Ce fut quelques temps après qu'elle ait reçu sa première fessée, je m'étais dit également qu'il fallait bien qu'elle ait une petite compensation. Gérard me fournit l'occasion rêvée un soir en arrivant à la maison de fort méchante humeur, ne sachant pas que nous étions là, il jura abondamment après les embouteillages et ces connards (sic) de conducteurs qui l'avait retardé. Quand il pénétra dans la pièce il fut très surpris de notre présence, je sautai sur l'occasion.
"Ah
c'est comme ça que tu parles, tu sais que je déteste cette façon de te comporter
!"
Il s'excusa platement, il savait ce qui allait suivre,
une bonne fessée dans la chambre, mais quand je lui ai dit, "approche un peu
mon chéri, je vais te faire passer cette sale habitude, et tu connais ma méthode"
comprenant ce qui allait lui arriver, il blêmit et bafouilla des excuses mais il
s'approcha, en souriant je lui ai dit "c'est un peu tard, mon chéri tu sais
ce qui arrive aux maris mal polis, non ? Et bien je vais te le dire, il reçoive une
bonne fessée déculottée" tout en disant ces mots je déboutonnais son pantalon
et quelques instants plus tard il descendait sur ses chevilles, il était tétanisé,
je lui ai pris la main et l'ai fait se coucher en travers de mes cuisses.
Bien sûr Amélie ne perdait rien du spectacle et elle regardait en souriant ce monsieur de 50 ans allongé sur les genoux de sa femme le pantalon descendu s'apprêtant à recevoir le châtiment traditionnellement réservé aux enfants. Tranquillement je glissai mes doigts sous la ceinture de son boxer et je fis descendre la dernière protection de son amour propre. En un instant ce monsieur était passé de la position de cadre sur de lui à celle d'un petit garçon déculotté prêt à recevoir une fessée.
Ma main se leva et je commençai à lui administrer une magistrale correction. J'alternais rapidement les claques sur la fesse gauche puis sur la droite, celles-ci prirent rapidement une très jolie couleur, au début ne voulant pas montrer de faiblesse, Gérard ne disait rien mais je savais comment le faire réagir, il fallait augmenter la rapidité et la force des claques, le résultat ne se fit pas attendre, il se mit à gémir puis à pleurnicher. Ses fesses étaient devenues écarlates sur toutes leurs surfaces, du haut des cuisses jusqu'au bas des reins. Je lui avais mis une jolie culotte rouge comme j'avais l'habitude de lui dire après une magistrale fessée.
La correction était terminée mais pas la punition, il faut toujours rajouter à la douleur de la fessée une part d'humiliation, le déculottage en public en avait fait partie aujourd'hui mais comme je tenais à marquer le coup, je le fis se relever et lui annonça. "bien j'espère que ça va te servir de leçon, tu vas aller montrer tes fesses à Amélie pour qu'elle puisse constater comment je soigne les petits mal-élevés." il marqua une hésitation, signe de son incrédulité, une claque vigoureuse sur son fessier qui était encore à ma portée le fit obéir." oui, oui, tu as bien compris, tu vas voir Amélie, tu te tournes et tu te penches un peu pour bien lui présenter tes fesses et vite !" une nouvelle claque avait accompagné ces paroles. Rouge de honte il s'exécuta,
Amélie appréciait à sa juste valeur ma sévérité et elle décida d'en rajouter un peu, elle palpa le fessier qui lui était si bien présenté," oh, mais c'est bien chaud, ça doit bien te cuire, mais je pense que c'était mérité, approche un peu plus", maintenant elle caressait toute la surface, ses doigts s'insinuaient dans la raie fessière. "elles sont bien contractées ses fesses, allez desserre moi un peu tout ça." une petite claque sur les fesses avait accompagné ces mots. Gérard était au supplice, on le laissa pendant quelques instants dans cette position fesses bien rouge tendues vers nous.
Puis je lui dis d'enlever son pantalon et quand ce fut fait pour parachever son retour en enfance, je le pris par l'oreille pour le conduire au coin, "le nez bien collé au mur, les mains sur la tête et que je ne te voie pas bouger !" une claque retentissante sur chaque fesse, la chemise épinglée dans le dos pour bien dégager la surface de la punition et je pus me reprendre ma place sur le canapé pour admirer le spectacle.
