lundi 13 janvier 2020

les rebelles - chapitre 24

Entre fin Décembre et début Janvier, j’ai l’habitude de retourner dans ma famille, en Russie, au sud-ouest de MOSCOU. C’est une belle période de fêtes et de retrouvailles. Ma famille du côté russe se compose de mon oncle Gennadi G., ma tante Darya G. (sœur de Maman) et de leurs deux enfants, leur fille Yulia dix-neuf ans et son frère Milan dix-huit ans. Ils vivent à KALUGA, non loin de ROSVA, la ville de la famille d’Ekaterina, d’Olga et de Iourievna.

Avec un début de séjour joyeux, nous enchaînons les sorties avec les amies de mes cousins, les rituels passages au Banya et les roulades, nues, dans la neige, les barbecues en plein air bien arrosés et les virées de part et d’autres. Quelques spectacles en plein air sont organisés par la ville pour la fête du « sapin roi » du Nouvel An et Noël.
Yulia s’engage à recevoir quelques amis pour une soirée chez elle, mais, le soir même, en présentant son projet à tata, celle-ci refuse catégoriquement, car la dernière fois qu’elle avait fait ça, un de ses copains avait tellement bu qu’on avait été obligé de l’emmener aux urgences pour le sortir de cette situation. Il était tout proche du coma éthylique, qui pour un jeune de dix-huit ans est particulièrement grave. Il aurait pu en mourir et Darya ne veut plus de ce genre de situation catastrophique chez elle. C’était de sa responsabilité d’assurer la sécurité des jeunes à son domicile et comme elle n’était pas présente, c’était par délégation, Yulia qui avait endossé cette charge, mais visiblement, elle n’a pas été capable de mettre bon ordre dans les penchants de ses amis.
Yulia se remémore cette fameuse fête qui s’était mal terminée, mais promet qu’à celle qui vient de faire attention et à limiter le nombre de bouteilles à approvisionner et elle promet même de surveiller tout ce petit monde. Après avoir dit non plusieurs fois, Darya hausse le ton, se fâche et lui répond sur un ton péremptoire qu’il n’en est pas question, un point c’est tout, il n’y a pas à y revenir ! Yulia se voit déjà annoncer l’annulation de la fête et passer, auprès de ses amis, comme une fille qui ne tient pas ses engagements, ce qui la vexera particulièrement.
Yulia va bouder dans son coin et me fait savoir que dans la mesure où ses parents ne seront pas présents ce jour-là, nous pourrons faire ce que nous voulons et personne n’en saura rien. Je lui réponds que ce n’est pas prudent, car si un voisin venait à rapporter la situation, bien qu’ils ne soient pas présents, ils le sauront quand même. Yulia me fait promettre de ne rien dire et elle me dit qu’elle se charge de tout et que tout se passera bien. Milan, n’étant pas dans la confidence, ne se doute de rien. Il part avec ses copains en centre-ville, dans une maison de jeunes, où tout est réunis pour les froides journées (espace de discussion, jeux de société et distributeur de café et de thé à un prix modique).
Lorsque tonton et tata partent, en nous laissant la maison, Yulia et moi allons faire quelques emplettes pour la soirée et effectivement, les bouteilles d’alcool ne sont pas nombreuses. Entre autre Vodka, nous achetons du Kvas et du jus de bouleaux, boissons typiquement russes non alcoolisée et très désaltérante, plus le traditionnel thé. De cette façon, personne ne sera malade et ne finira la soirée aux urgences. Un peu de rangement après la soirée et ce sera, ni vu, ni connu, j’t’embrouille.
Nous préparons quelques plats avec de la charcuterie, du poulet grillé, des gâteaux et des salades, de quoi nourrir tout ce petit monde. Yulia me dit que nous serons une dizaine tout au plus et qu’elle est pressée de me faire connaitre son petit copain, Sergey, un peu plus vieux qu’elle et rencontré il y a fort peu de temps.
Les amis arrivent au compte-goutte et nous mangeons et buvons lorsque Sergey arrive, tout sourire. Ce sera le couple de la soirée. En fait, c’est un peu pour lui que Yulia a organisé cette fête et elle n’aurait voulu pour rien au monde que ça ne soit ni gâché, ni reporté. Yulia nous présente officiellement son petit ami. Il ne s’est encore rien passé entre eux, mais ils s’entendent bien et elle voudrait franchir le pas avec lui. Etant dans le même établissement, ils se sont rencontrés comme ça et ils se côtoient tous les jours, d’où le rapprochement qui s’est fait.
Lors de la fête, les deux tourtereaux sont effectivement les principaux acteurs de la soirée, les jeunes les plus en vue. Nous partageons leur bonheur avec eux, leur souhaitant le meilleur et leur prédisant tout ce qu’ils vont faire ensemble dans les prochains mois.
