Avec un
début de séjour joyeux, nous enchaînons les sorties avec les amies de mes
cousins, les rituels passages au Banya et les roulades, nues, dans la neige,
les barbecues en plein air bien arrosés et les virées de part et d’autres.
Quelques spectacles en plein air sont organisés par la ville pour la fête du
« sapin roi » du Nouvel An et Noël.
Yulia
s’engage à recevoir quelques amis pour une soirée chez elle, mais, le soir
même, en présentant son projet à tata, celle-ci refuse catégoriquement, car la
dernière fois qu’elle avait fait ça, un de ses copains avait tellement bu qu’on
avait été obligé de l’emmener aux urgences pour le sortir de cette situation.
Il était tout proche du coma éthylique, qui pour un jeune de dix-huit ans est particulièrement
grave. Il aurait pu en mourir et Darya ne veut plus de ce genre de situation catastrophique
chez elle. C’était de sa responsabilité d’assurer la sécurité des jeunes à son
domicile et comme elle n’était pas présente, c’était par délégation, Yulia qui
avait endossé cette charge, mais visiblement, elle n’a pas été capable de
mettre bon ordre dans les penchants de ses amis.
Yulia se
remémore cette fameuse fête qui s’était mal terminée, mais promet qu’à celle
qui vient de faire attention et à limiter le nombre de bouteilles à
approvisionner et elle promet même de surveiller tout ce petit monde. Après
avoir dit non plusieurs fois, Darya hausse le ton, se fâche et lui répond sur
un ton péremptoire qu’il n’en est pas question, un point c’est tout, il n’y a
pas à y revenir ! Yulia se voit déjà annoncer
l’annulation de la fête et passer, auprès de ses amis, comme une fille qui ne
tient pas ses engagements, ce qui la vexera particulièrement.
Yulia va
bouder dans son coin et me fait savoir que dans la mesure où ses parents ne
seront pas présents ce jour-là, nous pourrons faire ce que nous voulons et
personne n’en saura rien. Je lui réponds que ce n’est pas prudent, car si un
voisin venait à rapporter la situation, bien qu’ils ne soient pas présents, ils
le sauront quand même. Yulia me fait promettre de ne rien dire et elle me dit
qu’elle se charge de tout et que tout se passera bien. Milan, n’étant pas dans
la confidence, ne se doute de rien. Il part avec ses copains en centre-ville,
dans une maison de jeunes, où tout est réunis pour les froides journées (espace
de discussion, jeux de société et distributeur de café et de thé à un prix modique).
Lorsque
tonton et tata partent, en nous laissant la maison, Yulia et moi allons faire
quelques emplettes pour la soirée et effectivement, les bouteilles d’alcool ne
sont pas nombreuses. Entre autre Vodka, nous achetons du Kvas et du jus de
bouleaux, boissons typiquement russes non alcoolisée et très désaltérante, plus
le traditionnel thé. De cette façon, personne ne sera malade et ne finira la soirée
aux urgences. Un peu de rangement après la soirée et ce sera, ni vu, ni connu,
j’t’embrouille.
Nous
préparons quelques plats avec de la charcuterie, du poulet grillé, des gâteaux
et des salades, de quoi nourrir tout ce petit monde. Yulia me dit que nous
serons une dizaine tout au plus et qu’elle est pressée de me faire connaitre
son petit copain, Sergey, un peu plus vieux qu’elle et rencontré il y a fort
peu de temps.
Les amis
arrivent au compte-goutte et nous mangeons et buvons lorsque Sergey arrive, tout
sourire. Ce sera le couple de la soirée. En fait, c’est un peu pour lui que
Yulia a organisé cette fête et elle n’aurait voulu pour rien au monde que ça ne
soit ni gâché, ni reporté. Yulia nous présente officiellement son petit ami. Il
ne s’est encore rien passé entre eux, mais ils s’entendent bien et elle
voudrait franchir le pas avec lui. Etant dans le même établissement, ils se
sont rencontrés comme ça et ils se côtoient tous les jours, d’où le
rapprochement qui s’est fait.
Lors de
la fête, les deux tourtereaux sont effectivement les principaux acteurs de la
soirée, les jeunes les plus en vue. Nous partageons leur bonheur avec eux, leur
souhaitant le meilleur et leur prédisant tout ce qu’ils vont faire ensemble
dans les prochains mois.
La soirée
bat son plein et nous dansons un peu dans la salle à manger de la maison.