Bien sûr Amélie ne perdait rien du spectacle et elle regardait en souriant ce monsieur de 50 ans allongé sur les genoux de sa femme le pantalon descendu s'apprêtant à recevoir le châtiment traditionnellement réservé aux enfants. Tranquillement je glissai mes doigts sous la ceinture de son boxer et je fis descendre la dernière protection de son amour propre. En un instant ce monsieur était passé de la position de cadre sur de lui à celle d'un petit garçon déculotté prêt à recevoir une fessée.
Ma main se leva et je commençai à lui administrer une magistrale correction. J'alternais rapidement les claques sur la fesse gauche puis sur la droite, celles-ci prirent rapidement une très jolie couleur, au début ne voulant pas montrer de faiblesse, Gérard ne disait rien mais je savais comment le faire réagir, il fallait augmenter la rapidité et la force des claques, le résultat ne se fit pas attendre, il se mit à gémir puis à pleurnicher. Ses fesses étaient devenues écarlates sur toutes leurs surfaces, du haut des cuisses jusqu'au bas des reins. Je lui avais mis une jolie culotte rouge comme j'avais l'habitude de lui dire après une magistrale fessée.
La correction était terminée mais pas la punition, il faut toujours rajouter à la douleur de la fessée une part d'humiliation, le déculottage en public en avait fait partie aujourd'hui mais comme je tenais à marquer le coup, je le fis se relever et lui annonça. "bien j'espère que ça va te servir de leçon, tu vas aller montrer tes fesses à Amélie pour qu'elle puisse constater comment je soigne les petits mal-élevés." il marqua une hésitation, signe de son incrédulité, une claque vigoureuse sur son fessier qui était encore à ma portée le fit obéir." oui, oui, tu as bien compris, tu vas voir Amélie, tu te tournes et tu te penches un peu pour bien lui présenter tes fesses et vite !" une nouvelle claque avait accompagné ces paroles. Rouge de honte il s'exécuta,
Amélie appréciait à sa juste valeur ma sévérité et elle décida d'en rajouter un peu, elle palpa le fessier qui lui était si bien présenté," oh, mais c'est bien chaud, ça doit bien te cuire, mais je pense que c'était mérité, approche un peu plus", maintenant elle caressait toute la surface, ses doigts s'insinuaient dans la raie fessière. "elles sont bien contractées ses fesses, allez desserre moi un peu tout ça." une petite claque sur les fesses avait accompagné ces mots. Gérard était au supplice, on le laissa pendant quelques instants dans cette position fesses bien rouge tendues vers nous.
Puis je lui dis d'enlever son pantalon et quand ce fut fait pour parachever son retour en enfance, je le pris par l'oreille pour le conduire au coin, "le nez bien collé au mur, les mains sur la tête et que je ne te voie pas bouger !" une claque retentissante sur chaque fesse, la chemise épinglée dans le dos pour bien dégager la surface de la punition et je pus me reprendre ma place sur le canapé pour admirer le spectacle.
Comme si de rien n'était, nous avons repris notre conversation,
bien sûr, elle tournait autour de la fessée, comment aurait-il pu en être autrement
avec le spectacle que nous offrait Gérard bien malgré lui, une magnifique paire
de fesses bien rouge, soulignée par le blanc de la culotte à mi-cuisse et la chemise
retroussée, les fesses se contractaient régulièrement, preuve de la cuisson que
devait ressentir le puni, ne pas pouvoir se frotter les fesses après une bonne déculottée
fait partie de la punition. Amélie me demanda qu'elle était la suite du programme,
la faute était vénielle, mais Gérard n'avait pas de chance, il fallait que je montre
mon autorité à mon amie, aussi j'ai prononcé une sentence d'une sévérité un peu
disproportionnée, "il va rester 1 heure au coin pour commencer, ensuite une
fessée avant le repas, il mangera fesses nues sur la chaise en paille, ça empêche
les fesses de perdre leurs belles couleurs, ensuite après avoir débarrassé la table,
une nouvelle fessée et il passera la soirée sur mes genoux avec le thermomètre bien
en place dans les fesses " Amélie fut impressionnée, "et bien après ça
je pense qu'il va réfléchir à deux fois avant de jurer !" Nous restâmes quelques
instants à papoter, puis elle prit congé. J'appliquai à la lettre le programme annoncé,
rajoutant juste une petite fessée avant le coucher pour faire bonne mesure.
Quelques jours plus tard, Amélie m'invitait chez elle,
à mon arrivée une bonne surprise m’attendait, Hugues était au coin de la pièce,
sans pantalon, la culotte descendue juste sous les fesses et les mains sur la tête.