La soirée bat son plein et nous dansons un peu dans la salle à manger de la maison. L’ambiance est vraiment festive et un des garçons ouvre légèrement la fenêtre, car il fait très chaud dans la pièce. La fenêtre ouverte, le son de la musique se propage dehors et dans le calme ambiant, on n’entend que ça. Par contre, dans le feu de l’action, nous ne pensons pas que ça allait avoir des conséquences.
Un voisin incommodé par ce brouhaha, passe un coup de téléphone à Darya, qui se trouvait dans une ville d’à côté, chez des amis et le déclic lui vient. La discussion avec Yulia du matin, associée à la plainte du voisin, Darya soupçonne sa fille d’avoir invité quand même ses copains et copines, même avec son interdiction formelle et tata commence à être assez fâchée ! Elle prend congés de ses amis et demande à tonton de revenir à la maison pour voir se rendre compte de ce qu’il en est et durant tout le trajet, elle ne cesse de répéter que si ses soupçons sont fondés, alors il va en cuire à sa fille.
Avec la musique, nous n’entendons pas tata et tonton rentrer. C’est lorsqu’ils sont dans la pièce que nous mesurons la gravité de la situation. Yulia pousse un cri de surprise et en reste bouche bée, incapable de dire quoi que ce soit. Je suis dans la même situation, toute rouge de confusion, car j’étais au courant de cette interdiction. J’éteins la musique et les amis ne savent plus quoi dire non plus, car ils se rendent vite compte que l’irruption des parents de Yulia l’a mise en fâcheuse posture et devinent que la fête n’était pas aussi bien organisée que ça. Darya et Gennadi sermonnent copieusement leur fille et moi, par la même occasion en disant qu’il y avait une interdiction et que nous sommes des sales morveuses pour avoir outrepassé nos droits et qu’ils ne peuvent pas nous faire confiance. Dans un premier temps, Yulia et moi recevons chacune une gifle magistrale qui nous laisse la joue rouge. La gifle me fait reculer d’un pas et je demande pardon à ma tante pour mon attitude. Darya m’ordonne de me taire immédiatement, car je ne vaux vraiment pas mieux que ma cousine et mes parents vont être mis au courant.
Hors d’elle, Darya nous dit que nous allons gouter à la podrouga ! Yulia et moi écarquillons les yeux, n’en croyant pas nos oreilles, car la podrouga est une sangle avec laquelle on fouettait les serfs et à l’heure actuelle, cette « sangle » sert aux punitions exceptionnelles. Yulia y a gouté à deux reprises, mais moi jamais. J’en ai simplement entendu parler. La panique s’empare de nous, car nous allons vivre des moments atroces. En sanglots, Yulia et moi demandons pardon, promettons tout ce que tata nous demandera, afin d’échapper à la podrouga. L’atmosphère commence à se tendre dans la salle et les amis, conscient que ça va tourner à l’orage commencent à vouloir partir. Darya les retient en disant qu’ils vont assister à la fessée et que peut-être, ça nous fera réfléchir avant d’agir comme des gamines.
Yulia, en pleurs, dit qu’elle ne supportera pas d’être fessée devant ses amis, que ça va être trop humiliant, et puis il y a Sergey ! ce à quoi Darya répond qu’elle n’a pas son mot à dire. Darya nous ordonne de nous déshabiller entièrement. A ce moment-là, notre sang se glace... car nous sommes en présence de plein de monde, dont des garçons et c’est plus qu’humiliant. Pendant ce temps, Tata va chercher la podrouga pour appliquer elle-même la fessée, mais lorsqu’elle revient, nous sommes toujours habillées, tentant d’échapper à cette correction. C’est tonton qui est obligé de hausser le ton pour nous forcer à nous déshabiller. Voyant que nous n’arriverons à rien en résistant, je commence à retirer timidement mes habits, imitée peu après par ma cousine. Par contre, nous restons en sous-vêtements, histoire de garder le peu de dignité qu’il nous reste, surtout que nous voyons les garçons sourire de notre mésaventure. Darya nous dit que nous avons mal entendu, car elle a dit de nous mettre entièrement nues et ce n’est pas optionnel ! Yulia lui dit que nous sommes déjà assez déshabillées comme ça et qu’il n’en faut pas plus pour la fessée. Pour nous contraindre, Darya nous dit qu’elle va nous fouetter jusqu’à ce que nous retirions nos sous-vêtements, et lorsque ce sera fait, la véritable fessée pourra commencer. La menace me fait ôter prestement soutien-gorge et culotte et aussitôt, je me cache les seins et le pubis. Je pense que je suis déjà plus que rouge, car je me doute que les spectateurs ont déjà pu voir mes seins généreux, mes tétons dressés et mon pubis bien épilé, ce qui met mon intimité à nue. Même la tête basse et le regard fuyant, je peux voir que des bosses commencent à se former dans le pantalon des garçons qui nous regardent.
