Vous comprenez, mon cher ami, je me sens responsable de la discipline domestique. Je ne peux me permettre de laisser cette jeune fille être insolente avec les amis que je reçois, surtout quand ils sont aussi charmants que vous.
Ce café que nous prenons ensemble doit être l'occasion d'un temps de détente dans votre journée trépidante. Il n'est pas question qu'il soit perturbé par cette petite pimbêche qui se croit tout permis. Je ne pouvais pas laisser passer cela !
Ce n'est pas, parce qu'elle n'est pas d'accord avec vos propos, qu'elle peut se permettre de vous interrompre et de vous invectiver de façon tout à fait insolente. Ces jeunes filles de maintenant ne respectent plus leurs aînés. Et les garçons, c'est pareil. Ils pensent tout savoir ! Ils croient qu'à vingt-cinq ans ils ont tout vu de la vie et tout compris de la façon dont fonctionne le monde. Encore un peu et elle vous faisait la leçon. Je crois que l'envie lui en a passé pour un bon moment !
Il est vrai que vous ne la connaissez pas. C'est la première fois que vous la voyez et réciproquement. C'est d'autant plus choquant qu'elle vous ait apostrophé de la sorte. Cette jeune fille est une voisine dont je surveille le comportement et les fréquentations. En fait, je lui sers un peu de mère de substitution.
Elle a trouvé du travail dans notre ville il y a peu de temps. Sa directrice est une amie très proche et elle n'a accepté d'embaucher cette demoiselle que si elle venait habiter dans l'appartement proche du mien et qui appartient à la société qui l'emploie. Elle a également dû accepter ma supervision sur tous les aspects de sa vie. Outre son comportement et ses fréquentations, je contrôle la façon dont elle s'habille, la propreté de son appartement et son hygiène intime. Je veille à ce qu'elle travaille correctement et qu'elle se couche à des heures raisonnables. En fait je dispose de toutes les prérogatives d'une Maman attentive.
Bien évidemment, je la punis quand elle en a besoin. Je crois que je suis assez sévère, mais sans excès, vous me connaissez. Au début de notre fréquentation, je me contentais de la gronder. J'ai bien vu que cela n'avait que peu d'effet. C'est sa directrice qui m'a conseillé d'être plus ferme avec elle, comme cela se passe à son travail.
Depuis que je lui donne la fessée déculottée à chaque fois qu'elle la mérite, elle a fait beaucoup de progrès. Elle est bien plus obéissante et bien plus attentive aux remarques que je peux lui faire. Je dois avouer que je ne regrette pas d'avoir recours à cette méthode qui a fait ses preuves depuis longtemps.
Ce n'est pas, parce qu'elle n'est pas d'accord avec vos propos, qu'elle peut se permettre de vous interrompre et de vous invectiver de façon tout à fait insolente. Ces jeunes filles de maintenant ne respectent plus leurs aînés. Et les garçons, c'est pareil. Ils pensent tout savoir ! Ils croient qu'à vingt-cinq ans ils ont tout vu de la vie et tout compris de la façon dont fonctionne le monde. Encore un peu et elle vous faisait la leçon. Je crois que l'envie lui en a passé pour un bon moment !
Il est vrai que vous ne la connaissez pas. C'est la première fois que vous la voyez et réciproquement. C'est d'autant plus choquant qu'elle vous ait apostrophé de la sorte. Cette jeune fille est une voisine dont je surveille le comportement et les fréquentations. En fait, je lui sers un peu de mère de substitution.
Elle a trouvé du travail dans notre ville il y a peu de temps. Sa directrice est une amie très proche et elle n'a accepté d'embaucher cette demoiselle que si elle venait habiter dans l'appartement proche du mien et qui appartient à la société qui l'emploie. Elle a également dû accepter ma supervision sur tous les aspects de sa vie. Outre son comportement et ses fréquentations, je contrôle la façon dont elle s'habille, la propreté de son appartement et son hygiène intime. Je veille à ce qu'elle travaille correctement et qu'elle se couche à des heures raisonnables. En fait je dispose de toutes les prérogatives d'une Maman attentive.
Bien évidemment, je la punis quand elle en a besoin. Je crois que je suis assez sévère, mais sans excès, vous me connaissez. Au début de notre fréquentation, je me contentais de la gronder. J'ai bien vu que cela n'avait que peu d'effet. C'est sa directrice qui m'a conseillé d'être plus ferme avec elle, comme cela se passe à son travail.
Depuis que je lui donne la fessée déculottée à chaque fois qu'elle la mérite, elle a fait beaucoup de progrès. Elle est bien plus obéissante et bien plus attentive aux remarques que je peux lui faire. Je dois avouer que je ne regrette pas d'avoir recours à cette méthode qui a fait ses preuves depuis longtemps.