L’ambiance est vraiment festive et un des garçons ouvre légèrement la fenêtre,
car il fait très chaud dans la pièce. La fenêtre ouverte, le son de la musique
se propage dehors et dans le calme ambiant, on n’entend que ça. Par contre,
dans le feu de l’action, nous ne pensons pas que ça allait avoir des
conséquences.
Un voisin
incommodé par ce brouhaha, passe un coup de téléphone à Darya, qui se trouvait
dans une ville d’à côté, chez des amis et le déclic lui vient. La discussion
avec Yulia du matin, associée à la plainte du voisin, Darya soupçonne sa fille
d’avoir invité quand même ses copains et copines, même avec son interdiction
formelle et tata commence à être assez fâchée ! Elle prend congés de ses
amis et demande à tonton de revenir à la maison pour voir se rendre compte de
ce qu’il en est et durant tout le trajet, elle ne cesse de répéter que si ses
soupçons sont fondés, alors il va en cuire à sa fille.
Avec la
musique, nous n’entendons pas tata et tonton rentrer. C’est lorsqu’ils sont
dans la pièce que nous mesurons la gravité de la situation. Yulia pousse un cri
de surprise et en reste bouche bée, incapable de dire quoi que ce soit. Je suis
dans la même situation, toute rouge de confusion, car j’étais au courant de
cette interdiction. J’éteins la musique et les amis ne savent plus quoi dire
non plus, car ils se rendent vite compte que l’irruption des parents de Yulia l’a
mise en fâcheuse posture et devinent que la fête n’était pas aussi bien
organisée que ça. Darya et Gennadi sermonnent copieusement leur fille et moi,
par la même occasion en disant qu’il y avait une interdiction et que nous
sommes des sales morveuses pour avoir outrepassé nos droits et qu’ils ne
peuvent pas nous faire confiance. Dans un premier temps, Yulia et moi recevons
chacune une gifle magistrale qui nous laisse la joue rouge. La gifle me fait
reculer d’un pas et je demande pardon à ma tante pour mon attitude. Darya
m’ordonne de me taire immédiatement, car je ne vaux vraiment pas mieux que ma
cousine et mes parents vont être mis au courant.
Hors
d’elle, Darya nous dit que nous allons gouter à la podrouga ! Yulia et moi
écarquillons les yeux, n’en croyant pas nos oreilles, car la podrouga est une
sangle avec laquelle on fouettait les serfs et à l’heure actuelle, cette
« sangle » sert aux punitions exceptionnelles. Yulia y a gouté à deux
reprises, mais moi jamais. J’en ai simplement entendu parler. La panique
s’empare de nous, car nous allons vivre des moments atroces. En sanglots, Yulia
et moi demandons pardon, promettons tout ce que tata nous demandera, afin
d’échapper à la podrouga. L’atmosphère commence à se tendre dans la salle et
les amis, conscient que ça va tourner à l’orage commencent à vouloir partir. Darya
les retient en disant qu’ils vont assister à la fessée et que peut-être, ça
nous fera réfléchir avant d’agir comme des gamines.
Yulia, en
pleurs, dit qu’elle ne supportera pas d’être fessée devant ses amis, que ça va
être trop humiliant, et puis il y a Sergey ! ce à quoi Darya répond
qu’elle n’a pas son mot à dire. Darya nous ordonne de nous déshabiller
entièrement. A ce moment-là, notre sang se glace... car nous sommes en présence
de plein de monde, dont des garçons et c’est plus qu’humiliant. Pendant ce
temps, Tata va chercher la podrouga pour appliquer elle-même la fessée, mais
lorsqu’elle revient, nous sommes toujours habillées, tentant d’échapper à cette
correction. C’est tonton qui est obligé de hausser le ton pour nous forcer à
nous déshabiller. Voyant que nous n’arriverons à rien en résistant, je commence
à retirer timidement mes habits, imitée peu après par ma cousine. Par contre,
nous restons en sous-vêtements, histoire de garder le peu de dignité qu’il nous
reste, surtout que nous voyons les garçons sourire de notre mésaventure. Darya
nous dit que nous avons mal entendu, car elle a dit de nous mettre entièrement
nues et ce n’est pas optionnel ! Yulia lui dit que nous sommes déjà assez
déshabillées comme ça et qu’il n’en faut pas plus pour la fessée. Pour nous
contraindre, Darya nous dit qu’elle va nous fouetter jusqu’à ce que nous
retirions nos sous-vêtements, et lorsque ce sera fait, la véritable fessée
pourra commencer. La menace me fait ôter prestement soutien-gorge et culotte et
aussitôt, je me cache les seins et le pubis. Je pense que je suis déjà plus que
rouge, car je me doute que les spectateurs ont déjà pu voir mes seins généreux,
mes tétons dressés et mon pubis bien épilé, ce qui met mon intimité à nue. Même
la tête basse et le regard fuyant, je peux voir que des bosses commencent à se
former dans le pantalon des garçons qui nous regardent.
