon,
d’accord ! La prochaine fois.
– Mais…
– Je crois que
cette discussion est close. A moins que tu ne préfères que je revienne sur ma
décision et que je voie si je peux te déculotter et te fesser sans
attendre ?
– Non, non, mais…
– Mais
quoi ?
– Non
rien. »
Marguerite
entendit distinctement le bruit d’une main claquant le fond du pantalon.
« En
route ! Avec tout ça nous allons être en retard ! »
La descente de
l’escalier reprit.
« Sais-tu,
je n’y vois que des avantages. Tes problèmes de rangement par exemple. Je pense
que ça va grandement les améliorer… »
Marguerite
n’entendit plus que la voix féminine qui faisait la liste des défauts qu’une
bonne fessée au bon moment réussirait certainement à faire disparaître. Puis le
silence revint.
Marguerite
tressaillit quand la porte de l’appartement de Teva s’ouvrit. Le bruit l’avait
surprise, mais il annonçait certainement la fin de son temps au coin sur le palier.
« Salut,
Teva, je m’occupe de Marguerite ! »
Hélène ouvrit la
porte de son appartement.
« Entre !
Tu vas te mettre au coin. Tu sais où. »
Marguerite y
resta quelques minutes pendant lesquelles elle entendait Hélène qui devait être
dans son bureau.
« C’est
l’heure, arrive ici ! »
La peur au
ventre, Marguerite se rendit à la convocation d’Hélène. Hélène commença par
baisser la culotte.
« Remonte ta
jupe ! »
Marguerite savait
bien qu’elle n’avait pas d’autre choix que d’obéir. Cela n’était d’ailleurs pas
une question de choix, il ne lui venait même pas à l’esprit de refuser cette fessée. Dans l’atmosphère particulière où elle avait remis les
décisions entre les mains des grandes personnes qui l’entouraient, la nécessité
de la punition était une évidence. Marguerite savait que si Hélène prenait la
peine de la corriger, c’est parce que son avenir lui importait. C’était donc
son devoir de lui administrer de sérieuses fessées, afin que le comportement de
Marguerite soit plus conforme à ce qu’on pouvait attendre d’une adulte de plus
de trente ans.
Marguerite en
était satisfaite. Elle appréciait qu’Hélène s’occupe d’elle, même si les
fessées qu’elle donnait étaient terribles. Elle voulait être à la hauteur de ce
qu’Hélène attendait d’elle et elle concevait que la fessée sanctionne chaque situation
où ce n’était pas le cas. N’empêche, cela faisait bigrement mal aux fesses.
« Comme tu
as reçu deux fessées au travail, ce sont deux fessées que tu vas avoir ce soir.
Une dès maintenant et une autre après le dîner. La seconde, ce sera avec la
règle. Commençons par la première ! »
Hélène prit le
bras de Marguerite et elle la fit avancer entre ses jambes écartées. Elle la
courba sur sa cuisse gauche jusqu’à ce que Marguerite laissât son poids tomber
là où Hélène l’avait amenée. Un bras enserrant la taille de Marguerite et en la
plaquant contre sa hanche, elle immobilisa la jeune femme. Il fallut encore
remonter un peu la jupe qui avait glissé et couvrait une petite partie du haut
des fesses. Hélène referma ses cuisses sur les genoux de Marguerite, limitant
encore ses possibilités de mouvement.
« Je ne sais
pas si cette fessée suffira, mais je suis persuadée que j’arriverai à te faire
comprendre que quand on entreprend un travail, il faut le mener à bout avec une
application sans faille. Tant que ce ne sera pas le cas, je saurai te fesser
pour que tu regrettes chacune de tes négligences. »
La main d’Hélène
s’abattit sur les fesses nues.
« Ouh… aïe…
Non ! Aïe ! Pardon ! Cela fait mal !
– A la bonne
heure, nous sommes donc sur la bonne voie ! »
Posément,
régulièrement, Hélène fessait Marguerite. Un côté, puis l’autre. Elle veillait
à ce que chaque claque arrachât un cri de douleur et de désespoir à la jeune femme
qu’elle tenait sur ses genoux. Elle se concentra, dans un premier temps, sur le
sommet des fesses, de chaque côté de la raie. Quand elle eut obtenu une belle
couleur rouge, elle élargit le champ de son investigation en colorant les
parties de la peau des fesses qui étaient encore pâles.
Les larmes
vinrent vite. C’était inévitable, d’autant plus que Marguerite ne cherchait pas
à les retenir. Depuis l’adolescence, elle n’aimait pas être vue, par autrui, ni
le corps dénudé, ni versant des larmes. Elle avait eu pour habitude de se
livrer à ce genre d’activité en privé. Depuis qu’elle fréquentait Teva et sa
famille ainsi qu’Hélène, elle avait dû revoir à la baisse ses prétentions à une
certaine intimité. Pleurer devant Hélène la mettait mal à l’aise, mais elle
n’avait pas le choix.
