Non, non, ne me remerciez pas. C'est bien normal, entre voisines de se rendre service. Je comprends que si vous n'en avez pas l'habitude, vous ayez besoin qu'on vous explique comment il faut s'y prendre. Mais il n'est jamais trop tard pour s'y mettre sérieusement.
Ce n'est pas parce que notre époque vit un temps de changement important, qu'il faut accepter toutes les évolutions de comportement de nos jeunes filles. Il ne s'agirait pas de vivre comme on put le faire nos grands-parents, mais il y a des limites à ne pas dépasser. C'est notre devoir, à nous les mères, d'apprendre cela à nos enfants. parfois il faut être ferme et le faire sans ambiguïté.
Il faut vraiment qu'elle comprenne que ce n'est pas parce qu'elle à plus de vingt-et-un ans depuis quelques mois, qu'elle n'est plus soumise à l'autorité de sa mère. Si encore elle en profitait pour devenir raisonnable et montrer qu'elle assume son statut de jeune adulte ! Bien au contraire !
Si j'ai bien compris ce que vous m'avez raconté, ce n'est que désobéissance sur désobéissance, des comportements irresponsables en veux-tu en voilà. Si encore elle ne se contentait que de cela ! Elle se permet des insolences vis à vis de vous, sa mère, comme si son âge la dispensait de la politesse de base.
Je crois qu'il est temps de ramener cette jeune file à une attitude un peu plus humble. Il faut lui expliquer que si elle se comporte comme une fillette insupportable, nous, les adultes, avons ce qu'il faut pour éradiquer ces comportements, ce qui convient à une jeune fille désobéissante : une bonne fessée déculottée.
Si j'ai bien compris ce que vous m'avez raconté, ce n'est que désobéissance sur désobéissance, des comportements irresponsables en veux-tu en voilà. Si encore elle ne se contentait que de cela ! Elle se permet des insolences vis à vis de vous, sa mère, comme si son âge la dispensait de la politesse de base.
Je crois qu'il est temps de ramener cette jeune file à une attitude un peu plus humble. Il faut lui expliquer que si elle se comporte comme une fillette insupportable, nous, les adultes, avons ce qu'il faut pour éradiquer ces comportements, ce qui convient à une jeune fille désobéissante : une bonne fessée déculottée.
Vous allez apprendre, jeune fille, à laisser votre mère vous punir comme elle l'entend, y compris quand elle jugera que c'est une sérieuse correction qui permettra de vous ramener dans le droit chemin. Je viendrai l'assister à chaque fois que vous refuserez qu'elle vous déculotte. Vous voyez que j'arrive toujours à mes fins quand il s'agit de baisser la culotte d'une jeune fille et de l'allonger en travers de mes genoux.
A ce propos, je n'apprécie pas du tout vos tentatives pour échapper à la fessée. C'est la dernière fois que vous tenterez de vous enfuir en courant dans le jardin. La seule chose que vous y gagnerez, c'est une fessée là où je vous rattraperai, même si c'est sur le bord de la route ou sur la place du village. Pour cette fois, vous avez de la chance que je vous ai ramenée dans la maison. Vos fesses ne seront pas à la vue des domestiques, mais cela ne les empêchera pas de savoir comment vous avez été punie. Vos cris qui ne tarderont plus, vont les instruire sur ce sujet.
Votre main qui essaye d'éviter que je vous baisse la culotte, est une tentative vouée à l'échec. Croyez-vous qu'il me sera difficile de vous l'immobiliser dans le dos et de vous déculotter ensuite ? Là, voilà, c'est fait ! Car dorénavant, les fessées que vous recevrez seront toutes déculottées. Vous verrez qu'on apprend vite à se comporter comme une jeune fille bien sage si on sait qu'au moindre écart, on se retrouve, à coup sûr, la culotte baissée et les fesses bien rouges devant tout le monde.
Inutile de crier que je n'ai pas le droit de vous donner une fessée, que vous êtes trop grande pour être punie de cette façon. Croyez-vous que vous ayez votre mot à dire sur la façon dont il convient de vous corriger ? C'est votre comportement qui déterminera la façon dont vous serez châtiée. Tant que vous vous comporterez comme une petite fille capricieuse, parce qu'elle a été trop gâtée, vous serez traitée comme une gamine à qui il faut donner la fessée pour qu'elle soit sage. Vous en comprendrez vite l'efficacité.
Nous allons considérer cette première fessée comme la punition de votre refus de me laisser vous corriger. Il en sera ainsi désormais. Chaque geste de mauvaise volonté que ce soit quand on entreprendra de vous déculotter et de vous fesser, sera sanctionné par une fessée supplémentaire.
Dès que nous aurons fini de cette première étape, vous irez vous mettre au coin dans le hall d'entrée, là où chacun pourra voir ce qui arrive aux jeunes filles dans votre genre. Vous y garderez la culotte baissée, bien entendu. Puis, quand votre mère vous y autorisera, vous reviendrez ici recevoir une deuxième correction pour votre désobéissance d'hier soir. C'est votre mère qui vous la donnera. Je veillerai à ce qu'elle soit suffisamment sévère.