"tu tombes à pique ma chérie, je m'apprêtais à administrer une bonne fessée
à mon petit chéri, une déculottée publique lui fera le plus grand bien" Hugues
se trémoussait un peu signe de sa gêne d'exposer ainsi ses fesses nues même s’il
me connaissait depuis longtemps et qu'il savait par Amélie que je pratiquais de
la même façon avec mon mari. "Cesse
un peu ces simagrées, tu vas avoir tout le loisir de remuer tes fesses dans quelques
instants, rassure toi "
Amélie se délectait de la situation. Elle le fit se reculotter et il dut venir la voir tête basse, il n'osait pas me regarder. J'étais ravie de la situation. Quelques instants plus tard il était allongé en travers des cuisses de son épouse. "j'espère que tu te rends bien compte de ce qui va t'arriver, oui mon chéri, tu vas recevoir une bonne fessée déculottée en présence de Sylvie, tu as honte ? C'est fait pour ça, la prochaine fois tu réfléchiras avant de me répondre sur ce ton" tout en disant ça, elle avait saisi la ceinture de la culotte et elle l'a faisait descendre lentement pour découvrir le postérieur de son mari. "voilà, monsieur, cul nu, comme un sale gosse et Sylvie n'en perd pas une miette" elle prenait un malin plaisir à faire durer le déculottage, quand la culotte fut descendue sous les fesses, j'interviens, "bravo ma chérie, belle technique, les fesses de ton chéri sont très bien présentées"
Satisfaite Amélie souriait en contemplant les fesses encore blanches de son chéri, puis elle leva la main et commença la correction, Hugues ne tarda pas à réagir, il se mit à crier et à tortiller ses fesses, à les serrer et desserrer à battre des pieds. On voyait bien que ce n'était pas une fessée pour de rire, ça devait cuire énormément le derrière d'Hugues. La fessée dura jusqu'à ce qu'une belle couleur illumine le fessier du puni. Elle le fit se relever, il pleurait comme tous les fessés du monde et il fut conduit tenu par l'oreille au coin de la pièce qu'il occupait quelques instants auparavant. Je l'ai félicité "je vois que tu as vite pris la technique, c'était vraiment une belle fessée"
Amélie se délectait de la situation. Elle le fit se reculotter et il dut venir la voir tête basse, il n'osait pas me regarder. J'étais ravie de la situation. Quelques instants plus tard il était allongé en travers des cuisses de son épouse. "j'espère que tu te rends bien compte de ce qui va t'arriver, oui mon chéri, tu vas recevoir une bonne fessée déculottée en présence de Sylvie, tu as honte ? C'est fait pour ça, la prochaine fois tu réfléchiras avant de me répondre sur ce ton" tout en disant ça, elle avait saisi la ceinture de la culotte et elle l'a faisait descendre lentement pour découvrir le postérieur de son mari. "voilà, monsieur, cul nu, comme un sale gosse et Sylvie n'en perd pas une miette" elle prenait un malin plaisir à faire durer le déculottage, quand la culotte fut descendue sous les fesses, j'interviens, "bravo ma chérie, belle technique, les fesses de ton chéri sont très bien présentées"
Satisfaite Amélie souriait en contemplant les fesses encore blanches de son chéri, puis elle leva la main et commença la correction, Hugues ne tarda pas à réagir, il se mit à crier et à tortiller ses fesses, à les serrer et desserrer à battre des pieds. On voyait bien que ce n'était pas une fessée pour de rire, ça devait cuire énormément le derrière d'Hugues. La fessée dura jusqu'à ce qu'une belle couleur illumine le fessier du puni. Elle le fit se relever, il pleurait comme tous les fessés du monde et il fut conduit tenu par l'oreille au coin de la pièce qu'il occupait quelques instants auparavant. Je l'ai félicité "je vois que tu as vite pris la technique, c'était vraiment une belle fessée"
Amélie ne comptait pas en rester là, elle appela Hugues,
"tu vas aller chercher la brosse à cheveux dans la chambre, et tu me la ramènes"
il s'exécuta, la culotte baissée, exposant ses fesses rouges, en revenant, il tendit
l'instrument de sa future punition à Amélie, "non, non, mon chéri, c'est à
Sylvie que tu dois la donner, c'est elle qui va s'occuper de tes fesses", il
l'a regarda stupéfait "oui, oui, tu as bien compris, Sylvie va t'administrer
une fessée à la brosse, je t'avais dit que tu regretterais ton comportement !"
j'étais aux anges, c'était vraiment un beau cadeau que me faisait mon amie, flanquer
une déculottée à ce petit monsieur, voilà qui était enthousiasment.