Yulia encaisse cinq bonnes cinglées sur les cuisses, ce qui la fait hurler et trépigner, avant de capituler et de retirer ses sous-vêtements, après avoir donné un dernier regard implorant à sa mère et un second à son petit ami. Darya nous fait nous tourner et de présenter nos fesses. A toute volée, les cinglées de podrouga nous font hurler et sursauter, laissant sur notre chair des trainées de feu, comme si on y avait posé une barre incandescente. Sous les fouettées, nous sommes comme deux possédées, sautant, tapant des pieds, hurlant de toutes nos forces, nous protégeant de nos mains. Le bas de notre corps est zébré de marques boursouflées et bien rouges dont les extrémités comment à virer au rouge sombre. Les fesses et les cuisses en feu, je n’en peux plus, mais mes suppliques n’ont aucun effet et je m’écroule par terre pour cesser de subir le courroux de ma tante. Elle me dit de me relever, mais je n’obtempère pas et qu’à cela ne tienne, elle me cingle les parties de mon corps mises à sa disposition. Je reçois des fouettées sur le dos, les épaules, l’avant des cuisses et le ventre. J’ai beau me tourner dans tous les sens, il y a toujours une partie de mon anatomie qui est offerte. Je me protège avec mes mains mais ce n’est pas cette maigre protection qui la retient. En me retournant, même avec mon regard embrouillé par les larmes, je constate que ma cousine s’est également effondrée. Je n’ai plus conscience du temps qui s’est écoulé depuis le début de la correction et ça me semble une éternité. Je parviens à dire à ma tante que je n’en peux plus et j’implore en poussant des hurlements stridents. A ce moment-là, me moquant éperdument de l’image que je donne, j’ai les cuisses largement écartées et les garçons se régalent de cette vision, car ils se rendent compte que ma cyprine a dégouliné, mon entrejambe en est couverte. Tentant de me relever, j’expose en me retournant mes seins que Darya s’empresse de cingler, avec la douleur ressentie, je les fais secouer pour calmer le feu et ce n’est pas ça qui empêche ma tante de cesser de les fouetter. Je me relâche et me mets en boule sur le sol.
C’est à ce moment-là que la correction prend fin. Ma cousine et moi en sanglots, poussant toujours des cris de douleur, nous réalisons avec peine l’arrêt de la punition. Darya nous dit qu’à présent, nos amis peuvent partir, que notre faute a été payée et que nous sommes toutes les deux pardonnées.
Sur ces entrefaites, Milan rentre de sa virée en ville et nous trouve, ma cousine et moi, par terre, en sanglots et le corps copieusement marqué. Il regrette de ne pas être arrivé plus tôt, car il n’a pas assisté à ce spectacle qui devait être très excitant, à en croire les commentaires des amis qui partent.
Darya vient près de nous et nous aide à nous relever. Elle nous prend dans ses bras et nous embrasse tendrement en nous disant que c’est terminé à présent et que la vie va pouvoir repartir sur de nouvelles bases. Toujours en pleurs, nous ne pensons même plus à cacher notre intimité, nous nous massons toutes les parties brulantes et très sensibles de notre corps.
Aidées par tonton et tata, nous sommes emmenées dehors et ils nous disent de nous coucher dans la neige, car le froid apaisera la douleur. Nous marchons les cuisses écartées, car les cinglées reçues sur l’intérieur des cuisses nous fait mal lorsque nos cuisses frottent l’une sur l’autre, ce qui rend notre démarche parfaitement ridicule. En criant, nous nous allongeons et tata me recouvre entièrement de neige. Saisissant sur le moment, la douleur décroit rapidement. En m’enduisant de neige, tata me dit que lorsqu’elles étaient jeunes, Maman et elle se prenaient de sacrées raclées à la podrouga par notre grand-mère mais que ce n’était que pour leur bien, mais les marques ne s’estompaient complètement qu’au bout de quelques jours.
Après trois minutes sous la neige, nous nous relevons et nous nous débarrassons de la neige. La fraicheur de la neige et de l’air nous font attraper la chair de poule et nos tétons sont bien dressés et deviennent durs puis on nous fait rentrer et nous sommes envoyées de suite prendre notre douche pour nous laver et surtout pour nous réchauffer. Nous aidant mutuellement Yulia et moi, nous nous savonnons le corps et nous nous rinçons avec un jet tiède le plus doux possible. Malgré tout, nous gémissons de douleur, car l’eau sur notre corps réveille petit à petit la douleur. En se regardant dans une glace, nous constatons que notre corps est entièrement couvert de marques et il se passera quelques jours avant que tout ne rentre dans l’ordre.
