mercredi 29 janvier 2020

Deux grandes filles à éduquer - chapitre 32

Marguerite récupéra son téléphone le lendemain matin. Maeva n’en eut pas le droit. Elle avait encore une semaine à attendre. Les fessées pour sa désobéissance ne se poursuivirent pas le dimanche, à son grand soulagement. Elle ressentait encore les effets de celles de la veille et les marques sur ses fesses étaient bien visibles, ce qui amena Teva à y appliquer un onguent à plusieurs reprises tout au long de la journée du dimanche.
Posséder de nouveau un téléphone ne se fit pas tout seul. Teva imposa des règles qu’il n’était pas de question de discuter. Marguerite ne pouvait empocher son téléphone que quand elle était à l’extérieur. Autrement, il devait rester à la place qui avait été la sienne durant ces deux semaines de punition : posé sur le meuble dans la cuisine. Elle pouvait en consulter les messages, mais seulement après en avoir demandé l’autorisation. Et enfin, Teva exigea d’en connaitre le mot de passe, afin de pouvoir contrôler quelles étaient les personnes avec qui Marguerite échangeait, et la nature des conversations.
Marguerite envisagea de protester contre cette atteinte à sa vie privée, mais elle n’en fit rien, consciente de l’inutilité d’une telle démarche et des conséquences qu’elle pourrait avoir. Puis, elle se dit qu’il n’était pas anormal, compte tenu de l’emprise de Teva sur le reste de son intimité, qu’elle ait également accès à son téléphone. Elle se résigna, puis rapidement elle oublia ce détail.

Le lundi matin, avant de partir pour son travail, Teva aborda un dernier point.
« Quand tu recevras une fessée à ton travail, je préfère que tu viennes le soir-même à la maison pour y recevoir ta punition. Cela aura bien plus d’effet que d’attendre le week-end suivant. Est-ce bien entendu ?
– Oui Teva ! »
Cela aurait pu paraître comme une contrainte supplémentaire, mais Marguerite le prit comme une nouvelle occasion de passer un moment dans sa nouvelle famille. Certes, ce serait pour y recevoir une fessée, mais il fallait la recevoir de toute façon. Un peu plus tôt, un peu plus tard… Par contre, elle disposerait d’un prétexte pour voir Maeva, Teva, Fara… enfin tout le monde, y compris Hélène avec un peu de chance.
Fut-ce un acte manqué ? Cela aurait mérité d’être regardé de plus près. Mardi, en fin de matinée, Marguerite envoya, comme d’habitude, le tableau de bord hebdomadaire qu’elle devait remplir pour la réunion qui se tenait en début d’après-midi. Vers seize heures, sa cheffe pénétra dans le bureau, l’air furieux.
« Qu’est-ce que c’est que ce travail ? »
Elle jeta une liasse de documents sur la table de travail de Marguerite.
« Pourquoi les deux derniers tableaux sont vides ?
– Je ne sais pas, Madame ! »
Elle feuilleta le rapport avec précipitation. Il n’y avait aucun doute, sa cheffe avait raison. Pas un chiffre dans les tableaux incriminés. Fébrilement, elle consulta son ordinateur. La version informatique était dans le même état que ce que sa cheffe avait imprimé. Deux tableaux vides !
« Petite paresseuse, auriez-vous fait exprès pour me mettre en difficulté lors de ma réunion avec la directrice ?
– Non Madame, je le jure !
– Ne jurez pas !
– Oui Madame !
– J’ai expliqué votre manque de conscience professionnelle à la directrice et je lui ai promis que vous seriez sévèrement punie. Elle a approuvé pleinement quand je lui ai annoncé que vous auriez une fessée ! »
Tenant Marguerite par l’oreille, elle l’obligea à se lever et à la suivre pour contourner le bureau. Elle posa ses fesses sur le coin du meuble et fit passer Marguerite sous son bras. Relever la jupe, baisser la culotte, tout cela alla très vite. Ses fesses étaient tournées vers ses collègues afin, comme le disait sa cheffe quand elle fessait l’un deux, que les autres profitent également de la leçon.
Son expérience en matière de fessée commençait à devenir conséquente. Avec vingt-trois employés sous sa responsabilité, il était rare qu’un jour se passât sans qu’elle ait à sévir au moins une fois. Cela ne faisait que deux semaines que la fessée avait été instituée comme mode principal de sanction pour tous les écarts commis dans le cadre professionnel, et elle savait comment, immanquablement, conduire ceux qu’elle fessait au point de douleur qui convenait à la bêtise qui motivait la correction, et au niveau de repentir qu’elle souhaitait obtenir.
Les fesses de Marguerite étaient rougeoyantes quand elle vint à bout de ce que sa main pouvait obtenir. Cela faisait longtemps que la petite fainéante qu’elle avait sous le bras, pleurait à chaudes larmes et que ses pieds battaient au rythme que la main sur les fesses lui donnait. C’était cependant insuffisant.
« Qui a la règle à fesser ?
– Moi Madame, répondit un collègue. »
Chaque bureau avait été équipé d’une règle plate en bois qui était sur la table de travail du dernier qui en avait bénéficié. Le vendredi précédent, elle avait été utilisée pour corriger le collègue qui venait de se signaler.
« Apportez-moi-la !
– Oui Madame, dit-il en se dépêchant de satisfaire la demande de sa cheffe. »
La punition qu’il avait reçue en fin de la semaine précédente était encore bien vive dans son esprit. Elle lui avait appris les avantages à obéir avec diligence. C’est une leçon qu’il n’était pas prêt d’oublier.
« Voulez-vous parier avec moi, Marguerite, que c’est la dernière fois que vous faites ce genre d’oubli ou plutôt de négligence ? »
Sans attendre de réponse, elle appliqua la règle sur les fesses de Marguerite. Quatre, cinq, dix fois. Marguerite hurlait, pleurait, suppliait mais de façon inaudible. Cela n’impressionnait pas sa cheffe qui avait maintenant l’habitude des cris et des pleurs des personnes qu’elle fessait. En obtenir était le but de la manœuvre.