Pendant que vous serez au coin, je vais avoir une sérieuse conversation avec votre mère. Je la trouve bien trop laxiste à votre égard. Cela ne doit plus durer. Elle vous passe bien trop souvent vos colères et vos caprices. J'oserai même dire que si nous en sommes là avec vous, elle porte une bonne partie de la responsabilité.
Je pense que je sais comment m'y prendre pour la ramener à plus de rigueur envers vous. Vous pouvez compter sur moi. Et si mes interventions ne suffisent plus, je convaincrai la cuisinière de prendre en charge la discipline pour tous les habitants de cette maison. Ses méthodes se sont montrées très efficaces pour la domesticité, il n'y a pas de raison qu'elles ne fonctionnent pas si on étend le périmètre des personnes qui en bénéficient.
A ce propos, je n'apprécie pas du tout vos tentatives pour échapper à la fessée. C'est la dernière fois que vous tenterez de vous enfuir en courant dans le jardin. La seule chose que vous y gagnerez, c'est une fessée là où je vous rattraperai, même si c'est sur le bord de la route ou sur la place du village. Pour cette fois, vous avez de la chance que je vous ai ramenée dans la maison. Vos fesses ne seront pas à la vue des domestiques, mais cela ne les empêchera pas de savoir comment vous avez été punie. Vos cris qui ne tarderont plus, vont les instruire sur ce sujet.
Votre main qui essaye d'éviter que je vous baisse la culotte, est une tentative vouée à l'échec. Croyez-vous qu'il me sera difficile de vous l'immobiliser dans le dos et de vous déculotter ensuite ? Là, voilà, c'est fait ! Car dorénavant, les fessées que vous recevrez seront toutes déculottées. Vous verrez qu'on apprend vite à se comporter comme une jeune fille bien sage si on sait qu'au moindre écart, on se retrouve, à coup sûr, la culotte baissée et les fesses bien rouges devant tout le monde.
Inutile de crier que je n'ai pas le droit de vous donner une fessée, que vous êtes trop grande pour être punie de cette façon. Croyez-vous que vous ayez votre mot à dire sur la façon dont il convient de vous corriger ? C'est votre comportement qui déterminera la façon dont vous serez châtiée. Tant que vous vous comporterez comme une petite fille capricieuse, parce qu'elle a été trop gâtée, vous serez traitée comme une gamine à qui il faut donner la fessée pour qu'elle soit sage. Vous en comprendrez vite l'efficacité.
Nous allons considérer cette première fessée comme la punition de votre refus de me laisser vous corriger. Il en sera ainsi désormais. Chaque geste de mauvaise volonté que ce soit quand on entreprendra de vous déculotter et de vous fesser, sera sanctionné par une fessée supplémentaire.
Dès que nous aurons fini de cette première étape, vous irez vous mettre au coin dans le hall d'entrée, là où chacun pourra voir ce qui arrive aux jeunes filles dans votre genre. Vous y garderez la culotte baissée, bien entendu. Puis, quand votre mère vous y autorisera, vous reviendrez ici recevoir une deuxième correction pour votre désobéissance d'hier soir. C'est votre mère qui vous la donnera. Je veillerai à ce qu'elle soit suffisamment sévère.
Pendant que vous serez au coin, je vais avoir une sérieuse conversation avec votre mère. Je la trouve bien trop laxiste à votre égard. Cela ne doit plus durer. Elle vous passe bien trop souvent vos colères et vos caprices. J'oserai même dire que si nous en sommes là avec vous, elle porte une bonne partie de la responsabilité.
Je pense que je sais comment m'y prendre pour la ramener à plus de rigueur envers vous. Vous pouvez compter sur moi. Et si mes interventions ne suffisent plus, je convaincrai la cuisinière de prendre en charge la discipline pour tous les habitants de cette maison. Ses méthodes se sont montrées très efficaces pour la domesticité, il n'y a pas de raison qu'elles ne fonctionnent pas si on étend le périmètre des personnes qui en bénéficient.
Grand merci à Louis Malteste à qui j'ai emprunté le dessin !
Des fessées "début de siècle", le siècle dernier, bien entendu.
Faire appel à la voisine, ce n'est pas de bon augure
Laisser un commentaire, un témoignage ? C'est ci-dessous !
N'hésitez pas à en faire un usage immodéré. Le commentaire ne s'use que si l'on ne s'en sert pas.
Bonjour JLG,
RépondreSupprimerEncore une jeune rebelle !!!
J'imagine bien la scène: Madame, Moiselle, la bonne et la gouvernante.
Louis Malteste est un auteur assez prolifique dans les scènes de fessées familiales. Citons également Carlo, Degy, Hegemann. Tous se situent dans la première moitié du 20è. siècle. merci pour ce récit.
Peter'.
Peter pan,
RépondreSupprimerLa fessée était, à cette époque, bien plus volontiers donnée à de jeunes adultes que maintenant. Ils étaient tenus sous la coupe de leurs parents bien plus longtemps qu'aujourd'hui.
Merci pour tous ces noms de dessinateurs. Je vais voir si je peux y trouver matière à alimenter les saynètes pour le blog.
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Sa fait pas mal une fessés arrêter de dire sa
RépondreSupprimerj'ai des tas de voisuines que j'aimerais qu'elles me donnent une fessée
RépondreSupprimer