« Jette un
coup d’œil à ça !
‒ Qu’est-ce
que c’est ?
‒ Ben,
regarde !
C’était moi. À poil
sous la douche.
‒ Hein !
Mais…
‒ Et il y en a
d’autres.
Encore de moi. Et
aussi de toutes les filles de Sainte-Croix. Ou presque.
‒ Mais d’où tu
sors ça ?
‒ C’est le
portable de Clément. Ça fait des semaines et des semaines que ce petit salopard
nous mate sous la douche.
‒ Ah, ben
d’accord !
‒ Sauf qu’hier
le prof de gym l’a pris sur le fait. Faut que je fasse un rapport du coup.
Détaillé. Sur le contenu de son portable. Pour le conseil de discipline. Qui,
sûrement, va décider de lui infliger une bonne fouettée devant tout le monde.
Je ferai tout ce qu’il faut pour en tout cas. »
Iourievna était
outrée.
« Quand je
pense que j’étais à deux doigts de sortir avec ! Un pervers ! Ah, ben
bonne pioche !
Elle s’est rincé
les cheveux. S’est ébrouée.
‒ Je sais pas
comment je me débrouille, mais faut toujours que je tombe sur des cas pas
possibles.
‒ Ça nous
arrive à toutes. À un moment ou à un autre.
‒ Et surtout à
moi. Jamais je peux en avoir un de droit. Lionel, il était raide deux jours sur
trois. Peter, il avait sans arrêt les flics à la maison. Une fois pour un truc,
une fois pour un autre. Quant à Carlo, soi-disant que j’étais le grand amour de
sa vie. Et il y en avait trois autres qui l’étaient autant que moi en même
temps que moi. Et là, faut que je trouve moyen d’avoir des vues sur l’obsédé
sexuel de base. J’ai un pot, mais j’ai un pot !
‒ Tu te
précipites trop aussi. Dès qu’un mec te plaît, faut que tu te jettes à sa tête.
Alors forcément, ils en profitent.
‒ Parce que
toi, Théo, tu t’es pas jeté à sa tête peut-être.
‒ C’est pas
pareil. Ça n’a rien à voir.
‒ Ben,
voyons ! »
Et elle a mis le
sèche-cheveux en marche.
Dans la cour, à
Sainte-Croix, nous, les filles, on était toutes scandalisées et remontées comme
des pendules contre ce petit vicelard de Clément.
« Quand je
pense qu’on se doutait de rien…
‒ Et que ça
aurait pu durer encore comme ça une éternité.
‒ Oh, mais
attendez ! On va lui en faire passer l’envie…
‒ Ah, oui
alors ! On va te lui coller une de ces hontes que ça va le guérir à tout
jamais de recommencer.
Les garçons
renchérissaient.
‒ C’est
vraiment dégueulasse ce qu’il a fait.
‒ On est avec
vous, hein, les filles ! Complètement avec vous.
Mais on n’y croyait
qu’à moitié.
‒ T’en as les
trois quarts là-dedans, s’ils avaient l’occasion, ils feraient exactement la
même chose.
‒ Et l’autre
quart qui l’a déjà fait. D’une façon ou d’une autre.
‒ Les types
n’importe comment, dès qu’il s’agit de se rincer l’œil…
Il y en a un,
derrière moi, qui a murmuré.
‒ Les nanas
aussi… »
Mais j’ai pas vu
qui c’était.
Le vendredi, quand
on nous a donné le signal, que ça a été le moment de la punition de Clément,
tout le monde s’est précipité dans la cour. Ça a été une grande bousculade. À
qui aurait les meilleures places. Théo m’a prise par la main.
« Viens !
Et il a joué des
coudes pour m’amener au premier rang malgré les protestations.
‒ Tu verras
bien, là.
Il ne m’a pas lâché
la main.
On a attendu. Dix
minutes. Un quart d’heure. Et il y en a, derrière, qui se sont impatientés. Qui
ont scandé.
‒ Commencez !
Commencez ! Commencez !
Quand il a enfin
fait son apparition, dans l’embrasure de la porte, ça a été un grand
« Aaaaah ! » de satisfaction. Et tout un tas d’applaudissements
enthousiastes. Ce qui lui a fait faire un grand bond en arrière. Et il a plus
voulu avancer. Mais la proviseure l’a obligé, d’un grand coup de martinet sur
les cuisses, à passer au milieu de nous.
Et on s’en est
donné à cœur-joie…
‒ Chacun son
tour d’être à poil !
‒ Elle est
décapuchonnée, ta queue. On voit le bout.