Yulia
encaisse cinq bonnes cinglées sur les cuisses, ce qui la fait hurler et
trépigner, avant de capituler et de retirer ses sous-vêtements, après avoir
donné un dernier regard implorant à sa mère et un second à son petit ami. Darya
nous fait nous tourner et de présenter nos fesses. A toute volée, les cinglées
de podrouga nous font hurler et sursauter, laissant sur notre chair des
trainées de feu, comme si on y avait posé une barre incandescente. Sous les
fouettées, nous sommes comme deux possédées, sautant, tapant des pieds, hurlant
de toutes nos forces, nous protégeant de nos mains. Le bas de notre corps est
zébré de marques boursouflées et bien rouges dont les extrémités comment à
virer au rouge sombre. Les fesses et les cuisses en feu, je n’en peux plus,
mais mes suppliques n’ont aucun effet et je m’écroule par terre pour cesser de
subir le courroux de ma tante. Elle me dit de me relever, mais je n’obtempère
pas et qu’à cela ne tienne, elle me cingle les parties de mon corps mises à sa
disposition. Je reçois des fouettées sur le dos, les épaules, l’avant des
cuisses et le ventre. J’ai beau me tourner dans tous les sens, il y a toujours
une partie de mon anatomie qui est offerte. Je me protège avec mes mains mais
ce n’est pas cette maigre protection qui la retient. En me retournant, même
avec mon regard embrouillé par les larmes, je constate que ma cousine s’est également
effondrée. Je n’ai plus conscience du temps qui s’est écoulé depuis le début de
la correction et ça me semble une éternité. Je parviens à dire à ma tante que
je n’en peux plus et j’implore en poussant des hurlements stridents. A ce
moment-là, me moquant éperdument de l’image que je donne, j’ai les cuisses
largement écartées et les garçons se régalent de cette vision, car ils se
rendent compte que ma cyprine a dégouliné, mon entrejambe en est couverte.
Tentant de me relever, j’expose en me retournant mes seins que Darya s’empresse
de cingler, avec la douleur ressentie, je les fais secouer pour calmer le feu
et ce n’est pas ça qui empêche ma tante de cesser de les fouetter. Je me
relâche et me mets en boule sur le sol.
C’est à
ce moment-là que la correction prend fin. Ma cousine et moi en sanglots,
poussant toujours des cris de douleur, nous réalisons avec peine l’arrêt de la
punition. Darya nous dit qu’à présent, nos amis peuvent partir, que notre faute
a été payée et que nous sommes toutes les deux pardonnées.
Sur ces
entrefaites, Milan rentre de sa virée en ville et nous trouve, ma cousine et
moi, par terre, en sanglots et le corps copieusement marqué. Il regrette de ne
pas être arrivé plus tôt, car il n’a pas assisté à ce spectacle qui devait être
très excitant, à en croire les commentaires des amis qui partent.
Darya
vient près de nous et nous aide à nous relever. Elle nous prend dans ses bras
et nous embrasse tendrement en nous disant que c’est terminé à présent et que
la vie va pouvoir repartir sur de nouvelles bases. Toujours en pleurs, nous ne
pensons même plus à cacher notre intimité, nous nous massons toutes les parties
brulantes et très sensibles de notre corps.
Aidées
par tonton et tata, nous sommes emmenées dehors et ils nous disent de nous
coucher dans la neige, car le froid apaisera la douleur. Nous marchons les
cuisses écartées, car les cinglées reçues sur l’intérieur des cuisses nous fait
mal lorsque nos cuisses frottent l’une sur l’autre, ce qui rend notre démarche parfaitement
ridicule. En criant, nous nous allongeons et tata me recouvre entièrement de
neige. Saisissant sur le moment, la douleur décroit rapidement. En m’enduisant de
neige, tata me dit que lorsqu’elles étaient jeunes, Maman et elle se prenaient
de sacrées raclées à la podrouga par notre grand-mère mais que ce n’était que pour
leur bien, mais les marques ne s’estompaient complètement qu’au bout de
quelques jours.