Hugues piteusement en regardant ses pieds me tendit la brosse, sans attendre, je lui ai pris la main et l'ai fait basculer sur mes genoux, la culotte était déjà baissée mais je la fis descendre jusqu'aux genoux. Puis je levai la brosse et commençai la correction. Qui n'a jamais reçu une fessée à la brosse à cheveux ne sait pas qu'elle est la brûlure ressentie, mais je peux vous assurer qu'a ses supplications et aux mouvements de ses pieds et aux contractions de ses fesses ça devait être terrible.
Quand je cessai la fessée, ses fesses étaient rouge brique, il pleurait mais ne bougeait pas m'exposant son derrière qui se contractait pour essayer d'atténuer la brûlure. Amélie se leva en me demandant de le garder sur mes genoux, elle revint quelques instants plus tard avec un thermomètre à la main. "il est tout neuf, je l'ai acheté c'est après midi, tu vas l'inaugurer" décidément j'étais gâtée, en plus Hugues n'avait jamais dû se faire introduire un thermomètre rectal, ça promettait d'autre fessée à venir. Le résultat fut à la hauteur de mes espérances, le pauvre Hugues, malgré mes menaces ne put s'empêcher de serrer plusieurs fois les fesses au moment de l'introduction de l'instrument punitif, ce qui lui valut autant de fessée à la brosse. Quand enfin seul un petit bout du thermomètre dépassa de sa raie fessière, son postérieur présentait une couleur flamboyante et il pleurait à chaudes larmes. "et bien nous y voilà, ça n'a pas été sans mal, mais là il est bien en place, il ne bougera plus, tu vas rester là sur mes genoux à nous présenter tes fesses pendant 20 minutes ensuite Amélie décidera de la suite" celle-ci avait observé avec attention ma technique. "oh, ce n'est pas difficile, puisque monsieur n'accepte pas sa punition, et bien c'est toute la soirée qu'il aura le thermomètre dans les fesses et en plus, il sera au privé de repas" J'approuvai sa sévérité et je lui expliquai comment procéder, il fallait installer un coussin sur une table basse de façon que le puni soit couché, fesses en l'air bien exposées, et ensuite lui introduire bien profondément le thermomètre. Ensuite elle pouvait vaquer à ses occupations en surveillant du coin de l'œil son petit chéri en pénitence. En général après une soirée comme celle-là, les rebellions disparaissent comme par enchantement. Je lui recommandai aussi de redonner une bonne couleur aux fesses du puni par l'application régulière de la brosse à cheveux.
Hugues piteusement en regardant ses pieds me tendit la brosse, sans attendre, je lui ai pris la main et l'ai fait basculer sur mes genoux, la culotte était déjà baissée mais je la fis descendre jusqu'aux genoux. Puis je levai la brosse et commençai la correction. Qui n'a jamais reçu une fessée à la brosse à cheveux ne sait pas qu'elle est la brûlure ressentie, mais je peux vous assurer qu'a ses supplications et aux mouvements de ses pieds et aux contractions de ses fesses ça devait être terrible.
Quand je cessai la fessée, ses fesses étaient rouge brique, il pleurait mais ne bougeait pas m'exposant son derrière qui se contractait pour essayer d'atténuer la brûlure. Amélie se leva en me demandant de le garder sur mes genoux, elle revint quelques instants plus tard avec un thermomètre à la main. "il est tout neuf, je l'ai acheté c'est après midi, tu vas l'inaugurer" décidément j'étais gâtée, en plus Hugues n'avait jamais dû se faire introduire un thermomètre rectal, ça promettait d'autre fessée à venir. Le résultat fut à la hauteur de mes espérances, le pauvre Hugues, malgré mes menaces ne put s'empêcher de serrer plusieurs fois les fesses au moment de l'introduction de l'instrument punitif, ce qui lui valut autant de fessée à la brosse. Quand enfin seul un petit bout du thermomètre dépassa de sa raie fessière, son postérieur présentait une couleur flamboyante et il pleurait à chaudes larmes. "et bien nous y voilà, ça n'a pas été sans mal, mais là il est bien en place, il ne bougera plus, tu vas rester là sur mes genoux à nous présenter tes fesses pendant 20 minutes ensuite Amélie décidera de la suite" celle-ci avait observé avec attention ma technique. "oh, ce n'est pas difficile, puisque monsieur n'accepte pas sa punition, et bien c'est toute la soirée qu'il aura le thermomètre dans les fesses et en plus, il sera au privé de repas" J'approuvai sa sévérité et je lui expliquai comment procéder, il fallait installer un coussin sur une table basse de façon que le puni soit couché, fesses en l'air bien exposées, et ensuite lui introduire bien profondément le thermomètre. Ensuite elle pouvait vaquer à ses occupations en surveillant du coin de l'œil son petit chéri en pénitence. En général après une soirée comme celle-là, les rebellions disparaissent comme par enchantement. Je lui recommandai aussi de redonner une bonne couleur aux fesses du puni par l'application régulière de la brosse à cheveux.