‒ En tout cas,
qu’est-ce qu’elle est moche ! Non, mais qu’est-ce qu’elle est moche !
‒ J’en
voudrais pas, moi, même en cas de famine. Ah, non alors ! »
Il y en avait qui
le pinçaient au passage. Qui lui donnaient des petites claques un peu partout.
Qui lui mettaient la main aux fesses.
Il essayait
d’échapper comme il pouvait, complètement affolé.
Quand le prof l’a
attaché, ça a été un grand silence d’un seul coup. La prof principale et la
prof d’anglais ont brandi les martinets. Il s’est aussitôt mis à supplier.
« Pardon !
Je le ferai plus, je vous promets. Pardon ! Mais me tapez pas ! Je
vous en supplie, me tapez pas !
J’ai soufflé,
écœurée.
‒ Quelle
mauviette !
Derrière moi, on a
approuvé.
‒ Ah, oui,
alors !
Les premières
cinglées lui ont strié le derrière. Il s’est contorsionné, a trépigné, rué. Et
hurlé. Pour notre plus grand plaisir.
Théo, qui ne me
quittait pas des yeux, m’a serré la main plus fort.
Tout autour, les
filles étaient déchaînées.
Il y en avait qui
encourageaient les deux profs de la voix et du geste.
‒ Allez-y !
Allez-y ! Le ménagez pas ! Tapez ! Tapez ! »
Et d’autres qui se
caressaient frénétiquement à travers leurs vêtements. Ou même, comme ma sœur
Iourievna, qui avaient carrément enfoui la main dans leur culotte et qui la
faisaient moutonner à qui mieux mieux. Sous ma jupe, la mienne, de culotte,
était trempée.
Il y avait, de tous
côtés, des soupirs, de halètements. De gémissements. Une fille a joui
ouvertement.
Théo s’est pressé
contre moi, sa queue toute droite, toute gonflée contre mes reins.
Il m’a chuchoté à
l’oreille.
‒ J’aime trop
ça l’état dans lequel ça te met !
Et je me suis
abandonnée contre lui.
Iourievna m’a donné
un grand coup de coude dans les côtes.
‒ Regarde !
Mais regarde !
Clément était en
train d’éjaculer.
Oh, non, mais
c’était trop, là ! J’en pouvais plus, moi !
Et on a profité de
ce que personne ne faisait attention à nous. On s’est éclipsés discrètement,
Théo et moi.
Léa nous a arrêtés
au passage.
‒ Oh, en voilà
deux qu’ont besoin de solitude, non ? Allez dans mon bureau ! Vous
serez tranquilles. »
Avec un petit clin
d’œil complice.
On ne se l’est pas
fait répéter deux fois. On est montés quatre à quatre à l’étage où on a croisé
Mylène dans le couloir qui menait au bureau de Léa.
Qu’est-ce qu’elle
faisait là, elle ? Elle était pas avec tout le monde ? Mais on n’a
pas approfondi la question. On avait trop envie de n’être qu’à nous. À nous
deux.
Il s’est assis dans
le fauteuil de Léa. Je me suis installée sur ses genoux, j’ai passé mes bras
autour de son cou. Et… Ben oui, et… Mais j’ai pas envie d’en parler. Comment ça
a été trop bien, ce qu’il y a de sûr !
Après, au moment de
repartir, il a voulu garder ma culotte.
« Elle est
toute pleine de ta mouille. J’adore. »
Il l’a portée à ses
narines, il a fermé les yeux, il l’a enfouie dans sa poche et on est allés
rejoindre les autres.
Iourievna se
demandait où on était passés.
« Je
m’inquiétais, moi ! Enfin non ! Pas vraiment. Je me doutais bien.
Mais vous avez loupé quelque chose, hein ! Parce qu’après il s’est encore
pris vingt coups. Sur le dos, cette fois. Comment il a dansé ! Et
chanté ! Ah, ça valait son pesant d’or ! Je te dis pas comment on
s’est régalés. Et c’est pas tout ! Parce qu’il a encore fallu qu’il nous
demande pardon, à nous, les filles, pour nous avoir regardées sous la douche.
En pleurant comme un gamin, il l’a fait. J’ai trop aimé. Et maintenant… Mais
viens ! Venez voir ! »
Il était assis,
tout nu, Clément, à côté de Léa, devant la porte de la cantine. Et il y avait
une bonne trentaine de filles qui avaient fait un grand demi cercle devant lui.
Elles le regardaient, sans bouger, sans rien dire. Elles le regardaient,
c’était tout. Quant à lui, il contemplait ses pieds.
On est restés, nous
aussi. Jusqu’à ce que ça sonne.