Après
trois minutes sous la neige, nous nous relevons et nous nous débarrassons de la
neige. La fraicheur de la neige et de l’air nous font attraper la chair de
poule et nos tétons sont bien dressés et deviennent durs puis on nous fait
rentrer et nous sommes envoyées de suite prendre notre douche pour nous laver
et surtout pour nous réchauffer. Nous aidant mutuellement Yulia et moi, nous
nous savonnons le corps et nous nous rinçons avec un jet tiède le plus doux
possible. Malgré tout, nous gémissons de douleur, car l’eau sur notre corps
réveille petit à petit la douleur. En se regardant dans une glace, nous constatons
que notre corps est entièrement couvert de marques et il se passera quelques
jours avant que tout ne rentre dans l’ordre.
Enfin
propre, nous nous séchons en appliquant doucement le drap de bain sur notre
corps qui nous brule à nouveau affreusement puis nous tentons d’enfiler notre
robe de nuit mais nous nous rendons à l’évidence que le tissu frottant sur les
parties cinglées de notre corps nous fait trop mal. A regret, Yulia demande la
permission de descendre, nues et aussitôt, Milan, qui ne perd pas le nord,
donne son accord en riant ! Darya le rembarre en lui disant que sa
sœur et sa cousine ont payé leur faute et que ce n’est pas à lui de prendre
cette décision, mais elle accepte que nous soyons nues durant la soirée et de
toute façon, elle nous l’aurait imposé pour prolonger la punition face à la
famille, cette fois sur un plan purement psychologique. Yulia et moi, nues
comme au premier jour, nos cheveux longs attachés en chignon, arrivons dans la
salle principale. Milan, hilare devant nous nous regarde de haut en bas et se
met à commenter ce qu’il voit : notre visage empourpré, nos marques rouges
et boursoufflées, nos tétons dressés par notre gêne d’être nues en public, nos
gros seins et notre pubis glabre, ce qui fait que Yulia se plaint auprès de sa
mère et réclame qu’elle lui dise de la fermer, mais Darya le laisse faire,
jugeant finalement qu’un peu de moquerie ne nous fera pas de mal, au contraire,
ce qui nous mortifie, car même tonton ne se gêne pas pour nous reluquer.
Nous
aidons tata à préparer le repas, comme les autres soirs, par contre, c’est
notre tenue impudique qui n’est pas comme d’habitude. Milan, qui est d’habitude
toujours enfermé dans sa chambre vient aider dans la cuisine, comme par hasard.
Il ne faut pas se demander pourquoi !
Lorsque
nous souhaitons aller faire nos besoins, nous sommes obligées de nous accroupir
sans toucher la lunette des toilettes, car tout contact avec une surface dure
nous fait hurler, ce qui n’est ni pratique ni confortable.
Pour nous
mettre à table, tata nous installe sur des coussins, car elle sait que nous
allons souffrir. Avec mille précautions, nous nous asseyons et nos gémissements
et nos cris ne tardent pas. J’ai l’impression de m’assoir sur un poêle hardent.
Ma cousine n’est pas logée à meilleure enseigne que moi, à en juger par ses
grimaces et ses plaintes. Finalement, nous serons contraintes de manger debout,
à la plus grande joie de Milan qui a une vue directe sur notre intimité et ce
n’est pas nos regards réprobateurs qui y changeront quoi que ce soit.
Après la
vaisselle et le rangement de la cuisine, Yulia et moi partons nous coucher pour
clôturer cette journée de malheur. Nous tentons de nous allonger dans notre lit
commun mais c’est compliqué pour trouver une position allongée où la cuisson ne
reprend pas, car aucune zone de notre corps n’a échappé à la podrouga. Après
que tata soit passée nous dire au revoir et pour examiner nos zébrures, à
moitié sur le côté, dans une position assez inconfortable, je discute avec
Yulia. Celle-ci s’excuse platement auprès de moi pour m’avoir fait fouetter. Je
m’énerve un peu contre ma cousine, car je reçois déjà assez de fessées pour mes
bêtises, alors je n’ai vraiment pas besoin de payer chèrement celles des
autres !
Inutile
de dire que nous passons une nuit presque blanche, car à chaque fois que l’une
bouge, ça lui fait mal et la fait gémir, ce qui réveille l’autre et
inversement. Au matin, tata vient nous voir et nous fait lever, car nos
gémissements dérangent toute la maisonnée. Elle nous annonce que nous allons
devoir passer la journée, encore toute nue et que peut-être le surlendemain, ce
sera mieux. Il tarde à Julia de retrouver Sergey et de lui expliquer la
situation de vive voix, car elle ne veut surtout pas le perdre, sous prétexte
qu’il aura été mis mal à l’aise en assistant à fessée, qui ne l’a pas mise en
valeur.