Je regrette bien de ne pas y avoir eu recours plus tôt. J'ai essuyé de nombreuses rebuffades avant de comprendre que cette demoiselle n'acceptait de m'obéir qu'une fois que je lui avais baissé la culotte et rougi les fesses. Combien de soirées angoissantes me serais-je épargné en attendant qu'elle rentre à des heures fort avancées dans la nuit, si je l'avais corrigée dès le début ? Combien d'impolitesse aurais-je épargné aux voisins si je l'avais fessée dès les premiers jours où je l'ai connue ? Si j'avais su...
Cela semble facile maintenant. Comme vous avez pu le constater, je n'ai pas eu de mal à l'installer à plat ventre en travers de mes genoux et à la déculotter. Cela n'a pas été sans mal au début. Mademoiselle avait décidé que non seulement elle était trop grande pour recevoir une fessée, mais de plus je n'avais aucun droit à la corriger ni de cette façon, ni d'une autre. Je suis, malgré tout arrivée à mes fins.
Je suis assez sportive, bien plus grande qu'elle et ce n'est pas une gamine de vingt-cinq ans qui va me résister. Elle ne savait pas, qu'ayant été professeure dans une institution privée pour jeune fille, elle n'était pas la première que je déculottais pour lui administrer la correction qu'elle méritait.
Cela a été assez mouvementé les premiers jours où je me suis résolue à sévir. Mais les fessées devenaient d'autant plus sévères qu'elle résistait. Je crois que c'est quand j'ai eu recours au dos de la brosse de bain qu'elle a compris qu'elle n'aurait pas gain de cause et qu'il était préférable de subir sa punition, aussi sévère soit-elle.
Bien que cela lui pèse toujours autant, elle ne discute plus quand je lui annonce qu'une fessée est au programme. Je vois bien que si elle le pouvait, elle refuserait la fessée, mais elle n'ose plus. Pareil quand je l'envoie au piquet !
J'ai bien cru qu'elle allait recommencer à me faire des difficultés quand elle a compris qu'elle allait prendre la fessée en votre présence. C'est la première fois que je la déculotte et que je la fesse alors qu'une tierce personne y assiste. Mais je ne pouvais décemment pas faire autrement, compte tenu de son comportement à votre égard. Il était bien normal qu'elle soit punie devant vous.
J'espère que cela ne vous a pas choqué ?
Cela semble facile maintenant. Comme vous avez pu le constater, je n'ai pas eu de mal à l'installer à plat ventre en travers de mes genoux et à la déculotter. Cela n'a pas été sans mal au début. Mademoiselle avait décidé que non seulement elle était trop grande pour recevoir une fessée, mais de plus je n'avais aucun droit à la corriger ni de cette façon, ni d'une autre. Je suis, malgré tout arrivée à mes fins.
Je suis assez sportive, bien plus grande qu'elle et ce n'est pas une gamine de vingt-cinq ans qui va me résister. Elle ne savait pas, qu'ayant été professeure dans une institution privée pour jeune fille, elle n'était pas la première que je déculottais pour lui administrer la correction qu'elle méritait.
Cela a été assez mouvementé les premiers jours où je me suis résolue à sévir. Mais les fessées devenaient d'autant plus sévères qu'elle résistait. Je crois que c'est quand j'ai eu recours au dos de la brosse de bain qu'elle a compris qu'elle n'aurait pas gain de cause et qu'il était préférable de subir sa punition, aussi sévère soit-elle.
Bien que cela lui pèse toujours autant, elle ne discute plus quand je lui annonce qu'une fessée est au programme. Je vois bien que si elle le pouvait, elle refuserait la fessée, mais elle n'ose plus. Pareil quand je l'envoie au piquet !
J'ai bien cru qu'elle allait recommencer à me faire des difficultés quand elle a compris qu'elle allait prendre la fessée en votre présence. C'est la première fois que je la déculotte et que je la fesse alors qu'une tierce personne y assiste. Mais je ne pouvais décemment pas faire autrement, compte tenu de son comportement à votre égard. Il était bien normal qu'elle soit punie devant vous.
J'espère que cela ne vous a pas choqué ?
Merci à ...
Et bien non, ce n'est pas Peter pan qui est l'auteur de ce dessin ! Avouez que vous auriez reconnu son style. Mais qui est le dessinateur qui nous a servi une scène aussi savoureuse ? Eh bien, je ne sais pas !
Si vous avez une idée, faites-nous en part.
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Avoir une voisine résolue, cela peut être très utile
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Bonjour à tous...
RépondreSupprimerEh non, cher éditeur, ce n'est pas moi qui suis l'auteur de ce dessin. Mais c'est très flatteur. Bref.
Il me semble que l'auteur en soit Paula Meadows, une actrice de films qui serait devenu illustratrice. Et quelle illustratrice.
En effet, son style est délicieusement rétro et qui cadre bien avec l'éducation "A l'ancienne".
Amicalement. Peter.
en effet, cette voisine a tout à fait raison. cette jeune fille mérite bien une fessée déculottée.
RépondreSupprimerBonjour à tous.
RépondreSupprimerQue les choses sont très justement et très clairement dites. Et, qui plus est, en présence de la demoiselle en question.
Quant au dessin, il est très évocateur.
Amicalement.
François