À la fin du cours
de physique, qu’Isabelle C. lui a fait passer à genoux, face à nous, la queue à
l’air, histoire de bien enfoncer le clou, Léa nous a demandé, à Théo et à moi,
de venir la rejoindre dans son bureau.
« Je suis
embêtée…
‒ Quoi ?
Qu’est-ce qu’il y a ?
‒ C’est que…
‒ Bon, ben
vas-y ! Dis-le !
‒ Le portable
de Clément, qui était dans ce tiroir, là, il a disparu.
Hein ? Mais
c’était pas possible, ça ! On avait touché à rien, nous. Rien du tout.
‒ Je vous
accuse pas, mais il faut absolument qu’il se retrouve. Sinon, je vais me faire
taper sur les doigts. Quelque chose de bien. Sans compter que s’il se promène
dans la nature…
Ça m’est revenu
d’un coup.
‒ Mylène !
‒ Quoi,
Mylène ?
‒ On l’a
croisée tout à l’heure dans le couloir. À tous les coups elle devait sortir
d’ici. Et Mylène…
‒ A un
penchant prononcé pour les nanas. C’est pas un scoop. Alors le portable de
Clément, pour elle, c’est une véritable bénédiction. Toutes ses petites
camarades de classe à poil !
‒ Le plus
vraisemblable…
‒ C’est
qu’elle a voulu prendre le temps de l’explorer bien à fond, des fois qu’il
recèle d’autres trésors, d’en extirper tout ce qui l’intéresse et qu’elle avait
l’intention de venir le remettre en place ce soir. Demain matin au plus tard.
Et ni vu ni connu. Sauf que… Bon, mais attendez-moi là. Je reviens. »
Un quart d’heure
après, elle était là. En compagnie de Mylène. Qui jouait les étonnées.
« Mais
qu’est-ce qu’il y a ? Qu’est-ce qu’il se passe ?
‒ Tu peux
vider tes poches ?
‒ Quoi !
Non, mais ça va pas ! T’es pas bien ? Et puis quoi encore ?
‒ Vide tes
poches !
‒ Non, mais
alors là, sûrement pas !
‒ Tu préfères
que la directrice t’y oblige ?
‒ Mais enfin,
c’est quoi, cette histoire ?
‒ Cette
histoire, c’est que t’es venue subtiliser le portable de Clément dans ce
tiroir, que je le sais, et que, si tu ne le restitues pas sur-le-champ, je peux
t’assurer que le conseil de discipline, auquel j’assisterai, décidera de
t’infliger une mémorable correction. De même nature que celle à laquelle
Clément a eu droit aujourd’hui.
Ça s’est avéré
redoutablement efficace. Parce qu’elle a aussitôt jeté le portable sur le
bureau.
‒ Tiens, le
voilà, ton truc !
Et elle s’est
dirigée vers la porte.
‒ Eh, pas si
vite ! On est loin d’en avoir fini toutes les deux.
Elle s’est arrêtée
net.
‒ Comment
ça ?
‒ Déculotte-toi,
Mylène !
‒ Hein ?
‒ T’as mérité,
avoue ! Alors la fessée, ou bien c’est moi qui te la donne, ici et
maintenant, devant Olga et Théo, ou bien j’en réfère aux instances supérieures
qui décideront, en leur âme et conscience, de la façon dont il conviendra de te
punir. Et je doute qu’elles fassent preuve de beaucoup de clémence à ton égard.
‒ Mais c’est
dégueulasse !
‒ Tu penses ce
que tu veux, mais tu te décides.
‒ J’ai pas le
choix.
‒ Pas
vraiment, non ! Alors allez !
Elle lui a jeté un
regard noir. Et elle a commencé à déboutonner son pantalon. Elle l’a descendu
jusqu’à mi-cuisses, s’est interrompue.
‒ Léa…
D’un ton suppliant.
Mais Léa ne s’est
pas laissée attendrir.
‒ Déculotte-toi,
Mylène !
Elle a soupiré.
Voulu nous tourner le dos.
‒ Non, non. Tu
restes face à nous.
Elle a mis un temps
infini pour sortir de son pantalon, une jambe après l’autre. Voulu dire quelque
chose, a renoncé.
‒ Le string
maintenant !
Qu’elle a
accompagné jusque sur les chevilles.
C’est moi, cette
fois, qui ai pris la main de Théo, qui l’ai serrée. Il avait les yeux
éperdument fixés sur la petite chatte totalement glabre de Mylène. Qui s’en est
aperçue. Qui a voulu la lui dérober de ses deux bras ramenés devant elle. Un
grand coup d’une longue règle plate que Léa a saisie sur son bureau les lui ont
fait prestement retirer.