Enfin propre, nous nous séchons en appliquant doucement le drap de bain sur notre corps qui nous brule à nouveau affreusement puis nous tentons d’enfiler notre robe de nuit mais nous nous rendons à l’évidence que le tissu frottant sur les parties cinglées de notre corps nous fait trop mal. A regret, Yulia demande la permission de descendre, nues et aussitôt, Milan, qui ne perd pas le nord, donne son accord en riant ! Darya le rembarre en lui disant que sa sœur et sa cousine ont payé leur faute et que ce n’est pas à lui de prendre cette décision, mais elle accepte que nous soyons nues durant la soirée et de toute façon, elle nous l’aurait imposé pour prolonger la punition face à la famille, cette fois sur un plan purement psychologique. Yulia et moi, nues comme au premier jour, nos cheveux longs attachés en chignon, arrivons dans la salle principale. Milan, hilare devant nous nous regarde de haut en bas et se met à commenter ce qu’il voit : notre visage empourpré, nos marques rouges et boursoufflées, nos tétons dressés par notre gêne d’être nues en public, nos gros seins et notre pubis glabre, ce qui fait que Yulia se plaint auprès de sa mère et réclame qu’elle lui dise de la fermer, mais Darya le laisse faire, jugeant finalement qu’un peu de moquerie ne nous fera pas de mal, au contraire, ce qui nous mortifie, car même tonton ne se gêne pas pour nous reluquer.
Nous aidons tata à préparer le repas, comme les autres soirs, par contre, c’est notre tenue impudique qui n’est pas comme d’habitude. Milan, qui est d’habitude toujours enfermé dans sa chambre vient aider dans la cuisine, comme par hasard. Il ne faut pas se demander pourquoi !
Lorsque nous souhaitons aller faire nos besoins, nous sommes obligées de nous accroupir sans toucher la lunette des toilettes, car tout contact avec une surface dure nous fait hurler, ce qui n’est ni pratique ni confortable.
Pour nous mettre à table, tata nous installe sur des coussins, car elle sait que nous allons souffrir. Avec mille précautions, nous nous asseyons et nos gémissements et nos cris ne tardent pas. J’ai l’impression de m’assoir sur un poêle hardent. Ma cousine n’est pas logée à meilleure enseigne que moi, à en juger par ses grimaces et ses plaintes. Finalement, nous serons contraintes de manger debout, à la plus grande joie de Milan qui a une vue directe sur notre intimité et ce n’est pas nos regards réprobateurs qui y changeront quoi que ce soit.
Après la vaisselle et le rangement de la cuisine, Yulia et moi partons nous coucher pour clôturer cette journée de malheur. Nous tentons de nous allonger dans notre lit commun mais c’est compliqué pour trouver une position allongée où la cuisson ne reprend pas, car aucune zone de notre corps n’a échappé à la podrouga. Après que tata soit passée nous dire au revoir et pour examiner nos zébrures, à moitié sur le côté, dans une position assez inconfortable, je discute avec Yulia. Celle-ci s’excuse platement auprès de moi pour m’avoir fait fouetter. Je m’énerve un peu contre ma cousine, car je reçois déjà assez de fessées pour mes bêtises, alors je n’ai vraiment pas besoin de payer chèrement celles des autres !
Inutile de dire que nous passons une nuit presque blanche, car à chaque fois que l’une bouge, ça lui fait mal et la fait gémir, ce qui réveille l’autre et inversement. Au matin, tata vient nous voir et nous fait lever, car nos gémissements dérangent toute la maisonnée. Elle nous annonce que nous allons devoir passer la journée, encore toute nue et que peut-être le surlendemain, ce sera mieux. Il tarde à Julia de retrouver Sergey et de lui expliquer la situation de vive voix, car elle ne veut surtout pas le perdre, sous prétexte qu’il aura été mis mal à l’aise en assistant à fessée, qui ne l’a pas mise en valeur.
En effet, deux jours plus tard, Yulia et moi enfilons avec difficulté une robe longue, sans sous-vêtements, encore trop tôt pour nous, et nous filons voir nos amis pour tenter de reprendre la situation en main. La rencontre est assez froide, car les garçons ont le sourire aux lèvres en se remémorant la séance à laquelle ils ont assisté. Leur sourire entendu nous faire rougir, car notre intimité toute entière a été dévoilée et nous nous sentons rabaissée. Associé à ça, le fait que nos seins non maintenus ballottent au rythme de notre marche, les garçons ont de quoi se rincer l’œil. Il ne me faut pas longtemps pour réaliser que les garçons ont les yeux braqués sur mes seins, j’ai les tétons qui pointent une nouvelle fois, par l’émotion de les revoir après le spectacle affligeant que j’ai pu donner et sous mon tee-shirt assez léger, mes formes féminines se voient bien.
L’explication entre Sergey et Yulia se passe plutôt bien, puisqu’il ne lui en veut plus et souhaite toujours continuer avec elle. Yulia respire mieux, car elle avait déjà tenté de l’appeler et la communication avait été plus que froide entre eux car Sergey s’était senti pris au piège et de la voir se prendre une telle correction devant ses yeux l’avait contrarié, car il aurait pu être considéré comme le copain d’une fille immature qui a encore besoin d’être fouettée pour être adulte. Ils espèrent que l’incident ne s’ébruitera pas trop parmi les autres amis, car la réputation de Yulia en dépend.