En effet,
deux jours plus tard, Yulia et moi enfilons avec difficulté une robe longue,
sans sous-vêtements, encore trop tôt pour nous, et nous filons voir nos amis
pour tenter de reprendre la situation en main. La rencontre est assez froide,
car les garçons ont le sourire aux lèvres en se remémorant la séance à laquelle
ils ont assisté. Leur sourire entendu nous faire rougir, car notre intimité
toute entière a été dévoilée et nous nous sentons rabaissée. Associé à ça, le
fait que nos seins non maintenus ballottent au rythme de notre marche, les
garçons ont de quoi se rincer l’œil. Il ne me faut pas longtemps pour réaliser que
les garçons ont les yeux braqués sur mes seins, j’ai les tétons qui pointent
une nouvelle fois, par l’émotion de les revoir après le spectacle affligeant que
j’ai pu donner et sous mon tee-shirt assez léger, mes formes féminines se voient
bien.
L’explication
entre Sergey et Yulia se passe plutôt bien, puisqu’il ne lui en veut plus et
souhaite toujours continuer avec elle. Yulia respire mieux, car elle avait déjà
tenté de l’appeler et la communication avait été plus que froide entre eux car
Sergey s’était senti pris au piège et de la voir se prendre une telle correction
devant ses yeux l’avait contrarié, car il aurait pu être considéré comme le
copain d’une fille immature qui a encore besoin d’être fouettée pour être
adulte. Ils espèrent que l’incident ne s’ébruitera pas trop parmi les autres
amis, car la réputation de Yulia en dépend.
Une série écrite par Elena
Elle nous revient pour quelques épisodes, un, c'est sûr, deux, très probable, plus ? ça semble le cas ! L'aventure continue !
Dans l'entourage d'Iourevna d'autres fessées ont déjà été administrées, lisez-les ici : chapitre 1, le début de la série et l'épisode précédent, le chapitre 23 acte 2Retrouvez-les tous sur la page des auteurs invités
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Bonjour Elena,
RépondreSupprimerToujours empreints de réalisme, vos récits.
Les tantes sont dans beaucoup de récits une figure maternelle importante. Elles secondent les mamans et se montrent souvent beaucoup sévères qu'elles. D'autant que l'absence de lien "filial" permet aucune indulgence, du style : "Alors,pas de caprices avec moi, veux-tu ?". Enfin à mon avis.
( HS : Il y a quelques jours, aux infos, on annonçait la célébration par l'Eglise Orthodoxe de la Noël et du Nouvel An qui sont en décalé de plusieurs jours par rapport à notre calendrier julien.
Alors bonne année à vous.)
Amicalement. Peter.
Bonjour Peter. Oui, J'ai un style bien à moi... François est de cet avis, également.
RépondreSupprimerLes tatas secondent en effet les Mamans "absentes" et restant dans la famille, donnent le tempo de la même manière qu'à leurs propres enfants.
Pour le Noël russe et plus largement orthodoxe, oui, en effet, c'est le 7 Janvier, date à laquelle les rois mages ont remis les cadeaux à Jésus. Je trouve cet aspect de la religion plus crédible qu'une remise des cadeaux le jour de la naissance de Jésus. Ce point de vue n'engage que moi, je le souligne.
Amitiés.
Elena.
Bonjour Elena. Et bonjour à tous.
RépondreSupprimerRecevoir une fessée devant tous les amis qu'on a invités à une petite fête, c'est la honte absolu. Surtout lorsque cette correction est donnée avec la sangle qui servait à punir les serfs. Toute une symbolique! Et pire encore pour l'organisatrice de la soirée qui doit subir cette infamante correction devant le "copain" avec lequel elle commence tout juste une relation. J'aime toujours autant, pour ma part, la façon dont vous amenez les fessées, la façon dont vous les décrivez et la façon dont vous nous faites sentir ce que ressentent les personnages.
Amicalement.
François
Bonjour François,
RépondreSupprimerMerci pour ce beau commentaire.
Vous avez résumé en quelques lignes toute l'intrigue du texte, tout le contexte humiliant de cette sévère correction devant un public en partie masculin, qui n'en a pas perdu une miette.
Par chance, l'amour de Sergey envers Yulia a été le plus fort, mais ça laissera des traces dans le couple. Yulia se sentira toujours rabaissée par rapport à son compagnon, car se faire fouetter de la sorte n'est jamais facile à vivre, quant aux autres amis, dieu seul sait quels messages ils vont relayer auprès de leurs connaissances...
Amitiés.
Elena.