Marguerite resta au coin une bonne demi-heure qu’elle dut rattraper le soir-même par une durée équivalente en retenue. C’est pourquoi il était presque dix-huit heures trente quand elle sonna à la porte de l’appartement de Teva. Elle avait fait le trajet avec un sentiment d’euphorie mêlé d’inquiétude : la joie de retrouver sa famille et de passer la soirée avec eux, et la crainte de la correction qu’elle y recevrait sans faute.
Marguerite avait à la main l’enveloppe que lui avait remise sa cheffe avant qu’elle ne parte, quand Teva vint lui ouvrir. Elle fut accueillie par un concert d’exclamations.
« Mais c’est Marguerite, que fais-tu là ? … On est mardi, pas vendredi … Ah, mais tu as une lettre ! … Hélène, viens voir, c’est Marguerite ! … »
Hélène, venant du séjour, regardait Marguerite. Son visage montrait qu’elle était sur le point de se fâcher.
« Tu as été punie au travail, c’est cela ? »
Marguerite avala difficilement sa salive. Il fallait faire face à ce qui l’attendait. Elle ne ressentait plus aucune satisfaction à se trouver là où elle était. La punition était imminente.
« Oui Hélène, mais je n’ai pas fait exprès.
– Donne-moi la lettre ! »
Hélène lu le courrier. Son visage s’assombrissait au fur et à mesure de la lecture. Quand elle l’eut achevée, elle leva des yeux noirs vers Marguerite. Une ferme résolution s’y lisait.
« Si tu n’as pas fait exprès, comme tu le dis, c’est que c’est une nouvelle étourderie, un manque de concentration sur ton travail. Je me trompe ?
– Non Hélène, c’est ça.
– Donc la même frivolité que quand tu as travaillé pour moi ?
– Oui.
– Je crois qu’il va falloir insister un peu plus sur la sévérité des fessées à ce sujet pour que tu prennes ton travail un peu plus au sérieux.
– Je suis d’accord avec toi, intervint Teva. Mais cette demoiselle va devoir attendre un peu que j’ai fini le bain de mes deux autres filles.
– Je peux m’en occuper si tu veux. Marguerite et moi pourront ainsi continuer la conversation que nous avons commencée ce week-end.
– Si tu le veux… Je sais qu’en matière de punition, je peux te faire confiance. »
Marguerite n’avait pas eu le temps de pénétrer dans l’appartement de Teva dont la porte était restée ouverte. Tout c’était passé entre le pallier et l’entrée. Hélène se tourna vers Marguerite. Une claque sur le haut des cuisses.
« Va te mettre au coin là-bas ! »
Là-bas, c’était sur le palier, près de la porte de l’appartement d’Hélène. Marguerite y avait déjà passé un temps de pénitence particulièrement pénible, à se demander combien de personnes, en empruntant l’escalier, l’apercevraient dans cette position peu valorisante.
« Pourvu qu’Hélène ne me demande pas de baisser ma culotte, pensa-t-elle en se plaçant en pénitence. »
Heureusement, il n’en fut rien.
« Si tu as quelque compassion pour tes fesses, je ne te conseille pas de bouger de là ! »
Marguerite entendit qu’on fermait la porte de l’appartement. Puis le silence. Elle était seule.