Une série écrite par Elena

Elle nous revient pour quelques épisodes, un, c'est sûr, deux, très probable, plus ? ça semble le cas ! L'aventure continue !
Dans l'entourage d'Iourevna d'autres fessées ont déjà été administrées, lisez-les ici : chapitre 1, le début de la série et l'épisode précédent, le chapitre 23 acte 2
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4 commentaires:

  1. Bonjour Elena,

    Toujours empreints de réalisme, vos récits.
    Les tantes sont dans beaucoup de récits une figure maternelle importante. Elles secondent les mamans et se montrent souvent beaucoup sévères qu'elles. D'autant que l'absence de lien "filial" permet aucune indulgence, du style : "Alors,pas de caprices avec moi, veux-tu ?". Enfin à mon avis.
    ( HS : Il y a quelques jours, aux infos, on annonçait la célébration par l'Eglise Orthodoxe de la Noël et du Nouvel An qui sont en décalé de plusieurs jours par rapport à notre calendrier julien.
    Alors bonne année à vous.)
    Amicalement. Peter.

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  2. Bonjour Peter. Oui, J'ai un style bien à moi... François est de cet avis, également.
    Les tatas secondent en effet les Mamans "absentes" et restant dans la famille, donnent le tempo de la même manière qu'à leurs propres enfants.
    Pour le Noël russe et plus largement orthodoxe, oui, en effet, c'est le 7 Janvier, date à laquelle les rois mages ont remis les cadeaux à Jésus. Je trouve cet aspect de la religion plus crédible qu'une remise des cadeaux le jour de la naissance de Jésus. Ce point de vue n'engage que moi, je le souligne.
    Amitiés.
    Elena.

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  3. Bonjour Elena. Et bonjour à tous.
    Recevoir une fessée devant tous les amis qu'on a invités à une petite fête, c'est la honte absolu. Surtout lorsque cette correction est donnée avec la sangle qui servait à punir les serfs. Toute une symbolique! Et pire encore pour l'organisatrice de la soirée qui doit subir cette infamante correction devant le "copain" avec lequel elle commence tout juste une relation. J'aime toujours autant, pour ma part, la façon dont vous amenez les fessées, la façon dont vous les décrivez et la façon dont vous nous faites sentir ce que ressentent les personnages.
    Amicalement.
    François

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  4. Bonjour François,
    Merci pour ce beau commentaire.
    Vous avez résumé en quelques lignes toute l'intrigue du texte, tout le contexte humiliant de cette sévère correction devant un public en partie masculin, qui n'en a pas perdu une miette.
    Par chance, l'amour de Sergey envers Yulia a été le plus fort, mais ça laissera des traces dans le couple. Yulia se sentira toujours rabaissée par rapport à son compagnon, car se faire fouetter de la sorte n'est jamais facile à vivre, quant aux autres amis, dieu seul sait quels messages ils vont relayer auprès de leurs connaissances...
    Amitiés.
    Elena.

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