vendredi 17 janvier 2020

Week-end cuisant - chapitre 7

Laissez-moi vous raconter notre dernier week-end dans le lot. J'avais réservé une chambre dans un charmant petit hôtel, à cette saison il n'y avait presque personne à part un couple d'anglais et 2 femmes que j'identifiai comme la mère et la fille. Elles occupaient la chambre voisine de la nôtre.
J'avais promis à monsieur une sévère déculottée pour quelques manquements à la discipline. Je choisis à dessein la table la plus proche de nos deux voisines. Au cours du repas je ne manquai pas de lui faire des reproches et je lui indiquai assez fort que tout cela se réglerait ce soir et qu'il pouvait s'attendre à une bonne fessée. Il devint rouge comme ses fesses après une bonne correction et il piqua du nez dans son assiette. Je faisais face à la table occupée par les deux dames, je remarquai que leur conversation s'était interrompue brièvement à l'évocation de ce châtiment destiné à un homme mûr.
Le repas terminé je dis d'un ton sans réplique à monsieur
" Tu montes dans la chambre et tu peux préparer tes fesses! "
J'avais prononcé ses paroles dans le silence relatif du restaurant et tout le monde l'avait entendu mais seul nos deux voisines en avaient perçu la signification, ce monsieur qui traversait la salle les joues rouges allait dans quelques temps recevoir une bonne fessée. La plus âgée me sourit je lui rendis la pareille tout en tapotant le dos de ma main avec l'autre, petit geste qui mimait la fessée aux yeux des initiés.
Je me fis servir un café et quand mes voisines quittèrent leur table je les suivis, elles entrèrent dans leur chambre et quand j'ouvris la mienne le spectacle prévu m'attendait. Monsieur avait déposé son pantalon sur le lit et comme je lui avait appris il avait baissé sa culotte sous ses fesses et il se tenait nez au mur les mains sur la tête. Je le félicitai pour son obéissance et le fit se reculotter. J'ouvris légèrement la fenêtre et je m’installai confortablement sur le fauteuil, un petit signe du doigt et mon petit mari savait que c'était l'heure de sa punition ou comme je lui répétais souvent le moment de montrer ses fesses.
Il s'approcha mais son regard fixait la fenêtre, il n'osa me demander si elle allait rester ouverte, devinant ses pensées je lui répondis en riant
" Tu as peur que tout le monde entende que tu reçois pan pan cucul "
Puis sans attendre je le basculai en travers de mes cuisses. Je commence toujours par une fessée d'échauffement sur la culotte, celle-ci fut courte, Il me tardait d'entendre le claquement caractéristique de la fessée sur la peau nue. Je baissai rapidement la culotte à mi cuisses et j'administrai une magistrale correction à mon mari qui au bout de quelques temps ne put retenir ses supplications et bientôt ses pleurs.
Satisfaite du résultat, la couleur des fesses et les gémissements de mon puni, je le fis se relever et comme d'habitude je le conduisis en le tenant par l'oreille au coin de la pièce avec les recommandations d'usage
" Nez au mur, mains sur la tête et on ne bouge pas! "
Je me dirigeai vers la fenêtre et j'aperçus une silhouette sur le balcon voisin, elle rentra rapidement.
" Mon petit chéri, nos voisines n'ont rien manqué de ta fessée! "
Je restais un moment sur le balcon et en tendant l'oreille je surpris la conversation entre la mère et la fille.
-Tu te rends compte, elle lui a donné une fessée déculottée !
 Tu sais je pense qu'elle a eu raison, je pense qu'il leur faut ça, si j'avais fait pareil avec ton père il n'aurait peut-être pas fini alcoolique.
- Oui mais quand même à son âge, une fessée cul nu!
- Oh ça ce n’est pas un problème, je pense même que si c'est inutile chez les enfants, c'est bougrement efficace chez un adulte, crois-moi il n'y a pas d'âge pour recevoir la fessée, d'ailleurs je me demande si de temps en temps ça ne te ferais pas de mal à toi aussi.
Elle avait dit ça en riant mais sa fille ne devait pas rire.
- Oh maman quand même! Je suis trop grande!
 -Je viens justement de te dire qu'il n'y a pas d'âge.