Le calme qui régnait dans l’escalier dura moins longtemps qu’elle l’avait espéré. Une porte qui de ferme à l’un des étages du dessus. Des pas qui descendaient l’escalier. Des bruits de voix. Au moins deux personnes. Un homme et une femme à n’en pas douter. Ils se rapprochaient, sans doute plus qu’un étage.
« Mais, qu’est-ce que c’est, dit la voix masculine ? »
Marguerite enfonça son visage plus profondément dans le coin.
« Ah, fit la voix féminine, c’est la demoiselle qui habite là de temps en temps. Apparemment, elle est punie.
– Punie ? Mais quel âge a-t-elle ?
– A peu près le même que toi. J’ai entendu dire qu’elle recevait la fessée. Culotte baissée. Si ses fesses ne sont pas encore rouges, ça ne saurait tarder.
– La fessée ? Mais… mais… mais… ce… elle est trop grande !
– Trop grande ? Je ne crois pas que ce soit l’âge qui compte, mais plutôt la façon dont on se comporte. Tiens, regarde, toi par exemple.
– Quoi moi ?
– Je me demande souvent si une bonne fessée ne te ferait pas le plus grand bien.
– Quoi ? Une fessée… mais… je… je…
– Quand tu fais des caprices, comme ce matin.
– Un caprice ? Mais non, je ne voulais pas salir mon pantalon, c’est tout !
– En descendant la poubelle ? Un caprice, c’était bien cela. La prochaine fois, j’essayerai la fessée. Il paraît que c’est un remède souverain.
– Mais tu ne peux pas. Tu n’as pas le droit.
– Crois-tu ? Veux-tu que j’essaye maintenant ? Juste pour voir.
– Mais tu n’y songes pas.
– Si justement j’y songe. Alors ? J’essaye ?
– Non, attend, non. Ce n’est pas la peine. Je… je…
– Bon, d’accord ! La prochaine fois.
– Mais…
– Je crois que cette discussion est close. A moins que tu ne préfères que je revienne sur ma décision et que je voie si je peux te déculotter et te fesser sans attendre ?
– Non, non, mais…
– Mais quoi ?
– Non rien. »
Marguerite entendit distinctement le bruit d’une main claquant le fond du pantalon.
« En route ! Avec tout ça nous allons être en retard ! »
La descente de l’escalier reprit.
« Sais-tu, je n’y vois que des avantages. Tes problèmes de rangement par exemple. Je pense que ça va grandement les améliorer… »
Marguerite n’entendit plus que la voix féminine qui faisait la liste des défauts qu’une bonne fessée au bon moment réussirait certainement à faire disparaître. Puis le silence revint.