« Retourne
au coin ! Tu vas y attendre l’heure du dîner. »
Marguerite mit un
moment à se rendre compte de la signification de ce qu’Hélène venait de lui
dire. Attendre l’heure du dîner, une deuxième fessée après le repas… Est-ce que
cela voulait dire qu’elle prenait le repas avec Hélène ? Soudain la
cuisson de ses fesses lui sembla moins prégnante. Ce serait la première fois
qu’elle mangerait en tête à tête avec elle. Cela valait bien une fessée, même
deux. Marguerite fit une grimace à la pensée de la règle qui l’attendait.
C’était un peu cher payé.
Hélène sonna à la
porte de l’appartement de Teva.
« Alors,
comment ça se passe avec Marguerite ?
– Parfaitement
bien. Je viens de la remettre au coin. Elle a pris une fessée avant le repas,
puis nous avons dîné ensemble. Je n’ai pas eu le temps de lui donner son bain,
donc je vais le faire maintenant. A ce propos, Marguerite aurait-elle laissé
une chemise de nuit dans ses affaires chez toi ?
– Je pense, oui.
Tu la veux ?
– Oui, ce serait
plus simple. Après son bain, je vais la mettre en chemise de nuit. Elle aura
alors la fessée. J’ai décidé d’utiliser la règle, comme pour la correction qu’elle
a eue aujourd’hui au travail.
– J’ai tendance à
faire pareil. Quand un instrument punitif est utilisé à son travail, j’en
utilise un également à la maison.
– Oui, ça me
semble normal. Après je la mettrai au coin. Le temps qu’elle me demande pardon
et d’un petit câlin, il ne sera plus l’heure de rentrer chez elle. Je préfère
donc qu’elle dorme ici.
– Si tu veux, il
y a de la place dans le lit avec Maeva. Elles le partagent depuis plusieurs
week-ends.
– Non, je ne
voudrais pas te déranger. Et puis, j’ai une chambre de disponible, avec un lit
fait. Je pense que Marguerite y dormira très bien. »
Le programme fut
parfaitement respecté. Marguerite savoura bien plus ce qui se passa le
lendemain matin, un long moment dans les bras d’Hélène, que la nuit chez elle.
La cuisson sur ses fesses que le câlin de consolation dans les bras d’Hélène
n’avait pas réussi à atténuer, l’avait empêchée d’apprécier la chambre dans
laquelle Hélène l’avait mise au lit.
Voyons, voyons, Maeva, Teva... ça me dit quelque chose
Eh bien oui ! Nous les avons déjà croisées. Rappelez-vous c'était dans le chapitre 93 d'Axel au supermarché que nous avons fait la connaissance de la jeune fille et, dans le chapitre 98, de sa sœur si sévère.Il faut suivre si l'on veut comprendre, donc avoir lu ce qui a précédé
Voici le début du récit : le chapitre 1
L'épisode précédent : le chapitre 31
Mais, ce n'est pas fini
Y a-t-il une suite ? Bien sûr, le chapitre 33
Un commentaire, deux commentaires, trois... n'en jetez plus !
Si, si, au contraire, ne vous restreignez pas. Abondance de commentaire ne nuit point.
Amis de la poésie et des rencontres fessées dans l'escalier... Bonjour!
RépondreSupprimerEncore un épisode où la Marguerite se fait sérieusement effeuiller le derrière! Je vous aime un peu, beaucoup... Elle hésite Marguerite, partagée entre la crainte de la fessée et le plaisir de revoir, Maeva, Teva, Faral. Prête même, aussi, à sacrifier ses fesses pour retrouver Hélène qui pourtant ne lui fait pas de cadeau. Manière comme une autre d'accepter les méthodes d'éducation de la petite famille. Et ça commence par un séjour au coin sur le pallier. A l'ombre, la jeune fille en pleurs!!
Drôle de moment drôle, la descente d'escalier du couple qui passent la par hasard, en visiteurs d'un soir. Suspense pendant la conversation, tel que s'est parti avec madame on se dit que le monsieur va s'en prendre une bonne sur les marches... Et ben non! ...Un ange qui l'a échappé belle, passe en remontant sa culotte... Malin l'auteur... On fait monter la pression et... Ce n'est pas pour cette fois, il va falloir attendre un prochain épisode... Au coin ?
Amicalement
Ramina
Ramina,
SupprimerOn ne peut tout de même pas avoir des fessées à tout coin d'escalier pour des motifs futiles, non ? N'ayez crainte, je crois que le Monsieur qui a échappé à la déculottée publique devrait recevoir son dû dans les plus brefs délais... même si ce n'est pas moi qui le raconte.
Quant à la mise au coin sur le pallier, cela me paraît une suite logique. Les fessées de ces demoiselles et de ceux qui partagent leur sort, gagnent ainsi en "naturel". Puisqu'il est légitime et utile de les corriger ainsi, il n'y a aucune raison que cela soit dissimulé dans le secret de chaque appartement. Élémentaire, mon cher Ramina, non ?
Au plaisir de vous lire,
JLG.