Je rentre dans la chambre, la soirée n'est pas finie pour monsieur. Je m'installe à nouveau bien confortablement sur le fauteuil, je l'appelle, il sait ce qui l'attend. Quelques secondes plus tard il est en bonne position, les fesses bien présentées. Elles sont encore rouges je les palpes, les écartes. Il se laisse faire, je le gronde lui explique ce qu'il va recevoir une correction dont il va se souvenir et puis si nos deux voisines n'ont pas l'image au moins elles auront le son!
Ma brosse à cheveux claque sévèrement ce derrière si bien exposé au bout de quelques secondes la brûlure doit être intense car sans soucis des voisines il se met à supplier et à pleurer. Je finis la punition sans me laisser attendrir. Puis je lui introduis le thermomètre dans les fesses et je le laisse dans cette position inconfortable les fesses écarlates bien tendues devant moi, le thermomètre dépassant de la raie fessière. Je me moque gentiment de lui.
- Tu devrais avoir honte de recevoir la fessée cul nu à ton âge et le thermomètre dans les fesses, tu n'aimes pas trop ça mon chéri et bien la prochaine fois tu réfléchira avant d'être désagréable. Tu as de la chance personne ne te vois avec ton derrière tout rouge allongé sur mes genoux, mais je pense que nos deux voisines sont bien au courant de ce qui t'arrive.
Je le laisse dix minutes dans cette position puis il va au coin pour le reste de la soirée.
Le lendemain matin vous pensez bien qu'il n'avait pas envie de descendre déjeuner avec la perspective de se retrouver face à nos deux voisines. Une fessée déculottée courbé sous mon bras eût tôt fait de le décider. Et c'est un monsieur aux joues aussi rouges que ses fesses qui dut répondre au
" Bonjour, vous avez bien dormi " dit avec un petit sourire moqueur par la maman. « 
Elles quittèrent la salle avant nous pour se rendre à la piscine qui était juste sous notre chambre. J'annonçai à mon mari que sa petite rébellion du matin allait lui valoir une bonne fessée et une privation de piscine. Quelques minutes plus tard il était en position disciplinaire fesses à l'air et gémissant sous les claques sonores. J'avais bien sûr ouvert la fenêtre en grand pour que les deux dames ne perdent rien du spectacle audio. Je le laissai au coin, culotte descendue à mi cuisses et mains sur la tête et je descendis à la piscine. La maman me demanda d'un air un peu coquin.
"Votre mari ne vient pas? "
Je lui répondis en souriant
" Non, il est puni! "
" C'est bien ce qui m'avait semblé" me répondit elle. Il n'y a rien de mieux qu'une bonne fessée déculottée pour faire obéir les messieurs. "
J'avais décidé de répondre de toute façon c'était une inconnue et il y avait peu de chance qu'on la rencontre un jour. Je ne fus pas déçue, c'était une fesseuse potentielle.
"C'est juste ce que je disais à ma fille hier soir quand on a entendu la fessée que vous lui avez administré "
Sandra la demoiselle à qui elle s'adressait était allongée sur le ventre. Son maillot de bain moulait parfaitement un petit derrière ravissant, il était juste assez ajusté pour découvrir la base de ses fesses. Celle-ci s'était imperceptiblement contractée aux mots de sa mère. Je me surpris à penser que ça serait très agréable de baisser cette culotte pour lui donner la fessée.
Mais nous en restâmes la et quand je racontai cet épisode à mon mari vous vous doutez bien qu'il fut mort de honte.
Il était encore cul nu, je le remis en position pour une dernière fessée avant notre retour à la maison, il fallait qu'il sente mon autorité pendant tout le voyage et rien de mieux qu'une paire de fesses bien chaudes pour cela.


Les précédentes contributions de Sylvie

Conseils aux épouses pour une journée fesses rouges

Des conseils sur l'administration de la fessée ?

Mais vous pouvez également consulter...

la pages des "débats en cours"

Les commentaires...

C'est ci-dessous. N'hésitez pas ! Sylvie vous répondra.

4 commentaires:

  1. très beau récit.dommage que ce ne soit que pure fiction.
    serge

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  2. la mere a t'elle fesser sa fille?

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  3. Bonjour Inconnu.
    Les fictions sont très largement majoritaires sur le Blog...
    Elena.

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  4. Madame j'adore vos récits,
    Votre mari a bien de la chance.

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