‒ Aïe !
‒ Reluquer tes
petites copines à poil, tu dis pas non, hein ! T’es même prête à tout pour
ça. Mais qu’on te reluque, toi, ah, non, non, surtout pas ! Bon, ben tu
sais pas pour la peine ? Tu vas aussi retirer le haut. Ça t’apprendra.
Elle ne s’y est pas
résolue tout de suite et c’est un autre coup de règle, sur les cuisses cette
fois, qui l’y a décidée.
J’ai chuchoté à
l’oreille de Théo.
‒ Tu les
aimes, ses seins ?
Deux seins lourds,
imposants, veinés de bleu.
‒ Ah, oui,
alors !
Le cri du cœur.
Léa a brandi sa
règle.
‒ Bon, mais allez !
On passe aux choses sérieuses. Tourne-toi !
Ses fesses. Sur
lesquelles elle a lancé trois ou quatre grands coups qui l’ont fait se cabrer.
Qui lui ont arraché des cris déchirants.
‒ Tes
mains ! Enlève tes mains !
Et la correction
s’est poursuivie. La règle s’abattait, à pleine fesses, la propulsant, chaque
fois, un peu plus vers l’avant. Tant et si bien qu’elle a fini par se retrouver
plaquée contre le mur. Ça tombait. Ça continuait à tomber sur un derrière d’un
rouge de plus en plus profond. Déterminée, le visage dur, fermé, Léa tapait,
tapait sans discontinuer. Elle ne laissait aucun instant de répit à Mylène
malgré ses cris, ses larmes et ses supplications.
‒ Ah, tu vas
t’en souvenir ! Je peux te dire que tu vas t’en souvenir.
Il a tout de même
bien fallu que ça finisse par s’arrêter.
‒ Là ! Et
reviens-y pour voir !
Mylène s’est
longuement frotté et massé le postérieur en nous jetant, à la dérobée, à Théo
et à moi, de petits coups d’œil honteux par-dessus son épaule.
Léa l’a un peu
bousculée.
‒ Bon, ben
rhabille-toi maintenant ! On va pas y passer la soirée non plus. »
On est redescendus
tous les trois. Mylène s’est arrêtée en bas de l’escalier, nous a jeté un
regard suppliant.
« Vous direz
rien ?
Il y avait pas de
raison qu’on dise quoi que ce soit. À qui que ce soit.
‒ Mais… Mais
il y a plein de monde qui passe dans le couloir là-haut et vu la façon dont
t’as bramé, probable qu’il y en a qu’auront entendu.
Théo a hoché la
tête.
‒ C’est même
sûr.
Et Iourievna ? On la connait
Je crois, Elena nous l'a longuement présentée mais si vous êtes passés à côté, voici le premier épisode de la série : le chapitre 1
Il y a un début à cette série
Mais si vous voulez lire ce récit d'un autre point de vue : les rebelles chapitre 4
Et la suite ?
Chapitre 5
N'hésitez pas pour les commentaires
Tout le monde les attend : que pensez-vous de cette série croisant l'imaginaire d'Elena et celui de François.
Bonjour François,
RépondreSupprimerMerci pour ce spin off. Une vision en parallèle de mon texte agrémenté d'une bonne fessée sur Mylène.
Superbe à lire.
Amitiés.
Elena.
Bonjour, Elena. Et bonjour à tous.
SupprimerJe prends toujours autant de plaisir à me faufiler dans vos personnages et à renouveler le plaisir que j'ai pris à lire chacun des épisodes de ces rebelles en m'attardant longuement avec eux.
Amicalement.
François
Bonjour à vous,
RépondreSupprimerPour répondre à la question posée par notre cher éditeur en remarque du récit, l'interactivité entre les récits est une bonne chose. Il y un enrichissement mutuel et une sorte de continuité dans l'histoire du départ. Chaque auteur du Blog peut y apporter sa vision tout en gardant les personnages principaux. Excellent. A suivre.
Je fais la même chose pour mes saynètes en m'inspirant des récits de notre ami Ramina. Et ma foi, ça fonctionne bien.
Amicalement. Peter.
Bonjour, Peter Pan. Et Bonjour à tous.
SupprimerL'interactivité est en effet, à mon avis, quelque chose d'extrêmement jubilatoire. Rien n'empêche d'imaginer que d'autres intervenants auront l'envie, à leur tour, de s'immiscer dans ces rebelles ou qu'Elena elle-même sera tentée de reprendre à son compte l'un ou l'autre des personnages qui seront venus se greffer sur son texte. À l'infini.