Marguerite tressaillit quand la porte de l’appartement de Teva s’ouvrit. Le bruit l’avait surprise, mais il annonçait certainement la fin de son temps au coin sur le palier.
« Salut, Teva, je m’occupe de Marguerite ! »
Hélène ouvrit la porte de son appartement.
« Entre ! Tu vas te mettre au coin. Tu sais où. »
Marguerite y resta quelques minutes pendant lesquelles elle entendait Hélène qui devait être dans son bureau.
« C’est l’heure, arrive ici ! »
La peur au ventre, Marguerite se rendit à la convocation d’Hélène. Hélène commença par baisser la culotte.
« Remonte ta jupe ! »
Marguerite savait bien qu’elle n’avait pas d’autre choix que d’obéir. Cela n’était d’ailleurs pas une question de choix, il ne lui venait même pas à l’esprit de refuser cette fessée. Dans l’atmosphère particulière où elle avait remis les décisions entre les mains des grandes personnes qui l’entouraient, la nécessité de la punition était une évidence. Marguerite savait que si Hélène prenait la peine de la corriger, c’est parce que son avenir lui importait. C’était donc son devoir de lui administrer de sérieuses fessées, afin que le comportement de Marguerite soit plus conforme à ce qu’on pouvait attendre d’une adulte de plus de trente ans.
Marguerite en était satisfaite. Elle appréciait qu’Hélène s’occupe d’elle, même si les fessées qu’elle donnait étaient terribles. Elle voulait être à la hauteur de ce qu’Hélène attendait d’elle et elle concevait que la fessée sanctionne chaque situation où ce n’était pas le cas. N’empêche, cela faisait bigrement mal aux fesses.
« Comme tu as reçu deux fessées au travail, ce sont deux fessées que tu vas avoir ce soir. Une dès maintenant et une autre après le dîner. La seconde, ce sera avec la règle. Commençons par la première ! »
Hélène prit le bras de Marguerite et elle la fit avancer entre ses jambes écartées. Elle la courba sur sa cuisse gauche jusqu’à ce que Marguerite laissât son poids tomber là où Hélène l’avait amenée. Un bras enserrant la taille de Marguerite et en la plaquant contre sa hanche, elle immobilisa la jeune femme. Il fallut encore remonter un peu la jupe qui avait glissé et couvrait une petite partie du haut des fesses. Hélène referma ses cuisses sur les genoux de Marguerite, limitant encore ses possibilités de mouvement.
« Je ne sais pas si cette fessée suffira, mais je suis persuadée que j’arriverai à te faire comprendre que quand on entreprend un travail, il faut le mener à bout avec une application sans faille. Tant que ce ne sera pas le cas, je saurai te fesser pour que tu regrettes chacune de tes négligences. »
La main d’Hélène s’abattit sur les fesses nues.
« Ouh… aïe… Non ! Aïe ! Pardon ! Cela fait mal !
– A la bonne heure, nous sommes donc sur la bonne voie ! »
Posément, régulièrement, Hélène fessait Marguerite. Un côté, puis l’autre. Elle veillait à ce que chaque claque arrachât un cri de douleur et de désespoir à la jeune femme qu’elle tenait sur ses genoux. Elle se concentra, dans un premier temps, sur le sommet des fesses, de chaque côté de la raie. Quand elle eut obtenu une belle couleur rouge, elle élargit le champ de son investigation en colorant les parties de la peau des fesses qui étaient encore pâles.
Les larmes vinrent vite. C’était inévitable, d’autant plus que Marguerite ne cherchait pas à les retenir. Depuis l’adolescence, elle n’aimait pas être vue, par autrui, ni le corps dénudé, ni versant des larmes. Elle avait eu pour habitude de se livrer à ce genre d’activité en privé. Depuis qu’elle fréquentait Teva et sa famille ainsi qu’Hélène, elle avait dû revoir à la baisse ses prétentions à une certaine intimité. Pleurer devant Hélène la mettait mal à l’aise, mais elle n’avait pas le choix.
« Retourne au coin ! Tu vas y attendre l’heure du dîner. »
Marguerite mit un moment à se rendre compte de la signification de ce qu’Hélène venait de lui dire. Attendre l’heure du dîner, une deuxième fessée après le repas… Est-ce que cela voulait dire qu’elle prenait le repas avec Hélène ? Soudain la cuisson de ses fesses lui sembla moins prégnante. Ce serait la première fois qu’elle mangerait en tête à tête avec elle. Cela valait bien une fessée, même deux. Marguerite fit une grimace à la pensée de la règle qui l’attendait. C’était un peu cher payé.