Au bout des 20 minutes, je permis Hugues à relever
après lui avoir retiré l'instrument de sa punition. Amélie avait préparé le banc
de pénitence, elle l'attrapa par la main pour l'y amener mais avant de le faire
s'allonger, trouvant que le fessier de son mari avait pâli, elle posa son pied sur
la table basse et sans lui laisser le temps de réfléchir, elle l'avait courbé sur
sa cuisse horizontal et soulevé de terre comme un gamin, ses fesses étaient à nouveau
à sa disposition, elle lui administra à nouveau une retentissante fessée. Puis le
reposant par terre elle lui annonça "en position, et vite et tu m'ouvre bien
ses fesses sinon gare !" cette fois-ci elle n'eut aucun mal à mettre le thermomètre
en place. Satisfaite de ma soirée, je pris congé.
Depuis cette date, j'ai à ma disposition trois paires
de fesses, deux masculines bien musclées et une féminine un peu plus potelée mais
non moins agréable. Et il ne se passe pas de semaine ni même de jour sans que l'une
ou l'autre rougit et parfois les trois.
Mais me direz-vous comment vous organisez vous avec
ces trois fessiers quand il y en a plusieurs à punir. Pour ce qui est des messieurs,
aucun problème Amélie me seconde elle fesse indifféremment Gérard et Hugues. Quand
c'est à elle de montrer ses fesses, je la fesse même en présence de mon mari, ça
lui fait plaisir de voir Amélie couchée sur mes genoux la culotte baissée en train
d'exécuter une danse des fesses et finir au coin fesses écarlates bien exposées.
En général pour faire bonne mesure il a droit lui aussi à sa fessée pour ne pas
le laisser se réjouir trop longtemps de sa bonne fortune. Je n'ai jamais fessé Amélie
devant Hugues pour qu'elle garde son autorité intacte, mais elle sait qu'elle ne
doit pas en profiter sous peine de fessée exemplaire quand nous serons seules.
Depuis plus de dix ans nos deux couples sont restés
très amis et la fessée fait vraiment partie de notre vie mais toujours dans la discrétion.
Les précédentes contributions de Sylvie
Conseils aux épouses pour une journée fesses rougesDes conseils sur l'administration de la fessée ?
Mais vous pouvez également consulter...
la pages des "débats en cours"
ou encore "la fessée et moi"
Les commentaires...
C'est ci-dessous. N'hésitez pas ! Sylvie vous répondra.
Amis de la poésie et des amies de la fessée qui apprennent vite... Bonjour!
RépondreSupprimerComme il est agréable d'avoir des amies qui partagent les mêmes convictions et méthodes disciplinaires. Sylvie est pour le partage et la transmission des savoir faire. Elle en connaît un rayon en matière de fessées et comme son amie Amélie apprend vite les époux indisciplinés ont intérêt à filer doux.
Echange de bons procédés et des paires de fesses, que ces Dames déculottent et fessent avec enthousiasme à la moindre occasion. Et elles sont nombreuses quand on ne laisse rien passer.
Ce qu'il y a de plaisant avec Sylvie, c'est qu'elle ne lésine ni sur la qualité ni sur la quantité des corrections. A bonne école, La voisine opère de la même manière. Une punition est souvent un Florilège de plusieurs fessées successives qui garantissent un coloration soutenue et à long terme des fessiers concernés. On reculotte et déculotte à chaque fois pour une petite couche d'humiliation supplémentaire, ça ne plaisante pas. Puis, nos régions ont du talent, notre inventive fesseuse aussi, après une solide fessée, vient le délicieux rituel de l'introduction du thermomètre, qui ne manque pas de fondement, ...( rires) Hugues en hoquète de honte!
Notre auteure, comblée, dispose donc de trois belle paires de fesses à claquer...Cela promet encore quelques réjouissants épisodes à savourer avec cette écriture, aussi efficace que les fessées qu'elle administre!
Amicalement
Ramina