Quant à l'interactivité entre vos saynètes et les textes de Ramina, j'avoue que, ce blog étant si foisonnant, je n'ai pas encore pris la peine de me pencher sérieusement sur cette collaboration. Je le ferai.
Amicalement.
François
Bonsoir François-Fabien,
SupprimerMerci pour ces mots d'encouragement.
Je vous invite à vous pencher (gare à ne pas tomber ! Rires) sur tous ses personnages et leurs facéties. C'est toujours très intéressant pour un "auteur" de connaître le ressenti de ces récits auprès du public. C'est l'essence même de l'interactivité
Et pourquoi pas re-imaginer une version personnelle autour de ces personnages.
Amicalement. Peter.
Rebonjour, Peter,
SupprimerJ'y compte bien. Quant à venir me greffer à mon tour sur votre collaboration, pourquoi pas? Mais pas dans l'immédiat-immédiat. Le journal d'Olga plus mes blogs à mettre régulièrement à jour, c'est très chronophage. Mais je vais y songer.
Amicalement.
François
Bonsoir François-Fabien,
SupprimerComme je le dis parfois, l'art de l'écriture est comme l'art culinaire, une fois les ingrédients réunis, il manque le tour de main du chef. Ca doit mijoter à feux doux pour mélanger les saveurs. Prenez donc votre temps. Rien ne presse.
Quant au temps dépensé, toute activité artistique est très chronophage comme vous dites. Pour exemple, mes petites saynètes me prennent facilement deux heures chacune, depuis l'ébauche au crayon de bois jusqu'à la rédaction des dialogues à l'écran en passant par l'encrage et la couleur. Mais au final, on s'amuse bien. Et c'est le but également : distraire les lectrices et lecteurs qui nous font l'honneur de visiter le Blog. Que tous soient remerciés.
Amicalement. Peter.
Amis de la poésie et de la fessée inter-active... Bonjour.
RépondreSupprimerLes ''imaginaires'' d'Elena et François se croisent avec autant d'efficacité que les traces de coups de règle sur une paire de fesses. Les dialogues, répliques et expressions sont toujours aussi vivants et d'un réalisme qui rendrait la fiction presque crédible.
Si l'on avait encore des doutes, l'auteur lève le voile, souvent pudiquement posé, sur les réactions physiques débordantes d'humidité en dessous de la ceinture, devant le spectacle recto verso d'une bonne correction. Idem de celui d'une derrière sévèrement fustigé. Nous avons ainsi confirmation que, à l'inverse du tabac, la fessée peut provoquer une excitation qui ne nuit en rien à la santé sexuelle de l'entourage. Masculin comme féminin. Oui, un peu raide comme formule!? (rires)
Dans cet épisode, les prestations disciplinaires devant le public jubilatoire d'une foule en délire,( pour ne pas dire en rut, mais je l'ai dit quand même! ) rappellent un peu les jeux du cirque romain... sans les lions, mais tout de même, le pouce tourné vers le sol...
Pour abonder dans le sens de notre avisé Peter Pan, l'interactivité entre les récits, réhabilite la notion de collaboration, fort justement mise à l'index depuis le régime de Vichy pendant la seconde guerre mondiale! Bon ben voilà... C'est dit.
Amicalement
Ramina
Bonjour, Ramina. Et bonjour à tous.
SupprimerLes situations créées par Elena, et la façon dont elle les traite, me parlent d'autant plus qu'elles ne s'encombrent ni de faux-fuyants ni de faux-semblants. L'occasion pour moi, en marchant sur ses traces, d'aborder les choses sous un angle vers lequel je n'aurais pas été spontanément porté.
Amicalement.
François
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerToujours vos remarquables commentaires, qui nous ravissent à chaque fois.
Amitiés.
Elena.
Bonsoir Elena,
RépondreSupprimerGrand merci chère amie... Vous m'en voyez tout aussi ravi...
Amicalement
Ramina
Re-re- bonjour,
RépondreSupprimerPour corroborer les propos de Peter sur l'interactivité, les personnages de Ma'am Thérez, Gérôme et de son affreux cousin, le dénommé Rodolphe, qui évoluent dans "Ces Dames Aux Mains fermes" viennent directement de l'univers de ses saynètes : "Mémoires d'un garnement de jadis"... ça fonctionne pas... ça carbure!
C'est tout aussi amusant de voir les personnages d'Elena évoluer sous la plume ( le clavier plutôt) de François...
On ne s'ennuie pas une seconde... Mais qu'en pensent mesdames et messieurs lectrices zé lecteurs ?
Amicalement
Ramina