Hélène sonna à la porte de l’appartement de Teva.
« Alors, comment ça se passe avec Marguerite ?
– Parfaitement bien. Je viens de la remettre au coin. Elle a pris une fessée avant le repas, puis nous avons dîné ensemble. Je n’ai pas eu le temps de lui donner son bain, donc je vais le faire maintenant. A ce propos, Marguerite aurait-elle laissé une chemise de nuit dans ses affaires chez toi ?
– Je pense, oui. Tu la veux ?
– Oui, ce serait plus simple. Après son bain, je vais la mettre en chemise de nuit. Elle aura alors la fessée. J’ai décidé d’utiliser la règle, comme pour la correction qu’elle a eue aujourd’hui au travail.
– J’ai tendance à faire pareil. Quand un instrument punitif est utilisé à son travail, j’en utilise un également à la maison.
– Oui, ça me semble normal. Après je la mettrai au coin. Le temps qu’elle me demande pardon et d’un petit câlin, il ne sera plus l’heure de rentrer chez elle. Je préfère donc qu’elle dorme ici.
– Si tu veux, il y a de la place dans le lit avec Maeva. Elles le partagent depuis plusieurs week-ends.
– Non, je ne voudrais pas te déranger. Et puis, j’ai une chambre de disponible, avec un lit fait. Je pense que Marguerite y dormira très bien. »
Le programme fut parfaitement respecté. Marguerite savoura bien plus ce qui se passa le lendemain matin, un long moment dans les bras d’Hélène, que la nuit chez elle. La cuisson sur ses fesses que le câlin de consolation dans les bras d’Hélène n’avait pas réussi à atténuer, l’avait empêchée d’apprécier la chambre dans laquelle Hélène l’avait mise au lit.


Voyons, voyons, Maeva, Teva... ça me dit quelque chose

Eh bien oui ! Nous les avons déjà croisées. Rappelez-vous c'était dans le chapitre 93 d'Axel au supermarché que nous avons fait la connaissance de la jeune fille et, dans le chapitre  98, de sa sœur si sévère.

Il faut suivre si l'on veut comprendre, donc avoir lu ce qui a précédé

Voici le début du récit : le chapitre 1
L'épisode précédent : le chapitre 31
Et tous les autres sur la page "mes récits"

Mais, ce n'est pas fini

Y a-t-il une suite ? Bien sûr, le chapitre 33

Un commentaire, deux commentaires, trois... n'en jetez plus !

Si, si, au contraire, ne vous restreignez pas. Abondance de commentaire ne nuit point.

2 commentaires:

  1. Amis de la poésie et des rencontres fessées dans l'escalier... Bonjour!

    Encore un épisode où la Marguerite se fait sérieusement effeuiller le derrière! Je vous aime un peu, beaucoup... Elle hésite Marguerite, partagée entre la crainte de la fessée et le plaisir de revoir, Maeva, Teva, Faral. Prête même, aussi, à sacrifier ses fesses pour retrouver Hélène qui pourtant ne lui fait pas de cadeau. Manière comme une autre d'accepter les méthodes d'éducation de la petite famille. Et ça commence par un séjour au coin sur le pallier. A l'ombre, la jeune fille en pleurs!!
    Drôle de moment drôle, la descente d'escalier du couple qui passent la par hasard, en visiteurs d'un soir. Suspense pendant la conversation, tel que s'est parti avec madame on se dit que le monsieur va s'en prendre une bonne sur les marches... Et ben non! ...Un ange qui l'a échappé belle, passe en remontant sa culotte... Malin l'auteur... On fait monter la pression et... Ce n'est pas pour cette fois, il va falloir attendre un prochain épisode... Au coin ?
    Amicalement
    Ramina

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    Réponses
    1. Ramina,
      On ne peut tout de même pas avoir des fessées à tout coin d'escalier pour des motifs futiles, non ? N'ayez crainte, je crois que le Monsieur qui a échappé à la déculottée publique devrait recevoir son dû dans les plus brefs délais... même si ce n'est pas moi qui le raconte.
      Quant à la mise au coin sur le pallier, cela me paraît une suite logique. Les fessées de ces demoiselles et de ceux qui partagent leur sort, gagnent ainsi en "naturel". Puisqu'il est légitime et utile de les corriger ainsi, il n'y a aucune raison que cela soit dissimulé dans le secret de chaque appartement. Élémentaire, mon cher Ramina, non ?
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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